La répartition de la blonde

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La répartition de la blonde
Coprésidents du Mouvement Impact France
Ancien chef du département de médecine interne, hôpital Lariboisière (Paris), professeur émérite de thérapeutique, Université Paris Cité
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La proportion des cheveux clairs va mécaniquement s'amenuiser sur la planète. Les groupes cosmétiques se préparent à de nouveaux canons de beauté. le mythe va-t-il perdurer ?
Par Laure Belot et Véronique Lorelle
C'est peu après 2200, en Finlande, que naîtra la dernière blonde de la planète. Cette affirmation a été relayée par différents médias, du New York Times à la BBC. Depuis 2002 pourtant, l'Organisation mondiale de la santé - citée comme la source de cette étude annonçant "l'extinction du gène caractérisant les vrais blonds" - ne cesse de clamer qu'elle n'a "jamais conduit de recherches sur ce sujet" .
Pour autant, le canular n'est pas sans fondements. La planète compte 6,5 milliards d'individus, dont environ 1 milliard en Afrique et 4 milliards en Asie (de la Turquie au Japon), selon le Population Reference Bureau. En 2050, la population mondiale passera à 9 milliards d'âmes. Les 3 milliards de personnes supplémentaires seront principalement issues d'Afrique, d'Asie et d'Amérique du Sud.
Mécaniquement, la fréquence des blonds, rares en dehors des pays occidentaux - même si on en trouve de façon sporadique en Afrique du Nord et au Moyen Orient - va diminuer. Et cela d'autant plus que cette teinte de cheveux, comme les yeux bleus, est due à des gènes récessifs. "Pour être blond, il faut hériter de deux gènes commandant ce caractère, l'un venu du père, l'autre de la mère", rappelle le généticien Axel Kahn. "Si, dans le monde, le nombre de gènes blonds reste constant alors que celui de gènes bruns augmente, il y aura une probabilité décroissante que deux personnes héritent de deux gènes blonds, condition sine que non de sa blondeur." Selon M. Kahn, une hypothèse réaliste serait celle "d'une augmentation du brassage des populations, et l'émergence d'un profil d'humain métissé, type brésilien" .
L'Oréal, le numéro un mondial de la beauté, a déjà anticipé. Il construit à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) un centre mondial dédié à la recherche capillaire, où 600 chercheurs, à l'horizon 2010, travailleront sur "une nouvelle forme de beauté, le cheveu métissé", explique Patricia Pineau, directrice de la communication de la recherche. D'ores et déjà, selon une étude conduite sur des milliers de chevelures, qui sera publiée dans Human Biology à l'automne, L'Oréal a recensé huit différents types de cheveux au lieu de trois à l'échelon mondial. "Jusqu'ici, on distinguait le cheveu caucasien, africain et asiatique. Nous avons mis au point une classification plus respectueuse de la géographie humaine, et basée sur la forme et la frisure du cheveu : du très raide (Asie, Inde, Mexique...) au crépu intense (Ghana, Nordeste brésilien). De quoi s'adapter à la diversité des chevelures induite par le métissage des populations."
