La secrétaire veut goûter la bite de son patron

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Accueil » Chez mon patron avec sa femme
Résumé : Invité par mon patron à un dîner chez lui, je ne pensais pas passer, grâce à sa femme, une soirée aussi chaude.
– François, vous n’avez pas oublié notre dîner, demain soir chez moi.
– Non, bien-sûr. Cependant, ma femme ne pourra être des nôtres. Un empêchement de dernière minute…
– C’est bien dommage. J’aurais tant aimer faire sa connaissance. Quoi qu’il en soit, demain, 20 heures !
Je me présentai au domicile de mon patron le lendemain, à l’heure prévue, un bouquet de fleurs et une bouteille de vin à la main. Sa femme m’ouvrit.
– Bonsoir ! Vous devez être François. Enchantée. Moi même, c’est Sonia.
– Enchanté.
– Entrez ! Alain n’est pas encore là, mais il est sur le chemin.
J’entrai. L’appartement était charmant, meublé avec goût.
Sonia m’entraîna au salon.
– Je vous propose un apéro en attendant. Un kir royal, cela vous convient ?
– Parfaitement, bien volontiers.
Après m’avoir servi, elle s’absenta un instant pour aller en cuisine. J’en profitai pour pour jeter un coup d’œil à leur bibliothèque, très bien fournie. Classiques, modernes, auteurs contemporains, livres d’art, je note même, dans les rayons du haut, une section de récits érotiques. Apollinaire, Sade, je devine même une bande dessinée coquine.
Sur la table basse où Sonia a posé la flûte de champagne et quelques apéritifs se trouvait un album photo. Je me mis à le feuilleter négligemment : Des photos du couple, essentiellement prises en vacances. Décidément cette femme a une plastique superbe, les photos en maillots de bain me dévoilent son corps aux courbes parfaites.
Je tournai les pages, et me sentis tout à coup gêné : La voilà seins nus, ils sont très beaux. Je ne pus m’empêcher de m’attarder dessus, jetant de temps à autre un regard vers la cuisine.
– Elle est belle, hein ?
C’est mon patron qui m’a surpris. J’en rougis, et refermai l’album.
– Je vous en prie, continuez, vous lui ferez plaisir.
– Chéri, tu es là ? La voix de Sonia se fit entendre de la cuisine.
– Oui ma puce.
– Tu t’occupes de notre invité ?
– Bien-sûr, mais il s’est occupé tout seul : Il regarde tes photos.
– Qu’il continue !
– François, vous n’avez plus le choix : Ceci ressemble fort à un ordre. Et si au bureau c’est moi le patron, ici c’est elle qui commande.
Il m’envoya une œillade.
– Allez-y, reprenez.
Timidement je rouvris l’album. Je retrouvai rapidement la page où elle est seins nus, tournai vite pour ne pas être gêné, mais les photos suivantes étaient du même tonneau. Les photos ont été prises au bord d’une piscine. Sur les photos, la femme de mon patron prend des poses lascives, se caressant les seins, pointant sa langue au travers de ses lèvres. Deux pages plus loin la voilà qui retire le bas, et la photo d’après, je pus admirer sa toison.
– C’est beau, n’est-ce pas ?
– O.. Oui…
Ja balbutiai.
– N’ayez pas honte, admirez !
C’est Sonia qui s’adressait à moi, de retour de la cuisine.
Je tournai encore les pages. Allongée sur un transat, les cuisses écartées, Sonia laisse admirer son sexe. Sur la photo suivante elle y a porté la main et manifestement se masturbe intensément.
– Mon dieu !
Je n’ai pu retenir ma surprise : Sur les pages suivantes, c’est Alain, mon patron, qui est allongé sur le transat. Une photo avec la verge au repos, sur l’autre il bande et se masturbe, le gland décalotté.
Tout ceci finit par m’exciter. Si peu de temps après notre partie carrée avec nos amis Agnès et Gilles (et la fin de soirée), me voilà une fois de plus avec des personnes un tantinet exhibitionnistes.
Les photos suivantes les réunissent. Une fellation, un cunnilingus, une pénétration en levrette.
Une dernière page de photos détaille la lente pénétration de la queue d’Alain dans l’anus de sa femme.
– Visiblement vous aimez vous exhiber. Vous seriez capable de la faire en direct, devant moi ?
Sans un mot, elle saisit le pantalon de son mari, fit glisser la braguette, passa sa main dans le slip pour en tirer une bite visiblement déjà bien vigoureuse. Elle la caressa. Très vite, ils se déshabillèrent l’un l’autre pour se retrouver nus devant moi. Elle écarta les jambes, fourra un doigt bien profond dans son vagin, le retira et vint l’essuyer sur ma main pour que je puisse constater à quel point elle mouillait. Puis ils reprirent devant moi les poses qu’ils avaient sur les photos : Elle le prit en bouche et le suça longuement, il l’allongea sur le dos et vint lui écarter les cuisses pour plonger le nez dans son vagin puis y placer sa langue. Quand elle eut joui une fois, elle lui ordonna de la pénétrer, ce qu’il fit, puis elle se retourna et il la prit en levrette. Elle se retrouva face à moi et me regarda.
– À poil.
La phrase a résonné comme un ordre, et mon patron eut à peine le temps de me rappeler qu’ici c’est elle la patronne : J’obéis.
– Masturbe-toi.
Je pris ma bite en main et actionnai mon dard déjà bien dur. Elle sembla jouir alors.
– Approche.
Je m’approchai. Elle prit ma bite, la mena à sa bouche et me suça avec empressement. Ce fut l’extase. Je sentais que la jouissance approchait, mais elle arrêta alors la succion, et me dit d’aller prendre la place de son mari. J’obéis, et l’instant d’après me voilà occupé à la limer avec délectation pendant qu’elle se gavait de la pine imposante de son mari.
À nouveau je sentis la jouissance approcher, mais elle interrompit le tout et nous proposa de passer à table.
