La modèle se jette sur le pgotographe

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La modèle se jette sur le pgotographe



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Photographe portrait et mariage à Besançon
Suite à une conversation avec une personne où j’ai pu avoir quelques maladresses, je souhaitais pouvoir expliquer mon point de vue sur les modèles et photographes, qu’ils soient professionnels ou amateurs. Commençons par définir tout cela.
La différence ne se situe au final qu’au niveau juridique . Si vous avez un numéro SIRET et que vous déclarez vos revenus, vous êtes professionnel. Si vous faites de la photo par simple plaisir, alors vous êtes amateur. C’est aussi simple que cela. On entend quelque fois la notion de semi-pro : un photographe semi-pro n’existe pas , vous êtes soit pro, soit amateur, mais pas entre les deux.
Il existe une petite exception : les artistes auteurs qui ont un numéro SIRET, mais qui sont très limité dans ce qu’ils ont droit de facturer.
Quand je compare des professionnels et des amateurs je fais uniquement référence à leur réel status, je ne compare pas leur expérience ni leur talent. Maintenant il va de soi qu’une majorité de photographes amateurs (surtout avec les smartphones aujourd’hui) ont plutôt un niveau débutant et sont peu expérimenté. A contrario seule une poignée de photographes amateurs ont de fortes connaissances et sont réellement compétent.
Là aussi en terme statut, seule les modèles dans des agences de mannequin peuvent se prétendre professionnel. Sinon ces modèles seront amateurs.
Les modèles professionnels sont au final plutôt rares, laissant toute la place aux amateurs qui veulent s’adonner à ce loisir.
C’est une entente entre photographe(s) et modèle(s) (quel que soit leur statut) entrainant une prestation à titre gratuite des deux cotés. La plupart du temps ils s’agit de collaborations entre photographes amateurs qui souhaitent acquérir de l’expérience et avoir de belles photos, et modèles amateurs souhaitant se constituer un premier book avec de belles photos.
Mon avis sur le sujet, et c’est un peu le fond de cet article, est que cette pratique devient beaucoup trop courante et trop peu profitable à tout le monde. Je m’explique.
Lorsque vous souhaitez apprendre des choses sur un sujet, vous allez demander des renseignements à quelqu’un qui à les réponses, et non vers quelqu’un qui les cherche. Ici c’est un peu pareil. Un photographe amateur n’aura pas forcement l’habitude de guider un modèle et ne saura pas forcément l’aider. Or c’est ce que le modèle cherche. De la même façon un modèle amateur n’aura pas forcement l’expérience nécessaire pour proposer des poses, des situations, qu’un photographe amateur qui n’a pas l’habitude aura du mal à demander. Or c’est ce que le photographe cherche. De ce fait, les deux partis cherchent des choses qu’il n’auront pas, ou rarement , entre débutants.
Je tiens à dire que je suis passé par là comme n’importe quel photographe donc je ne jette la pierre à personne. Mais pour avoir pratiqué de la collaboration telle que décrite ci-dessus, et des workshops/cours payants avec des professionnels qui maîtrisent leur sujet, l’apprentissage est infiniment plus lent en collaboration entre amateurs , plutôt qu’avec des professionnels compétents. Je pense personnellement que la meilleure démarche est de commencer auprès d’un ou plusieurs professionnels dont le travail a retenu notre attention (très important) pour acquérir les bases, apprendre à se connaitre soi-même, et apprendre à connaitre ce que l’on aime. A partir de là, la collaboration à tout son intérêt afin de pouvoir mettre en pratique ce qui a été vu, développer le style qui nous correspond personnellement et ainsi se perfectionner.
Je vois beaucoup trop de modèles qui se contentent de collaborations entre amateurs et qui stagnent dans une connaissance limitée, ce qui est dommage. Maintenant la question financière est légitime et compréhensible. Mais gardez en tête que vous avez de meilleures chances d’intéresser des photographes compétents, avec un book de qualité pour les modèles, de même que vous photographes, avez de meilleures chances de retenir l’attention d’un modèle expérimenté avec des photos de qualité et une réelle connaissance de votre sujet.
