La sodomie est toujours meilleure de bon matin

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La sodomie est toujours meilleure de bon matin
Simon Farvacque | Christophe Gaudot
5 étoiles : - 4 étoiles : Primoz Roglic 3 étoiles : Richard Carapaz, Jai Hindley, Simon Yates 2,5 étoiles : Remco Evenepoel 2 étoiles : Joao Almeida, Mikel Landa, Miguel Angel Lopez, Enric Mas 1 étoile : Alejandro Valverde, Thibaut Pinot, Esteban Chaves, Louis Meintjes, Pavel Sivakov, Tao Geoghegan Hart, Ben O'Connor, Sergio Higuita, Vincenzo Nibali, David de la Cruz.
Alaphilippe-Evenepoel, double attraction à sensations fortes
Pays : Slovénie Equipe : Jumbo-Visma Âge : 32 ans 4e participation Vuelta 2021 : Vainqueur
C'est sa course. Le Giro et le Tour ? Il ne les a jamais remportés. La Vuelta ? Il l'a toujours gagnée. Trois participations, trois victoires. Le Tour d'Espagne est le principal témoin de la dimension prise par Primoz Roglic, dans le cyclisme mondial.
Elle est à faire pâlir d’envie l’immense majorité du peloton. Primoz Roglic a ajouté à son palmarès deux des plus grandes courses par étapes d’une semaine du calendrier, en 2022 : Paris-Nice et le Critérium du Dauphiné. Mais il a aussi confirmé qu’entre lui et le Tour de France, il y avait toujours quelque chose qui clochait, individuellement.
Primoz Roglic vise un quatrième sacre de régent ibérique, qui plus est de rang. S’il décroche sa quatrième couronne, il rejoindra Roberto Heras au sommet de la hiérarchie des vainqueurs du Tour d’Espagne. Le faire sans essuyer le moindre échec serait d’autant plus impressionnant.
La grande question : Dans quel état est-il ?
Est-ce un Primoz Roglic à 100% qui se présente au départ de cette Vuelta ? Le Slovène a abandonné le Tour de France après 14 étapes, amoindri par une chute, après avoir tout de même (grandement) contribué au sacre de son coéquipier, Jonas Vingegaard. Sur la Grande Boucle, on l'a vu ironiser avec Alberto Contador, consultant pour Eurosport qui l'interrogeait depuis sa moto, au sujet de sa préparation pour le Tour d'Espagne. Elle n’est pas bonne, c’est un euphémisme, étant donné que Roglic n’a plus couru depuis qu’il a plié bagage dans l’Hexagone, il y a un mois. Reste à savoir s’il est, au moins, en pleine possession de ses moyens.
Pays : Equateur Equipe : INEOS Grenadiers Âge : 29 ans 5e participation Vuelta 2021 : Abandon
Depuis que Roglic impose sa loi sur les routes espagnoles, Richard Carapaz est le rival qui lui a donné le plus de fil à retordre. C’était en 2020, et l’Equatorien avait bien failli renverser le Slovène, durant la pénultième étape, gagnée par David Gaudu. Le grimpeur d’INEOS Grenadiers avait lâché le maillot rouge, qui avait conservé 24 de ses 45 secondes de marge sur lui, au sommet de l’Alto de la Covatilla. Excepté ce coup de maître tutoyé, Carapaz n’a jamais brillé sur la Vuelta, il n’y a même jamais levé les bras.
Elle a basculé en une journée, au gré d'un uppercut que lui a infligé Jai Hindley, lors de la 20e étape du Giro. Avec un Grand Tour en poche, Richard Carapaz serait sur les bases d’une excellente année. Avec une "simple" deuxième place en la matière, le lauréat du Tour d’Italie 2019 présente un opus moyen, garni d’une victoire d’étape lors du Tour de Catalogne et d’un titre national en contre-la-montre. Soit un butin plutôt maigre, alors que son avenir avec INEOS est incertain.
Richard Carapaz a terminé sur le podium des trois derniers Grands Tours qu'il a achevés : 2e de la Vuelta 2020, 3e du Tour 2021, 2e du Giro 2022.
La grande question : Sera-t-il plus économe qu'au Giro ?
