La petite aime avoir mal

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D'aprÚs la professeure Helen Dent, «ces enfants s'en tireront probablement beaucoup moins bien, parce qu'ils intériorisent toutes les mauvaises choses qu'on leur dit et qu'on leur fait subir.» | Katherine Chase via Unsplash




Parents & enfants


Famille


solitude


enfants


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Repéré par Mathilda Hautbois
— 9 octobre 2019 à 10h28
Temps de lecture: 2 min — RepĂ©rĂ© sur The Guardian
Le favoritisme parental existe. PrĂšs de 85% des personnes interrogĂ©es pour une Ă©tude publiĂ©e en 2009 estimaient que leur mĂšre avait une prĂ©fĂ©rence parmi leurs frĂšres et sƓurs.
Ce résultat fait écho à d'autres travaux de recherche ayant révélé que de nombreux parents ont un enfant préféré, mais que cela ne change en rien l'amour qu'ils éprouvent pour chacun. Les parents assurent simplement que s'ils ont un enfant favori, c'est parce qu' ils se reconnaissent davantage dans sa personnalité .
Diya, 27 ans et mĂšre de trois enfants, a toujours su que sa mĂšre prĂ©fĂ©rait sa sƓur: «Ça persiste encore aujourd'hui. Ma mĂšre a dĂ©pensĂ© 6.700 euros pour le mariage de ma sƓur et a fait le travail d'organisation pour elle. Je me suis mariĂ©e rĂ©cemment. Elle a payĂ© la moitiĂ© de ma robe et m'a finalement offert un cadeau plusieurs semaines plus tard. Elle ne s'est pas impliquĂ©e dans les prĂ©paratifs du mariage. Elle n'a pas trouvĂ© de temps pour moi du tout.»
La jeune femme est effrayĂ©e de voir le favoritisme se transmettre de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration. «Ma mĂšre a dĂ©jĂ  laissĂ© tomber mes enfants plusieurs fois, annulant Ă  la derniĂšre minute leur anniversaire, raconte-t-elle, mais maintenant, ma sƓur est enceinte. J'attends juste de voir si son bĂ©bĂ© reçoit plus d'attention que mes enfants. Si je vois des signes de favoritisme lĂ  aussi, la relation entre ma mĂšre et moi sera terminĂ©e pour de bon. Je ne veux pas que mes enfants ressentent la douleur que j'ai ressentie.»
Diya n'est pas un cas isolĂ©. Sara, 50 ans, a Ă©galement grandi en Ă©tant la mal-aimĂ©e de sa fratrie et cela l'a affectĂ©e tout au long de sa vie. Elle a eu une enfance trĂšs diffĂ©rente de ses sƓurs et a Ă©tĂ© dĂ©favorisĂ©e sur les plans affectifs et financiers. Sa mĂšre a Ă©tĂ© abandonnĂ©e par son conjoint alors qu'elle Ă©tait enceinte de Sara, et c'est aprĂšs qu'elle a rencontrĂ© le pĂšre de ses sƓurs: «Dans leur esprit, je n'Ă©tais pas une “fille de mĂ©decin” comme mes sƓurs. J'Ă©tais juste la progĂ©niture d'un homme au hasard.»
«C'est trÚs dommageable pour un enfant lorsqu'il est le seul dont ses parents ne veulent pas s'occuper. Ces enfants s'en tireront probablement beaucoup moins bien, parce qu'ils intériorisent toutes les mauvaises choses qu'on leur dit et qu'on leur fait subir. Cela peut avoir des conséquences horribles sur leur estime de soi », alerte la professeure Helen Dent , qui a travaillé avec des familles au sein desquelles un enfant est devenu le bouc émissaire.
Sara est persuadĂ©e qu'il est pire d'ĂȘtre Ă©levé·e dans une famille avec un enfant favori que dans un foyer sans amour. «Ce n'est pas seulement que l'enfant “dĂ©favorisĂ©â€ se sent mal-aimĂ©. Leurs frĂšres et sƓurs ressentent beaucoup de pression pour ĂȘtre irrĂ©prochables et la copie parfaite des parents. Ils grandissent avec cette peur profonde et sous-jacente que l'amour de leurs parents puisse leur ĂȘtre retirĂ©, comme il l'a Ă©tĂ© pour leur frĂšre ou leur sƓur», souligne-t-elle.
La professeure Dent rejoint cette analyse: «Les frĂšres et sƓurs se sentiront heureux et soulagĂ©s d'obtenir l'approbation, mais ils se sentiront aussi, consciemment ou inconsciemment, coupables et sans sĂ©curitĂ© parce que si l'amour de leurs parents n'est pas inconditionnel, qui sait ce qui peut leur arriver ensuite?»
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Repéré par Anna Jouyet
— 18 aoĂ»t 2022 — Temps de lecture : 2 min
Pour des raisons médicales, professionnelles ou plus personnelles, certaines femmes recourent à l'allaitement partagé.

