La seule thérapie familiale qui a fait ses preuves

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La seule thérapie familiale qui a fait ses preuves
Psychologue Clinicienne Psychothérapeute à Bois-Guillaume
Psychologue Clinicienne Psychothérapeute à Bois-Guillaume
Les points essentiels de l'approche structurale en thérapie familiale




Ma catégorie 1
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Ma catégorie 2
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La thérapie familiale est née de différents courants de pensée développés indépendamment les uns des autres.
Elle repose principalement sur les concepts systémiques s'articulant autour de la théorie générale des systèmes de Von Bertalanffy, l'épistémologie cybernétique et les théories de la communication.
On distingue différentes approches cliniques qui, se basant sur ces concepts et tout en les utilisant d'une manière qui leur est propre, ont pour dénominateur commun le soulagement de la famille en souffrance.
Parmi ces approches, l' approche structurale , telle qu'elle a été développée par S. Minuchin, présente des éléments essentiels . Quels sont-ils?
Chef de file de l'école structuraliste, Minuchin a exposé les premières thérapies structurales après qu'il se soit occupé d'adolescents délinquants et de jeunes des ghettos, rencontrés avec leur famille, et ait ainsi développé une vision empirique progressivement structurée.
Son approche est basée sur la réalité présente, immédiate , afin de résoudre les problèmes posés dans leur contexte, et prend en considération la structure de la famille. Cette théorie fait apparaître les trois éléments essentiels suivants:
1/ Les frontières entre les générations
2/ L'alignement (coalition, alliance, etc.)
3/ Le pouvoir (influence relative de chaque membre sur le reste du système)
La prise en compte de ces trois points cruciaux doit aider et permettre la restructuration de la famille.
Mais d'après Minuchin, la condition préalable à toute tentative de restructuration est le processus d'affiliation ou "joining", selon lequel le thérapeute doit, avant tout, entrer dans la culture familiale (par exemple en adoptant le même langage que celui des différents membres de la famille.)
Après avoir établi un contact chaleureux avec chacun des membres de la famille, le thérapeute doit sonder la structure familiale et identifier les zones d'adaptation et de changements potentiels. Ceci implique une zone dysfonctionnelle délimitée, un objectif thérapeutique et des mesures permettant d'atteindre ce but. 
Le thérapeute essaie également de créer une situation nouvelle dans le système familial; il peut ainsi induire une "crise", souvent vecteur de changement , comme le repas d'anorexiques par exemple.
En général, il ne se fixe qu'un seul but à la fois.
D'après Minuchin, il existerait au moins 7 catégories d'opération de restructuration .
C'est ce que nous verrons dans la Partie 2 de cet article... Je vous donne donc rendez-vous dans deux semaines!
En quoi consiste la restructuration cognitive en TTC? (Thérapies Cognitives et Comportementales)
Un exemple de thérapie familiale - Partie II
Sylvie Verdière a approfondi des approches théoriques et des méthodes qui ont fait leurs preuves durant 10 ans à Singapour : psychologie analytique (approche psychodynamique freudienne), renforcement ou développement de l'Estime de Soi (test Self Esteem Inventory) de Coopersmith, approche systémique/familiale et transgénérationnelle, thérapies expressives, relaxation et visualisation, approche cognitive et comportementale, communication non violente, gestion des émotions... Elle est maintenant à votre disposition dans son cabinet de Psychologue clinicienne à Bois-Guillaume .

Pôle de santé, 43 avenue Persée

76230
Bois-Guillaume





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Les situations de crise ou l’existence d’une tension entre certains membres d’une famille sont assez courantes. Ces dysfonctionnements créent un malaise et un mal-être profond chez un ou plusieurs membres du foyer. Comment la thérapie familiale résout-elle ces problèmes ?
Les symptômes du dysfonctionnement d’une famille se manifestent souvent chez un individu en particulier (très souvent un enfant). Ce dernier peut ne pas être le seul à en souffrir. Mais son mal-être est souvent plus évident que celui des autres membres de la famille . Malheureusement, c’est souvent lui qui est désigné à tort comme responsable de la crise.
