La punir brutalement

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La punir brutalement
Il n'y a pas de règles sur la façon de discipliner les enfants. Pour cette raison, nous pouvons, en tant que parents, commettre des erreurs lorsqu'il s'agit de punir les enfants. Dans la suite de cet article, nous partageons 5 erreurs que vous devriez éviter.
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Rédigé et vérifié par le psychologue Bernardo Peña .
Dernière mise à jour : 10 août, 2022
L’application de sanctions est l’une des stratégies utilisées dans le cadre de la discipline. Cependant, la question des punitions suscite souvent l’inquiétude des parents car il n’y a pas de normes sur la manière de les administrer. Pour cette raison, dans cet article, nous partageons 5 erreurs de punition des enfants.
Les enfants et les jeunes ont besoin de discipline pour développer leurs talents et acquérir des capacités productives. C’est précisément la famille qui enseigne aux enfants à socialiser.
Les parents sont ce trait d’union entre le sujet et la société. Cet environnement permettent de développer les bases de la personnalité et d’absorber les éléments de base de la culture.
Cependant, le développement social des enfants va de pair avec l’éducation des comportements. Cela signifie que les enfants doivent parfois s’adapter aux normes et aux valeurs morales nécessaires pour vivre en harmonie au sein de la famille et de la communauté.
À ce stade, certains parents ont recours à des mesures disciplinaires telles que des sanctions. En quoi consiste cette stratégie ? Nous vous expliquons.
On la considère comme étant un groupe de mesures disciplinaires. Ces stratégies visent à corriger ou à réprimander pour réguler le comportement, dans ce cas, des parents aux enfants. De même, les punitions peuvent également aider à contrôler et à intervenir dans les comportements négatifs.
Avant de signaler quelques erreurs en matière de punition des enfants, il est nécessaire de souligner que les punitions doivent être considérées comme des moyens éducatifs.
En d’autres termes, les mesures disciplinaires doivent favoriser le développement personnel. Ceci peut être réalisé par l’apprentissage des comportements négatifs, pour les éviter.
Cela ne signifie pas que le but des parents est d’imposer à leurs enfants le sens de l’obéissance par le biais de récompenses ou de punitions.
L’objectif de la discipline est plutôt que les enfants puissent intérioriser les valeurs morales et sociales.
D’autre part, il est important de préciser que les bonnes punitions n’endommagent pas les enfants sur les plans émotionnel, physique, intellectuel ou social.
Au contraire, comme l’a indiqué le Dr Antonio Rodríguez Pérez dans son article “Principaux modèles de socialisation familiale”, la discipline a pour objectif de stimuler “l’indépendance et l’individualité de l’enfant”, de valoriser la communication ouverte et de reconnaître “les droits des uns et des autres”.
Quelles sont les erreurs à ne pas commettre quand il s’agit de punir les enfants ? Continuez votre lecture de cet article !
Dans un premier temps, il est essentiel de discuter avec vos enfants des normes et valeurs sociales et morales, ainsi que de leur importance d’un point de vue pratique dans votre vie.
De même, les enfants doivent connaître le comportement spécifique attendu par les parents en fonction de l’événement pour ne pas être puni par ignorance.
Il est nécessaire de donner des avertissements pour apprendre à l’enfant à se maîtriser. De cette façon, nous lui permettrons de développer son raisonnement. Il apprendra également à prendre conscience de ses actes et des conséquences du non respect des règles .
Appliquer des punitions sur le moment n’est pas un acte affectueux et ne favorise pas l’internalisation des valeurs sociales et morales. Par conséquent, avertissez vos enfants avant des les punir.
C’est souvent une autre erreur que l’on commet lorsqu’il s’agit de punir les enfants. Certains parents utilisent les punitions comme une menace pour que leurs enfants se calment. Ils laissent passer le temps et ne tiennent tout simplement pas leur parole.
De la même manière, il est probable que l’application de la punition soit parfois oubliée. Cela peut être dû à la négligence ou à la permissivité. Cependant, ces comportements ne profitent pas aux plus petits.
En effet, ils ne prendront pas l’autorité du père ou de la mère au sérieux. Donc, si vos enfants méritent d’être punis, soyez cohérents et agissez en expliquant clairement le motif.