Je me sentis frustré, mais comme nous allions souper dans le plus simple appareil, je me dis que la fête n’était pas finie.
Effectivement vers la fin du repas, Sonia disparut sous la table et bientôt je sentis une main redonner de la vigueur à mon membre, puis une bouche.
– Alors François, me lança Alain, satisfait de votre soirée ?
– Je mentirai à dire le contraire.
– Et le meilleur est encore à venir, vous pouvez m’en croire.
Les caresses manuelles et buccales se sont tues. Sonia ressortit de sous la table, à l’opposé d’où elle était entrée. Elle marcha à quatre pattes jusqu’au fauteuil, s’y cala, les reins cambrés et le cul en l’air, et oscilla du derrière.
– C’est une invitation, me dit Alain. Allons l’honorer.
Il se leva, vint se placer derrière elle, la pénétra et la lima. Il m’expliqua la règle du jeu :
– Quand on sent que l’on risque de jouir, on se retire, et on laisse la place à l’autre.
Et nous voilà l’un après l’autre à la pénétrer, la limer, jusqu’à la limite de l’éjaculation, et à laisser la place à l’autre. Je me délectais du spectacle de la bite d’Alain s’enfonçant dans le con de Sonia, j’admirai les va-et-vient qui m’excitaient, et quand Alain sentit la limite atteinte, il se retira sagement pour me laisser disposer à nouveau du fourreau. Il vint alors caresser les seins de son épouse pendant que je la pénètre, et m’invite à en faire autant quand c’est à son tour de limer.
Je ne saurais dire combien de temps ce manège a duré, ni combien de permutations Alain et moi avons effectuées. Sonia passait d’orgasme en orgasme, visiblement jamais rassasiée.
– Sodomise-moi. Dit-elle à Alain.
Il se plaça pour obéir à l’ordre. Comme sur les photos, je vis le gland se poser sur la rondelle, et sous le coup de pression d’Alain, la rosette se dilata pour laisser entrer la bite, qu’Alain enfonça jusqu’aux couilles, le tout avec beaucoup de précaution. Il fit quelques mouvements de va-et-vient durant lesquels je pus voir la hampe glisser dans l’anus. Je me mis à me masturber, mais Sonia m’en dissuada d’une tape sur la main. Je crus qu’Alain allait jouir, mais il se retira et m’invita d’un geste à prendre sa place.
– Allez, à votre tour !
Le ton était impérieux, ce qui ne fit que rajouter à mon excitation. J’opérai comme Alain, plaquant mon gland sur l’anus et le faisant pénétrer doucement, ce qui se fit sans difficulté. Je notais que mon patron ne perdais pas une miette de cette séance de sodomie, lui aussi se mit à se masturber, mais Sonia le laissa faire, probablement trop prise par l’excitation pour prendre conscience de la branlette de son mari. Il me sembla qu’elle jouit à nouveau. J’avais une très forte envie de jouir, mais me retins : Je sentais que le moment n’était pas encore venu.
Sonia se dégagea et se retourna vers nous, toujours à genoux. Elle prit une bite dans chaque main et nous caressa. Son doigt passait sur le gland puis allait aux testicules. Puis elle délaissa nos bites et se mit à se caresser les seins et à se mettre un doigt sur le clitoris et dans le vagin.
– Maintenant.
C’est une invitation que manifestement Alain comprenait. Il se mit à se masturber frénétiquement et je ne tardai pas à l’imiter, devinant l’issue que nous réclamait Sonia. Sa caresse à elle sur son sexe se fit aussi plus pressante et rapide. Moi, une main sur la bite, l’autre sur mes couilles, je regardai Alain se masturber, nos deux pinnes dirigées vers le visage de Sonia. Trop excité pour me retenir encore, j’éjaculai sur le visage de Sonia, et l’instant d’après je vis le sperme d’Alain jaillir du bout de son gland, La bouche entrouverte de Sonia avait recueilli un jet particulièrement vigoureux d’Alain, le reste du sperme atterrissant sur les joues et les lèvres. Puis elle vint nous sucer alternativement jusqu’à ce que nos membres fléchissent. Elle s’essuya le visage de ses doigts et se les lécha.
– Ça m’a beaucoup plu, annonça Sonia. Vous êtes élu.
Ils m’invitèrent pour un week-end prolongé dans leur maison de campagne, le mois suivant.
– Vous seul. Votre femme ne doit pas venir. C’est un séminaire d’un genre particulier.
Sonia s’absenta un instant. Quand elle revint, elle tenait des vêtement en main : Une chemise blanche, un pantalon de toile légère, des chaussures bateau.
– Voici votre trousseau. Vous viendrez vêtu de ceci, strictement rien d’autre : Pas de caleçon, de chaussettes ou je ne sais quoi d’autre. Ceci, et strictement ceci. Abstinence absolue pendant quinze jours avant le séminaire. Je veux dire : Vous pouvez faire l’amour et donner du plaisir à votre épouse ou toute autre personne. Mais pas d’éjaculation. Gardez votre sperme, vous aurez besoin de réserves.
Quand je repartis, je me demandai comment j’allais faire pour venir sans Juliette et sans qu’elle le sache. Puis je pris le parti de tout lui raconter dans les moindres détails, la séance d’aujourd’hui comme le « séminaire » à venir.
La nuit d’après, je ne regrettai en rien cet aveu, car j’éjaculai dans l’anus de Juliette tandis qu’elle lisait à voix haute, le timbre altéré par l’excitation, le récit de cette soirée chez mon patron, tel que vous pouvez le lire maintenant.
Les jours suivants, elle m’aida à honorer mon vœu d’abstinence jusqu’au séminaire.
On nous a promis un séminaire. Quand arrive-t-il ? je sens le gang-bang à gogo.
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Archivé de: Gay Relations – Numéro 9
Date de parution originale: inconnue

