La prof n'en peut plus

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La prof n'en peut plus

Je me souviens des coups de règle dit :
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L’enseignement est une fonction respectable qui a un impact sur bien des vies. Les enseignantes et enseignants passent des journées et des soirées à développer des outils pédagogiques susceptibles de stimuler le désir d’apprendre des jeunes. Mais, le corps enseignant doit savoir ce qu’il endosse comme responsabilités à la fois dans la classe, dans l’école et dans la société en général, etsavoirtout ce que les profs n’ont pas le droit de faire.
En effet, la profession enseignante dispose d’un statut social ambigu. Parfois, dans le quotidien de notre pratique, nous avons l’impression d’être relégués à un rôle d’exécutant, sans prise directe sur notre travail, qu’on appelle pourtant une profession. Donc, il est essentiel de bien connaître les interdictions des profs.
Les réseaux sociaux ont amené de nouvelles situations dans l’enseignement. Cette prise de parole sur Internet comporte des pièges qu’il importe de connaître. En d’autres termes, tout ce que nous publions en ligne fait ensuite partie du domaine public. De plus, si vous permettez à tout le monde d’avoir accès à votre profil, l’information que vous y publiez sera indexée automatiquement sur des bases de données comme Google. Ces détails personnels seront toujours disponibles sur Internet, même si on les a retirés de sa page Facebook. C’est pourquoi il est préférable de respecter certains principes :
Une étude menée par l’UNICEF (2015) montre que la pratique des châtiments corporels a des effets néfastes sur l’apprentissage. En effet, il y a un lien entre la pratique des châtiments corporels à l’école, d’une part, et des faibles résultats aux examens ainsi que des effets négatifs sur le bien-être psychosocial des enfants, d’autre part. La violence à l’école explique en grande partie pourquoi les enfants n’aiment pas l’école et elle provoque aussi un décrochage scolaire.
Parfois, les classes soient surchargées et que les écoles aient de faibles ressources. Cela peut fortement diminuer la patience du personnel enseignant. Et donner lieu à des réponses inappropriées et empreintes de colère dans la gestion du comportement des élèves. Les enseignants peuvent avoir des difficultés à garder le contrôle de leur classe et risquent de s’en prendre aux enfants. Cela ne justifie pas, toutefois, qu’ils puissent évacuer leur stress sur les élèves.
Par contre, la discipline positive et non violente produit de meilleurs résultats en classe, alors que la pratique des châtiments corporels est associée avec de nombreux résultats négatifs, tels que de faibles résultats aux tests de quotient intellectuel, un moindre vocabulaire, des capacités cognitives affaiblies, un développement cognitif freiné et des résultats scolaires décevants.
Régler les problèmes de discipline requiert des interventions empreintes de créativité, d’empathie, de soutien, de respect et de professionnalisme, et non pas de violences et humiliations sur les élèves. Il existe de nombreuses ressources facilement accessibles pour établir et maintenir des stratégies de gestion de classe, tout en respectant les droits fondamentaux des enfants.
Le refus de prendre un élève en cours est une tentation fréquente des enseignants pour gérer des problèmes de comportement des élèves difficiles. Les enseignants doivent rappeler qu’il ne peuvent pas décider des élèves qu’ils accueillent. En France, un jugement de la cour d’administration d’appel de Nancy de novembre 2006 a ainsi pu justifier une sanction à l’adresse d’un enseignant qui refusait l’accès de son cours à un élève, l’ayant pourtant gravement insulté.
Aux États-Unis, la loi donne aux enseignants les moyens de protéger un environnement discipliné. Les enseignants peuvent retirer de la classe les élèves qui perturbent continuellement ou gravement l’apprentissage.
Le déplacement des élèves dans la voiture d’une enseignante ou d’un enseignant n’est pas recommandé. Car il pourrait entraîner des allégations de toutes sortes. Mais il est possible, exceptionnellement, d’utiliser cette façon de se déplacer moyennant quelques obligations à respecter. Avant de prendre la route, l’enseignante ou l’enseignant devrait impérativement :
À travers le monde, certains établissements primaires et secondaires, privés ou publics, imposent le port de l’uniforme. Cependant, les élèves considèrent le port de l’uniforme comme une torture, mais pour d’autres, cela comporte des avantages non négligeables. L’uniforme scolaire est un outil pédagogique au service du projet éducatif de l’école. Il favorise le sentiment d’appartenance à l’école, et permet d’effacer les inégalités.
En France, le ministre de l’Éducation nationale s’est dit favorable à l’uniforme dans les établissements scolaires. Sur la Rive-Sud de Montréal, les uniformes ont fait leur apparition dans les écoles publiques il y a déjà quelques années.
