La prison rend nympho

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Anniversaire de Ban Public


8 journées pour s'interroger
sur les 20 dernières années
de la « Prison » en France


> 13 nov :
La santé en prison


Que faire, à qui s’adresser, quels recours, quelles démarches effectuer ?


Droit à l’Oubli pour lutter contre le Bannissement




Depuis 2010, Ban Public propose aux étudiants incarcérés de les mettre en contact avec des tuteurs faisant le lien entre leurs études et l'extérieur.

Cette campagne met en scène les douleurs indélébiles et invisibles que provoque la prison. Des douleurs qui attisent les haines, le rejet de la société et empêchent la réintégration.


connu(s) depuis le
01/01/2022



> Que faire en cas de suicide ou de mort suspecte ?
> A qui s'adresser
> Quels recours ?



Roger Payen (1944)
Maquette d’une cellule de la prison de la Santé



Miguel CASSAGNE recherche des correspondantes



14 dez.
Annulation d’une décision de sanction en raison de la disproportion de la sanction


13 dez.
Annulation de trois décisions de prolongation d’isolement


6 nov.
L’administration pénitentiaire doit assurer que les dispositifs de séparation mis aux parloirs famille (...)


6 nov.
La décision de prolongation d’isolement doit être suspendue en raison de l’urgence et de ce qu’elle ne (...)

Dans le cadre du projet de loi de finances pour 2022 , les membres de l’Assemblée nationale examinent aujourd’hui, lundi 25 octobre, les crédits de la mission Justice et, parmi eux, ceux dédiés à l’administration pénitentiaire. Une fois de plus, les priorités budgétaires sont aux antipodes des véritables besoins et traduisent une orientation stratégique où la prison reste, encore et toujours, la peine de référence.
Dans le cadre du projet de loi de finances pour 2022 , les membres de l’Assemblée nationale examinent aujourd’hui, lundi 25 octobre, les crédits de la mission Justice et, parmi eux, ceux dédiés à l’administration pénitentiaire. Une fois de plus, les priorités budgétaires sont aux antipodes des véritables besoins et traduisent une orientation stratégique où la prison reste, encore et toujours, la peine de référence.

1er novembre 2013 par Commission Journal
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Malgré une amélioration de la prise en charge médicale dans les prisons depuis une vingtaine d’années, le milieu carcéral reste incapable d’apporter des solutions aux problèmes médicaux et psychologiques des détenu-e-s... quand il ne les génère pas.
« Ils me bichonnent pour que je fasse ma peine en entier ». Au fond de sa cellule, dans le lit médicalisé qu’on lui a installé, Z.S. répond à sa manière à ma question : « Es-tu bien soigné ? » Le transfert vers une maison de retraite médicalisée lui a été refusé par les parties civiles, et il poursuit donc sa peine (perpétuité avec 27 ans incompressibles) en luttant contre une « longue maladie » en récidive. Récidive, un mot qu’il connaît bien : deuxième condamnation pour des faits similaires et une quinzaine d’années de détention au compteur. Il apprécie la visite quotidienne de l’infirmière, pour les soins, le patch de morphine, la conversation, le réconfort moral.
Il est vrai que depuis la création des Unités de consultations et de soins ambulatoires (UCSA) en 1994, les établissements pénitentiaires bénéficient d’une qualité de soins équivalente à ceux proposés à l’extérieur. De nombreux et nombreuses détenu-e-s ont ainsi pu se faire dépister et soigner pour des pathologies sérieuses (hépatites, VIH, etc.). Le bilan médical est donc positif, même si au dire de certaines et certains détenu-e-s, la fréquence de passage des personnels soignants laisse un peu à désirer.
Mais que dire de toutes ces pathologies mentales, générées par la violence subie ou pratiquée à l’extérieur et dans l’enceinte même des lieux de détention ? Toutes ces humiliations à supporter, toutes ces agressions physiques perpétrées entre détenus d’abord ou sur les surveillants ? Cette sexualité plus ou moins consentie pratiquée sans protection ?
Une étude récente montre que 55 % des détenu-e-s entrent en détention avec des troubles psy sérieux [ 1 ] . Les détenu-e-s décédés après une tentative de suicide sont nombreux. En moyenne, un peu plus d’une centaine par an, soit six fois plus que dans la communauté « libre ». Toujours suivant cette étude 30 % à 40 % des détenus souffriraient de problèmes addictifs (alcool et psychotropes confondus). La majorité des personnes concernées entrant en détention pour des faits liés à une maladie mentale ont-elles réellement une chance de soigner ces pulsions destructrices dans un lieu initialement inventé pour « surveiller et punir », comme l’écrivait Michel Foucault ?
Malgré le travail remarquable fait par des thérapeutes au sein des services médico-psychologiques régionaux (SMPR), l’enfermement, le manque d’intimité, l’oisiveté, l’impossibilité de se projeter dans un avenir cohérent et surtout la violence génèrent des troubles psychiatriques et psychosomatiques chez les détenu-e-s. La prison rend malade.
Il y a quelques semaines, un jeune homme de 19 ans est mort à la prison de la Santé des suites d’une chute accidentelle pendant la promenade, faute de soins appropriés. Triste dénouement pour ce gamin. Et cette situation risque de se reproduire tant que le rapport entre le médical/éducatif et le répressif ne sera pas inversé. Ce constat est récurrent et reste la clé d’une autre prise en charge des comportements transgressifs dans notre société.
Quant à Z.S., il est mort des suites de sa longue maladie, accompagné jusqu’à la fin de son infirmière et du médecin.
Saisir une adresse email au format vous@fournisseur.fr
[ 1 ] D. Vasseur, médecin chef de la prison de la Santé , 2001.


















