La sœur assure que ce sera un secret

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Olivier Duhamel accusé d'inceste: "C'est horrible cet entre-soi, tout le monde savait au sein de la gauche caviar parisienne", accuse Isabelle Saporta
Le politologue Olivier Duhamel est accusé par son ancienne belle-fille Isabelle Kouchner, d'avoir abusé de son frère jumeau pendant plusieurs années. Des faits qui auraient été connus de plusieurs personnalités intellectuelles de gauche.
Olivier Duhamel accusé d'inceste: "C'est horrible cet entre-soi, tout le monde savait au sein de la gauche caviar parisienne", accuse Isabelle Saporta
Dans son livre " La familia grande ", qui doit paraitre jeudi prochain aux éditions du Seuil, Camille Kouchner révèle que son beau-père Olivier Duhamel, ancien député européen, politologue, président de la Fondation nationale des sciences politiques et chroniqueur pour plusieurs médias, a agressé sexuellement pendant 2 ans au moins son frère jumeau âgé à l'époque de 13 ans.
Selon son témoignage, son frère jumeau aurait vu son beau-père, s’inviter régulièrement le soir dans sa chambre pour des actes sexuels . À l'époque, il se confie à sa sœur Camille mais lui demande de se taire. Vingt ans plus tard, alors qu’ils ont chacun atteint la trentaine, ils finissent par en parler à leur mère qui protège alors son mari Alain Duhamel.
"Il regrette", "Ton frère n’a jamais été forcé", aurait-elle répondu. Pire encore, les amis du couple, figures de la bourgeoisie intellectuelle parisienne de gauche, auraient eux aussi été au courant à ce moment-là, décidant pourtant de se taire. "Un lourd secret qui pesait sur nous depuis longtemps a été heureusement levé. J'admire le courage de ma fille", a même réagi Bernard Kouchner, prévenu beaucoup plus tard qui assure ne pas avoir été porter plainte à la demande de ses deux enfants.
Des absences de réaction qui ont provoqué la colère d'Isabelle Saporta. "Cette affaire est horrible et abject. Ce qui est horrible aussi, c'est l'entre-soi atroce et l'omerta qu'il y a eu autour de cette affaire, dans un petit milieu de la gauche caviar parisienne", a-t-elle déploré ce mardi sur RMC. "On se rend compte que tout le monde savait, que tout le monde était au courant", a-t-elle ajouté.
"Comment cet entre-soi parisianiste épouvantable a pu conserver ce secret des années durant? Tout Paris était sûrement au courant!", accuse Isabelle Saporta "Si tout est vrai, si cela pouvait nous débarrasser de toute cette gauche caviar qui passe son temps à donner des leçons en se comportant de la manière la plus sordide, ça sera un dommage collatéral pas si mauvais", conclu-t-elle très énervée.
LCI la chaîne qui employait Olivier Duhamel a annoncé qu'il ne serait plus sur l'antenne. Olivier Duhamel lui, n'a pas souhaité réagir à ces accusations. Il a juste indiqué qu'il mettait fin à ses fonctions de président de la Fondation nationale des sciences politiques pour préserver l'institution.
Mardi, le parquet de Paris a ouvert mardi une enquête pour "viols et agressions sexuelles" après la publication des extraits du livre de Camille Kouchner. "À la suite de la publication des différents articles de presse le 4 janvier mettant en cause Olivier Duhamel, le parquet de Paris a ouvert ce jour une enquête des chefs de viols et agressions sexuelles par personne ayant autorité sur mineur de 15 ans", a précisé dans un communiqué le procureur de Paris Rémy Heitz.
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Lc 2, 21-39 – 21 Les huit jours étant accomplis pour sa circoncision, il fut appelé du nom de Jésus, nom que l’ange avait donné avant qu’il eût été conçu dans le sein maternel. 
22 Puis, lorsque les jours de leur purification furent accomplis, selon la loi de Moïse, ils le menèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, 23 selon qu’il est écrit dans la loi du Seigneur : Tout mâle premier-né sera regardé comme consacré au Seigneur, 24 et pour offrir en sacrifice, ainsi qu’il est dit dans la loi du Seigneur, une paire de tourterelles ou deux petites colombes. 
25 Or, il y avait à Jérusalem un homme nommé Siméon ; c’était un homme juste et pieux, qui attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit-Saint était sur lui. 26 L’Esprit-Saint lui avait révélé qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. 