Lors de ce Tour d'Italie 2022 qui lui a échappé, Richard Carapaz n'a pas compté ses efforts. Il a tenté de grappiller des secondes çà et là, a pris le maillot rose après 14 étapes (cela lui avait souri en 2019), l'a défendu bec et ongles... et a fini par se faire pourfendre par Hindley, qui a fait mouche en moins d'escarmouches. Ce camouflet va peut-être avoir un impact sur la stratégie du chef de file d'INEOS Grenadiers. Le Carapaz calculateur existe - souvenez-vous de son faciès et de son coup de bluff durant le Tour de France 2021 . Va-t-on avoir droit à cette version de "Richie" ?
Pays : Australie Equipe : Bora-Hansrgohe Âge : 26 ans 2e participation Vuelta 2021 : Absent
Seulement une timide approche. Quand Jai Hindley s'est rendu sur la Vuelta 2018 (32e), il n'avait que 23 ans et n'avait jamais disputé de grand tour. Bref, il était loin du vainqueur du Giro qu'il est désormais.
Evidemment excellente avec son succès au Tour d'Italie. Jai Hindley sera l'un des trois (ou deux s'il réédite l'exploit) vainqueur de grand tour de la saison 2022. Aussi étonnant que cela puisse paraître, le reste de son année peut être qualifié de médiocre avec pour seul bon résultat une 5e place sur Tirreno-Adriatico.
Si le doublé Giro-Tour est le plus prestigieux, celui qui lie l'Italie et l'Espagne n'est pas moins difficile. La preuve, il n'a été réalisé qu'à trois reprises dans l'histoire. Enrico Battaglin l'avait ainsi fait en 1981 pour ses deux seuls grands tours au palmarès mais les deux autres devraient réveiller une belle envie chez Jai Hindley : Eddy Merckx (1973) et Alberto Contador (2008).
La grande question : Hindley est-il leader unique chez Bora ?
Remporter un Giro pourrait vous garantir d'avoir une équipe à votre service pour les occasions suivantes. Ce n'est pas le cas de Jai Hindley qui partagera le leadership chez Bora-Hansgrohe avec Sergio Higuita et Wilco Kelderman alors que le sprinter Sam Bennett est présent lui aussi. " Nous laisserons la route décider de notre rôle au sein de l'équipe comme nous l’avons fait sur le Giro.Si je perds du temps la première semaine, je ferai certainement de mon mieux pour aider le leader, et, au contraire, je sais que les gars me soutiendront. ", prévient Hindley qui n'a pas rassuré à Burgos (7e du général).
Pays : Grande-Bretagne Equipe : BikeExchange - Jayco Âge : 30 ans 4e participation Vuelta 2021 : Absent
Le Tour d'Espagne est le seul des trois Grands Tours à figurer au palmarès de Simon Yates (2018). C'est aussi lors d'une Vuelta, en 2016, qu'il est allé décrocher son premier Top 10 au classement général d'une course de trois semaines. En revanche, il a tourné le dos à l'épreuve ibérique depuis son sacre, il y a quatre ans. La prise de pouvoir, puis le règne de Roglic ne se sont donc pas faits, directement, à ses dépens.
Deuxième de Paris-Nice grâce à un succès lors de la dernière étape - qui aurait pu être un "coup double", sans un grand Wout van Aert -, lauréat de deux étapes du Giro et de nombreuses courses en Espagne, dont récemment le Tour de Castille-et-León, Simon Yates signe une saison prolifique. Avec huit victoires, il est assuré d’égaler son meilleur total en un exercice (2018) et à l’aune de sa forme, ne pas établir sa nouvelle marque de référence serait décevant. En revanche, il lui manque l'immense course qui rendrait 2022 inoubliable pour lui.
Simon Yates avait pris l’habitude de terminer tous ses Grands Tours. Après avoir quitté sa première Grande Boucle avant son terme, en 2014, le coureur britannique a "complété" huit courses de trois semaines de rang. Mais depuis 2020, Covid-19 et chutes s’en mêlent et Yates n’a bouclé qu’une des quatre épreuves de ce type qu’il a disputées. Un podium à la clef (3e du Giro 2021).
La grande question : Que joue-t-il (vraiment) ?
