La mre et la fille acceptent de tourner un porno pour de l'argent

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En 1976, Chantal Ladesou participait sans le savoir au tournage d’un film pornographique. Un extrait de ce chef-d’Ɠuvre olĂ©-olĂ© a Ă©tĂ© diffusĂ© hier Ă  la tĂ©lĂ©vision.
Au milieu des annĂ©es 70, alors jeune comĂ©dienne en devenir, Chantal Ladesou acceptait un peu tout et n’importe quoi pour faire chauffer la marmite. Il y a deux ans de cela, alors que Laurent Argelier la rĂ©veillait pour la promo de sa piĂšce Nelson sur MFM radio, la comĂ©dienne s’était souvenue de ce film porno auquel elle avait participĂ© malgrĂ© elle en 1976. Un gros moment de solitude auquel elle repense en souriant aujourd’hui. « A un moment donnĂ©, c’était une grande fĂȘte, ils ont dit : “Tout le monde Ă  poil main­te­nant !” » Totalement paniquĂ©e face Ă  cet ordre, Chantal Ladsou avait tentĂ© d’esquiver l’effeuillage et ce qui devait se passer aprĂšs. Impossible, elle avait signĂ© un contrat
 « Je pensais que c’était un gag, ajoutait-elle. Au final, j’ai Ă©tĂ© virĂ©e du travail, c’était l’hor­reur ! »
Ce fameux film, c’était Les maĂźtresses de vacances . Quelques images ont Ă©tĂ© diffusĂ©es hier aprĂšs-midi dans le tout premier numĂ©ro des E nfants de la tĂ©lĂ© prĂ©sentĂ© par Laurent Ruquier sur France 2. TrĂšs Ă  l’aise, Chantal Ladesou a redĂ©couvert ces images en esquissant un sourire. Il faut dire que la musique, les dialogues et tout le reste sont au top. DĂ©couvrez cette sĂ©quence trĂšs drĂŽle dans la vidĂ©o ci-dessus.