Paradoxe : dans les prochaines décennies, la proportion de blond naturel va aller en s'amenuisant, et, pourtant, le mythe pourrait bien grandir. Déjà, en Europe, une femme sur trois se teint les cheveux dans une nuance de blond, alors que, selon Joanna Pitman, auteur de l'ouvrage Les Blondes (Autrement, 2005), seul "un adulte sur vingt aux Etats-Unis et à peu près la même proportion en Europe" ont cette vraie couleur. A quoi tient cette fascination ? L'histoire remonte, d'après l'écrivain, à Vénus-Aphrodite, déesse de l'amour à la chevelure claire... "Chaque époque a ensuite conféré (à la blondeur) des valeurs qui reflétaient ses préoccupations. Elle devint un vice pendant les âges obscurs, une obsession à la Renaissance, une mystique dans l'Angleterre élisabéthaine (...), une idéologie dans les années 1930, un signal d'invite sexuelle dans les années 1950...", écrit Joanna Pitman. Et à notre époque ? Pour l'écrivain britannique Marina Warner, spécialiste des mythes, "être blond, c'est rappeler la couleur de l'enfance, entrer dans la quête de la jeunesse éternelle" .
Pour le psychanalyste Samuel Lepastier, le mythe de la blondeur est intimement lié à l'histoire européenne. Le continent, envahi par des peuples blonds - les Doriens, les Francs - a associé cette couleur au vainqueur : "C'est un mythe fondateur de l'inégalité des races humaines, dont la version la plus délirante a été le racisme hitlérien", souligne-t-il.
Mais l'attirance pour le blond s'expliquerait au-delà même du phénomène sociologique ou culturel, selon l'anthropologue canadien Peter Frost. Pour le chercheur, qui a étudié comment le gène a perduré à certains endroits de la planète, cela serait lié à la "sélection sexuelle qui privilégie les teintes vives mais aussi les couleurs rares. L'attirance sexuelle s'oriente vers les variantes moins fréquentes et plus accrocheuses. Ainsi s'installe un équilibre dynamique qui mène à une diversité de plus en plus grande de l'espèce."
Contrairement à des idées reçues, ce serait donc moins la couleur des blés qui séduit que sa rareté dans un groupe de population donnée. Et le chercheur canadien de citer les travaux du biologiste américain Thomas Thelen. "Ce dernier a préparé trois séries de diapositives montrant des femmes attirantes : la première présentait 6 brunes ; la deuxième 1 brune et 5 blondes ; et la troisième 1 brune et 11 blondes. Il a ensuite demandé à des hommes de choisir, pour chaque série, la femme qu'ils voudraient épouser. Résultat : plus la même brune était rare dans une série, plus ils la choisissaient."
Les sociétés aux cheveux de jais s'amusent déjà d'une chevelure différente de la leur, à l'instar des lolitas japonaises. "On crée non seulement des blonds peroxydés mais aussi des cheveux pourpres ou verts, des couleurs tout à fait novatrices, dont le but demeure le même : attirer l'attention", assure Peter Frost. Pour autant, selon Samuel Lepastier, rien ne dit que le mythe blond ne sera pas remplacé par un autre, avec le basculement de la planète vers l'Asie et d'autres cultures dominantes. La force symbolique du blond, rappelle-t-il, est avant tout le fruit de deux cents ans de suprématie du monde occidental, depuis la colonisation jusqu'à l'expansion de la culture américaine, avec ses déesses platine.
Les généticiens, eux, sont sûrs d'une chose : le caractère "phénotype blond" ne s'éteindra jamais, dit Axel Kahn. "Il pourra resurgir ici ou là, un peu comme le font aujourd'hui les maladies rares." La planète n'est pas à l'abri de nouvelles surprises. A ce jour, des populations de blonds naturels se développent parmi les Inuits de l'ouest de l'Arctique canadien et les Aborigènes d'Australie centrale. "Dans ces deux cas, il s'agit peut-être, analyse Peter Frost, des débuts d'une évolution par sélection sexuelle, semblable à celle qu'ont connue les Européens."
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Races de france :