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En avril 2015, deux détenus se sont suicidés en France, l’un le 5 avril en s’immolant par le feu et l’autre le 17 par pendaison. Ces événements, devenus tellement anodins qu’ils sont traités en quelques lignes dans la rubrique « faits divers », sont la partie visible d’un phénomène bien plus inquiétant : deux tiers des détenus souffrent de désordres psychiatriques. Un chiffre qui amène Didier Fassin, anthropologue à l’EHESS, à s’interroger : la prison rend-elle fou ou enferme-t-on des personnes atteintes de problèmes psychiatriques ?

À l’origine de la question, un constat : le taux de personnes incarcérées augmente considérablement, faisant plus que doubler entre 1950 et 2000, tandis que le taux de personnes internées dans des services psychiatriques est divisé par trois sur la même période. Or, si les deux phénomènes ont été étudiés indépendamment, aucune étude n’a été menée pour les mettre en relation. D. Fassin avance l’hypothèse qu’il existerait un phénomène de vases communicants entre les deux institutions. Mais en fonction de la nature du trouble, les explications diffèrent : les troubles de l’humeur et de l’anxiété seraient plutôt déclenchés par l’incarcération de l’individu, alors que les troubles psychotiques et de personnalité seraient antérieurs à la détention mais se trouveraient aggravés par celle-ci. Les logiques qui amènent à cette situation sont inhérentes au durcissement du système judiciaire contre la petite délinquance, entraînant des peines de prison ferme pour des personnes vulnérables. La tolérance de plus en plus grande à l’égard de la maladie mentale peut aussi avoir des effets pervers, en laissant des personnes souffrantes hors des établissements de prise en charge psychiatrique. Ces individus, souvent précaires, sont plus enclins à commettre des délits qui les mènent en prison. Autre facteur avancé par Laurence Guignard et Hervé Guillemain, historiens : le changement de Code pénal de 1994 qui diminue les cas d’irresponsabilité.