27 Il vint donc dans le temple, poussé par l’Esprit. Et comme ses parents amenaient l’enfant Jésus pour observer les coutumes légales à son égard, 28 lui-même le reçut en ses bras, et il bénit Dieu en disant : 29 « Maintenant, ô Maître, vous congédiez votre serviteur en paix, selon votre parole ; 30 car mes yeux ont vu le salut, 31 que vous avez préparé à la face de tous les peuples, 32 lumière qui doit éclairer les nations et gloire d’Israël, votre peuple. » 
33 Et son père et sa mère étaient dans l’étonnement pour les choses que l’on disait de lui. 34 Et Siméon les bénit, et il dit à Marie, sa mère : « Voici qu’il est placé pour la chute et le relèvement d’un grand nombre en Israël, et pour être un signe en butte à la contradiction, – 35 vous-même, un glaive transpercera votre âme, – afin que soient révélées les pensées d’un grand nombre de cœurs. »
36 Il y avait aussi une prophétesse, Anne, fille de Phanouel, de la tribu d’Aser ; elle était fort avancée en âge, ayant vécu, depuis sa virginité, sept ans avec son mari, 37 et veuve jusqu’à quatre-vingt-quatre ans. Elle ne quittait point le temple, servant Dieu nuit et jour par des jeûnes et des prières. 38 Survenant à cette heure, elle se mit à louer Dieu et à parler de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
39 Lorsqu’ils eurent accompli tout ce qui était selon la loi du Seigneur, ils retournèrent en Galilée, à Nazareth, leur ville.
Lorsque vint le huitième jour, auquel l’Enfant devait être circoncis, on lui donna le nom de Jésus, celui-là même qui lui avait été donné par l’ange, avant sa conception dans le sein de sa Mère. » Le sang rédempteur coule pour la première fois. Annonciation, Visitation, Nativité, Circoncision, Purification, Présentation : c’est toujours, chez le Seigneur et les siens, la même disposition tranquille d’humilité et d’obéissance. On obéit aux vouloirs de Dieu, on obéit à sa Loi. Et Celle dont nous tenons tous ces détails nous les livre avec sa candeur accoutumée et comme chose toute naturelle. Le Seigneur et sa Mère se soumettent à des rites et à des purifications qui n’étaient ni pour l’un ni pour l’autre. Mais ils ont voulu l’effacement de toute singularité. Aussi bien, il leur eut été difficile de se soustraire aux pratiques communes sans provoquer l’étonnement ; le secret de la naissance virginale devait être gardé dans le cercle restreint de la Sainte Famille et de quelques âmes privilégiées. La circoncision devenait, pour le Seigneur, la marque sensible de son appartenance à la famille d’Abraham et au peuple d’Israël.
Quarante jours après la Nativité, Joseph et Marie montèrent à Jérusalem, avec le petit Enfant. Ils accomplissaient ainsi une double loi mosaïque. Le Lévitique (12) prescrivait aux femmes qui avaient donné le jour à un enfant mâle de venir au sanctuaire, quarante jours après, pour une cérémonie de purification. Elles offraient, par les mains du prêtre, un agneau d’un an en holocauste, une colombe ou une tourterelle comme sacrifice pro peccato . Les pauvres pouvaient se contenter d’offrir deux colombes ou deux tourterelles ; et saint Luc note que les parents du Seigneur profitèrent de cette atténuation indulgente : ils étaient donc peu fortunés.
L’agneau, pourtant, ne manquait pas : cette fois, c’était le véritable Agneau que sa Mère présentait au temple du Seigneur. Jésus était un premier-né. Or, selon la Loi, — et en souvenir de la nuit où l’ange exterminateur avait frappé tous les premiers-nés de l’Égypte et épargné, grâce à la croix de sang tracée sur leurs portes, les premiers-nés des Hébreux, — tout premier né mâle appartenait à Dieu : il devait lui être offert ou racheté (Ex 13, 11-16). Un peu plus tard, la tribu de Lévi fut prise par le Seigneur en échange de tous les premiers-nés : c’était seulement l’excédent du nombre des premiers-nés sur celui des lévites qui devait être racheté (Nb 3, 11-13, 40-51). Dans la suite, d’autres dispositions législatives pourvurent au rachat de tout premier-né n’appartenant point à la tribu de Lévi et exempt des infirmités qui rendaient inapte au service divin. L’enfant était d’abord offert à Dieu, puis racheté aussitôt, moyennant le versement de cinq sicles au trésor des lévites. Saint Luc n’a point mentionné ce dernier détail. Il distingue néanmoins les deux observances légales, la purification de la mère, et la présentation de l’enfant : ut sisterent eum Domino,… et ut darent hostiam . Au verset 22, le texte grec le plus autorisé parle du jour de « leur purification ». Pourquoi ce pluriel ? Désigne-t-il la coutume des Juifs, ou bien l’enfant avec la mère ? Plutôt, peut-être, à cause de la structure de la phrase, les parents du Seigneur, saint Joseph et la Sainte Vierge, traités comme une seule personne morale, l’un venant offrir le premier-né, l’autre se faire purifier.
