La sodomie qu'elle voulait

La sodomie qu'elle voulait




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































La sodomie qu'elle voulait

Lignes de force
Le blogue généraliste de Claude Guillon


Vous disposez dĂ©jĂ  dÊŒun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.




Lignes de force



Personnaliser




Suivre


Abonné


S’inscrire
Connexion
Copier shortlink
Signaler ce contenu


Voir l’article dans le Lecteur


GĂ©rer les abonnements

RĂ©duire cette barre


Écrivain anarchiste de langue française, nĂ© en 1952, j'ai publiĂ© une quinzaine de livres, principalement des essais, et quelques incursions en littĂ©rature.
Je travaille sur le courant des Enragé(e)s pendant la Révolution, et présentement sur les mobilisations collectives de femmes et leurs clubs entre 1789 et 1793.
(Le portrait ici utilisé a été gracieusement réalisé par Edmond Baudoin.)
Quelques prĂ©cisions – dues pour une part Ă  Paul Chopelin – sur Marie-Marguerite Cambon, nĂ©e le 21 fĂ©vrier 1762; elle s’est mariĂ©e le 19 fĂ©vrier 1787 avec Jean-Marc-Anne Theule de Capitoul, grand voyer de la ville et de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Montpellier. Cambon lui lĂ©gua 6 000 francs, ainsi qu’à sa sƓur religieuse. Elle-mĂȘme lĂ©gua [
]
Quelques personnages d’une piùce
 qui change de titre entre le couvercle du (grand) carton (42×81 cm) et le livret des dialogues! Ledit carton contient, outre les fiches des personnages, un disque 33 t., deux cassettes de chansons et musiques (nous sommes en 1989
), plusieurs exemplaires du livret dont j’ai reproduit la page de titre, et [
]
RĂ©sumĂ©Un trĂšs bon portrait en buste d’époque rĂ©volutionnaire, peint Ă  l’huile dans un format classique au XVIIIe siĂšcle (64 X 53 cm), a Ă©tĂ© donnĂ© au Louvre en 1987. Il reprĂ©sente un jeune inconnu, au regard calme et intelligent. Une tradition familiale l’attribuait au cĂ©lĂšbre peintre Jacques-Louis David (1748-1825), mais elle a Ă©tĂ© dĂ©mentie par [
]
Joseph Marie Lequinio, conventionnel, représentant du Morbihan, envoyé en mission en Charente et Charente inférieure. Rappelé le 3 février 1794.
DeuxiĂšme billet consacrĂ© Ă  la version en images d’Une histoire populaire de la France (Delcourt/Encrages). J’aimerais bien savoir sur quels documents s’appuie GĂ©rard Noiriel pour produire la saynĂšte en bas Ă  droite de cette page
 J’ai beau me creuser la tĂȘte, il ne m’en revient aucun qui « colle » (mais je n’ai pas passĂ© [
]
Entrez votre adresse mail pour ĂȘtre averti·e des nouvelles publications.
Aux Éditions IMHO. Nouvelle Ă©dition augmentĂ©e.
Publié chez Libertalia (présentation de Claude Guillon)
Un recueil de textes des Enragé(e)s publié chez IMHO
Traduction espagnole chez Alikornio
J’avais, sur mon prĂ©cĂ©dent site, Ă  la suite de la parution de mon livre Le SiĂšge de l’ñme (Zulma), proposĂ© aux femmes qui le souhaitaient de me faire part, anonymement, de leur expĂ©rience de la sodomie.
Les témoignages reçus sont publiés ci-dessous.
L’invite Ă©tant de validitĂ© permanente, vous pouvez me contacter via le formulaire en bas de page, y compris pour un simple Ă©change, sans perspective de publication. Cette maniĂšre de procĂ©der est plus sĂ»re que les « commentaires », qui doivent de toute façon ĂȘtre validĂ©s pour Ă©carter les innombrables pourriels envoyĂ©s par des moteurs ou des ĂȘtres vivants dont le mĂ©canisme mental n’est pas plus sympathique.