La question est sur la table depuis quelque temps. Certains estiment que les jeunes, particulièrement au secondaire, n’ont pas de limites en ce qui a trait à leur tenue vestimentaire.  Décolletés plongeants, nombrils à l’air ou sous-vêtements apparents sont monnaie courante et les professeurs n’en peuvent plus de dicter la discipline à la place des parents.  En effet, même si la plupart des écoles exigent le port de « tenues convenables », qui exclut les jupes et shorts très courts, les vêtements à connotation violente ou les camisoles, un temps précieux est perdu pour obliger les élèves à les respecter. 
En effet, l’utilisation du téléphone portable en classe peut nuire à la concentration nécessaire aux activités d’enseignement. Pour toutes ces raisons, les écoles et les collèges interdisent l’utilisation du téléphone portable. Donc, l’enseignant doit obliger les élèves à éteindre leurs téléphones portables.
Il appartient à chaque établissement de déterminer des modalités pratiques pour assurer le respect de la loi. Mais, combien de temps peut-on confisquer un mobile ?
Tout téléphone confisqué doit être restitué soit à l’élève lui-même, soit à l’un de ses responsables légaux à la fin de la journée. L’enseignant assume la responsabilité de l’appareil en tant que gardien durant la confiscation en cas d’éventuels dysfonctionnements, ou dégradations de l’appareil.
D’abord, l’enseignant ne peut pas mettre un zéro pour sanctionner un problème de comportement. En d’autres termes, ce n’est pas un outil de sanction du comportement. Il ne figure pas à ce titre dans le règlement intérieur comme une des punitions mises à disposition de l’équipe éducative. L’enseignant peut recourir au zéro. Pour vous aider à vous y retrouver, voici les différentes circonstances selon lesquelles vous pouvez y avoir recours ou pas. 
Cependant, le prof peut mettre le zéro à condition qu’il vienne sanctionner un travail qui ne remplit pas le cadre pédagogique défini par l’enseignant. Attention toutefois de bien le préciser sur la copie, dans le rapport ou bien sur le mot dans le carnet de liaison afin d’éviter toute ambiguïté.
Un enseignant n’a pas le droit d’exiger un certificat médical pour justifier de l’absence d’un élève à un contrôle. Mais, certains enseignants considèrent cette exigence comme normale. De plus, les parents n’ont aucune obligation de fournir ce justificatif en cas d’absence. Cependant, l’enseignant ne peut pas sanctionner cette absence non justifiée par un zéro. Cependant, le certificat médical est obligatoire en cas d’absence aux examens (Brevet ou BAC).
Pour conclure, l’enseignant a seulement le droit d’exiger un certificat médical dans le cas de maladies contagieuses.
Les écoles traitent de nombreuses données à caractère personnel. Par exemple :
Si un enseignant affiche les notes ou résultats de tests d’une manière qui permet d’identifier les élèves, même sans indiquer leur nom. Donc, il divulgue des renseignements personnels.
L’humiliation conduit souvent au découragement de l’élève. « Je suis nul et quoique je fasse, je resterai nul ». Elle peut conduire également à la violence scolaire. Ainsi, la dévalorisation du sentiment de colère, la minimisation de l’importance des faits et la définition de soi par d’autres forment les ingrédients les plus singuliers du processus d’humiliation.
Par ailleurs, le sentiment d’humiliation d’un élève peut exister en l’absence de propos blessants d’un professeur. En effet, certaines situations pédagogiques ou phrases ambiguës provoquent l’humiliation sans que le professeur n’ait cette intention. Parfois, le professeur l’utilise pour maintenir l’ordre dans la classe. C’est une forme de sanction. Elle a pour objet d’obtenir le silence en exposant les élèves à des remarques verbales dévalorisantes.
L’école n »est pas seulement un espace de transmission de savoirs, mais aussi comme un meilleur espace de socialisation. De plus, c’est mieux d’instaurer une relation prof-élève moins basée sur une autorité arbitraire. Et davantage sur une plus grande compréhension, quand on sait combien les sentiments d’injustice et de rabaissement sont des facteurs d’explication majeurs de la violence scolaire.
Le harcèlement moral se définit par des comportements ou propos répétés qui portent atteinte aux conditions de vie de la victime. La santé physique ou psychologique est atteinte par la modification des conditions de vie.
Ces profs qui cassent et humilient, de manière habituelle, dénigrent, discriminent ou menacent les élèves sur une période prolongée, violent les droits des élèves, ainsi que leur bien-être psychologique.