Les problèmes familiaux peuvent avoir des causes insoupçonnables et lointaines . Il peut s’agir par exemple d’un évènement ponctuel comme une naissance, un décès, un changement…Ou d’un problème de communication, d’un lien intergénérationnel … Sans aucune aide, il est difficile de trouver l’origine de certaines situations de crise au sein d’une famille.
C’est là qu’intervient le thérapeute qui discute d’abord individuellement avec chaque membre. Les patients lui racontent leur relation avec les autres, ce qu’ils apprécient dans leur famille et ce qui marche moins bien selon eux. Cela lui permet de connaître le rôle et les attentes de chacun dans le système, de voir la situation sous plusieurs angles afin de prendre du recul pour statuer. Pour avoir plus d’informations, le thérapeute peut inviter une autre personne appartenant au cercle familial ou non. La résolution du problème devient alors plus aisée lorsque sa cause réelle est connue. De là née la thérapie familiale .
Pendant une thérapie familiale, chaque membre de la famille est appelé à s’exprimer ouvertement sur la situation et à libérer ses tensions de manière pacifique. C’est le moment de dévoiler les non-dits qui sont à l’origine de beaucoup de frustrations. Progressivement, chacun arrive à mieux comprendre la manière dont les autres vivaient la situation. Cela permet de développer de l’empathie entre les membres, ce qui les rapproche encore mieux.
Les blocages qui empêchaient une bonne communication dans la famille disparaissent ainsi et permettent d’avoir un groupe au sein duquel règne la cohésion . Chacun apprend à s’exprimer et se faire comprendre par les autres. Les membres développent aussi la capacité d’écoute qui leur permet de tenir compte désormais des besoins de tout un chacun.
En décelant l’origine des problèmes et en mettant en place une bonne base de communication, la thérapie familiale permet aux familles de retrouver leur autonomie. Elles seront désormais capables d’interagir sainement pour éviter ou juguler n’importe quelle situation de crise.
Si les dysfonctionnements sont imputés à certains comportements en particulier, les personnes en cause devront faire des efforts pour changer. Elles auront ainsi le soutien de tous les membres de la famille . Le groupe devient plus fort et capable d’affronter aisément les difficultés qu’il pourrait rencontrer à nouveau.
L’ ambiance dans le foyer devient plus favorable au bien-être de chacun, aux sentiments positifs et à la prospérité dans la famille. À ce stade, le ménage peut arrêter la thérapie familiale ou opter pour une visite par mois ou par trimestre pour faire le point.
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Ce texte est une pièce communiquée par le Dr. Neuberger [1] concernant son enseignement
 (MT 4 ES 16) : psychopathologie cognitive, psychopathologie systémique, psychopathologie institutionnelle.
Charles Melman, Entretiens avec J-L Cacciali.
Maison d'Edition Langage, Paris, 2021
         La demande d’un sujet est ce qui soutient de bout en bout une analyse. La psychanalyse travaille avec la demande, demande individuelle s’il en est. Peut-on utiliser ce concept en thérapie familiale à propos d’un groupe d’individus dont les intérêts ne coïncident que partiellement ?
         Et si l’on pense qu’il n’y a demande qu’individuelle, comment tenir compte du besoin de changement exprimé par un sujet qui se définit comme porte-parole (comme membre) d’un groupe, en l’occurrence familial ?
         La possibilité d’exprimer une demande par un sujet est bien la conséquence du travail d’individuation, soit spontanément réalisé dans le groupe familial, soit favorisé par une thérapie familiale.
         S’il y a spécificité de l’abord systémique, il m’a semblé que le terme de demande devait être revu dans ce contexte.
         La demande ne rend pas seulement compte du besoin qu’elle exprime, même à paraître comblée. Elle est également demande « pour demander », demande d’amour, demande intransitive.