Repéré par Héloïse Le Fourner
— 12 aoĂ»t 2022 — Temps de lecture : 2 min
Ils influencent positivement notre carriĂšre: selon les derniĂšres Ă©tudes scientifiques, les amis riches, c'est que du bonus.

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«C'est trÚs dommageable pour un enfant lorsqu'il est le seul dont ses parents ne veulent pas s'occuper. Ces enfants s'en tireront probablement beaucoup moins bien, parce qu'ils intériorisent toutes les mauvaises choses qu'on leur dit et qu'on leur fait subir. Cela peut avoir des conséquences horribles sur leur estime de soi », alerte la professeure Helen Dent , qui a travaillé avec des familles au sein desquelles un enfant est devenu le bouc émissaire.
Sara est persuadĂ©e qu'il est pire d'ĂȘtre Ă©levé·e dans une famille avec un enfant favori que dans un foyer sans amour. «Ce n'est pas seulement que l'enfant “dĂ©favorisĂ©â€ se sent mal-aimĂ©. Leurs frĂšres et sƓurs ressentent beaucoup de pression pour ĂȘtre irrĂ©prochables et la copie parfaite des parents. Ils grandissent avec cette peur profonde et sous-jacente que l'amour de leurs parents puisse leur ĂȘtre retirĂ©, comme il l'a Ă©tĂ© pour leur frĂšre ou leur sƓur», souligne-t-elle.
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Publié le
10/02/2017 Ă  12:30 , mis Ă  jour le

15/02/2017 Ă  16:42








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Avoir du mal à dire "je t'aime" vient souvent d'un manque de confiance en soi développé dans l'enfance.
Ensemble depuis quatre ans, Sarah et Fabien vivent une relation particuliĂšrement Ă©panouissante. "Nous avons tout pour ĂȘtre heureux . On ne se dispute que trĂšs rarement, on a les mĂȘmes envies pour le futur, on rit beaucoup", Ă©numĂšre la jeune femme de 30 ans. Un seul dĂ©tail entache son bonheur : "Fabien ne me dit jamais qu'il m'aime", se dĂ©sole-t-elle. 

Une économie de mots qui ne date pas d'hier. "Il me l'a dit une fois, au bout d'un an, sentant probablement que je ne comprenais pas son mutisme , d'autant que je lui avais avoué mes sentiments depuis longtemps. Depuis, je peux compter sur les doigts d'une seule main ses déclarations d'amour ", souligne Sarah. 

ExtrĂȘme timiditĂ© , gĂȘne excessive, quelles sont les raisons de ce silence qui empoisonne la vie de nombreux couples? Pour Yvane Wiart, chercheuse en psychologie de l'universitĂ© Paris Descartes, auteure de L'attachement, un instinct oubliĂ© (Ă©d. Albin Michel), les racines du phĂ©nomĂšne sont profondes. 

"Il faut souligner l'importance des liens affectifs noués dans l'enfance, explique Yvane Wiart. Les enfants qui ne reçoivent que trÚs peu de cùlins , de preuves d'amour ont souvent une carence affective. A l'ùge adulte, ils peuvent développer des personnalités qui ont un type d'attachement dit 'évitant'. Pour pallier ce manque d'amour, ils finissent par le considérer comme 'non important', voire menaçant." 