« Et il y avait à Jérusalem un homme nommé Siméon… » L’évangile nous montrera successivement le personnage (25-26), ce qu’il fait (27-28), ce qu’il dit à Dieu (29-32), ce qu’il dit à Notre-Dame (33-35). C’était un homme juste, comme saint Joseph ; et craignant Dieu, avec une nuance un peu timorée et circonspecte, assez familière aux vieillards d’une grande piété. L’âge, le tempérament, la grâce s’unissent en eux pour leur inspirer une réserve extrême et une sorte de gracieuse timidité. Il attendait « la consolation d’Israël » ; expression bien juive, équivalente à celle que nous trouverons un peu plus loin : « la rédemption d’Israël » ; c’est le salut messianique. Isaïe avait décrit le Messie comme le consolateur de son peuple (40, 1 ; 61, 1-3). — Et l’Esprit-Saint reposait sur Siméon. Il y avait effacement du moi, plénitude d’appartenance à Dieu. Le texte sacré va insister sur ce fait. La sainteté du vieillard méritait une récompense : il avait été divinement averti, il avait reçu de l’Esprit qui habitait en lui l’assurance qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir contemplé de ses yeux le Christ du Seigneur. Il vint au temple, sous la douce impulsion de l’Esprit de Dieu. Notons la souplesse habituelle aux inspirations divines. Sans doute, rien n’obligeait Siméon à venir au temple : on ne dit pas qu’il fût prêtre ; et puis, il était vieux, fatigué par l’âge : peut-être avait-il de bonnes raisons pour demeurer chez lui. S’il l’eut fait, il aurait passé à côté de la sainteté et du bonheur ; il eut manqué sa vocation.
Il vint, non pas dans le Saint, ni même dans le parvis des prêtres ou dans celui d’Israël, mais probablement dans la vaste cour qui précédait ce dernier et qu’on appelait le parvis des femmes, parce que les femmes ne pouvaient s’avancer plus avant ; il communiquait avec le parvis d’Israël par la porte Nicanor. C’est devant cette porte qu’un prêtre présidait aux rites de la purification des mères. À l’heure même, dit simplement l’évangile, où les parents de Jésus apportaient l’Enfant, pour accomplir à son sujet ce qui était la coutume et la loi, Siméon les rencontra. L’Esprit de Dieu lui dit : C’est le Messie. D’un coup d’œil, il reconnut la pureté de Notre-Dame, la justice, l’humilité, la gravité de saint Joseph : il comprit tout. Il demanda au Seigneur d’être défendu contre son bonheur et d’avoir quelques instants de vie encore ; il eut peur de voir son cœur se briser trop tôt. Dieu, qui dépasse toujours nos rêves, se plaît parfois à dépasser ses promesses elles-mêmes. Siméon avait reçu l’assurance qu’il verrait le Christ : le petit Enfant fit mieux. Il gouvernait toute la scène, toutes les âmes étaient à lui. Il inspira à sa Mère de se dessaisir un instant de lui. Des mains de Notre-Dame, la petite fleur de beauté divine passa aux mains du saint vieillard, qui put la contempler à loisir. Peut-être, dans un mouvement de tendresse et d’adoration infinies, ses lèvres touchèrent-elles les lèvres de l’Enfant ; et c’est avec une âme toute renouvelée par ce baiser qu’il bénit Dieu et chanta comme les prophètes n’avaient jamais chanté.
« C’eut été trop tôt tout à l’heure, mon Maître, de me relever de ma longue veille. Maintenant, c’est l’heure. Donnez à votre serviteur congé de la vie et le laissez partir dans la paix ; la promesse du Saint-Esprit était vraie. Mes yeux n’ont plus rien à voir maintenant, puisqu’ils ont vu votre salut, ce salut que vous avez préparé à la face de tous les peuples : lumière qui fera sortir les nations de leurs ténèbres, et gloire de votre peuple Israël. » — Le cantique du saint vieillard est catholique, universel, élevé au-dessus des conceptions juives ordinaires. Il rappelle maint passage du prophète Isaïe, et prépare à la doctrine de saint Paul. Tel qu’un serviteur épiant la venue de son maître et l’ayant aperçu enfin, tel qu’un veilleur de nuit attendant la lumière et saluant enfin l’aurore, Siméon, qui représente ici l’Ancien Testament, consent joyeusement à mourir… Il proclame que cet Enfant est le Sauveur de tous, Juifs et gentils ; que Dieu l’a préparé, disposé, divinement élevé en face du genre humain tout entier : « Car tous ont péché et ont besoin de la gloire de Dieu » (Rm 3, 23). Lumière de la gentilité, il sera l’honneur de son peuple. C’est à Israël, en effet, que la promesse avait été confiée, le Messie sortait de lui ; il devait le premier bénéficier du salut ; Dieu se montrait fidèle envers Israël, alors qu’il était miséricordieux pour la gentilité. Mais l’idée d’universalité prédomine.
