La pénétration anale pour une écolière (1ère partie)

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La pénétration anale pour une écolière (1ère partie)
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Vérifié le 15/03/2022 par PasseportSanté
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La pénétration vaginale est la voie la plus classique de l'acte sexuel. C'est elle qui marque la fin de la virginité chez la femme. D'autres voies sexuelles sont également expérimentées par les partenaires au moment de l'acte, en fonction des préférences de chacun et parfois pour des raisons pratiques.
Source de plaisir jusqu'à l'orgasme, la pénétration peut néanmoins s'avérer douloureuse. Dans cet article, nous vous expliquons tout ce qu'il faut savoir sur la pénétration.
Au moment de l'acte sexuel, les amants peuvent explorer différentes voies pour atteindre le plaisir charnel. La voie vaginale reste la plus répandue chez les couples hétérosexuels. Ce mode de pénétration étant le plus conventionnel, mais également celui qui mène le plus souvent à l'orgasme féminin.
La double pénétration implique 3 partenaires, ou 2 partenaires et un sextoy. Cette pratique recouvre plusieurs définitions : 
Mœurs répandues dans les films X, la double pénétration demeure taboue. Rares sont les amants qui l'expérimentent, encore plus rares ceux qui ne s'en cachent pas.
De nombreux hommes hétérosexuels trouvent d'autant plus de plaisir dans la pénétration anale . L'orifice étant plus étroit, les frottements procurent un plaisir amplifié.
Du côté des femmes, les avis sur la pénétration anale sont partagés. Certaines femmes prennent du plaisir physique à la sodomie, d'autres l'expérimentent pour donner du plaisir à leur partenaire, d'autres encore s'y refusent.
Les arguments des femmes qui refusent cette pratique sont souvent :
Chez les homosexuels et contrairement aux croyances répandues, la pénétration anale n'est pas le seul moyen de parvenir à l'orgasme. De nombreux couples homosexuels ne pratiquent pas la pénétration anale, se concentrant sur le plaisir buccal.
La pénétration anale reste une voie empruntée par le couple lorsque la partenaire a ses règles. En tout état de cause, la sodomie ne présente aucun risque de grossesse.
Certaines femmes n'éprouvent pas de plaisir à la pénétration. Cela peut être dû à la maladresse du partenaire ou encore au manque de lâcher prise.
Pour d'autres femmes, ce n'est pas le manque de plaisir, mais la douleur au rapport qui freine les ardeurs. La pénétration peut, en effet, s'avérer douloureuse. Cette douleur peut être due à un manque de lubrification, un pénis trop large ou parfois à des causes médicales.
La pénétration douloureuse n'est pas une fatalité. La femme qui ressent de l'inconfort au moment du coït peut tester diverses solutions pour y remédier. Parmi ces solutions, voici quelques conseils que vous pouvez appliquer lors de votre rapport sexuel :
Le vaginisme est une peur panique de la pénétration provoquant un blocage et une impossibilité de pénétration. Cependant, le vaginisme n'est pas lié à une anomalie du vagin ou une maladie gynécologique. Il s'agit plutôt d'un trouble psychologique que peut rencontrer la femme. 
Le vaginisme se caractérise par les muscles péri-vaginaux qui sont soumis à un réflexe incontrôlé et qui empêche le pénis de pénétrer dans l'orifice du vagin.
Il existe différentes causes qui expliquent le vaginisme (des antécédents de traumatismes sexuels, troubles de l'identité sexuelle, une phobie de l'acte sexuel, un rapport sexuel trop douloureux, etc.).
Si vous souffrez de vaginisme, n'hésitez pas à consulter un gynécologue ou un sexologue pour parler de votre problème. De nos jours, ce trouble se soigne très bien.
En attendant, les partenaires peuvent se concentrer sur la zone clitoridienne pour éviter les douleurs liées à la pénétration.
Il est impossible de tomber enceinte sans pénétration. La grossesse suppose la rencontre d'un spermatozoïde avec un ovule et cette rencontre a lieu dans le corps de la femme lorsque l'homme éjacule en elle. Sans pénétration, aucun risque de grossesse.
Lorsqu'une femme ne prend pas de moyen de contraception, les partenaires qui souhaitent avoir un rapport sexuel sans procréer doivent donc éviter la pénétration vaginale. Ils peuvent néanmoins s'adonner à la pénétration anale, aux attouchements et aux plaisirs buccaux comme la fellation et le cunnilingus, pour prendre du plaisir.