Le Tour d’Italie 2022 de Simon Yates a été paradoxal. Et paradoxalement assez représentatif du coureur qu’il est. Deux bouquets en poche : un chrono et une mémorable étape de moyenne montagne. Mais aussi un classement général qui lui a vite échappé.
Dans quel rôle est-il le meilleur : chasseur de victoire au quotidien, ou candidat au sacre ? C’est plutôt avec cette deuxième casquette qu’on l’imagine s’aligner… tout en gardant dans un coin de notre esprit, son dernier Giro, ou encore son Tour de France 2019 (2 étapes gagnées, 49e du général). Sachant que la course aux points UCI peut venir influer sur ses desseins.
Pays : Belgique Equipe : Quick-Step Alpha Vinyl Âge : 22 ans 1re participation Vuelta 2021 : Absent
Un peu pressé, Patrick Lefevere avait peut-être fait une erreur en envoyant Remco Evenepoel sur le Giro l'année dernière. Le Belge découvrait les grands tours sans préparation et la Vuelta, qu'il n'a donc jamais courue, sera sa deuxième expérience des courses de trois semaines.
Il y a eu du grand, voire du très grand Remco Evenepoel en 2022. La pépite belge a triomphé de son premier Monument en remportant Liège-Bastogne-Liège d'une fort belle manière fin avril. Il compte aussi à son palmarès le Tour d'Algarve, celui de Norvège, le championnat de Belgique du contre-la-montre et la Clasica San Sebastian, remportée pour la deuxième fois après un grand numéro en solitaire. Le hic réside dans son affrontement avec les coureurs complets sur les grosses courses d'une semaine (11e de Tirreno, 4e du Pays basque et 11e du Tour de Suisse).
Si dans sa jeune et déjà si prolifique carrière, Remco Evenepoel a engrangé neuf victoires sur des épreuves d'une semaine au maximum, faisant de lui une terreur en la matière, il n'a encore jamais terminé de courses de trois semaines. C'est tout le paradoxe du Belge, cité comme favori de courses qu'il est encore loin de maîtriser sur le bout des doigts. Sa découverte sur le Giro s'était achevée par un abandon au matin de la 18e étape.
La grande question : Favori Evenepoel, vraiment ?
Jeudi, à l'occasion de sa conférence de presse d'avant Tour d'Espagne, il a été notifié à Remco Evenepoel qu'il était, selon les bookmakers, le deuxième favori, derrière Primoz Roglic. Une information qui a fait le sourire le bambin qui n'a pas l'air de s'en faire avec ce genre d'information.
Sur le Tour d'Italie 2021 déjà, d'aucuns le voyaient capable de rafler la timbale. Il faudra pour ce faire déjouer les pièges pendant trois semaines, ce qui est tout sauf simple. De nôtre côté, nous avons joué la prudence, plaçant Evenepoel derrière des anciens vainqueurs de grands tours, mais devant les autres prétendants.
Pays : Portugal Equipe : UAE Emirates Âge : 24 ans 1re participation Vuelta 2021 : Absent
L'histoire entre eux est à écrire. Joao Almeida a déjà pris part trois fois au Giro, mais jamais à la Vuelta (ni au Tour de France d'ailleurs).
Contraint de quitter le Giro à cause du Covid-19 cette année, Joao Almeida était en passe d’à nouveau terminer dans les hauteurs du classement de l’épreuve italienne (4e après 17 étapes, 6e en 2021, 4e en 2020). D'où une saison globalement frustrante, à l'aube de la Vuelta. Le champion du Portugal a tout de même gagné trois fois en 2022, toujours sur la péninsule Ibérique. Un bon signe ?
Almeida a pris place dans le Top 10 des cinq dernières courses par étapes dont il a franchi la ligne d'arrivée. La dernière fois qu'il a manqué le coche en la matière remonte au Tour d'Allemagne, en août 2021 (18e). Le coureur de l'équipe UAE Emirates venait de remporter le Tour de Pologne et allait s'adjuger celui du Luxembourg, quelques jours plus tard.
La grande question : Sera-t-il plus qu’un poil à gratter ?