J’ai extrait quelques mots de chaque tĂ©moignage pour en faire un titre.
Je viens témoigner sur le sujet : « Les femmes et la sodomie ».
La premiĂšre rĂ©flexion qui me vient Ă  propos de la sodomie : « c’est dĂ©licieux », mais oui, je vous assure !
J’ai 56 ans et avec mon compagnon on ne s’en prive pas, on ne la pratique pas systĂ©matiquement Ă  chaque rapport sexuel, mais trĂšs souvent.
Je la pratique environ depuis l’ñge de 30 ans.
J’ai eu de nombreux partenaires dans ma vie sexuelle et je ne l’ai pas pratiquĂ©e avec tous, cela dĂ©pendait des habitudes de chacun et de l’humeur du moment.
En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, je prĂ©fĂšre une pĂ©nĂ©tration vaginale avant avec 2 ou 3 orgasmes ou plus, et ensuite la sodomie vient Ă  la fois comme un plaisir en plus, diffĂ©rent et plus intense, plus complet je dirais
 J’en ai des frissons de partout et une chaleur intense envahit mon ventre, ma peau
 Je ressens la mĂȘme chose avec une pĂ©nĂ©tration vaginale, mais en moins intense, en fait je crois que j’ai plus l’impression de jouir avec tout mon corps, c’est un feu d’artifice et je m’envole dans les Ă©toiles
 enfin c’est fantastique !
J’ajouterai que je suis une « femme fontaine », et d’aprĂšs certains des partenaires que j’ai eus, cela me donnerait une prĂ©disposition Ă  avoir des orgasmes multiples et Ă  ĂȘtre totalement libre dans les rapports sexuels et donc Ă  apprĂ©cier la sodomie.
La sodomie est encore un tabou chez une catĂ©gorie d’hommes qui sont classĂ©s classiques, peu ouverts, tendance macho. Elle se pratique effectivement avec Ă©lĂ©gance quand un couple se connait en profondeur, a dĂ©passĂ© ses extrĂȘmes, se respecte et est Ă  l’écoute l’un de l’autre. Le passage douloureux de la sodomie est Ă©vitĂ© si chacun est Ă  l’écoute, soit l’un des deux est trop stressĂ©, soit les hĂ©morroĂŻdes bloquent le passage, par exemple
 En fait que ce soient hommes ou femmes, pratiquer la sodomie chez certains paraĂźt rĂ©pugnant, sale, la reprĂ©sentation des matiĂšres fĂ©cales est restĂ©e primaire dans leur esprit.
Pour une symbiose sexuelle et un approfondissement des rapports sexuels d’un couple, il faut parfois passer par des actes inconnus, ou extrĂȘmes pour connaitre l’autre, ses gouts, et dĂ©couvrir un nouveau monde Ă  deux. Pratiquer la sodomie, c’est se connaitre, sans complexe, avec une intimitĂ©, une complicitĂ©. Ne pratiquer que la sodomie est une voie de garage pour un homme non performant, et ne pas la pratiquer : vous loupez une marche de la sexualitĂ©, de la dĂ©couverte des sens profonds.
Je rĂ©tablis peut ĂȘtre l’équilibre du pouvoir par la sodomie si j’en crois les dires de Toni Bentley (note du 22 aout de Claude Guillon), j’aime bien cette version, je prĂ©fĂšre plaisanter que de me prendre au sĂ©rieux. Rester simple semble difficile dans notre sociĂ©té : Dans mon premier commentaire, je me suis mal exprimĂ©e, j’ai osĂ© Ă©crire mais la formulation ne donne pas toujours les effets dĂ©sirĂ©s
..pratique qui veut la sodomie, je ne juge pas si c’est bien ou mal de ne pas le faire, je souligne juste que la sodomie n’est pas un tabou pour moi, elle fait partie de mon monde sexuel.
Comparons cela à une branche artistique : c’est tout un art de la pratiquer pour la savourer, mais l’art est immense, sans limites et je ne me permettrais pas de juger du monde sexuel de chacun