La pénétration vaginale présente plusieurs conséquences, au-delà du plaisir sexuel. Le risque de grossesse, duquel se protéger par des contraceptifs et le risque de maladies sexuellement transmissibles (MST).
La pilule, le stérilet et l'implant présentent l'avantage du risque 0. Certains partenaires pratiquent le retrait ou la méthode du calcul, méthodes plus risquées.
Le préservatif est le seul moyen de prévenir les maladies sexuellement transmissibles (MST). Attention, alors que le risque de grossesse est nul hors pénétration vaginale, les MST peuvent se propager par tous types de pénétration.
Les amants qui pratiquent la pénétration anale ou buccale ne peuvent pas s'en passer, à moins d'avoir fait les tests de prévention nécessaires.
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Accueil » L’éducation de mademoiselle K.
Résumé : Mademoiselle K, jeune fille de 19 ans dont l’arrogance est entretenue par la fortune et la beauté fait la connaissance du professeur S, son nouveau tuteur privé qui lui apprendra l’obéissance et la discipline malgré sa réputation d’indomptable.
“Né dans le sein du luxe et de l’abondance, je crus dès que je sus raisonner, que la nature et la fortune se réunissaient pour me combler de leurs dons. Je le crus parce qu’on avait la sottise de me le dire, et ce préjugé ridicule me rendit hautain, despote et colère”
– marquis de Sade –
L’arrogance des jeunes filles de bonne famille est selon elles-mêmes, leur plus grande qualité. Née de leur beauté rehaussée par des artifices fallacieux, de leur fortune et de leurs privilèges sociaux, c’est en fait une défectuosité agaçante et bien difficile à dompter chez certaines. Mademoiselle K était l’une de ces jeunes filles de 19 ans dont ni la jalousie, ni la haine, ni l’envie de ses rivales inférieures en beauté comme en or auraient pu lui faire baisser la tête. Sa première jeunesse fleurissant tout juste, son entourage l’avait vite déclaré la reine de son école, des salons et des soirées. Son habileté à attirer l’attention par sa peau de porcelaine sans imperfections, par son visage de poupée et son corps filiforme était son plus précieux outil et ses yeux d’émeraude ravivés par ses cheveux roux, presque rouges, tombant sur sa taille fine, lui donnait une touche atypique qui suscitait l’admiration des femmes et provoquait l’excitation des hommes. Usant de la sobriété détaillée propre aux vêtements de marque, La demoiselle K évitait toute vulgarité et son élégance ainsi que sa culture impressionnante lui était bien utiles pour conserver son statut.
Toutefois, ses parents pointilleux, trouvant que l’éducation d’école privée n’était pas à la hauteur de leur trésor de fille, prirent la décision d’engager, sous le conseil d’un intime du club qu’ils fréquentaient le dimanche matin, Un très réputé tuteur privé connu auprès des familles bien nanties pour la sévérité de ses méthodes domptant la vanité des jeunes filles précieuses. Monsieur et Madame K, très absents pour leur fille, convinrent qu’un modèle de discipline se pourrait être que bon pour leur fille, ils se l’avouaient, prétentieuse et extrêmement gâtée.
C’est ainsi que le professeur S se rendit pour la première fois un lundi soir, chez la famille K. Malgré ses origines plutôt moyennes, Monsieur S ne prêta presque aucune attention à l’appartement victorien somptueux dans lequel il entrait quand il fut accueilli dans le vaste vestibule par le jeune domestique G, nouvellement engagé et peu habitué à ses fonctions. Ce dernier qui s’était attendu à recevoir un tuteur vieux et aigri, fut surpris quand il ouvrit la porte à ce bel homme de 30 ans, élancé et élégant. Ayant très vite développé une aversion particulière pour mademoiselle K qu’il considérait comme impertinente et vaniteuse, G avait espéré voir arriver un homme plus âgé qui aurait eu l’expérience suffisante pour déjouer le charisme de la princesse et la remettre ainsi à sa place. Il fut donc un peu déçu quand il vit pour la première fois ce dandy avec qui il imaginait très bien sa jeune maitresse dans une partie de jambes en l’air.