Date de publication/archivage: 2014-07-01

Auteur: Louis
Titre: Mon patron me fait chanter
Rubrique:
Note: Le magazine Gay Relations ayant disparu, nous vous présentons alors sur l'archive des textes y ayant paru au fil des ans, à titre d'archive, le but premier de l'archive étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte, ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 7966 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Je suis homo et je ne m’en cache pas trop. Enfin il y a des rumeurs, des bruits qui courent. Dans la boîte où je travaille on s’en doute aussi, pourtant personne ne pourrait l’affirmer avec certitude... sauf mon patron.

Il y a quelques temps, je sortais d’un bar avec un petit copain que je venais de draguer. J’étais déjà très amoureux, enfin très excité surtout. J’avais très envie de goûter cette nouvelle queue qu’un tripotage indiscret me laissait deviner particulièrement consistante. Mon copain aussi était très chaud et nous nous tenions par la taille dans la rue, en nous roulant une pelle tous les cinq mètres. Pour un peu, nous aurions baisé sur la carrosserie de la première voiture venue. Nous allions juste monter dans la mienne lorsque je suis tombé sur mon patron. Vraiment la grosse tuile ! Il était avec un groupe d’amis et, excepté un regard appuyé, il n’a rien dit, faisant mine de ne pas me reconnaître. Troublé par cette rencontre inattendue, je me suis vite enfermé chez moi avec
mon petit ami pour faire l’amour. J’avoue que tout en suçant mon copain, c’est à mon patron que je pensais. Je me suis même surpris à imaginer sa queue. Je la supposais rude et puissante, une bite de patron quoi ! Et puis j’ai oublié mon boss pour me concentrer sur ce beau mec que je venais de lever et qui m’a si bien fait l’amour.