Le mot du président Qui sommes-nous ?


La Blonde d’Aquitaine, race à viande de grand format originaire du sud ouest et de couleur froment, résulte de la fusion en 1962 de trois rameaux : la Garonnaise, la Quercy et la Blonde des Pyrénées. Ses qualités d’élevage et de production de viande sont reconnues aussi bien en race pure qu’en croisement.
On trouve des références aux populations bovines blondes, attestant de leur taille, de leur force et de leur élégance.
Création du herd-book Quercy et Blonde des Pyrénées
Fusion des 3 rameaux : création de la Blonde d'Aquitaine.
Transformation du herd-book en UPRA
La Blonde d'Aquitaine se spécialise pour la production de viande (production de broutards légers pour exportation) et se développe au niveau national.
Création du Label Rouge Bœuf Blonde d'Aquitaine.
Réforme des UPRA : création de l'Organisme de Sélection avec pour nouveau nom France Blonde d'Aquitaine Sélection.
Nombre de vaches en 2014 : 525 501 Vaches inscrites au livre généalogique en 2014 : 37 426 Vaches contrôlées en 2014 : 154 943 Éleveurs : 18 424
Crédit photo : France Blonde d'Aquitaine Sélection
Hauteur au garrot femelles : 145 à 160 cm Hauteur au garrot mâles : 155 à 175 cm Poids adulte femelles : 850 à 1 350 kg Poids adulte mâles : 1 100 à 1 700 kg
Race de grand format, d'une grande docilité, la Blonde d'Aquitaine est utilisée pour la production de broutards (5-6 mois) ou de jeunes bovins ou génisses de boucherie. La race se différencie par la bonne valorisation de sa carcasse grâce à la finesse des os et le faible pourcentage de gras interne qui limitent les déchets lors de la découpe.
Les objectifs de sélection sont réactualisés tous les 10 ans pour les adapter aux attentes des éleveurs. Actuellement le programme de sélection de la Blonde d'Aquitaine vise à concilier les différents types de production (en race pure ou en croisement) tout en conservant les qualités d'élevage de la race.
France Blonde d'Aquitaine Sélection 271 rue de Péchabout BP 45 47 002 Agen cedex Tel.: 05 53 96 00 89



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↑ http://www.blonde-aquitaine.fr/Accueil/AccueilBlonde.aspx?langue=fr-FR [ archive ] Présentation de la race par le site France Blonde d'Aquitaine

↑ http://www.agroparistech.fr/svs/genere/especes/bovins/blondeaq.htm [ archive ] Fiche de la Blonde d'Aquitaine par AgroParisTech

↑ http://www.blondaquitaineqc.com/ [ archive ] Qualités d'élevage par l'association Blonde d'Aquitaine du Québec

↑ http://www.agrilianet.com/pdf/reproduction.pdf [ archive ] Comparaison de la reproduction des races blond, charolaise, limousine, rouge des prés en Pays de la Loire (2006)

↑ http://www.blondeaquitaine.be/presentationdela/index.html [ archive ] Présentation de la Blonde d'Aquitaine par son Herd-book belge

↑ http://www.blondaquitaineqc.com/ra06.pdf [ archive ] Comparatif indépendant des qualités bouchères des races bovines, en Suisse en 2002







La dernière modification de cette page a été faite le 30 mars 2022 à 08:07.
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La blonde d'Aquitaine est une race bovine allaitante de grande taille, d'une couleur unie allant selon les individus du froment au blanc crème, aux muqueuses roses.

Elle est issue de la fusion en 1962 de trois rameaux bovins du Sud-Ouest de la France .

D'un fort développement musculaire, elle est réputée pour ses qualités bouchères, avec une forte proportion de viande, tendre et peu grasse, par rapport au poids total.

Sa docilité, sa facilité de vêlage, le prix élevé de vente pour l'abattage et une vitesse de croissance élevée (en quantité de viande produite) ont conduit ses effectifs à plus de 450 000 têtes en France en 2000. L'effectif en France est de 569 000 têtes en 2014, pour un total d'environ 2 millions de têtes dans le monde [ 1 ] . C'est la troisième race bovine allaitante française quant aux effectifs, prenant une place prépondérante dans tout le Sud-Ouest de la France et les Pays de la Loire . Elle gagne maintenant du terrain dans tout le Nord-Ouest de la France et est implantée dans une trentaine de pays, dont plus particulièrement le Canada , les États-Unis , l' Australie et la Suède .

Une population de vaches blondes peuple le bassin aquitain depuis longtemps.
Différentes hypothèses sur l'origine première de ces races blondes sont évoquées dans l'article rameau blond .

Au XIX e siècle , la valorisation du patrimoine génétique a conduit à la création du livre généalogique . Les différentes races locales se sont progressivement regroupées en trois rameaux :

Pour des raisons économiques, politiques et commerciales, ces trois rameaux ont été fusionnés en 1962 sous le seul vocable de « Blonde d'Aquitaine ». Initialement, la limousine était prévue dans la fusion. Ce sont les éleveurs limousins qui s'y sont farouchement opposés voulant garder une race spécifique à leur région.