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Publié
le 09/02/2015 Ă  12:15 , Mis Ă  jour le 10/02/2015 Ă  10:14
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Au festival de Sundance, un documentaire montrant de nombreuses jeunes filles volontaires pour tourner dans des films pornographiques a sidĂ©rĂ© l'AmĂ©rique. Qu’en est-il en France ? Comment dĂ©cident-elles de rentrer dans ce milieu ? TĂ©moignages et Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse.
Il arrive que des documentaires éclatent comme des grenades. Hot Girls Wanted , réalisé par les deux journalistes Jill Bauer et Ronna Gradus et présenté au festival de Sundance, a choqué les spectateurs autant par ses images crues que par son propos : le nombre grandissant de jeunes Américaines désireuses de tourner des scÚnes pornographiques, comme s'il s'agissait d'un petit job presque " banal ". " On se disait que ce n'était pas possible qu'il y en ait autant, on ne pouvait pas y croire. Alors nous avons réalisé ce documentaire ", racontent les deux journalistes à l'AFP.
La situation aux États-Unis, oĂč l'industrie du X est florissante, n'est pas comparable avec celle de la France, oĂč la plupart des studios ont fermĂ© dans les annĂ©es 2000. Mais qu'en est-il vraiment dans l'Hexagone ? Si aucune Ă©tude ne peut apporter de chiffres clairs, de grandes tendances apparaissent, comme l'affaiblissement du porno professionnel au profit des sites " amateurs ", qui n'hĂ©sitent pas Ă  recruter des jeunes filles juste pour une scĂšne.
Dans son livre Le Travail pornographique (1), le sociologue Mathieu Trachman diffĂ©rencie deux types d'industries pornographiques : d'un cĂŽtĂ© " le professionnel avec les derniers gros studios comme celui de Marc Dorcel ", et de l'autre le "pro am (pour professionnel amateur, NDLR) : des mini-productions qui simulent du travail amateur, soit des scĂšnes rapides, sans aucun scĂ©nario, destinĂ©es aux plates-formes vidĂ©o sur Internet ". Deux mondes complĂštement diffĂ©rents. Dans le premier, quelques " stars " et habituĂ©es du milieu mais peu de dĂ©butantes. " Je reçois beaucoup moins de demandes de femmes qui n'ont jamais fait de X aujourd'hui qu'au dĂ©but des annĂ©es 2000 ", explique John B. Root, rĂ©alisateur et producteur de films pornographiques , notamment pour Canal +. Alors que dans le pro am, " le nombre de demandes est en constante Ă©volution, et les trois quarts des filles ont moins de 21 ans ", raconte Yan*, webmaster d'une des plus grandes plates-formes vidĂ©o europĂ©ennes. Une augmentation favorisĂ©e par la facilitĂ© Ă  contacter ces sites : " Il suffit d'envoyer un mail et quelques photos pour ĂȘtre rappelĂ©e ", explique ClĂ©a*, 19 ans, qui a dĂ©jĂ  tournĂ© une scĂšne.
Pour Ovidie, ancienne star et rĂ©alisatrice de films X, cette augmentation du nombre de jeunes femmes voulant tourner dans des pro am s'explique notamment par " l'arrivĂ©e d'Internet, qui a complĂštement tuĂ© le porno de qualitĂ© et banalisĂ© le X. Avant, il fallait payer ou se coucher trĂšs tard pour voir un film. Aujourd'hui, Ă  n'importe quelle heure, on peut accĂ©der gratuitement Ă  des milliers de vidĂ©os de quelques minutes. Le X est devenu quelque chose de presque normal, alors les filles se disent : "Et pourquoi pas moi ?", "Ça doit rapporter beaucoup et puis c'est facile Ă  faire", etc.".
Exactement ce qu'imaginait Nathalie, 21 ans, quand elle a contactĂ© une grosse plate-forme : " Le porno est partout, accessible . Tellement de filles font ça que je me suis dit que j'en Ă©tais aussi capable, que ça devait ĂȘtre une façon rapide de gagner de l'argent. J'ai pensĂ© qu'au pire, ce ne serait pas une bonne expĂ©rience, mais rien de grave ou de dangereux. " En sortant de sa seule et unique scĂšne, elle s'est pourtant dit qu'elle ne " reviendrait jamais. Je me suis retrouvĂ©e avec deux hommes entre 40 et 50 ans, sans savoir combien j'allais ĂȘtre payĂ©e. On m'a expliquĂ© ce qu'il fallait que je fasse, on a tournĂ©, ils Ă©taient vulgaires et pas du tout tendres. On a fait une scĂšne Ă  trois ; j'ai eu vraiment mal, mais ils s'en foutaient. Ça a durĂ© une heure, j'ai touchĂ© 250 euros. Maintenant, je suis dans une vidĂ©o qui a Ă©tĂ© vue 200.000 fois, notamment par des membres de ma famille. Depuis, tout mon entourage est au courant et beaucoup ne me parlent plus. Je ne referai jamais ça, je n'avais aucune conscience des consĂ©quences possibles ".
