La personnificatoin de la beauté

La personnificatoin de la beauté




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































La personnificatoin de la beauté
Images Photos Illustrations Vectoriels Vidéos
Personnification de la beauté - Vidéo stock ...
© 2022 iStockphoto LP. Le logo iStock est une marque déposée de iStockphoto LP. Faites votre choix parmi des millions de photos, vidéos et illustrations de haute qualité.
4k video footage of a beautiful young woman with gorgeous hair posing in the studio
En savoir plus sur les vidéos libres de droits ou consulter la FAQ sur les vidéos .

© 2011 - 2017 ~ Ecrire-un-roman.com ~ Tous droits réservés .
Les figures de style dans l’écriture d’un roman sont nombreuses, très nombreuses, et il est important de connaitre en quoi consistent ces figures de style . Ces différents mini dossiers aborderont brièvement quelques-unes d’entre elles afin de vous familiariser avec ceux-ci. Dans ce premier mini cours, je tenterais de vous expliquer ce qu’est la personnification dans le roman.
La personnification, qu’est-ce que c’est ? C’est une figure de style, c’est-à-dire un procédé stylistique qui vise à exprimer une idée de façon plus frappante ou plus belle que ne le feraient les expressions courantes . Ces procédés stylistiques sont très nombreux : un dictionnaire comme le Gradus, de Bernard Dupriez, en recense pas moins de mille deux cents !
Que l’écrivain en herbe se rassure, personne ne les connaît tous… Et ce n’est, heureusement, pas une nécessité pour bien écrire. Les figures les plus connues sont sans doute la comparaison, la métaphore, l’antithèse… et la personnification. Cette dernière consiste à animer un objet ou une abstraction .
C’est dans les poèmes que les figures de style sont les plus fréquentes, car l’écart avec la langue courante y est plus grand qu’ailleurs. Mais l’on trouve des personnifications dans les récits aussi, et notamment dans les descriptions . La personnification permet de présenter les choses de manière plus vivante . En introduisant des intentions dans les objets inertes, elle traduit une vision du monde où rien n’est figé . On peut écrire un excellent roman sans l’employer, bien sûr, mais elle n’en fait pas moins partie de ces « outils » qu’il est bon d’avoir à sa disposition.
Les exemples ne manquent pas pour une figure aussi répandue. Le Gradus, qui est en quelque sorte la Bible des figures de style, cite une phrase de Marcel Proust :
« L’Habitude venait me prendre dans ses bras et me portait jusque dans mon lit ».
On voit que le concept d’habitude est devenu ici une sorte de substitut maternel.
On pourrait citer aussi ce moment de Cyrano de Bergerac, d’Edmond Rostand, où Cyrano s’exclame :
« J’ai des fourmis dans mon épée ! »
C’est ici l’épée qui, implicitement comparée à une jambe, est comme animée . Avouez que l’expression est moins banale et plus marquante que
« J’ai bien envie de tirer mon épée » !
(Et remarquons au passage que plusieurs figures de style présentent des points communs avec la personnification : c’est notamment le cas de l’allégorie et de la métaphore.)
Le principal écueil de cette figure de style, c’est au fond sa facilité d’usage. Vous risquez bien, si vous n’y prenez garde, d’en abuser , et de verser dans le fade, le décoratif ou l’absurde.
On lit par exemple dans le journal d’un écrivain contemporain : « Le temps qu’il a fait ici s’est ingénié à lui donner raison ». L’emploi du verbe « s’ingénier » à propos du temps qu’il fait ne paraît pas très heureux. De telles personnifications donnent l’impression que l’auteur est incapable de s’exprimer avec simplicité. Et n’oubliez que dans ce cas, l’auteur c’est vous !
Si le début de votre récit se passe à l’aube, il vaut encore mieux écrire platement : « le soleil se levait » (ce qui, remarquez-le, est déjà une personnification, mais elle n’est plus senti comme telle) que de compliquer votre phrase en écrivant de manière ampoulée : « le soleil encore tout embrumé avait posé un pied à terre et s’apprêtait à démarrer sa journée ».
De tels détours risqueraient fort d’exaspérer votre lecteur au lieu de le séduire !
Nous verrons dans de prochains articles de nouvelles figures de style pour vous familiarisé avec ces procédés stylistiques et vous aurez bientôt accès à un article qui regroupera des liens pour approfondir le sujet et vous permettre de travailler dessus.
Que pensez-vous de la personnification ? Comment l’appliquez-vous au sein de vos textes ?