Le pédagogue fut bien étonné de constater que le Domestique G ainsi que deux autres membres du personnel étaient seuls à l’appartement en ce lundi soir puisque de nature polie et ponctuelle, il était arrivé à 20 heures, heure prescrite par Monsieur et Madame K. Il fit donc remarqué le retard de la demoiselle à G.
– Oh ses parents lui avaient bien dit d’être ici à 20 heures et prête à étudier, lui répondit l’attaché, cependant, je crois qu’elle a profité de leur absence pour aller faire les magasins avec ses amies comme elle le fait parfois après l’école. Elle sera sans doute en retard d’au moins une demie heure comme à son habitude. Puis-je vous offrir quelque chose en attendant ?
– De quelle manque de manières fait preuve cette jeune fille ! Dit sévèrement le pédagogue. Étonnant, l’on m’avait fait part de sa bonne éducation et de son esprit.
– Ce sont deux choses qui la rendent plutôt arrogante, malheureusement.
Monsieur S eut un charmant sourire en coin qui révéla une jolie faussette.
– Je remédierai à cela, répliqua t-il avec assurance. En attendant, je vous demande un whisky.
Le domestique s’exécuta, content de l’assurance de ce nouveau tuteur qui dompterait peut-être enfin la terrible mademoiselle K. Il lui apporta donc son verre et lui proposa d’attendre sa maîtresse dans le salon ou dans sa chambre, où ils étudieraient sans doute. Très content de cette proposition, le professeur élut la chambre.
C’était une pièce ordonnée et décorée avec goût, comme le reste de l’appartement, qui reflétait très bien la vanité de la jeune fille. Le lit, devant lequel était placé une petite table à déjeuner était couvert de draps pourpres et texturés qui devaient être en cachemire. Faisant les cent pas dans la grande pièce, S s’arrêta devant un grand bureau de bois à moulures, où étaient placés quelques romans romantiques du XIXème siècle. Il remarqua également un petit cadre où était placée une photographie de trois jolies jeunes filles souriantes, l’une d’elle était blonde, l’autre brune, et celle du centre rousse à la peau de lait. Il espéra de tout cœur que cette dernière soit K, puisqu’il avait une inclinaison pour les peaux pâles qui rougissent facilement. Il se rendit par la suites aux fenêtres en angles, qui offraient une splendide vue à laquelle il ne jeta pas un coup d’œil, puisque quelque chose attira soudainement son attention. Les portes de la penderie de la jeune fille, probablement aussi grande qu’une chambre de taille normale, étaient entre ouvertes. Sur l’une d’elles, S put lire une petite enseigne faite par la jeune fille. Ne pas entrer. Il entra, sans hésiter, dans cette immense garde-robe qui aurait suscité la jalousie de n’importe quelle femme. Contrairement au reste de la chambre, cette penderie était marquée par un certain désordre. S remarqua des pièces de lingerie fine éparpillées sur le plancher de bois franc, ainsi que des chaussures de toutes sortes, des vêtements et des lunettes fumées. Il ramassa un soutien-gorge en soie de petite taille et esquissa une autre fois ce sourire viril et confiant.
– Ce doit être une taille mannequin, pensa t-il, avant de lancer nonchalamment le sous vêtement à l’endroit où il l’avait trouvé.
Il se dirigeait vers la salle de bain de marbre de Vérone quand il entendit les bruits d’une voiture devant l’entrée. Ils retourna donc aux fenêtres où il pu apercevoir une jolie automobile décapotable, conduite par la jeune fille blonde de la photographie. Mademoiselle K assise à côté d’elle, descendit sans presse de la voiture. Les deux jeunes filles riaient aux éclats et la nouvelle élève de K envoya un baiser à son amie avant de lui crier quelque chose que le professeur ne put deviner, avant de disparaître sur le perron.
S entendit alors le domestique lui ouvrir la porte en la saluant poliment malgré l’aversion envers la jeune fille qu’il lui avait témoignée plus tôt.
– Votre nouveau professeur vous attends dans votre chambre, mademoiselle, lui annonça G d’une voix docile.
– QUOI ? C’est vous qui lui avez proposé d’attendre dans ma chambre ? Demanda t-elle furieuse. Quel imbécile vous faites ! Vous auriez pu lui proposer le salon, ou encore la salle de séjour ! Il n’y a que MOI qui autorise l’entrée de quelqu’un à ma chambre. Est-ce bien c…
Mademoiselle K fut interrompue par Monsieur S, qui ayant entendu la jeune fille crier de rage s’était dirigé vers le vestibule.