Bonjour, Je viens de tomber par hasard sur ce site en tapant d’autres termes de recherche que « sodomie » et j’ai lu tout cela avec attention. J’ai probablement une histoire toute particuliĂšre. Je ne voudrais pas virer dans le glauque mais ma premiĂšre expĂ©rience en la matiĂšre fut assez sordide puisqu’elle se fit lors d’une soirĂ©e avec un ami, soirĂ©e durant laquelle cet ami «abusa» de moi (j’étais ivre et inconsciente). Mon consentement il ne l’avait pas c’est certain mais le mot viol ne me vient cependant pas Ă  l’esprit, je tiens tout de mĂȘme Ă  le prĂ©ciser. Je n’ai pas ressenti ça comme un viol puisque
 je n’ai rien ressenti du tout lol Bref. Ma premiĂšre expĂ©rience ne m’a donc laissĂ© que peu de souvenirs (de vagues sensations que je suis incapable de rattacher Ă  quoique ça soit) et ne m’a ni franchement dissuadĂ©e ni franchement encouragĂ©e Ă  recommencer, mais les suivantes
 Je trouve que la sodomie est une source de plaisir(s) intense(s). Mon premier orgasme : sodomie, mon second idem etc. etc. etc. A tel point que je me demande si mon corps est capable de ressentir du plaisir autrement que par ce moyen. Les premiĂšres fois furent douloureuses et quelquefois encore il m’arrive de souffrir, notamment au dĂ©but mais ensuite, comme le disait l’un des intervenants prĂ©cĂ©dents : « je pourrais continuer durant des heures ». Je ne pense pas que cette expĂ©rience sexuelle se rattache au domaine de la soumission, de la domination d’un des partenaires. Je pense qu’elle se rattache exclusivement au domaine du plaisir. Des sensations ressenties. Cela peut ĂȘtre une marque de domination pour certains mais ce n’est pas systĂ©matique. Et je pense qu’il est Ă©vident qu’une sodomie sans stimulation prĂ©alable et durant l’acte en lui mĂȘme n’apporte que peu de jouissance. Pour rĂ©pondre Ă  la personne qui dĂ©plorait que la sodomie soit banalisĂ©e et que les jeunes la connaissent, je rĂ©pond que cela est loin d’ĂȘtre un mal. Les jeunes personnes ne sont pas complĂštement stupides et sont bien fichus de se rendre compte que, oh, miracle, il y a un deuxiĂšme orifice, sorte de deuxiĂšme sexe (dixit Ovide) et que, tient, ça a l’air de plutĂŽt bien s’emboiter. La libĂ©ralisation des moteurs est une excellente chose. On ne se sent plus, comme auparavant, coupable d’un rapport sexuel (que dire d’une sodomie, pĂ©chĂ© mortel, liaison directe avec l’enfer), on le vit mieux. Pour en revenir Ă  la sodomie, je trouve dommage que certaines personnes manquent de curiositĂ© Ă  ce point. Je pense, moi, que sans aller jusqu’à des choses extrĂȘmes (nĂ©crophilie, scatophilie : encore que je pense que cela vient de ce que l’on nous enseigne Ă©tant petit « touche pas Ă  ça, c’est caca ! » je sais, c’est ridicule mais c’est pourtant ce qui est dit. Et puis les excrĂ©ments, on sait tous que ça sont des dĂ©chets organiques, rien d’intĂ©ressant et aucune chance que ça soit BON. Donc en consommer juste pour essayer
. un rien idiot, a moins d’ĂȘtre en pleine famine lol) il faut essayer un minimum de choses. Faire l’apprentissage de ce qui nous entoure. Je ne parle pas essentiellement de la sodomie mais de tout ce qui lĂ©vite autour de nous. Savoir quel gout a une croquette pour chien, ce que ça fait [
] de rencontrer qqun sur le net, [
] etc. Je ne dis pas qu’il faut renouveler ! Une fois suffit. Parce que renouveler peut ĂȘtre dangereux [
] ou que cela ne nous plait pas (croquette pour chien ou
. sodomie). Mais essayer. Savoir Ă  quoi l’on pourra dire non par la suite, savoir ce que l’on qualifie « d’inintĂ©ressant ». [
] On ne peut pas aimer ce que l’on ne connait pas, c’est normal, mais on a pas le droit de juger. Justement.
Pratique « normale », cela signifie quoi ?
