La première expérience lesbienne d'une belle rousse

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La première expérience lesbienne d'une belle rousse

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J’ai rencontré Marina et Sylvie, il y a quelques jours, dans un café-concert. Je crois que c’était un mardi soir. Il y avait, si mes souvenirs sont exacts, un quintette de jazz. Personnellement, je m’ennuyais un peu. Les musiciens jouaient bien mais je trouvais leur répertoire un peu vieillot. De temps en temps, je me rendais au bar pour demander un verre dans l’espoir ou bien de rencontrer quelqu’un, ou bien qu’il se passe quelque chose.

Je ne sais plus comment les choses se sont engagées entre elles et moi. Il n’a pas fallu grand-chose. Je me souviens parfaitement que ce sont elles qui m’ont abordé. J’étais au comptoir, je discutais vaguement avec le barman qui, lui aussi, s’ennuyait. Tout le monde ou presque était entassé dans l’autre salle, là où le concert avait lieu.
Il n’y avait dans cette partie que deux joueurs de billards, un couple d’âge mur et deux jolies demoiselles que j’avais repéré du coin de l’œil. J’avais envie d’aller les voir, mais depuis un moment, je ne trouvais aucun prétexte qui me paraisse correct. C’est qu’elles étaient mignonnes ces deux-là ! La blonde, menue et souriante, parlait sans arrêt et fumait beaucoup. La rouquine, plus sérieuse, lançait de fréquentes œillades dans ma direction. J’avais compris que c’était bon signe, mais étant d’un naturel timide, je n’osais pousser plus avant. Je crois qu’elles m’ont proposé de faire un billard et j’ai répondu que je ne savais pas jouer. Mais elles ont engagé la conversation et en peu de temps, nous nous sommes retrouvés dans un box, à discuter de tout et de rien. Marina, la jolie rousse, était étudiante en droit. Sa copine Sylvie, la blonde, travaillait chez un imprimeur. Moi, pour simplifier les choses, je leur dis que j’étais écrivain. C’était vrai du reste sauf que, bien évidemment, j’avais aussi un métier à côté. Les filles se mirent à me poser plein de questions : comment on crée un personnage, comment on gère l’écriture d’un gros roman. Surtout après que je leur eus précisé qu’il s’agissait de récits policiers. Quoi, un auteur de polar ? ! ! Elles étaient ravies.
Puis vint l’heure où le bar devait fermer. La municipalité avait pris, depuis plusieurs mois, des mesures pour que les établissements ferment à une heure du matin. Marina et Sylvie me proposèrent alors d’aller faire un tour à la plage. J’acceptai. Elles montèrent dans une petite fiesta rouge et je les suivis avec mon Austin. Il existe une plage qu’on appelle
« Terre Promise ». C’est un endroit retiré, assez escarpé, dangereux car il y a eu plusieurs éboulements et normalement, l’accès en est interdit. Il existait autrefois un vieux portail mais il a été arraché par tous ceux qui aiment aller y traîner. Nous descendîmes les marches en plaisantant gaiement. Heureusement, la pleine lune nous éclairait un peu. Tout en bas, quand on tourne vers le côté droit, il y a une petite crique garnie de sable fin. C’est le seul endroit où on trouve du sable. Ailleurs, ce ne sont que rochers pointus aux formes tourmentées. Marina avait pris deux grandes serviettes dans sa voiture et nous nous y installâmes. La conversation se poursuivit pendant une heure au moins. J’avais la nette impression que ce bavardage n’était là que pour chasser le silence, l’empêcher de s’installer. Ce qu’il fit néanmoins, au bout d’un moment. Alors, Sylvie fit remarquer qu’il faisait vraiment bon ce soir-là et qu’il serait bien agréable d’aller se baigner. Sans plus de cérémonie, tout le monde se déshabilla. L’eau était fraîche mais j’avais l’habitude de me baigner dans des rivières et je n’éprouvai aucune difficulté à y entrer. Je m’amusai un moment à plonger, à observer en gros plan les galets, les oursins, tout ce que la nature avait jugé bon de créer dans cette crique retirée. Les filles s’ébattaient, à quelques mètres de moi, en riant comme des folles. Lorsque je revins m’allonger, je me laissai aller à une douce rêverie, le regard perdu dans les étoiles. Sylvie sortait de l’eau, toute frémissante. Elle vint s’installer tout contre moi. Je sentis que je commençais à bander. Je me sentais un peu gêné. Mais elle me mit vite à l’aise. Elle saisit mon sexe et se mit à me branler tout doucement. Je lui demandai alors comment elle comptait faire quand sa copine sortirait de l’eau, elle me répondit que ce n’était pas un problème. Je me détendis et profitai de la caresse. Sylvie s’était penchée sur moi …
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Cette histoire s’est passée à mon travail. Ça fait 2 ans que je suis secrétaire de direction dans une petite société et j’ai un patron vraiment formidable. On peut pas dire que ce soit une grande beauté, il est petit, plus ou moins les 110 kg, dégarni mais il a un caractère génial et n’a jamais d’arrière pensée. Un très grand sens de l’humour. Mais, voilà, il part pour une retraite dorée. Pour son dernier jour de travail parmi nous, on a fêté ça comme il se doit.