C’est devenu sa marque de fabrique. Perdre quelques longueurs face à cinq, dix, voire quinze rivaux, se mettre ou rester à son rythme et les reprendre un à un. Souvent pour limiter la casse, parfois jusqu’à gagner, comme lors de la dernière étape du Tour de Burgos il y a deux semaines. Joao Almeida est celui qu’il ne faut jamais enterrer, dont il faut toujours se méfier. Peut-il devenir plus que ça, à savoir l’homme à déboulonner ? Dans son équipe, une autre interrogation fait saliver : quelle performance va réaliser la pépite di cyclisme espagnol, Juan Ayuso, pour son premier Grand Tour, à 19 ans ?
Pays : Espagne Equipe : Bahrain - Victorious Âge : 32 ans 6e participation Vuelta 2021 : Abandon
Comme deux amants faits l'un pour l'autre qui n'arrivent pas à se trouver. Sur le podium du Giro à deux reprises (3e en 2015 et 2022), deux fois 4e du Tour (2017 et 2020), Mikel Landa n'a jamais fait mieux que 25e sur son tour national. C'était en 2015, l'année de sa seule victoire d'étape, et il a fallu ensuite attendre 2021 pour revoir le "Landismo" sur la Vuelta.
Elle est bien sûr rehaussée par ce podium au Giro en mai dernier. Son autre fait d'armes est aussi une 3e place, sur Tirreno-Adriatico, ce qui confirme qu'il se régale en Italie. Pour le reste, rien de très fameux et surtout un Tour de Burgos très inquiétant, achevé à la 44e place du classement général début août.
Réputé poissard, Mikel Landa a pourtant terminé six des huit derniers grands tours disputés. Mieux, quand il voit la ligne d'arrivée, le leader de la Bahrain-Victorious ne se rate plus. La preuve, il a systématiquement achevé ces courses dans le Top 10. Voici le détail de ses places entre Giro et Tour de France depuis mi-2017 : 4-7-4-6-4-3.
La grande question : Landa peut-il faire un miracle ?
Nous n'avons pas choisi cette question par hasard puisqu'il a été question de miracle lors de la conférence de presse de Mikel Landa à la veille du départ de la Vuelta. " Le problème que j'ai eu avant Burgos m'a mis à l'arrêt pendant un mois. Je me suis bien entraîné depuis mais j'ai manqué de temps et les miracles n'arrivent pas ", a-t-il lâché. Pessimisme donc pour celui qui a souffert de problèmes musculaires. Bluff ou pas ? La route répondra mais voir le Basque remporter ce Tour d'Espagne serait une immense surprise au vu de ce qu'il dit.
Pays : Colombie Equipe : Astana Qazaqstan Âge : 28 ans 6e participation Vuelta 2021 : Abandon
Son coup de sang mémorable sur la 20e étape l'année dernière ne doit pas faire oublier qu'il était troisième du classement général à la veille de l'arrivée. La Vuelta correspond bien aux qualités de "Superman" qui y a décroché trois succès d'étape, en plus d'être monté sur le podium en 2018. Au meilleur de sa forme, "MAL" est l'un des meilleurs sur les forts pourcentages et le Tour d'Espagne en raffole.
Inquiétante jusqu'au Tour de Burgos. Si Le leader d'Astana avait bien remporté une étape du Tour des Alpes en avril dernier, il n'avait pu défendre ses chances sur le Giro, touché qu'il était à la hanche gauche. A Burgos, il a été battu par Pavel Sivakov mais à égalité avec Joao Almeida. La forme est là. Il a ensuite été suspendu par son équipe plusieurs jours après son arrestation, et son statut de témoin dans le cadre de l'affaire "Ilex". Suspension levée le 1er août dernier.
Miguel Angel Lopez se traîne une réputation d'homme instable. C'est le risque quand vous frappez un spectateur sur le Giro, que vous quittez la Vuelta à la veille de l'arrivée ou que vous attaquez sur le Tour de France à un moment où personne ne bouge pour finir... dans un panneau de signalisation. Ses quatre derniers grands tours, "Superman" ne les a pas achevés. Retrouvera-t-il ses pouvoirs sur la Vuelta ?
La grande question : Que doit viser Lopez ?