La punition doit être cohérente et liée à la norme ou à la limite établie que l’enfant a oubliée. Par exemple, si le conflit a été généré par un ballon de football, la punition doit être liée à l’utilisation du ballon. En d’autres termes, la punition doit être conforme à la faute.
D’autre part, il convient de veiller à ce que la punition soit la plus juste possible. Elle doit être attribuée en fonction du niveau de gravité de la transgression.
Mais si la sanction dépasse l’ampleur de la transgression, l’enfant ne sera pas en mesure de la comprendre. Il sera frustré et les parents se sentiront coupables.
Dans certains contextes, ce type de sanction continue d’être exercé en raison de son efficacité supposée. Cependant, il a été constaté que le châtiment corporel modifie le comportement de l’enfant.
La punition physique augmente les comportements antisociaux ou perturbateurs ainsi que le recours à l’agressivité. Ce qui, à son tour, les affectera plus tard, dans leur jeunesse et leur âge adulte.
Il est vrai que la punition n’est pas une action interdite. En fait, la sanction est présente dans de nombreux domaines de la vie adulte . Cependant, il faut faire attention à la manière dont elle est effectuée. Faire des erreurs en punissant les enfants peut être préjudiciable.
N’oubliez pas que la discipline ne doit pas dépasser les limites du respect de l’intégrité physique ou émotionnelle de vos enfants . Par conséquent, concentrez-vous sur la formation de leur conscience, plus que sur l’obéissance à des règles.
Vous verrez que, de cette manière, vous ne ferez pas qu’éduquer vos enfants. Vous les aiderez également à construire des fondations qui les guideront tout au long de leur vie.
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Rédigé et vérifié par le psychologue Bernardo Peña .
Dernière mise à jour : 10 août, 2022
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Publié le 12 décembre 2013 à 13h29
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La scène, dénoncée en 2012 par la jeune fille, s'était déroulée en juin 2004. Le prévenu avait découvert que sa belle-fille fumait. Très à cheval sur certains principes, il avait décidé de la punir brutalement en lui imposant de fumer une grande quantité de cigarettes et cigarillos afin de la rendre malade. La jeune fille s'était précipitée dans le jardin pour vomir et uriner. Voyant ses vêtements tachés, le prévenu avait décidé de la déshabiller de force puis de la plonger dans un bain. Il avait alors constaté que la jeune fille avait conservé sa pilosité.
Emporté par un autre principe familial qui serait opposé à toute forme de pilosité, le beau-père avait rasé de force le pubis de la jeune fille et commis ainsi un attentat à la pudeur. Le parquet a souligné le caractère autoritaire excessif du prévenu et a estimé que les faits se rapprochent d'un contexte de traitement dégradant. Pour des faits qualifiés d'attentat à la pudeur, il a requis une peine de 18 mois de prison.La défense, Me Reynders, a plaidé l'acquittement en considérant que la scène n'avait pas de connotation sexuelle avérée et qu'elle devrait être qualifiée de traitement dégradant. Cette qualification devrait alors être déclarée prescrite. Jugement le 16 janvier.    
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Personnages célèbres, Biographies de célébrités / Voyage et histoire / 8 punitions des esclaves noirs les plus horribles et les plus inhumains de l'histoire de l'esclavage
L'esclavage est une condition dans laquelleles individus appartiennent à d'autres qui contrôlent leurs conditions générales de vie, y compris leur lieu de résidence, leur nourriture, leur travail, leurs mouvements, etc. L'esclavage existe depuis toujours temps à nos jours. Les anciens Grecs, Romains, Britanniques, Portugais, Espagnols, Incas, Aztèques, etc., étaient tous impliqués dans le commerce des esclaves sous une forme ou une autre.
La traite des esclaves est l’un des phénomènes sociaux dehistoire associée aux traitements les plus cruels et déshumanisants. Puisque les esclaves ne sont rien d’autre que des biens sous la garde de leurs maîtres, ils sont traités de la manière la plus bizarre qui n’ait aucune considération humaine. Voici les 10 manières les plus horribles de punir les esclaves par leur maître - elles sont vraiment déchirantes!