         Et ce serait seulement dans cet écart entre demande et besoin que pourrait, dans certaines conditions, apparaître quelque chose du désir du sujet, comme primus movens , ne serait-ce qu’un désir insatisfait.
         Le désir est en quelque sorte lié à la possibilité d’émergence d’une demande intransitive, comme l’est une demande de changement, en tant qu’elle n’est pas demande de quelque chose.
         C’est pourquoi il nous semble que le travail psychiatrique, à quelque niveau que ce soit, n’est pas de combler des besoins, mais de susciter, autoriser, faciliter l’émergence d’une demande. C’est un travail de désaliénation, qu’il soit institutionnel, familial ou individuel.
LE BUT DE LA THERAPIE FAMILIALE EST AUSSI DE PERMETTRE L’EMERGENCE DE LA DEMANDE
          Freud, le premier, a dévoilé un des refuges de la demande dans le symptôme névrotique. L’analyste lui aussi doit pouvoir juger de l’importance de l’aliénation du symptôme au discours familial actuel. En effet, dans certains cas, la famille n’autorise pas l’expression d’une demande chez un quelconque de ses membres, quel que soit le symptôme ou sa gravité.
         Il nous semble que la place du thérapeute familial est, dans ce cas, de permettre par une désaliénation du groupe familial, l’expression d’une demande chez un quelconque de ses membres, et pas seulement chez celui qui au départ était porteur du symptôme. C’est ce qu’on appelle le travail d’individuation, en thérapie familiale. Là se termine peut-être sa tâche.
 L’UTILISATION DE LA NOTION DE DEMANDE NOUS PERMET DE DÉPASSER LE RECOURS HABITUEL AU SYMPTÔME POUR POSER L’INDICATION
         Alain, un grand adolescent de seize ans, depuis quelques mois abandonne progressivement ses activités : judo, piano, et ses résultats scolaires sont de plus en plus mauvais. Alain est un garçon intelligent qui jusque-là n’a eu aucune difficultés. On peut donc qualifier de symptôme ce qu’il présente.
         Lui-même ne fait que constater ses difficultés, n’en donne guère d’explication, sinon qu’il part en guerre contre ses parents qui voudraient tant qu’il réussisse. Il sont vieux jeu, ne comprenne pas qu’on puisse aimer ne rien faire. Ils sont rigides, ne sont d’accord ensemble que pour lui faire des reproches, etc.
         A la question que je lui pose de ce qu’il fait de son temps libéré (il ne va plus au judo ni au piano), j’apprends qu’il en profite pour rencontrer sa mère. Celle qu’il appelait jusque-là sa mère était en fait la deuxième femme de son père.
         Il m’oriente alors vers des problèmes familiaux complexes, mais où il semble tout a fait à l’aise : la deuxième femme de son père est également sa cousine. Néanmoins, il n’y a pas consanguinité, car c’est la fille conçue hors mariage de la femme du frère de son père…
         Il lui semble que ses parents seraient mécontents d’apprendre qu’il voit sa mère. C’est pourquoi il le cache. Je m’étonne, et lui fais remarquer qu’il leur donne pourtant actuellement d’autres motifs de mécontentement.
         Il en vient alors à me parler de ses difficultés de contact avec les filles, des questions qu’il se pose sur sa sexualité, de son isolement, etc.
         J’ai choisi ce cas non pas pour son originalité, mais en tant qu’il me semble illustrer que le symptôme est là au carrefour de deux logiques :
-         l’une où il s’agit du « symptôme du malade »,
-         l’autre où il s’agit du « malade-symptôme ».
         L’une, logique symbolique, ternaire, oedipienne, du désir. L’autre logique de l’imaginaire, binaire, systémique, où le symptôme échappe au sujet et tombe dans l’appartenance au système familial.