Qu’il s’agisse d’une collaboration ou d’une prestation payante, choisissez la personne qui vous mettra en confiance et n’hésitez pas à demander un contrat. Cela permettra d’un coté comme de l’autre de définir le périmètre de liberté de chacun avec le résultat d’une séance. C’est aussi un gage de professionnalisme, et cela permet aussi de rassurer les deux partis.
Personnellement, aujourd’hui je ne fais quasiment plus de collaborations. Non pas parce que je ne ressens plus le besoin de progresser (on a toujours quelque chose à apprendre), mais pour plusieurs raisons.
La raison principale est que je suis devenu professionnel et que les prestations gratuites ne sont pas dans mon intérêt, je ne vais pas m’en cacher. Cela ne m’empêche pas quelque fois d’en faire pour le plaisir mais cela reste assez rare.
Mais c’est aussi parce qu’avec les quelques années d’expériences que j’ai, mes besoins deviennent très ponctuels et précis. C’est aussi dans cet unique cas que chaque parti obtient quelques chose : moi je teste quelque chose de nouveau pour m’entrainer (un matériel, un style, un éclairage), et mon modèle obtient des photos et éventuellement des conseils gratuitement.
Enfin il est évident que le temps me manque également pour essayer tout ce que j’aimerais, comme n’importe qui avec une vie de famille bien chargée
Cet article est aussi là pour parler de l’image du photographe professionnel, qui au fur et à mesure du temps est malmené. Aujourd’hui , tout le monde est photographe. Tout le monde possède des smartphones avec des applications qui traitent automatiquement les photos. Beaucoup possèdent également un appareil photo d’entrée de gamme, et certains possèdent des appareils de grande qualité.
Malheureusement, et c’est ce que les médias et les publicités veulent nous faire croire , être photographe n’est pas le fait de compter sur des filtres instagram pour obtenir des photo de qualité ou avoir le dernier IPhone qui fait tout tout seul. Ce n’est pas non plus posséder un appareil photo quel qu’il soit de « qualité ». C’est avant tout savoir penser une photo, savoir utiliser un appareil photo dans les conditions voulues, guider des personnes, … et c’est un apprentissage sans fin
J’espère avoir pu exposé mon avis sur le sujet sans froisser personne, le but étant de vouloir faire évoluer les gens, les mentalités et les aprioris

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Depuis longtemps, très longtemps déjà, Dominique Issermann, photographe de mode, s'est fait une philosophie sur le terrible métier qu'elle exerce. Avant tout, le respect pour ses modèles, fidèles complices d'un travail partagé. " La vraie question est morale ", dit-elle. Rencontre.
Yeux bleus, boucles blondes, visage sans maquillage, on dirait une adolescente. Le pantalon de drap marine, celui des pêcheurs bretons, et le col en batiste blanc composent le costume strict avec lequel Dominique Issermann dénonce le système médiatique manipulant les mannequins-stars comme des poupées Barbie qui parlent, pleurent et rient.
Engagée sur les barricades aux côtés de Daniel Cohn-Bendit, l'anarcho-idéaliste, le pilier de cinémathèque licencié ès lettres, celle qui deviendra, dix ans plus tard, photographe de mode, brandit en mai 68 des pages arrachées au magazine Elle, tournées comme des cornets de glace et balafrées d'un " Vive la révolution culturelle ". Elle suit Jean-Luc Godard, part en Italie, écrit des scénarios, réalise des films. Ses deux premiers clips accompagnent les chansons de Leonard Cohen : " First we take Manhattan, then we take Berlin ", et " Dance me to the end of love ". En 76, " pour que sa soeur rencontre un garçon qu'elle aimait beaucoup ", elle participe à un concours de photos de mode et gagne le premier prix.