La prison ne rend donc pas fou, mais aggrave des situations déjà sensibles. Les politiques pénales, qui enferment de nombreuses personnes fragiles, accroissent leur mal-être. Quant aux politiques pénitentiaires, elles n’offrent pas des conditions de détention permettant le maintien de la santé mentale des prisonniers. Face à cette situation, les prisonniers ne sont pas les seuls à perdre les pédales. À la prison d’Esisheim, dans le Haut-Rhin, un détenu malade a été transféré 87 fois depuis 1997. Il jette ses excréments sur le personnel pénitentiaire, rendant fous… les gardiens.

sciences humaines





il y a beaucoup de cas psychiatrique en prison


La patience n'a l'air de rien, c'est tout de même une énergie .



La prison est un microcosme où l'on retrouve les pathologies les plus aigües. J'ai travaillé il y a plus de 10 ans dans une association où l'une de mes missions était d'aller rencontrer des futurs libérables et de préparer avec eux leurs sorties...

La prison, à l'instar des déserts médicaux, est confrontée à un manque criant de psychiâtres et le même bonhomme a la charge de plusieurs centaines de condamnés et dans le quotidien, ce sont la plupart du temps les matons qui distribuent les camisoles chimiques...

A l'échelon national, il existe un observatoire des prisons et un service d'hygiène mentale est censé assurer une prise en charge de qualité, la réalité ne suit pas...





Je pense que oui , la prison peut atteindre les facultés mentales de la personne surtout chez les sujets sensibles et fragiles de caractère .


Il ne faut pas de tout pour faire un monde . Il faut du bonheur et rien d'autre .



C’est un act contre nature que de priver les hommes de leur liberté, la prison reste un lieu non conforme soit anormal pour des personnes anormales
Dire que la prison rend fou est un pléonasme , souvent le système est tellement incompétent que la justice condamne des personnes déjà affecté par des tares psychologique à des peines de prison au lieu qu’a des soins approprié , dans mon analyse j’irai encore plus loin , et je parle en connaissance de cause, là ou il faut soigner on a emprisonné des personnes très malades et très affecté , et là ou il fallait emprisonner de vrai criminel grâce à la complicité d’un système mafieux on a hospitalisé ses criminels prétextant qu’ils étaient malade leur faisant bénéficier de semi -liberté et d’un confort sans égal dans les établissement psychiatriques

Pour revenir au sujet privé une personne de sa liberté, et le contraindre à faire ce qu’il ne supporte pas, peut parfois aggraver le processus de sa fragilité psychologique et l’enfermer dans l’irrationalité





Y'a pas d'ex detenus qui pourront nous donner leur avis?


My will is strong,it's my won't that is weak.
Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain



Aucun respect à la dignité de la personne, dans la plupart des prisons dans le monde: La folie, le suicide ou séquelles permanentes sont les cas les plus fréquents.

La France est un des pires chez les démocraties: en Algérie avant 1962, et chez elle (en France ) voir le documentaire La prison de la Santé, sur youtube code: -l0CKU51VUA

Demandez aux anciens de Tazmamart s'ils ont gardé des séquelles,

à ceux d'El-ayoun comment ils vont,



et ceux de Djedda en Arabie saoudite, si la vie à un sens


mais il y a de plus pires, où on laisse sa vie,






Dernière modification par humani , 24 juin 2015, 06h59 .







Saha Humani

le code " -l0CKU51VUA " marche pas





Sahit frero, et souam mqboul inchaa Allah
je ne sais pas pourquoi le code ne fonctionne pas, le lien:

https://www.youtube.com/watch?v=-l0CKU51VUA





Merci Humani

Là ça marche ..


saha f'tourek ganit khouya .. bel saha wel h'na


La patience n'a l'air de rien, c'est tout de même une énergie .



Certes la prison n'est pas du tout adaptée aux personnes atteintes de pathologie psychique.

Il y a aussi une réalité qu'il ne faut pas se cacher : beaucoup de cas sont maltraités, et souvent les médecins administrent certains médicaments, avec des doses (surdoses) qui mènent le prisionnier à un état de léthargie qui permet aux matons de s'en donner à coeur joie, et de faire des mises en scène pour par exemple, je dis bien PAR EXEMPLE prouver qu'il y a eu suicide en prison.