La vie scolaire est par conséquent affectée par cette violence expressive. On affecte aussi l’environnement de la classe négativement, de même que la santé mentale de la victime. Donc, quel recours contre un enseignant qui humilie les élèves ?
Les écoles doivent prendre des mesures lorsqu’un enseignant abuse mentalement d’un élève en se basant sur des preuves. L’éducateur peut être réprimandé, averti ou licencié.
Les parents peuvent porter plainte contre un prof pour abus de pouvoir. Par conséquent, un enseignant peut être emprisonné pendant un an et condamné à une amende de 15 000 euros si les parents d’un élève l’accusent de harcèlement.
Dans les cas où la victime a moins de 15 ans, la peine est de 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende.
Si votre enfant est victime de harcèlement de la part d’un enseignant, la première étape consiste à contacter l’administration de l’école pour signaler les faits. Vous pouvez également engager une action en justice contre l’enseignant pour obtenir des dommages et intérêts.
C’est vrai que les enseignants plaignent souvent des élèves très difficiles. Mais une autre réalité, ce sont les enseignants qui rabaissent leurs élèves, parfois par plaisir, parfois par vergence, par frustration ou même par sadisme. Voici quelques exemples du rabaissement des professeurs à l’école :
un prof a-t-il le droit de frapper un élève ou de l’humilier ?
La France a ratifié la Convention internationale des droits de l’enfant adoptée par l’Assemblée générale de l’ONU le 20 novembre 1989 dont suivent deux articles importants : 
– L’article 19 : « Les États prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l’enfant contre toute forme de violence, d’atteinte ou de brutalité physique ou mentale, d’abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d’exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu’il est sous la garde de ses parents, de ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié. » 
– l’article 28 : « Les Etats prennent toutes les mesures appropriées pour veiller à ce que la discipline scolaire soit appliquée d’une manière compatible avec la dignité de l’enfant en tant qu’être humain… »
Pour mieux comprendre le problème de l’enfant, les parents doivent lui demander de leur donner des exemples de situations qui lui ont semblé injustes. Si vraiment le problème vient de l’enseignant, consolez votre enfant et expliquez-lui qu’il doit prendre son mal en patience jusqu’à la fin de l’année scolaire. Ensuite, prenez un rendez-vous avec son enseignant. 
Le jour J, essayez de ne pas annoncer à l’enseignant pourquoi il n’apprécie pas votre enfant à sa juste valeur. Le mieux est d’engager une discussion avec l’enseignant en lui parlant de votre enfant. Di-tes-lui que ce dernier ne se sent pas très à son aise dans sa classe et que vous ne comprenez pas pourquoi. Aurait-il remarqué quelque chose ? N’hésitez pas à lui parler du caractère de votre enfant (timide, susceptible, angoissé…), d’une situation du moment qui le fragiliserait (déménagement, chômage, divorce, maladie, naissance d’un petit frère ou d’une petite sœur…). Interrogez ensuite l’enseignant : comment perçoit-il votre enfant ? a-t-il des amis ?
L’heure de cours se répartit obligatoirement en cinquante cinq minutes d’enseignement et en cinq minutes d’interclasse.
C’est clair, pas de droit à garder les élèves après la fin des cours.
De plus, l’enseignant peut être déclaré responsable des dommages qui résultent d’un accident subi ou causé par l’un de ses élèves :
Sa responsabilité civile est dans les cas suivants :
Sa responsabilité pénale peut être retenue s’il a eu un comportement constitutif d’une infraction pénale.
« Sortez une feuille et un stylo… Contrôle surprise ! » Cette phrase est un cauchemar pour les élèves, car un contrôle surprise rime avec mauvaise note. Pour certains enseignants, l’interrogation n’est pas juste et pas toujours utile, pour d’autres, c’est le moyen parfait pour vérifier que le cours est appris. En plus, lorsque les élèves ont un professeur qui est capable de faire un « contrôle surprise »à tout moment, ils apprennent leurs leçons pour éviter la « mauvaise surprise » une fois en classe.
a) → d’être membres de l’organisation représentant leurs préoccupations professionnelles, économiques et contractuelles ;
b) → de servir l’organisation et d’être représentés par elle ;
c) → d’adhérer et de s’attendre à ce que les autres membres adhèrent au code de déontologie de l’organisation ;
d) → avoir voix au chapitre dans la détermination des critères et des procédures d’évaluation du rendement professionnel des enseignants ;
e) → On doit protéger l’enseignant en vertu des dispositions énoncées dans les contrats de travail avec l’employeur ;
f) → de négocier les salaires et les conditions de travail qui incluent des procédures de règlement des griefs justes et équitables ;
g) → de recevoir un revenu adéquat pendant l’enseignement ainsi qu’à la retraite,
h) → Et enfin, ils ont la responsabilité de soutenir activement leur organisation professionnelle dans ses objectifs de réglementer les relations entre les enseignants et leurs employeurs. Et aussi d’améliorer la qualité de l’enseignement, le statut des enseignants et le statut de la profession enseignante.