La prolifĂ©ration de " l'amateur " sur Internet au dĂ©triment du professionnel augmente le besoin en actrices jeunes, comme l'explique Ovidie : "Tout est cataloguĂ©, triĂ©, et les sites veulent tout le temps du neuf. Une fille ne peut pas faire carriĂšre dans le pro am ; les actrices n'y font d'ailleurs qu'une ou deux scĂšnes et ne veulent plus en entendre parler. Cela contraste nettement avec le monde pro, oĂč beaucoup se tournaient vers le X par curiositĂ© sexuelle, par envie de connaĂźtre le milieu du porno professionnel et souvent pour faire carriĂšre. " Raoul* a l'habitude de tourner des scĂšnes de cinq Ă  quinze minutes pour des sites X. Quand on lui demande comment se passent ses tournages avec les dĂ©butantes, la rĂ©ponse fait froid dans le dos : "C'est la fille qui nous contacte directement sur notre site. À partir de lĂ , c'est qu'elle sait ce qu'elle veut. Elle est lĂ  pour faire de l'argent, pas pour se faire des copains. On la convie Ă  une rencontre et on tourne tout de suite la scĂšne. Ça va trĂšs vite. " Un dĂ©roulement que confirme ClĂ©a* : " Quand je suis arrivĂ©e, ils m'attendaient pour tourner. Je n'ai quasiment pas eu le temps de discuter. Je n'ai pas eu le choix, c'est comme si j'Ă©tais devant le fait accompli. En plus, on m'a imposĂ© une scĂšne oĂč on me crachait dessus et dans laquelle on m'insultait. C'Ă©tait humiliant, je ne le ferai plus jamais. "
Une prĂ©caritĂ© nouvelle. " Dans le milieu professionnel, on prend toujours le temps d'avoir un Ă©change, de connaĂźtre les motivations de la jeune dĂ©butante. On se voit plusieurs fois pour ĂȘtre sĂ»rs que c'est ce qu'elle veut, car c'est une vraie responsabilitĂ© de faire tourner quelqu'un pour la premiĂšre fois ", explique John B. Root. Une diffĂ©rence que rĂ©sume trĂšs bien Lara*, ancienne actrice pro ayant tournĂ© ensuite dans deux scĂšnes pro am : " Quand j'Ă©tais pro, on me considĂ©rait comme la piĂšce maĂźtresse du film et je gagnais bien ma vie. Dans le pro am, j'ai Ă©tĂ© sous-payĂ©e et on ne m'a pas respectĂ©e. "
(1) Le Travail pornographique. EnquĂȘte sur la production des fantasmes , de Mathieu Trachman. Éditions La DĂ©couverte, 2013.
"je n'avais aucune conscience des conséquences possibles" La bonne blague
Un job presque banal c'est un job presque (b)anal !
L hypocrisie mene le monde. Je suis volontaire pour aller tourner un porno, et je viens me plaindre de manque de respect !!!!!! Ahurissant
Pendant les vacances d'été, collÚgues et réveils matinaux vous paraissent bien loin. Votre conjoint(e), en revanche, peut se révéler un peu trop... présent. Attention, querelles en vue.
Pour dire stop à l'injonction de la minceur sur la plage, le gouvernement Pedro Sånchez a lancé une campagne mettant en vedette des corps de femmes loin des standards de beauté.
EnquĂȘte - En ville comme en milieu rural, obtenir un rendez-vous avec un gynĂ©cologue relĂšve du parcours de la combattante. Alors que les Ă©tudiants se dĂ©tournent de cette spĂ©cialitĂ©, les patientes comme le corps mĂ©dical en paient le prix. Alerte rouge sur la santĂ© des femmes !
À tout moment, vous pouvez modifier vos choix via le bouton “paramĂ©trer les cookies” en bas de page.
Pourquoi des jeunes filles se laissent prendre au piĂšge du X
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Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 16/09/20 à 18h05
— Mis à jour le 12/04/21 à 09h18