auriez vous des personnifications pour un arbre?
Prouver vous m’aider sur la personnification du mots livre ???????????????
Est ce qu’il y a des auteurs que vous nous a part saint Exupéry
Est-ce que vous avez des phrases avec un personnification dans la peur?
Effectivement, peut-être que plus de personnes que je ne le pense utilisent ces procédés. Et si le jeune auteur tente d’en faire trop, ne serait-ce pas par ce qu’il a peur de ne pas en faire assez ? Enfin, c’est ce que je pense et après tout, nous avons tous des avis et des opinions différents.
C’est probablement la raison première, comme tu le cites. C’est naturel de vouloir en faire plus pour plaire.
Et Dieu merci pour les opinions différentes ! Autrement, le monde n’évoluerait pas
Il est vrai qu’il y a des limites à poser. Un récit qui regorge de personnifications deviendra vite pompeux et difficile à lire pour le lecteur. Personnellement, j’utilise ce procédé quelques fois pour donner du style à des expressions.
Par exemple, j’aime utiliser l’accumulation qui permet de renforcer une idée. Ce souvenir était net, parfait, clair, précis, distinct . Où encore j’utilise souvent la comparaison. Son souvenir était bien présent dans son esprit, semblable à une pierre claire et nette taillée dans de la roche . J’aime également les métaphores. Je trouve qu’elles apporte de la force à notre texte. Néanmoins même si peu de gens utilisent ces procédés, je les trouve parfois très utiles. Bien sûr, il ne faut pas tomber dans l’exès et en faire trop.  
Merci pour ta remarque. Effectivement, il faut savoir faire preuve de retenu par moment, et de ne pas trop exagérer. Cependant, je ne dirais pas que peu de gens utilisent ces procédés.
Au contraire, je pense que les figures sont souvent trop présentes, car le jeune auteur tente la plupart du temps d’en faire trop.
Certes, ce n’est pas forcément consciemment qu’on use de ces figures de style, car elles sont une manière naturelle de nous exprimer et d’exprimer avec plus de… style dans nos dires.
Dans l’utilisation des figures de style, personnification comprise, tout l’art de l’écrivain vient de sa capacité :
– à être juste, c’est à dire utiliser les figures de styles au bon moment et en s’adaptant au contexte. Dans le cas du vendeur de kébab, l’utilisation d’allitérations et d’assonances pour mieux plonger le lecteur dans l’ambiance, serait peut-être plus appropriée que la personnification !
– à innover, c’est à dire éviter de tomber dans les clichés (ceux-ci ont la déplorable habitude de s’imposer facilement à l’esprit de l’écrivain). Oublions donc « son sang se glaça dans ses veines », « belle comme une fleur », « ses cheveux dorés comme les blés » etc… 
Ceci dit, que l’écrivain débutant ne se fasse pas de soucis, il n’est pas nécessaire de réfléchir pendant 2h à chaque phrase que l’on écrit ou de culpabiliser parce qu’on croit ne pas utiliser de figures de style. Comme tu le dis Manuel, se relire peut aider à découvrir de mauvaises surprises mais, on en trouvera aussi de bonnes ! Bien des fois, j’ai découvert après coup des figures de style dans mes textes !!!
Oui, il est important de ne pas s’embrouiller l’esprit dès le départ en passant trop de temps sur ce que l’on écrit. Avant tout pour une question de prendre l’habitude d’écrire.
Se relire permet aussi de trouver de bonnes surprises, c’est vrai, mais le problème en étant débutant dans l’écriture est de ne pas toujours réussir à discerner ces bonnes figures des mauvaises. D’où prendre le temps d’apprendre à être juste et d’éviter des clichés comme tu le dictes si bien. Ce qui passe, de mon point de vue, par une analyse de ces mauvaises figures en premier lieu.
C’est un procédé que j’utilise assez rarement pour la simple est bonne raison que mon style d’écriture ne s’y prête pas. Dès que je m’y essaye, j’ai un gros voyant rouge qui éclaire ma page: « ATTENTION, PROCÉDÉ POMPEUX ET LOURD. » (qui fait obligatoirement hausser les sourcils du lecteur… ).
Qu’il s’agisse de comparaisons « moultement élaborées », de personnifications, d’allitérations, de chiasmes ou de tout autre procédé stylistique, j’imagine que ce genre de chose est à utiliser avec précaution, et surtout à sa place .
Si le roman se déroule dans les bas fonds du quartier turque parisien et qu’un vendeur de kebab se met à philosopher sur « la beauté hypnotique de la sève incandescente qui s’écoule de l’arbre blessé » pour parler du gras de la viande, il n’y a rien de mieux pour casser l’ambiance… ^^
 