La victoire et rien d'autre. A son âge (28 ans), avec ses qualités et son histoire, c'est quasiment une anomalie que Miguel Angel Lopez n'ait pas encore remporté de grand tour. Le bonhomme a trop de qualités, notamment en montagne pour se contenter d'accessits ou pire de déceptions qui commencent à s'enchaîner. Forcément habité par un sentiment de revanche après ses déboires passés et son Giro frustrant, "Superman" va devoir rester concentrer et se mettre les sentiments qui l'habitent au service de ses muscles, et non l'inverse.
Pays : Espagne Equipe : Movistar Âge : 27 ans 5e participation Vuelta 2021 : 2e
Deux fois dauphin sur le Tour d'Espagne (2018 et 2021), Enric Mas n'a jamais été aussi fort sur un grand tour qu'à la Vuelta, au moins sur le strict plan comptable. Si sa deuxième place de 2018 avait été une surprise, autant qu'une promesse, celle de 2021 était une confirmation de son entrée dans la galaxie de ce style de coureurs.
Du Mas dans le texte avec des résultats solides (4e à Valence, 9e au Pays basque) mais ce qui ressort ce sont ces nombreux abandons. En voici la liste : Tirreno-Adriatico, Critérium du Dauphiné et Tour de France. L'Espagnol n'a d'ailleurs pas couru depuis sa contamination au Covid alors qu'il occupait une 11e place du classement général. Il arrive sur la Vuelta sous la pression d'un bon résultat.
Dire d'Enric Mas qu'il fait partie des outsiders de la Vuelta est une évidence. Son statut s'excellent coureur sur trois semaines va de pair avec ce constat. L'autre constat qui vient quand on regarde sa carrière, c'est le manque de victoires. L'Espagnol n'en compte que cinq, dont une sur la Vuelta 2018, celle de sa révélation. C'est peu et ça traduit un tempérament bien peu agressif en course. Pour tout gagner, Mas doit être prêt à tout perdre.
La grande question : Le Tour, simple accident de parcours ?
Au départ du Tour de France, nous avions évidemment inclus Enric Mas parmi notre tour d'horizon des favoris, mais sans trop savoir où le placer. Après tout, il restait sur une deuxième place au Tour d'Espagne mais des interrogations demeuraient autour de lui. Sa performance sur la Grande Boucle ne les a évidemment pas levées et on se demande désormais s'il sera capable de retrouver son niveau et sa confiance pour briller chez lui. Mas avoue avoir douté quant à sa participation à la Vuelta après sa contamination au Covid en juillet mais il dit être capable de redevenir le " Enric d'avant ", comprenez celui qui était le dauphin de Roglic en 2021.
Alejandro Valverde (Espagne, Movistar), Thibaut Pinot (France, Groupama-FDJ), Esteban Chaves (Colombie, EF Education-EasyPost), Louis Meintjes (Afrique du Sud, Intermarché - Wanty - Gobert Matériaux), Pavel Sivakov (France, INEOS Grenadiers), Tao Geoghegan Hart (Grande-Bretagne, INEOS Grenadiers), Ben O'Connor (Australie, AG2R-Citroën), Sergio Higuita (Colombie, Bora-Hansgrohe), David de la Cruz (Espagne, Astana Qazaqstan), Vincenzo Nibali (Italie, Astana Qazaqstan).
Autant le dire tout de suite, si l'un de ces coureurs venaient à remporter le Tour d'Espagne, ce serait a minima une grosse surprise pour les plus chanceux, une gigantesque pour les autres. Prenez un Pavel Sivakov par exemple qui vient de triompher du Tour de Burgos.
Le voir faire un bon classement général relève du possible, mais l'imaginer être le successeur de Laurent Jalabert, vainqueur en 1995, chez les Français (il a changé de nationalité cette année) paraît difficile. Même chose pour un Sergio Higuita ou un Ben O'Connor même s'ils sont de sérieux prétendants au Top 10.
Nous avons tenu à mettre ici Vincenzo Nibali, Alejandro Valverde et Thibaut Pinot eu égard à leurs qualités, même si l'un et l'autre évolueront plutôt en chasseurs d'étapes. Ce sera la dernière danse pour Alejandro Valverde à qui l'on souhaite de partir en beauté.
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"Si Evenepoel fait du Remco, il est le grand favori"
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"Si Evenepoel fait du Remco, il est le grand favori"
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