De toute évidence, aller demander si les familles ont eu accès au dossier complet de l'autopsie ... vous verrez qu'il y a beaucoup de cas de "suicides masqués/déguisés/flous" ...


Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri ou âachra fi âaynikom



en tout cas, elle ne règle pas le problème


La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective
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La prison : on ecoppe d'une peine de prison pouquoi faire. En fait je ne sais pas, est ce pour payer une dette dans ce cas c ridicule, est ce pour faire reflechir les gens dans ce cas les conditions de detentions ne sont pas adaptées, est ce pour ecarter les gens dangereux de la societe ? je n'en sais rien. Ce que je sais c'est que tous les detenus ne sont pas en prison pour la meme raison, certains sont tres dangereux et multi recidivistes, d'autres comme mon mari sont là car c'est d'actualité de taper fort sur les gens qui "soit disant s"en prennent aux forces de l'ordre" et qu'il faut faire des exemples. (mon mari repondu a un policier qui l'a insulté et qui lui a mis une baffe car il n'avait pas sa carte grise, 2 mois fermes avec mandat de depot, le lendemain de l'agression du magristrat a Metz qui a recu 2 coup de couteau). Dans le cas de mon mari qui a certes une grande geule mais qui pleure en regardant Bambi, je me demande ce que pourront lui apporter ces 2 mois d'enfermement dans les conditions que vous connaissez, je pense qu'il va en ressortir avec la haine du policier et de la justice, le cerveau completement vrillé, je le vois bien au parloir qu'il devient fou la dedans, il a meme voulu ecourter le parloir vendredi, il etait trop enerve, il devient fou, il perd confiance il cogite ne comprend pas pourquoi il est là, je me demande bien comment on va pouvoir surmonter cela. Et pour vous comment ça se passe d'un point de vue psy, Est il normal que les tueurs, psychopates, les grand bandits tres violents, braqueurs et autres soient avec un homme bon pere de famille chef d'entreprise qui a commis comme seul crime de dire a un policier que c'etait une cloche (pour repondre à "petit con de marseillais) et pour lui avoir mis une baffe (pour se defendre d'un coup de poing apres que mon mari lui ai dit qu'il etait une cloche). Ca me rend dingue, j'y pense tout le temps, il me dit que toutes les nuits ça crie des insultes, l'enfer
Je vais te parler en tant que professionnelle des prisons. Le but de la prison est simple: c'est de protéger la société des gens qui ont commis des délits, et ce, en les isolant. Donc, en résumé, la seul punition qui doit être infligée aux détenus est l'isolement du monde extérieur. Hormis ça, ils gardent tous leur droit. Ca, c'est la théorie. Mais on sait très bien que les détenus sont gardés par des êtres humains et qu'un agent ne se comportera pas pareil avec un violeur d'enfants qu'avec un voleur de voitures. Ce qui est important, c'est que ton homme se fasse respecter en prison, autant des gardiens que des détenus. Ca n'est qu'à ce prix qu'il aura la paix. Mais attention, on ne se fait pas respecter ds gardiens de la même manière qu'on se fait respecter des détenus. Pour ma part, mon homme est un "taulard" qui en est à sa huitième fois en prison, même si ça plus grosse peine n'avait jamais dépassé les 4 mois. Il est donc habitué de ce milieu comme d'autres milieux assez durs à l'extérieur. Donc question de ça, il vit très bien son incarcération. Ce qui est dur pour lui maintenant, c'est qu'il a changé d'optique et de vie future et qu'il est impatient de passer à cette nouvelle étape de sa vie. Puis je lui manque énormément. Lui qui n'avait jamais été amoureux... Si l'incarcération lui a servit? A lui oui, parce qu'il m'a rencontré et parce qu'il a l'intelligence de me faire confiance et de se dire que le bonheur c'était peut être de vivre comme tout le monde. Comme le dit toujorus mon homme "en entrant en prison, la plupart des gens perdent tout, moi j'ai tout gagné"
Jolie Française experte de la pipe
MILF en a marre de son travail et elle veut devenir salope
Bonne baise et gorge profonde

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