La plage des branleurs

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Publié le 19 septembre 2011 à 9h53 Mis à jour
le 15 mars 2021 à 23h50

Branleurs doués, les Américains plongent la pop dans la folie et le désordre. Critique et écoute.
Affreux, bêtes mais sans doute pas méchants, on avait laissé Ganglians sur Monster Head Room , sorti en 2009 et toujours très écouté depuis. Un disque cinoque, un monstre gentil, mal peigné et sans doute un peu drogué, brillant et slacker , où les quatre branleurs de Sacramento télescopaient les Beach Boys et un psychédélisme violent, des coups de soleil et des coups de grisou.
Bonne nouvelle : les garçons n’ont depuis appris ni la propreté, ni la logique, ni la politesse. Il règne sur le branque et branlant Still Living la drôle d’impression de rencontre entre ordre et folie : les tubes pop sont sciemment salopés, il y a du poison dans les friandises, des menaces dans les arpèges, des clous rouillés dans les coussins harmoniques, les joliesses formelles ne servent qu’à camoufler, à peine, le chaos génial des idées.
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Clémentine Rebillat

17/06/2021 à 09:34 , Mis à jour le 17/06/2021 à 09:53



Les amis de la Grande Plage de Biarritz, dans les années 1980.


© DR



Les amis de la Grande Plage de Biarritz, dans les années 1980.


© DR



Les amis de la Grande Plage de Biarritz, dans les années 1980.


© Sylvain Cazenave



Les amis de la Grande Plage de Biarritz, dans les années 1980.


© DR



Le documentaire est «Biarritz Surf Gang», disponible en VOD.


© DR



Les amis de la Grande Plage de Biarritz, dans les années 1980.


© DR



Nabo


© DR



Nabo


© DR



La Mouche


© DR



La Mouche


© DR



Le documentaire est «Biarritz Surf Gang», disponible en VOD.


© DR









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Le documentaire «Biarritz Surf Gang», disponible en VOD, revient sur l’histoire déjantée de la bande de surfeurs de la Grande Plage. Six amis insolents et sans concessions qui ont fait régner leur loi dans les années 1980.
Ils sont les témoins d’une époque où le surf était encore une contre-culture. Où les marques, les sponsors, les diffuseurs ne lui avaient pas mis la main dessus et où la liberté de faire ce que l'on voulait primait sur l’image que l’on renvoyait. Dans les années 1980, les potes de la célèbre bande de la Grande Plage, où est né un surf physique et radical, ont animé Biarritz de leurs exploits… sur l’eau et hors de l’eau. Le film «Biarritz Surf Gang» retrace ces années d’insouciance grâce à des images d’archives Super 8 exceptionnelles, tournées aux quatre coins du monde.
Nathan Curren et Pierre Denoyel, les deux réalisateurs français, qui ont grandi sur cette plage mythique, racontent l’histoire de six des meilleurs surfeurs de l’époque, champions de France et d’Europe, devenus légendes. Si pour certains à l’époque, la compétition offrait une dose d’adrénaline suffisante à les rendre heureux, d’autres sont tombés dans la drogue, les addictions, la fête, poussés par un esprit de liberté et une envie de vivre des expériences extrêmes, en pleine période hippie underground. Pour Michel, La Mouche, Nabo, Eric, Kikette et Sammy, surfeurs décadents, la fête et la bagarre se mêlaient aux sessions sur la planche. Dans leurs trajectoires de vie si particulières, l’un, Kikette, s’est retrouvé en prison aux Canaries, d’autres ont sombré dans les paradis artificiels notamment lorsque des kilos de cocaïnes ont soudainement terminé leur voyage sur les plages de la côte basque. «Ce qu’on préférait, c’était foutre le bordel partout où on passait», expliquent-ils dans le film.
Mais alors que leur mode de vie marginal et sans limite aurait pu les éloigner les uns des autres, la glisse leur a offert un lien indescriptible, forgeant leur amitié au fil de l’eau et leur permettant même d’obtenir une seconde chance, pour survivre et ne pas plonger définitivement dans les abysses de l’addiction. «Je suis tombé dans les méandres, je me suis relevé grâce au surf, les drogues dures m’ont fait du mal. J’avais un cerveau qui était avide de sensations, je voulais tout goûter et je me suis fait baiser. C’est tout, c’est pas compliqué», se souvient Joël Darrigues, dit Nabo, auprès de l’AFP.
«On était une bande de branleurs comme y en a sur toutes les plages mais à Biarritz la plage est en plein centre-ville, ça a tout changé. Et parmi nous, y a eu les meilleurs surfeurs de la génération», explique Frédéric Etchebar, dit Tcheuch, lui aussi à l’AFP à l’occasion de la sortie du film en VOD. Michel Larronde - premier Européen à avoir surfé les grosses vagues à Hawaii, où il a vécu pendant 25 ans – se souvient de son côté de leur look qui ne passait pas inaperçu. «On avait les cheveux longs blonds, on trainait jusqu’à pas d’heure, on sortait de l’eau on allait en boite». Un mode de vie extrême, une insolence poussée par un esprit de révolte, qui a fini par leur coûter leur place en équipe de France. Avec le recul nécessaire et les expériences de la vie, ces figures locales, témoins d’une époque révolue, veulent transmettre leur histoire. Aujourd’hui, certains trouvent en leur passé l’opportunité de mettre en garde les jeunes générations contre les ravages de la drogue. Et avec ce film exceptionnel, primé dans de nombreux festivals, les «barjes» de la Grande Plage veulent avant tout rappeler que même si le surf et la glisse ne sont plus tout à fait à l’image de ce qu’ils ont connu, ils peuvent toujours, et à jamais, sauver des vies.
«Biarritz Surf Gang» est disponible depuis le 24 mai sur les plateformes traditionnelles telles que Apple TV, CANAL VOD, Orange, Viméo, Prime Vidéo, Google Play, Microsoft…

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