D’accord avec toi, il faut faire attention à ce qu’on utilise et comment on le fait.
Cependant, nous sommes tous, plus ou moins, utilisateurs de ces figures de style. Le plus souvent inconsciemment
Se relire nous laisse parfois de belles surprises !
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Le visage humain d’un arbre – paréidolie. (tombud – CC BY SA).
Prêter des traits humains aux arbres. (FunkyFocus – CC BY SA).

Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.




Le goût du livre



Personnaliser




Suivre


Abonné


S’inscrire
Connexion
Copier shortlink
Signaler ce contenu


Voir l’article dans le Lecteur


Gérer les abonnements

Réduire cette barre




E-mail (requis)



Nom (requis)



Site web



Pour tous les amoureux de la littérature, et pour les créateurs de demain.
La personnification et son histoire
Une personnification est une figure de style dont le nom vient du latin persona , qui désignait le masque d’un acteur. Une personnification va en effet donner des attributs humains à des choses inanimées, comme des objets, ou à des végétaux, voire des animaux. Cette figure de style donne donc, si l’on peut dire, un masque humain à d’autres éléments de notre environnement.
La personnification est une figure de style qui a un long passé derrière elle. Les auteurs antiques usaient de la personnification pour décrire le comportement des dieux ayant pris possession d’animaux pour jouer leurs tours. (On peut par exemple penser à Zeus, dans la mythologie grecque, qui se transforme en un puissant taureau blanc pour aller conquérir la belle Europe).
Depuis, la personnification est devenue l’arme des poètes, qui voient dans les choses inanimées autant de beauté, de profondeur et de noirceur que dans l’être humain. On la retrouve aussi, bien évidemment, dans d’autres genres littéraires, dans des romans, textes de théâtre, ou autre.
Enfin, il faut se rappeler que la personnification n’existe qu’au travers d’une comparaison ou d’une métaphore. Par exemple, dans la phrase « J’écoute le murmure de la pluie « , l’auteur prête la qualité de parole à la pluie, nous avons donc là une personnification qui utilise le procédé de la métaphore . Si tout cela est encore un peu confus, ou si vous souhaitez tout bonnement découvrir d’autres personnifications , vous trouverez davantage d’exemples ci-dessous.
Jean-Jacques Rousseau, dans son roman Julie ou la Nouvelle Héloïse (1761), utilise la personnification pour définir l’enfance, une chose normalement inanimée :
« L’enfance a des manières de voir, de penser, de sentir qui lui sont propres. »
Voici un autre exemple de personnification pour un objet inanimé, avec un extrait du poème « Les Usines » de Emile Verhaeren, que l’on retrouve dans le recueil Les Villes tentaculaires (1895) :
« Se regardant avec les yeux cassés de leurs fenêtres Et se mirant dans l’eau de poix et de salpêtre D’un canal droit, marquant sa barre à l’infini, . Face à face, le long des quais d’ombre et de nuit, Par à travers les faubourgs lourds Et la misère en pleurs de ces faubourgs, Ronflent terriblement usine et fabriques. « 
Les usines et les fabriques, ici, se regardent mutuellement et ronflent ; deux fonctions humaines leur sont attribuées. Nous sommes donc face à une personnification des usines et des fabriques.
La métaphore 21 janvier 2020 Dans "La métaphore"
L’allégorie 2 février 2020 Dans "L'allégorie"
La comparaison 24 janvier 2020 Dans "La comparaison"
Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:


Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com.
( Déconnexion / 
Changer )





Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter.
( Déconnexion / 
Changer )





Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook.
( Déconnexion / 
Changer )



Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires.
Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles.
Entrez votre adresse mail pour suivre ce blog et être notifié(e) par email des nouvelles publications.