Les parents font partie de la communauté éducative. Ils participent aux activités scolaires et aux conversations avec les enseignants et les autres membres du personnel. Ils exercent des responsabilités mais aussi des droits.
L’enseignant et la famille sont tous deux concernés par la réussite de l’enfant. Il doit donc y avoir un climat de confiance entre eux. Cette confiance ne signifie pas que l’enseignant est inférieur aux parents. Mais plutôt qu’on doit protéger sa dignité et son indépendance.
Lorsque les enseignants donnent une correspondance aux élèves, ils peuvent parfois rendre compte de leur travail et de leur comportement à la famille. Ainsi, les parents peuvent généralement signer les bulletins après les avoir lus.
Il est important pour l’enseignant de ne pas porter sur l’élève des jugements qui pourraient heurter les sensibilités familiales. Ou décourager les parents de leur enfant, au cours de cette collaboration.
Le droit des parents de suivre le travail scolaire et le comportement de leurs enfants est reconnu par le biais de diverses options, notamment le droit de recevoir des informations sur l’état de l’éducation de leurs enfants et le droit de se réunir, individuellement ou en groupe, pour en discuter.
En plus, les parents ont le droit de participer par l’intermédiaire de représentants, qu’ils appartiennent à un club ou à une institution, ou qu’ils soient élus ou nommés dans l’administration des écoles.
En d’autres termes, les parents ont le droit de savoir ce qui est enseigné à l’école, ainsi que les résultats de leur enfant. Il est également évident qu’ils gardent un œil sur les progrès scolaires de leurs enfants.
Les parents s’impliquent activement dans le fonctionnement de l’école de leur enfant. Ils participent au conseil d’administration de l’école et aux autres organes de décision, par l’intermédiaire des représentants qu’ils ont choisis.
Le point 7: Exiger un certificat médical, pose en pratique des problématiques qui conduisent à des situations irréalistes. Concrètement, un élève qui ne souhaite pas être évalué, ne vient pas au devoir. Il peut exiger un devoir de rattrapage (avec les contraintes d’organisation à mettre en place), puis décider qu’il ne vient pas. Puis exiger un nouveau devoir. Cela pose de sérieux problèmes en terme d’organisation, d’égalité devant l’évaluation mais aussi dans le message qui est fait passé.
Bonjour,
Je viens d’apprendre que mon enfant et ses camarades de classe sont obligés de manger leur goûter au dessus de La poubelle de classe ?!
C’est mon enfant qui me l’a dit.
Du coup, je pose la question à sa maîtresse qui me dit d’un ton ironique:
« Oui, les enfants mangent au-dessus de la corbeille à papier (Selon elle il y a une différence entre poubelle et corbeille en papier?!). C’est pour éviter de devoir nettoyer les miettes après chaque enfant ».
Je suis choqué par sa réponse mais pas elle. D’autres parents me rejoignent sur le fait que ce ne soit pas hygiénique. Du coup, elle nous annonce que comme cette solution ne nous convient pas. À partir de maintenant les enfants vont manger leur goûter par terre dans la cour…?!
Nous en avons parlé à la direction de l’établissement qui se positionne derrière le choix de l’institutrice.
Nous sommes choqués étant donné que nous sommes en pleine pandémie et que de telles pratiques ne choquent personne…
les proviseurs ont-ils tout les droits ?
Car mon fils qui n’a pas passé son bac à cause des rabaissement de la part d’une proviseur.
L’école (école primaire privée) peut-elle interdire aux enfants bilingues Français/Anglais d’origine Anglaise, de parler anglais entre eux durant la récréation?
Merci d’avance de votre réponse.
Bonjour
Je viens d’apprendre que mon enfant était mis à l’écart des autres enfants pour mangé à la cantine, à ton le droit de maître à l’écart devant c’est camarades est il pas stigmatiser de ce fait ?
Bonjour, adméton que l’on dit au prof l’une de ces règles car ils ne les à pas respecté et qu’il ni totalement cette dernière que fait?
Bonjo
Le gazon la blonde le cul
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Douce Japonaise se touchant

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