Et le père et la mère de Jésus étaient dans l’admiration des choses qu’on venait de dire de lui. L’étonnement de Joseph et de Marie n’est pas une surprise causée par l’annonce de ce que sera le Messie ; mais ils admirent de voir ce programme connu, et si exactement, par d’autres que par eux-mêmes. Peut-être aussi l’évangéliste veut-il marquer la sainte complaisance des deux époux à contempler toutes ces merveilles, présentes et futures ; de même qu’il a dit plus haut, et répétera encore : « Marie conservait le souvenir de toutes ces choses et les repassait dans son cœur. »
Et Siméon les bénit. Il ne s’agit pas d’mie bénédiction liturgique ou impliquant supériorité, mais de quelques paroles de félicitation et d’éloge, qu’il leur adresse après avoir loué et béni son Dieu. Puis il développe et complète la prédiction sur laquelle s’achevait son cantique. Le ton devient plus grave ; ce n’est plus la joie sans mélange des premiers cantiques de saint Luc. Siméon s’adresse à Marie, la Mère de Jésus, et non à Joseph. Elle devait être au Calvaire ; et, encore qu’elle fût avertie auparavant, il convenait que la prophétie lui parlât de leur rôle à tous deux. Voyez, dit Siméon, ce petit Enfant, il est marqué et prédestiné pour la chute et pour le relèvement de beaucoup en Israël, C’est une allusion évidente à la prédiction d’Isaïe : « Et il sera pour vous le salut ; mais il sera aussi une pierre d’achoppement, un rocher de scandale pour les deux maisons d’Israël, un filet et un piège pour les habitants de Jérusalem… » (8, 14-15). L’humanité se partagera en deux peuples : ceux qui reçoivent la lumière, ceux qui la refusent et préfèrent les ténèbres ; tandis que les gentils viendront à la foi, les Juifs se briseront à la pierre qu’est le Christ : pierre de scandale ou pierre d’angle (1 P 2, 4-10 ; Rm 9, 32-33) ; occasion de mort ou source de vie (2 Co 2, 15-16). La suite de l’évangile et l’histoire nous montreront l’application de ce redoutable dilemme.
Siméon poursuit : Et in signum cui contradicetur … Cet Enfant sera un signe auquel on contredira, un indicateur de salut que l’on démentira, les uns prenant parti pour, les autres contre. Autour de ce signe, élevé très haut, au regard de tous, se rallieront ceux qui auront foi et se grouperont les incrédules : « Tige de Jessé, dressée comme un étendard pour les peuples » (Is 11, 10). C’est déjà la vision du Seigneur crucifié : « Scandale pour les Juifs, folie pour les gentils ; mais pour les élus, Juifs et gentils, le Christ est la force et la sagesse de Dieu » (1 Co 1, 23-24). On a traduit parfois l’expression grecque σημείον άντιλεγόμενον : un modèle achevé, un idéal de contradiction. De même que la douleur entre, selon Isaïe (53), dans la définition du Christ ; de même, selon cette parole de Siméon, la contradiction y entrerait aussi ; et toutes les fois que l’on voudrait désigner un homme repoussé, abhorré, contredit, c’est vers le Christ que se porterait la pensée. L’idée est exacte ; pourtant, il vaut mieux nous tenir à la traduction ordinaire.
Ut revelentur ex multis cordibus cogitationes . La manifestation du Messie doit avoir, non comme intention de la part de Dieu, mais comme résultat historique, la révélation des pensées secrètes d’un grand nombre, le discernement de ceux qui accueillent et de ceux qui repoussent. Il y a, en effet, mille pensées et dispositions qui peuvent momentanément se dissimuler sous des apparences correctes, comme un précipité dans une eau tranquille. Les âmes sont orientées, mais par des affinités secrètes, par des consentements de détail, par d’obscures et pourtant volontaires tendances. Vienne une circonstance qui contrarie cette direction jusqu’alors ina
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