– Je me suis permis seul l’entrée à votre chambre, mademoiselle. Maintenant, veuillez aller vous asseoir à votre bureau et préparez-vous à l’étude, vous avez assez de retard comme cela et le manque de ponctualité est une chose que j’accepte bien mal. Lui dit-il sur un ton fort et autoritaire.
Surprise par les beautés de cet homme ainsi que par ces manières brusques que l’on lui avait rarement adressées, K ne put retenir un regard de défi qu’elle lui lança audacieusement et que S soutint sans peine.
– Je vous assure, jeune fille, que de me faire répéter n’est pas une chose à faire. Lui lança t-il calmement.
– G, apportez moi un thé, ordonna t-elle rudement à l’adresse du domestique ébahît en détournant son regard.
Puis elle partit, obéissant enfin.
– Je vous demande, en ce qui me concerne, un café noir. Demanda t-il poliment à G avant de suivre la jeune fille dans sa chambre.
G s’exécuta aux anges et quand il fut dans les cuisines il ne put s’empêcher de raconter à ses deux collègues le spectacle auquel il venait d’assister. Tous deux se délectèrent de son récit.
Mademoiselle K avait jeté son manteau sur son lit et s’était déchaussée. Elle était vêtue d’une jupe plissée lui arrivant à la mi-cuisse ainsi que d’un chemisier blanc sous un débardeur sur lequel était brodé, à la place du cœur, l’enseigne de son école. Les bras croisés et l’air contrarié, elle attendait docilement malgré elle devant son bureau quand le professeur S entra.
L’instructeur ne put s’empêcher de contempler la jeune fille d’une beauté extravagante dont le visage de lune rendant l’air juvénile encore plus naïf. Gênée par ce regard gris et glacial qui la fixait, elle décroisa ses longues jambes fines de peur que l’on puisse remarquer l’élastique de dentelle de ses bas de soie blanche. C’est alors que l’instructeur remarqua que la jeune fille avait retiré ses chaussures.
– Vous n’êtes pas ici avec un ami, mademoiselle. Ne soyez pas aussi à l’aise, allez vous rechausser immédiatement.
– Mais j’ai mal aux pieds…
– IMMÉDIATEMENT ! Lui cria-t’il avant de la saisir avec force par le poignet afin de la relever.
Apeurée par cette autorité à laquelle elle n’avait jamais fait face, mademoiselle K se dirigeât vers sa penderie où elle avait laissé ses escarpins hauts dans lesquels elle plaça avec peine ses pieds endoloris. La position penchée qu’elle adopta dévoila le haut de ses bas ainsi que le galbe de ses fesses blanches à moitié couvertes par une petite culotte de dentelle de chantilly noire. S pris un immense plaisir à regarder son élève dans cette pose provocante, à travers la porte entre ouverte de la penderie.
– Quelle indécence… Se dit le professeur à lui même, en passant une de ses mains fines dans ses cheveux noirs de jais, assez haut pour que sa nouvelle élève puisse l’entendre.
Son visage s’était joliment empourpré quand elle retrouva sa place dans son fauteuil, et le professeur, malgré son désir de paraître sérieux, ne put retenir un sourire moqueur quand il put enfin lire la confusion sur le visage de la jeune fille. Il s’approcha de la petite table à déjeuner à côté de laquelle il y avait une chaise de métal assortie. Il la souleva, la plaça devant le bureau et resta ensuite debout, à regarder K qui détournait le regard mal à l’aise, comme s’il essayait de lui transmettre un ordre par la pensée.
– Et bien quoi ?! Lança-t’elle soudainement d’une voix tremblante, qui trahissait l’air arrogant qu’elle essayait de feindre.
– En voilà une façon bien impolie de s’adresser à son tuteur… Je préférerais de loin un « Pardon monsieur ? »
Décidée à ne pas parler de cette façon à qui que ce soit, K baissa les yeux sans rien dire réalisant que ce geste était tout de même un signe de soumission. Elle sentit son précieux orgueil bouillonner en elle. Elle aurait piqué n’importe quelle autre personne d’une réplique sanglante, mais elle se sentait désarmée de tous ses avantages devant cet
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