Dans ce regroupement, dont elle prendra la part prépondérante, la garonnaise imposera par croisement d'absorption son grand format et sa couleur claire, englobant les rameaux du Quercy et des Pyrénées.

D'autre races ont apporté, dans les zones pyrénéennes et de façon infinitésimale, leurs sang tel que la piémontaise arrivée avec les vagues d'immigration des italiens du début de XX e siècle.

Elle porte une robe fine de couleur froment allant du clair au foncé variant en fonction de l'âge et de la saison, possède des muqueuses claires, des cornes blanches à l'extrémité foncée, légères, en roue basse ou en lyre.

C'est une des vaches françaises de grande taille avec la charolaise et la rouge des prés qui sont légèrement plus imposantes, (1,65 m pour le mâle et 1,55 m pour la vache) au dos puissant et aux cuisses musclées. C'est une race lourde : 1 400 à 1 500 kg pour les taureaux les plus lourds bien alimentés et 900 à 1 000 kg pour la vache, dans les conditions des concours.

La race n'est pas encore totalement stabilisée du fait de l'origine de plusieurs rameaux. On trouvera ainsi dans le coin sud-ouest de la France et plus particulièrement dans le Pays basque des vaches plus compactes, très musclées, et dans la région toulousaine, le Quercy, le Tarn des vaches plus longilignes aux dos légèrement incurvés, aux corps plus harmonieusement musclés.

Aujourd'hui, la blonde d'Aquitaine est connue pour [ 2 ] sa facilité d'élevage :

Ses défauts sont dans l'ensemble liés à sa grande taille et à une faible rusticité :

Malgré ces défauts, elle prend de l'extension sur tous les continents, c'est une grande race bouchère qui progresse rapidement.

À l'engraissement elle aura un gain moyen quotidien (GMQ) qui se situera dans la même fourchette que les autres principales races à viande, mais moindre de 200 grammes que le charolais. Elle sera de l'ordre de 1 200 à 1 550 g en fonction des rations et ce, au bout de deux mois jusqu'à 4 mois. Le GMQ sera ensuite de l'ordre de 1 100 à 1 300 g en moyenne jusqu'à 8 mois puis 5 900 g jusqu'à 90 mois.

Elle a de très bonnes performances d'engraissement au même titre que les autres grandes races à viande, desquelles elle se distingue par sa moindre précocité, ce qui est défavorable, et par sa capacité à produire du muscle et peu de graisse, capacité qui lui est particulière et fait son succès.

À l'engraissement, elle est capable de valoriser une alimentation riche, avec un gain moyen quotidien proportionnel à la qualité et la quantité d'aliments fournis, sans excès de graisse comme cela arrive avec d'autres races.

Dans les conditions d'élevage des « bêtes à concours », les taureaux lourds sont préparés avec une alimentation poussée et ont du mal à se mouvoir et à se reproduire. Cette recherche d'animaux massifs n'est pas anodine : c'est avant tout, pour l'éleveur, un moyen de participer à des concours pour acquérir une image, se faire un nom, être reconnu dans le monde des sélectionneurs, se comparer aux autres éleveurs, augmenter le niveau de performance, obtenir des prix, et en fin vendre sur l'exploitation et mieux négocier les jeunes reproducteurs.

Des éleveurs des zones charnières ont croisé la blonde d'Aquitaine par la voie mâle avec de la limousine pour donner des veaux et jeunes bovins mieux conformés alimentant des filières commerciales de viande bovine le plus souvent labellisée « Veaux élevés sous la mère » ou « Le Veau d'Aveyron & du Ségala ». Ces bêtes sont complémentées durant toute leur existence avec 500 kg de céréales et de tourteaux pour apporter du muscle et plus de gras sur le dos : ce processus est appelé « cirer la carcasse ». Ce croisement donne des résultats économiques intéressants pour l'éleveur et une viande plus savoureuse pour le consommateur [réf. nécessaire]

La blonde d'Aquitaine est uniquement sélectionnée pour la production de viande . Compar
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