Le lendemain, en retournant au travail, j’ai repensé à la scène de la veille, et je me suis dit que cela risquait de m’attirer des ennuis. Effectivement, les choses ont commencé à mal tourner. J’ai été convoqué dans le bureau du patron. Sa secrétaire était présente, minaudant et tortillant du cul, c’était pas nouveau, elle le fait toujours cette petite connase. Elle est enfin sortie, nous laissant seuls. Très vite mon patron m'a fait comprendre qu'il m'avait convoqué à cause de ce qu'il avait découvert sur ma vie privée. Il m’a dit qu’il avait les idées larges, et qu’il comprenait certaines mœurs, les miennes en l’occurrence. Sans transition, il se mit à me parler de sa femme. Il m’avoua qu’elle le comblait sexuellement sauf sur un point : elle refusait catégoriquement la sodomie. Elle avait peur d’avoir mal et trouvait cela immoral. Ce refus le frustrait terriblement, et il était prêt à tout pour connaître cette expérience, éventuellement avec un homo, puisque leur réputation d’amoureux anal n’était plus à faire. Je me suis dit que, pour qu’il en arrive à me faire de telles confidences, il devait avoir une envie très pressante. J’avais déjà compris qu’il me proposait un deal : mon cul contre son silence.

Mon intuition s’est révélée exacte, et quelques minutes plus tard, mon patron m’a prié de m’allonger sur son bureau pour qu’il puisse me prendre par derrière. C’était du pur chantage et j’aurais pu l’envoyer chier. D’un autre côté, il y avait un petit côté pervers qui me plaisait beaucoup dans sa proposition. J’ai toujours aimé faire l’amour avec les hétéros qui bien souvent sont des bi qui s’ignorent. Bref, j’ai tiré sur la boucle de ma ceinture avant de baisser mon pantalon. Il régnait un silence de plomb dans le bureau. J'ai pensé à cette petite conasse de secrétaire qui travaillait dans le bureau d'à côté. Se faisait-elle sauter elle aussi ? Non sans doute, sinon mon boss n’aurait pas eu besoin de mon cul, il aurait enfilé le sien. Ou alors elle ne voulait pas, elle non plus ? Peu importe après tout, puisque ce chibre là, c'est moi qui me le suis coltiné.

Cela s’est passé assez vite. Mon patron avait ouvert sa braguette pour en laisser dépasser son membre. Je l’ai branlé un peu, histoire de finir de le raidir, ce qui n’était pas vraiment nécessaire. Il m’a demandé : «Tu es prêt ?» D’habitude j’aime les longs préliminaires, apparemment ils n’étaient pas au programme. Mon patron avait envie de me faire le cul, un point c’est tout. En fait il avait envie de se faire UN cul, et c’était tombé sur le mien. Il est entré en moi en tenant son sexe à la main. Plus il avançait en moi, et plus il respirait fort. J’ai l’habitude d’avoir des hommes dans mes reins, et je sais deviner à quel point ils sont émus. Lui, pas de doute, il était tellement fébrile que je pouvais affirmer sans crainte de me tromper que son éjaculation était déjà proche. En effet, après m’avoir donné quelques coups de reins furieux, il est parti en gémissant et en grognant : «Ho putain que c’est bon !»

Cette baise n’avait durée que quelques secondes, cela avait suffi à donner à mon patron la passion de la sodomie. Déjà il ne pouvait plus s’en passer. C’était devenu son obsession, sa passion. Il faut qu’il me possède au moins une fois dans la journée sinon il se sent frustré. La scène que je viens de vous conter s’est reproduite dès le lendemain. À quelques différences près. Cette fois mon patron m’a pénétré plus lentement, en prenant son temps. Une fois en moi, il a grogné: «Bouge pas, serre pas, je veux durer.» Je suis resté immobile et passif. Tant qu’à me faire baiser, j’aime autant que ce soit bien fait, et le coup que nous avions tiré la veille avait été bien trop bref pour m’apporter la moindre satisfaction.

Ce jour là ce fut à peine mieux. Décidément mes petites fesses lui procuraient des sensations trop fortes pour qu’il maîtrise ses émotions. Comme la veille, sa giclée est venue vite. C’était plus fort que lui. À peine en moi, il avait besoin de limer fort, de me fouiller à fond. Il ne savait pas savourer encore, il a appris. Après plusieurs jours de répétition, mon patron a pu me fournir des baises dignes de ce nom. Visiblement, il s’en foutait complètement de mon plaisir. Il m’a même engueulé plusieurs fois parce que je gémissais trop fort. Il ne s’écoutait pas lui !Enfin bon, j’en avais fait un amant acceptable, et je ne désespère pas de le convertir complètement.

Maintenant il me demande des pipes en plus du reste. Souvent il me pose des questions sur les PD, pour en savoir plus sur la manière dont nous draguons. L’autre jour, il m’a même demandé de l’emmener dans un bar gay et de lui présenter d’autres garçons. J’en ai ressenti deux impressions contradictoires : d’un côté je me suis dit que s’il allait tirer ailleurs, il cesserait de me faire
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