Le parquet de Paris a ouvert une enquĂȘte pour « viols » et « proxĂ©nĂ©tisme » visant les conditions de tournage des films diffusĂ©s sur la plateforme Jacquie et Michel. 20 Minutes a pu recueillir les tĂ©moignages de plusieurs actrices dĂ©nonçant les viols et mauvais traitements subis lors de tournages de films pornographiques, en lien avec Jacquie et Michel ou pas. Sur les rĂ©seaux sociaux, un mouvement de dĂ©nonciation des violences sexuelles commence Ă  voir le jour, laissant espĂ©rer un changement de pratiques Ă  l’avenir.
Jacquie et Michel : Le parquet de Paris ouvre une enquĂȘte pour « viols » et « proxĂ©nĂ©tisme »
Jacquie et Michel : « Ils m’ont salie ! Ils m’ont imposĂ© des trucs que je ne voulais pas ! »


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Société Des actrices X témoignent des abus sexuels subis lors des tournages

ENQUETE Quelques jours aprĂšs l’annonce de l’ouverture d’une enquĂȘte visant le site pornographique Jacquie et Michel, plusieurs actrices ont acceptĂ© de se confier Ă  « 20 Minutes »
Cela faisait dĂ©jĂ  une bonne demi-heure que Manon* racontait son quotidien d’actrice X. Ses dĂ©buts enthousiastes dans le mĂ©tier aprĂšs une carriĂšre de coiffeuse. Ses premiĂšres scĂšnes. Ses premiers traumatismes, aussi. Les pratiques pour lesquelles elle n’était pas prĂ©parĂ©e. Pas consentante. La jeune femme de 32 ans a alors interrompu son rĂ©cit d’un coup. Et c’est Ă  ce moment prĂ©cis qu’elle est parvenue Ă  rĂ©sumer le problĂšme d’une seule phrase. « C’est difficile de faire comprendre qu’on a Ă©tĂ© violĂ©e quand ton mĂ©tier consiste justement Ă  faire du sexe. Mais en fait, c’est ça
 »
Moins d’une semaine aprĂšs la rĂ©vĂ©lation de l’ouverture d’une enquĂȘte pour « viols » et « proxĂ©nĂ©tisme » visant les conditions de tournages des vidĂ©os pornographiques diffusĂ©es sur le site Jacquie et Michel, ​ les tĂ©moignages visant les pratiques de certains producteurs et rĂ©alisateurs affluent. « J’ai fini par effacer le message que j’avais postĂ© sur Twitter car je recevais trop de rĂ©ponses. Je n’arrivais plus Ă  suivre, poursuit ainsi Manon qui, parmi les premiĂšres, a rĂ©vĂ©lĂ© avoir Ă©tĂ© agressĂ©e sexuellement sous l’Ɠil de la camĂ©ra. J’ai le sentiment qu’il se passe quelque chose
 »
Y’a de plus en plus d’actrices qui prennent la parole, comme cela fait un bien fou OMG il Ă©tait grand temps ! Le dĂ©but d’un mouvement qui je l’espĂšre n’est pas prĂȘt de s’arrĂȘter ! Plus fortes toutes ensemble ! #MeToo https://t.co/2GlLf8sNxZ
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Le mouvement de dĂ©nonciation n’a pas encore pris l’ampleur de la vague #MeToo qui avait dĂ©ferlĂ© dans le sillage de l’affaire Weinstein, en 2017. Mais dans le milieu du X, la digue se fissure. Sur les rĂ©seaux sociaux, #BalanceTonPorno pourrait bientĂŽt succĂ©der Ă  #BalanceTonPorc. Et rassembler, outre celui de Manon, les tĂ©moignages d’Audrey, Julie, Estelle et AĂŻcha*. Sous couvert d’anonymat, toutes ces jeunes femmes ont acceptĂ© de confier Ă  20 Minutes les histoires sordides qu’elles ont vĂ©cues ces derniĂšres annĂ©es. En lien avec le site Jacquie et Michel ou pas.
Pour Estelle, c’était dans un appartement parisien. Mal Ă  l’aise, elle avait demandĂ© Ă  ne tourner que des scĂšnes classiques. « Les acteurs Ă©taient d’accord. Mais pas le rĂ©alisateur, raconte-elle. Il a rĂ©pondu : "Non, nique sa mĂšre ! Elle est lĂ  pour ça ! Elle va faire ça ! Et elle va sourire devant la camĂ©ra"
 » Novice, la jeune femme se laisse alors faire. Et le regrette encore plus en dĂ©couvrant, quelques jours plus tard, que l’un des acteurs lui a refilĂ© une infection sexuellement transmissible. « De l’herpĂšs
 Je ne pouvais plus m’asseoir
 Il avait falsifiĂ© ses tests
 »
Avant chaque tournage, les acteurs doivent en effet produire les rĂ©sultats d’examens mĂ©dicaux datant de moins d’une semaine et montrant qu’ils ne sont porteurs d’aucune affection. Pour Manon aussi, la question des tests a Ă©tĂ© l’un des problĂšmes. « Tout se passait bien jusqu’au moment oĂč le cameraman a dĂ©cidĂ© de venir participer Ă  la scĂšne pour son propre plaisir, s’insurge-t-elle. Ce n’était pas prĂ©vu. Et Ă©videmment, lui n’avait pas fait de test. Cela le faisait marrer. J’ai mis du temps Ă  comprendre que c’était un viol. »
#JacquieetMichel : Une autre actrice d'un soir, Karima*, a accepté de raconter son expérience @20Minutes https://t.co/RUSpP7sIXw
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Tout comme AĂŻcha, qui a passĂ© « des heures en boule sous sa couette » aprĂšs avoir subi une pratique qu’elle ne connaissait mĂȘme pas en arrivant dans le garage de Bretagne oĂč elle a tournĂ© son premier film. Ou Julie, qui a dĂ» se laisser faire pour que le producteur accepte de la ramener chez elle en voiture. Ou encore Audrey, qui s’est retrouvĂ©e Ă  devoir tourner avec un acteur bien spĂ©cifique alors qu’elle avait spĂ©cifiquement exprimĂ© son refus au prĂ©alable

Dans le rĂ©cit de ces mauvais films, on trouve toujours le mĂȘme scĂ©nario. Des actrices jeunes et inexpĂ©rimentĂ©es Ă  qui l’on impose des pratiques non prĂ©vues et
Une jeune mexicaine avec deux bites
POV d'une baise Arabe
Deux femmes matures se disputent une grosse bite

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