En tout cas pratiquĂ©e depuis longtemps par des jeunes filles juives et arabes (et sans doute occidentales et africaines ?, mais je n’ai pas de tĂ©moignage) pour garder leur virginitĂ© et comme moyen de contraception, bien ou mal, je ne sais pas, dans ces cas c’est Ă  la place d’une sexualitĂ© dite normale de pĂ©nĂ©tration du sexe masculin dans le vagin, qui peut mener Ă  une grossesse.
Pour moi, il n’y a de norme nulle part, des pratiques plus ou moins frĂ©quentes, courantes dans l’ancien testament, refusĂ©e au dĂ©part par les catholiques pour se dĂ©marquer des autres religions
 pour moi, pas de norme, mais un bien-ĂȘtre de chaque individu avec soi-mĂȘme et avec l’autre : alors toute pratique sexuelle, avec ou sans pĂ©nĂ©tration vaginale ou anale, me parait bonne pourvu que les partenaires en soient satisfaits
Pour ma part, je la pratique de temps en temps, parfois pour faire plaisir, parfois pour mon propre plaisir, et peu m’importe, il m’arrive de la refuser parce que je n’en pas envie Ă  ce moment lĂ , seul mon dĂ©sir et celui de l’autre sont en cause, aucune notion de « pouvoir » de qui que ce soit.
Mon plaisir sexuel est liĂ© Ă  mon dĂ©sir et Ă  celui de l’autre, et au respect de chacun pour l’autre, j’aime faire plaisir, mais pas contre mon dĂ©sir ; j’aime que l’on me fasse plaisir et que l’on me respecte..
J’ai 61 ans, mariĂ©e et divorcĂ©e deux fois, et plusieurs relations avec des hommes successifs, j’en ai encore..
Bonjour, j’ai lu hier soir votre façon de voir la sodomie, chose a laquelle j’étais rĂ©ticente par peur de montrer Ă  l’autre quelque chose de sale, de lui offrir quelque chose de sale, qu’il fasse de moi quelqu’un de sale, une putain en quelque sorte. Comme si l’homme prĂ©fĂ©rait la vierge a la putain impure. J’ai rencontrĂ© un homme qui m’a fait l’amour avec tellement de tendresse que j’ai a peine sentie qu’il me sodomisait, l’amour avec lequel il le fait est puissant. Je me sens belle et aimĂ©e passionnĂ©ment, pas du tout sale au point d’avoir moi mĂȘme envie parfois d’ĂȘtre un homme pour pĂ©nĂ©trer celui que j’aime et connaĂźtre ce magnifique sentiment de pĂ©nĂ©trer Ă  l’intĂ©rieur de l’autre. « Et l’amour dans tout ça ? » Disait un commentaire. Mais il est bien lĂ  avec rage, envie de mordre, de griffer, de serrer, de ne faire qu’un ! Le sang, les selles, la salive, le sperme, il n’y a rien de sale quand on aime. Moi, je ne vois que des cellules au mĂȘme titre que les larmes, la peau, les cheveux
 Le seul moment ou l’on doit arrĂȘter de penser c’est prĂ©cisĂ©ment celui oĂč on fait l’amour et lorsqu’une femme fait confiance et se livre, elle lĂąche prise et n’a plus peur de se faire enculer au sens premier du terme. Je pense que la femme qui a peur de la sodomie a avant tout peur de la trahison, peur de l’abandon aprĂšs avoir livrĂ© ce qu’il y a de plus intime et de plus pudique. La femme se farde et j’ai lu que dans un film Rocco Sifredi fardait l’anus de sa partenaire avant de la pĂ©nĂ©trer, je n’ai pas bien compris au dĂ©but et je trouve cette image magnifique ! L’homme est le plus beau fard de la femme, c’est lui qui nous maquille le mieux  !!!
Je suis un peu Ă©tonnĂ©e que la sodomie soit ici encore un peu « taboue », je pensais que c’était une pratique banalisĂ©e. Je l’ai pratiquĂ©e assez tĂŽt dans ma vie sexuelle. Au dĂ©but un peu maladroitement. Je l’ai fait par curiositĂ© et pour l’aspect psychologique de me sentir dominĂ©e