Le lendemain, on savait qu’on devait avoir un nouveau patron. Quelle ne fut pas notre surprise lorsque au matin, on la vit rentrer. C’était une grande et belle femme d’une trentaine d’années, des longs cheveux noirs lui tombant dans le milieu du dos, 58kg pour un bon mètre 75, un 90C de tour de poitrine et de très longues jambes. Elle était habillée d’un tailleur classique de couleur bleu nuit et d’un petit chemisier blanc. Je me suis alors présentée à elle (on a plus ou moins le même gabarit sauf que je suis un peu plus grande). Elle dégageait un charme incroyable et elle avait un sourire sublime. Je me sentais toute bizarre devant elle.
La journée se passa tout à fait normalement jusqu’à ce que j’entre par habitude dans le bureau de mon ex-patron sans frapper et que je la découvre assise sur la chaise de bureau, une jambe posée sur le bureau, sa jupe remontée très haut sur ses jambes. Elle ne me vit pas tout de suite car elle avait la tête renversée sur son siège, la bouche ouverte et la respiration haletante. J’étais comme pétrifiée devant ce que je voyais et en même temps fascinée. Elle gémissait lentement et c’est à ce moment que le parquet de son bureau a craqué sous moi. J’ai sursauté et elle aussi. Elle a rougit quand elle m’a vu et moi aussi, faisant semblant que je venais à peine de rentrer. Elle me demanda de fermer la porte et d’entrer. Je me défendis rapidement en lui disant que je n’avais rien vu mais elle me regarda droit dans les yeux et me dit :
-« Ma petite Sophie, tu étais là depuis quelques minutes déjà et j’ai sursauté car je pensais que c’était une autre personne qui rentrait dans le bureau. »
Je savais plus ou me mettre. Alors, elle me dit :
-« Tu n’en parleras à personne, hein ? »
Je répondis que je resterais muette comme une tombe. Elle se rassit et me dit que ça lui arrivait fréquemment ce genre de chose, que c’était pour se détendre. Elle m’a remit un peu à l’aise ; en fait, elle était vraiment très gentille et on aurait même dit qu’elle me faisait du charme. Le fait d’avoir vu une telle scène faisait que mon ventre se réchauffait. Elle m’a alors demandé si j’acceptais d’aller prendre le déjeuner en ville avec elle. J’opinai sans hésitation.
Nous sommes parties avec sa voiture et nous sommes sorties de la ville pour arriver dans la nature et dans un joli petit restaurant. Nous avons bu un apéritif maison puis un deuxième. La conversation a débuté sur le travail et devint de plus en plus détendue et amicale. Elle m’expliqua qu’elle était seule depuis 6 mois, qu’elle n’avait pas envie de voir de mec pour l’instant car on l’avait fais souffrir. Moi, je lui disais que j’étais avec Benoît depuis 4 ans et que j’étais très heureuse avec lui (elle ne pouvait pas savoir à quel point depuis quelque temps). L’alcool faisant son effet, elle ôta la veste de son tailleur pour me dévoiler son chemisier blanc en soie. Elle était vraiment charmante et magnifique avec ses cheveux qui tranchaient sur la couleur blanche du chemisier. J’étais vêtue d’un tailleur gris clair, d’une jupe courte, de bas noirs Dim up et, bien entendu, je ne portais pas de slip. Nous mangions tout en conversant gaiement. Nous nous entendions vraiment bien. Le repas passa très vite.
Le serveur venait de débarrasser la table. Elle s’approcha une main des miennes. Elle les frôla au début tout en continuant à me parler, puis vraiment les caressa tendrement tout en me fixant droit dans les yeux. Ses yeux bleus étaient plongés dans les miens et je me sentais comme si j’étais déshabillée devant elle. Je me sentais toute bizarre et en même temps, je sentais comme mon excitation monter. Elle paya rapidement l’addition mais pendant ce temps, …
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