         Les deux logiques nécessitent l’utilisation de concepts différents, impliquent des modes d’approche différents. La question peut alors être posée du choix ou des indications respectives de la psychanalyse et de la thérapie familiale. Il me semble que ces deux logiques sont toujours en cause dès qu’il y a symptôme. Ce qui reste à saisir est la ligne de partage, en sachant que le même thérapeute ne saurait jouer en même temps sur les deux tableaux. Il doit donc repérer ce qui domine de l’aliénation au discours familial ou de l’aliénation du sujet de l’inconscient, c'est-à-dire si le contexte familial autorise une demande ou pas.
         Cette façon de poser le problème de l’indication ma paraît permettre de dépasser le recours habituel à des critères nosologiques.
LE SUJET NE PEUT FORMULER UNE DEMANDE : LES ÉLÉMENTS DE LA DEMANDE SONT ALORS DISPERSÉS DANS LE GROUPE FAMILIAL
         Il est évident que nous ne sommes pas toujours dans les conditions de définir un contrat analytique telles que les a décrites Freud.
                  « Quelqu’un, par ailleurs maître de soi, souffre d’un conflit interne
                        auquel il ne peut mettre fin tout seul, si bien qu’il finit par venir
                        chez le psychanalyste à qui il se plaint et demande de l’aide. »
         Freud décrit ici les conditions qui constituent la demande au sens analytique. Ces éléments, il m’a semblé pouvoir les décomposer ainsi :  
-         Premier temps : le symptôme, témoin de conflit
-         Deuxième temps : la souffrance qui en découle
-         Troisième temps : ce que j’ai nommé l’allégation (terme qui signifie mettre en avant, se prévaloir, s’appuyer sur, invoquer).
         L’allégation peut être demande d’aide, mais isolée, elle n’est jamais la demande de changement qu’elle peut paraître signifier. Pour qu’il y ait demande, il faut et il suffit qu’un sujet soit porteur d’un symptôme dont il souffre et qu’il allègue pour demander de l’aide à un praticien.
         Dans d’autres cas, nombreux, qui ne constituent pas des indications d’analyse, il n’y a pas de demande à proprement parler. Et pourtant, les éléments constitutifs de la demande sont présents, mais ils ne sont pas présentés par le même sujet . Ils sont répartis dans une même famille , comme nous le verrons dans les cas suivants.
UN SUJET PRÉSENTE UN SYMPTÔME DONT IL SOUFFRE, MAIS QU’IL N’ALLÈGUE PAS POUR DEMANDER DE L’AIDE (clivage entre souffrance et allégation)
         Il s’agit d’une jeune fille de dix-huit ans, qui souffre de quintes de toux récidivantes, d’accès d’aphonie, d’étourdissements qui n’ont pas fait la preuve de leur organicité. Elle présente par ailleurs des tendances dépressives marquées depuis peu de temps. Ce sont celles-ci qui motivent la consultation, demandée par le père.
         La famille comprend, outre la fille :
-         le père, « homme intelligent, d’une grande autorité et d’un talent peu commun », mais de santé fragile en raison d’une tuberculose pulmonaire ;
-         la mère, qui semble être peu instruite, voire inintelligente ;
-         le frère, l’aîné d’un an et demi. Il évite les querelles familiales, nombreuses, mais s’il prend parti, il est toujours du côté de la mère.
         Quant à la malade, elle semble de tout temps avoir été attachée à son père et à sa famille paternelle, en particulier à une tante, femme malheureuse et névrosée qui lui aurait servi de modèle.
         Si nous reprenons les éléments de la demande, nous trouvons ici :
-         une jeune fille qui présente des symptômes,
-         une jeune fille qui en souffre,
-         une jeune fille qui ne s’en rapporte pas à une aide extérieure.
         Au contraire, « toute proposition d’aller consulter un médecin provoque sa résistance, et ce n’est que sur l’ordre formel de son père » qu’elle consulte.
         L’allégation vient ici du père, qui présente ainsi le problème : sa femme et lui sont liés d’amitié avec un autre couple, amitié assez intime car c’est la femme du couple qui l’a soigné avec dévouement alors qu’il était très mal et s’est par là acquis sa reconnaissance. Cette dame et son mari se sont toujours montrés très amicaux avec la malade, avec une réciprocité certaine
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