L'utilisation des fers et des menottes chez l'esclaveLes marchés ont toujours été l’un des aspects les plus choquants de l’esclavage à travers l’histoire. Les chaînes d'esclaves étaient des objets couramment utilisés dès le 15ème siècle pour enchaîner les esclaves, aux poignets, aux chevilles ou au cou. Cet artefact a été créé, selon des enregistrements entre 1780 et 1804, et fabriqué en fer forgé. Cet artefact était utilisé pour enchaîner les poignets d’un esclave et, selon la situation, leurs chevilles à l’occasion du transport d’un esclave. L’utilisation des chaînes pour asservir les Africains a été répandue et utilisée jusqu’aux années 1860. À bord des navires négriers, les esclaves étaient montés à bord et embarqués dans des espaces restreints, serrés les uns sur les autres et tenus par des chaînes, incapables de bouger ou de respirer.
Fait de fer lourd, ces chaînes ne sont pas seulementutilisé comme un moyen de garder les esclaves au sol, mais c'était aussi un moyen d'humilier les esclaves défiants qui tentaient de s'échapper. Cette utilisation des moyens de contention constituait un moyen efficace pour les propriétaires de plantations de contrôler physiquement et psychologiquement leurs esclaves. Ces restrictions appliquées aux esclaves étaient similaires à celles utilisées à l’époque pour les prisonniers, ce qui laissait supposer que les esclaves n’étaient rien de mieux que des criminels.
Les fers à marquer étaient parfois utilisés pour marquer tousLes captifs capturés régulièrement pendant la traite des esclaves à des fins d'identification ou à titre de punition, mais le plus souvent, ils étaient habitués à isoler les esclaves en fuite pour assurer leur retour s'ils devaient s'échapper à nouveau. La partie du corps à marquer varie selon l’emplacement, comme la paume, le dos, les épaules, les fesses ou l’abdomen, le visage étant l’endroit favori pour le châtiment et est déterminé par le maître des esclaves.
Lire aussi: 10 faits étranges sur l'Afrique dont vous n'avez jamais entendu parler
La principale méthode utilisée pour contrôler le comportement deesclaves était la menace de les faire fouetter. Les coups de fouet et les passages à tabac étaient généralement si horribles et aussi graves que vous pourriez l'imaginer. Le nombre de coups de fouet toujours nombreux dépend de la gravité de l'infraction. Les esclaves étaient fouettés quotidiennement; ce ne doit pas nécessairement être le cas lorsqu'ils ont commis un délit grave; les coups, les sifflements et autres actes de torture constituaient plutôt une forme de contrôle de l'esprit et du corps; un moyen de réaffirmer la domination de leurs maîtres et de démoraliser les esclaves, les gardant penchés sur leur travail. Aucune condition ne fait exception pour aucun esclave: les jeunes, les plus âgés, les hommes, les femmes, y compris les femmes enceintes, frappés chaque fois que l'occasion s'en présente. En cas de grossesse, un trou peut être creusé pour permettre à la femme enceinte de se reposer le ventre tout en étant fouettée. La flagellation est devenue si courante au cours de l’esclavage qu’elle est devenue une entreprise commerciale, dans laquelle il existe des marchands courageux, commerciaux et professionnels, à qui des esclaves offensants ont été envoyés pour recevoir autant de coups que ceux demandés par leurs détenteurs.
En tant que mode de punition, un esclave est fouetté avecune sévérité inhumaine, telle qu'elle lacère et mutile sa chair de la manière la plus choquante, laissant des cicatrices et des stries permanentes; ensuite, des blessures telles que des cornichons salés, du jus de citron vert, de la saumure chaude, de la térébenthine ou du poivre des oiseaux seraient frottées sur ses plaies ouvertes. Parfois, l'esclave est ligoté pieds et poings liés pour "profiter" au maximum de la douleur et ne pas être en mesure de se soulager de quelque façon que ce soit.
Les instruments de torture se présentent sous différentes formeset la sévérité. Ils ont l'habitude de punir les esclaves en les soumettant à des conditions très inconfortables et brutales. Certains sont usés, tandis que d'autres sont construits et que l'esclave est confiné dans une position déterminée par le tueur par l'instrument. Lorsqu'il est porté, l'esclave est obligé de continuer sa tâche quotidienne avec l'instrument inconfortable et doit également travailler à la même vitesse et au même niveau de productivité que lorsqu'il est libre. On peut également lui confier une tâche à accomplir dont ils savent qu’il sera très difficile de s’en sortir avec l’instrument de torture intact.