Artmajeur Magazine Histoire de l'art Beauté iconique : la représentation de Vénus dans l'histoire de l'art

Olimpia Gaia Martinelli

|

30 nov. 2021

7 minutes de lecture




Version Web



Abonnement (Gratuit)





Sandro Botticelli
Nascita di Venere
Venere di Milo
Venere di Willendorf
Uffizi Gallery
Histoire de l'art


Cette collection est gérée par Olimpia Gaia Martinelli

HORYMA : renouveler le genre LightPainti avec sa propre technique


30 sept. 2019
|

3 minutes de lecture

L'un des plus grands musées du monde se met aux NFT


2 sept. 2021
|

2 minutes de lecture

Un médecin tente de vendre une radiographie en NFT d'une rescapée du Bataclan


25 janv. 2022
|

2 minutes de lecture

Recevez notre lettre d'information pour les amateurs d'art et les collectionneurs



Russie
|
français
|
RUB


La beauté est un concept abstrait, qui a souvent pris vie dans les œuvres des plus grands artistes de tous les temps, mais sans trouver une forme unique de représentation. En fait, l'idée de beauté est changeante, car elle est soumise aux changements du contexte historique, culturel, économique et social dans lequel les artistes ont opéré. Cela peut être illustré par l'évolution que la représentation de la déesse de l'amour, Vénus, a connue au cours des siècles...
La beauté, un concept abstrait longuement étudié au fil des siècles, se traduit par l'expérience de sensations agréables, provoquées par des objets, des personnes, des sons ou des idées, qui sont capables de stimuler positivement nos sens, en les associant à un contenu émotionnel positif. En outre, nous parlons de beauté lorsqu'un objet, une idée ou une personne peut nous rendre heureux, que nous les possédions ou non. Il convient toutefois de souligner que cette notion de beauté est changeante et relative, car elle est inextricablement liée à un contexte historique, culturel, économique et social. Cela peut être illustré par l'évolution au cours des siècles de la représentation de la déesse de la beauté, de la fertilité et de l'amour, Vénus. Pour montrer ces changements figuratifs, il est possible de se référer à trois Vénus qui ont marqué de manière indélébile l'histoire de l'art : la Vénus de Willendorf , la Vénus de Milo et la Vénus de Botticelli. 
La Vénus de Willendorf, la plus célèbre des Vénus paléolithiques, est une statuette de onze centimètres représentant une figure féminine nue, debout, les bras posés sur les seins, le visage non sculpté et la tête couverte d'une coiffure ou d'un couvre-chef. En outre, ce corps féminin, dépourvu de mains et de pieds, se caractérise par des seins très prononcés, des hanches énormes et des organes génitaux disproportionnés. En réalité, cependant, de telles caractéristiques physiques ne pouvaient pas appartenir à une période où la disponibilité de la nourriture était rare, comme au Paléolithique, de sorte qu'il semble plus probable que Vénus, avec sa rondeur, était une personnification de la fertilité, un souhait de survie et d'abondance, lié au culte de la terre-mère. Enfin, en ce qui concerne le matériau dans lequel l'œuvre a été réalisée, la statuette, faite de calcaire oolithique jaunâtre, recouverte d'un matériau argileux rougeâtre, présente un aspect poreux, permettant à la lumière de se refléter partiellement sur la surface, créant ces effets de clair-obscur qui déterminent ses irrégularités formelles. 
L 'Aphrodite de Milo , ou Vénus de Milo , datée de 130 avant J.-C. et conservée au musée du Louvre, est l'une des sculptures les plus célèbres au monde, incarnant parfaitement l'idéal hellénistique de la beauté féminine. Cette œuvre, qui fait référence à un épisode encore inconnu de la vie de Vénus, représente la déesse en position debout, le buste découvert et un tissu recouvrant entièrement son bassin et ses jambes. Ainsi, la sculpture présente des caractéristiques stylistiques qui peuvent être rattachées à deux périodes différentes : la partie supérieure du corps, qui est nue, rappelle les statues de divinités de l'époque classique, tandis que la partie inférieure, qui est couverte d'une épaisse draperie, est purement hellénistique. De plus, la statue n'a pas de bras et n'a pas sa base d'origine, car elle a été trouvée sur l'île grecque de Milos par étapes : d'abord le torse, puis les jambes et enfin un élément plus petit qui permettait de joindre les deux moitiés du corps. Quant à l'auteur de ce chef-d'œuvre, l'œuvre, parce qu'elle mêle différents styles, a d'abord été attribuée à Praxitèle, l'un des plus grands
Femme mature cornée se masturbe et baise
Baiser la chatte d'une brune magnifique
Bonne aux gros nibards ne se lasse jamais du sexe hardcore

Report Page