 J’aimais bien. Plus qu’ĂȘtre pĂ©nĂ©trĂ©e vaginalement parfois. Et puis, la maturitĂ© venant, ça a Ă©tĂ© encore mieux. Beaucoup mieux. J’adore ĂȘtre sodomisĂ©e aprĂšs avoir Ă©tĂ© pĂ©nĂ©trĂ©e vaginalement en gĂ©nĂ©ral. Que l’anus soit lubrifiĂ© a l’aide de mes sĂ©crĂ©tions vaginales et que je sois pĂ©nĂ©trĂ©e progressivement par un puis plusieurs doigts de mon partenaire. Si c’est fait sans prĂ©paration c’est Ă  oublier. C’est douloureux, sans plaisir, et en ce qui me concerne de toute façon cela ne se fait pas, anatomiquement parlant. Si je n’en ai pas le dĂ©sir, je ne le fais pas non plus, parce que pour l’avoir dĂ©jĂ  fait, cela ne me donne pas de plaisir dans ce cas. Je ne le fais pas avec tout le monde, je ne le fais pas systĂ©matiquement ; c’est comme tout, ça se fait en fonction du partenaire, du moment
 Cela me donne en gĂ©nĂ©ral plus de plaisir que la pĂ©nĂ©tration vaginale. J’aime que ce soit lent, progressif ; je pourrais le faire pendant des heures ! Je ne le demande pas verbalement, je guide. Ou bien je le demande verbalement pendant l’amour et alors ça fait partie pour moi du jeu de l’excitation. En ce qui concerne les rĂ©actions des hommes, je n’ai jamais eu de refus. C’est presque toujours moi qui suis demandeuse. MĂȘme toujours je crois. Peut-ĂȘtre que les hommes n’osent pas ou qu’ils n’y pensent pas ou n’en ont pas envie. Parce que quand je suis bien avec un homme, je le demande assez tĂŽt (dans la relation avec l’homme je veux dire, je n’ai pas besoin de connaĂźtre la personne depuis longtemps pour en avoir envie, cela m’est arrivĂ© de demander lors du premier rapport avec quelqu’un). Peut-ĂȘtre que si j’attendais plus, j’aurais plus de demandes ou propositions, je ne sais pas. Je ne vais pas faire du prosĂ©lytisme pour la sodomie parce que je comprends trĂšs bien que des gens n’y trouvent pas de plaisir ou n’aient pas envie d’essayer. C’était juste mon tĂ©moignage personnel sur le sujet, vu que c’était demandĂ© gentiment
PS : Tant que j’y suis, j’ai aussi une requĂȘte. Je trouve votre blog, que je dĂ©couvre, trĂšs intĂ©ressant (cf sujets sur les rĂ©gimes et le suicide, que je viens de lire), alors si jamais vous avez un avis sur la mode de l’épilation intĂ©grale ou quasi-intĂ©grale (c’est pareil) du sexe, je serais ravie de vous lire. Parce que pour moi c’est une horreur (dediou ce que c’est douloureux de s’épiler le sexe, je renonce) PPS : j’ai 35 ans (pour vos stats ?)
Je trouve intĂ©ressant de pouvoir avoir des tĂ©moignages fĂ©minins sur la pĂ©nĂ©tration anale ; souvent taboue et si fantasmĂ©e et demandĂ©e par les hommes. Donc aujourd’hui j’aimerais aussi vous apporter mon expĂ©rience sur cette pratique, qui nĂ©cessite dĂ©licatesse et savoir-faire. J’ai Ă©tĂ© durant 10 annĂ©es avec le mĂȘme homme (de mes 20 Ă  30 ans) ; nos rapports sexuels Ă©taient « agrĂ©ables » cependant je me masturbais beaucoup pour atteindre des orgasmes clitoridiens, et lorsqu’il dĂ©sirait me pĂ©nĂ©trer analement il me faisait mal et nous n’avons jamais Ă©tĂ© jusqu’au bout. Puis je me suis sĂ©parĂ©e aprĂšs 10 ans de vie commune et un enfant ; et durant les 2 annĂ©es qui ont suivi j’ai rencontrĂ© 3 partenaires formidables, j’ai dĂ©couvert que certains hommes Ă©taient vraiment tournĂ©s vers le plaisir de la femme, l’écoute de son corps et que le sexe pouvait ĂȘtre un Ă©change incroyablement intense lorsque l’homme sait ĂȘtre sensiblement attentif au dĂ©sir fĂ©minin. J’ai redĂ©couvert mon corps, et je me suis Ă©galement dĂ©couverte femme fontaine grĂące Ă  un homme en particulier, fin connaisseur du corps fĂ©minin ; il a su trouver en moi les partitions, les notes, la rythmique qui ont dĂ©clenchĂ© ces fontaines de plaisir. Je pense Ă©galement que la maturitĂ© et le lĂącher prise que l’on acquiert au fil des annĂ©es ont participĂ© Ă  faire Ă©voluer mes orgasmes. Le premier partenaire qui a suivi ma rupture Ă©tait un as du cunnilingus, il tenait Ă  me voir prendre du plaisir et monter en excitation avant lui pour ensuite prendre son plaisir, soit