Un esclave noir a raconté un jour comment il avait été torturéDe cette manière, son cou est bien entouré par une bande de fer, un instrument d’une forme si particulière qui rend son travail difficile à accomplir. Le nègre a déclaré qu'il l'a porté pendant deux bons mois! La forme de l'instrument l'empêchait de s'allonger et de se reposer la nuit; son poids et sa coupe serrée le rendaient très pénible pendant la journée. Elle consistait en un lourd anneau de fer, étroitement ajusté autour du cou, à partir duquel se prolongeaient trois griffes de deux pieds chacune, avec un anneau au bout. Trop horrible!
Un certain groupe de femmes esclaves ont été étiquetés"Jezebels" par leurs propriétaires. Ces femmes auraient été plus promiscentes que leurs homologues et auraient souvent été victimes d'abus sexuels plusieurs fois par jour. Alors que les hommes blancs forçaient ces "Jézabel" à avoir des relations sexuelles avec eux, ils affirmaient que c’était la faute de la femme esclave qui avait été si libre. Bien que les femmes esclaves soient celles qui souffrent le plus, parfois, les hommes sont également victimes d’abus sexuels de la part de maîtresses pleines de promiscuité ou sont forcés d’avoir des relations sexuelles avec d’autres esclaves pour avoir des enfants qui travailleront pour leurs maîtres. Les esclaves sont violés sans que personne ne soit prévenu, mais les propriétaires d'esclaves blancs s'attendent à ce qu'ils soient reconnaissants d'avoir couché avec eux, en leur disant fièrement qu'ils leur «rendent service».
A plusieurs reprises, ils peuvent être imprégnés etcela ne les dispensera nullement de leurs routines et punitions quotidiennes normales en tant qu'esclaves, pas plus que leurs maîtres n'assumeront la responsabilité de l'enfant à la naissance: ils augmenteront simplement le nombre d'esclaves et de mains pour travailler dans le domaine qui est à l'avantage des maîtres d'esclaves. De plus, les maîtresses transfèrent leur colère et leur agressivité pour l’infidélité de leur mari à la femme esclave maltraitée en les frappant et en les maltraitant. Certains sont forcés de se marier sansêtre élevé à la position normale d'une femme. Pour que son mari évite d’être témoin lorsqu’il est puni ou torturé pour une infraction ou une autre, il l’enverra dans une plantation lointaine où elle poursuivra sa pratique de l’esclavage.
La peine d'esclave va aussi extrême que couperou rendant inutilisables certaines parties du corps de l'esclave, telles que les membres, les doigts, la paume, les oreilles, les organes génitaux, etc. La torture génitale et la castration ont souvent été utilisées comme punition et dissuasion pour les infractions sexuelles. Mais la cruauté cruelle dans tout cela est que la plupart du temps, les esclaves ont été accusés à tort. De plus, la castration se fait souvent de la manière la plus bête (avec des couteaux d'hongres ou un burdizzo local), sans aucun soin médical. De la part des femmes, elles peuvent être soumises à de graves actes de torture qui, à la fin, endommagent complètement leurs organes génitaux. La plupart des victimes de cette forme de torture survivent difficilement du fait de leur gravité. Je considère cet acte de punition comme l’un des plus lamentables et déchirants! Ci-dessous, sur la photo, un couteau de hongre dans la main impitoyable d'un maître blanc.
La plupart des exécutions se font par pendaison. S'ils veulent rendre la chose plus effroyable, ils peuvent suspendre la personne en vie avec un crochet enfoncé dans l'un de ses poumons. Ils peuvent également décider de suspendre l'esclave à l'envers.
De plus, dans ce que les maîtres d’esclaves appellent trèsles infractions graves, dont ils estiment qu’elles ont dépassé toutes les autres formes de punition et il est nécessaire de se débarrasser de l’esclave de la manière la plus bizarre, ils brûlent l’esclave vivant, généralement attaché sur un pieu. C’est la façon la plus cruelle de penser à la mort!
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