Pour Hugo, la situation est un peu diffĂ©rente. "Je n'ai pas manquĂ© d'amour dans mon enfance. Je pense plutĂŽt qu'Ă  la suite de dĂ©ceptions amoureuses Ă  rĂ©pĂ©tition, je me suis forgĂ© une carapace pour Ă©viter de souffrir. J'ai fini par me dire que se livrer, c'est ĂȘtre vulnĂ©rable. Aujourd'hui, je trouve qu'il n'y a rien de pire par exemple que de fĂȘter la Saint-Valentin . Ces hordes de couples qui se regardent dans le blanc des yeux au restaurant, cela me dĂ©prime profondĂ©ment", soupire-t-il. 

Difficile alors de se faire une place auprÚs d'un partenaire si fermé. Ce retrait émotionnel et relationnel conduit bien souvent à douter de son amour. Peu à peu, l' incertitude ronge la relation. "Il faut une bonne dose de confiance en soi pour supporter ce manque d'affection au quotidien, pour ne pas douter en permanence des sentiments de son compagnon, estime Sarah. Personnellement, je n'y arrive pas toujours." 

"Les personnes qui sont incapables d'exprimer leurs émotions, qui ont du mal à dire 'je t'aime' maintiennent une forme de distance , elles ont tendance à ne pas s'impliquer ouvertement et à fuir au moindre conflit", analyse Yvane Wiart. 

"En revanche, si elles sentent que leur conjoint est particuliĂšrement en demande, qu'elles sont au pied du mur, elles peuvent tout de mĂȘme parvenir Ă  faire un effort . Elles seront alors capables de dire ce que l'on attend d'elles mais de maniĂšre mĂ©canique, comme si elles avaient appris une leçon par coeur", dĂ©taille la spĂ©cialiste. 

Ces confidences un peu forcées, Sarah les a déjà entendues. A force de critiques et de reproches à peine voilés, elle a finalement obtenu récemment un 'je t'aime' de la part de Fabien. Cette déclaration d'amour ne lui a pourtant pas procuré le plaisir escompté. En cause, l'attitude de son conjoint, qui s'est immédiatement fermé, lui faisant presque payer cet aveu par un mutisme tenace. "On ne m'y reprendra plus, affirme la jeune femme. D'abord par fierté et ensuite parce que cela ne m'a pas apporté de réconfort mais plutÎt un sentiment d' humiliation ." 

"A chaque fois que l'on m'a demandĂ© de dire 'je t'aime', j'ai fuis. Je trouve insupportable d'ĂȘtre poussĂ© de la sorte dans mes retranchements", ajoute Hugo. Mais comment faire alors pour parvenir Ă  nouer un dialogue serein avec son conjoint et libĂ©rer la parole ? 

"Il est important que les personnes 'Ă©vitantes' fassent un travail sur elles-mĂȘmes. Elles accordent souvent une grande place Ă  l'intellect. On peut donc les inciter Ă  se renseigner sur les mĂ©canismes du besoin de l'attachement afin qu'elles prennent conscience de l'existence de ce besoin instinctif et de son blocage chez elles", propose Yvane Wiart. De quoi amorcer une rĂ©flexion Ă  deux, oĂč chacun pourra exprimer son ressenti. 

Sarah a optĂ© pour un mode opĂ©ratoire beaucoup plus concret . "J'ai mis ma fiertĂ© de cĂŽtĂ©. Je me suis empĂȘchĂ©e de devenir froide Ă  mon tour. Plus le temps passe, plus je couvre Fabien d'amour, pour lui montrer qu'il n'a rien Ă  craindre, que dire 'je t'aime', ĂȘtre tactile, c'est renforcer d'autant notre lien. Petit Ă  petit, je sens qu'il se dĂ©tend, qu'il est plus rĂ©ceptif , Ă  l'aise. Et qui sait, peut-ĂȘtre que bientĂŽt j'aurais droit Ă  une vĂ©ritable dĂ©claration?", s'amuse-t-elle. 


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