le deuxiĂšme a Ă©tĂ© mon maĂźtre en matiĂšre de sexe, sa douceur, son attention et son « professionnalisme » m’ont permis de dĂ©couvrir de nouvelles expĂ©riences et de les apprĂ©cier car il avait un savoir-faire et une capacitĂ© Ă  Ă©couter et Ă  observer incroyable ; il a su me mettre vraiment en confiance et m’a permis d’expĂ©rimenter de nombreuses pratiques
 dont notamment la pĂ©nĂ©tration anale : il est trĂšs important lorsque l’on commence cette pratique d’ĂȘtre dĂ©jĂ  prĂ©alablement excitĂ©e, voir d’avoir dĂ©jĂ  eu des orgasmes clitoridiens et/ou vaginaux ; lorsqu’un certain pic d’excitation est atteint on peut stimuler l’anus, avec la langue, dĂ©licatement, le sentir se dilater, le lubrifier, le pĂ©nĂ©trer doucement avec un doigt, puis deux ou mĂȘme un jouet
 puis petit Ă  petit celui-ci s’offre Ă  l’autre, et on peut pratiquer la pĂ©nĂ©tration (avec le temps ensuite, les prĂ©liminaires ne sont pas forcĂ©ment nĂ©cessaire et l’excitation suffit). Cet homme m’a Ă©galement permis de me dĂ©couvrir femme fontaine et multi orgasmique. Avec mon dernier partenaire, que j’ai rencontrĂ© il y a plusieurs mois et avec qui je suis toujours actuellement, le plaisir a encore Ă©voluĂ©, et pourtant je ne pensais pas connaĂźtre meilleure partenaire que le dernier
 et la pĂ©nĂ©tration anale est devenue un vrai dĂ©lice
 d’ailleurs c’est systĂ©matique, lorsque je suis allongĂ©e sur le dos et qu’il me pĂ©nĂštre je jouis et pardonnez moi l’expression je « gicle » ; les fontaines sont multiples et grandioses, elles arrosent tout son torse, et il adore ! Ces Ă©rections fĂ©minines peuvent Ă©galement survenir par pĂ©nĂ©tration vaginale ou par doigtĂ© mais de maniĂšre anale pour ma part c’est trĂšs rapide et le plaisir est violent ! Je ne pensais prendre tant de plaisir auparavant avec cette pratique

Pour conclure, j’aimerais vous dire que rien n’est figĂ©, qu’il y a une Ă©volution en tout, et que lorsqu’il y a Ă©coute, communication, Ă©change, dĂ©licatesse, douceur alors tout est possible mĂȘme les pratiques paraissant les plus hard ; je dirais que le maĂźtre mot est l’attention ; les hommes se doivent encore plus que les femmes d’ĂȘtre dans l’attention et l’écoute du corps de la femme qui est complexe ; et lorsque les clefs qui nous amĂšne au
Deux salopes sexy se font jouir
Lesbiennes en cuisine
Jolie asiatique baisée proprement

Report Page