Les dés sont jetés. Dès 79 s'enchaînent les campagnes de publicité pour Sonia Rykiel et les autres, puis une kyrielle de portraits : Adjani, Depardieu, Deneuve, Gainsbourg, Birkin, Noah, Duras, Balthus. Elle crée des images de marques pour les maisons de couture (Yves Saint Laurent, Nina Ricci), les parfums (Dune de Dior), les voitures (la Safrane de Renault) ou le Club Méditerranée. Nommée chevalier des Arts et des Lettres en 85, elle reçoit l'année suivante l'oscar du meilleur photographe de mode. Helmut Newton parle d'elle en termes élogieux. Au fil des pages des magazines féminins, les femmes qu'elle met en scène sont des êtres vivants, elles ont des yeux qui interrogent ou témoignent, des regards inquiets, rieurs ou rêveurs. " Les nouvelles fées du business sont devenues les princesses de notre théâtre quotidien. Elles représentent l'archétype du bonheur, les gens heureux. Mais dans les faits, affirme la photographe, elles sont prises en otage. Les magazines écrivent : elle est belle, riche, célèbre, elle a une vie trépidante, lever à l'aube, régime draconien, gymnastique obligatoire. Devient-elle inutilisable ? On la jette. Alors, la même presse révèle que son quotidien est un enfer, que sa fille la déteste, que son amant la battait. A l'endroit ou à l'envers, au ciel ou en enfer, la princesse rapporte le gros lot. Une sorte de sacrifice rituel sur l'autel social. " Mannequin ou star ? Il n'y a plus de différence. Isabella Rossellini vante les produits Lancôme, Carole Bouquet, le numéro cinq de Chanel, Claudia Schiffer va-t-elle tourner ? " Dutronc chantait " les Filles qui sont dans Elle ", et Vogue lançait le " voging ", un style de danse et des clips interprétés par Madonna, ou Prince, avec une gestuelle caricaturant l'hyper-féminité, cet objet de séduction et de désir. On parlait des couturiers, des photographes, des magazines. Les vedettes, c'étaient Vogue, Harpers Bazar, Elle ou Marie-Claire. Aujourd'hui on dit " la robe portée par Claudia Schiffer ", sans même se soucier de la griffe. Les mannequins font la une de la presse hebdomadaire, celle qui ne présente pas la mode, car c'est fascinant de voir des gens aussi jeunes gagner autant d'argent. Le mannequin représente la fiancée idéale, une photo glissée dans un portefeuille, un visage de femme, l'être aimé. Aux Etats-Unis, le public va jusqu'à exiger d'elle " a personnal occurrence " : le modèle doit payer de sa personne, se montrer dans les grands magasins, signer des autographes, vanter une marque. " " Claudia Schiffer recevrait mille lettres par jour. Jeune, belle, riche, indépendante et appétissante, elle est le symbole de la réussite. Elle vit avec un magicien : voudrait-elle disparaître ? Succédant aux Leslie Winner, androgynes et cheveux courts, elle offre le visage d'une femme rayonnante. " " A chaque époque, une image. La jeune femme seule, libre, des années 70, le mannequin conquérant, mains sur les hanches, qui porte la saharienne, les cheveux artificiellement gonflés par un ventilateur pour imiter la brise des cinq continents, a donné naissance aux filles ambigües, pas maquillées, révoltées des années 80. Aujourd'hui, cohabitent la jupe courte et le soutien-gorge pigeonnant, avec le style " sans domicile fixe " des mannequins-petites filles qui se dérobent comme si on allait les battre, épaules rentrées, pieds en dedans. Cette mode des " waifs ", textuellement enfants abandonnés, est le petit théâtre caricatural de la planète où il n'y a jamais eu autant d'enfants-marchandises. Toutes ces attitudes, ces costumes reflètent des sentiments profonds et des situations sociales avec lesquels il ne faut pas trop jouer. "
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tags: amatrice , défilé , Fashion , luxe , mannequin , Mode , Week
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A la Fashion Week : Burberry défilait avec des modèles disponibles immédiatement à la vente. Et inaugurait un nouveau phénomène, celui du « sitôt vu, sitôt acheté ». À l’ère du luxe mondialisé et connecté, les maisons sont-elles obligées d’adopter les lois de la « fast fashion » ?
Un doux soir de septembre, via Monte Napoleone, à Milan. Il est 20heures et une vitrine jette encore ses feux sur l’avenue réputée pour ses boutiques de luxe.
Un comble: au cœur de la capitale de la mode italienne, seule la « so british » maison Burberry est ouverte. Géraldine Dormoy, responsable éditoriale de L’Express.fr Styles et auteur du blog Café mode, se remémore cet instant particulier sur la planète mode : « Sur les portants, j’ai trouvé les modèles vus quelques jours auparavant lors du défilé, et j’ai pu les essayer. Une expérience totalement inédite. » Voire révolutionnaire ? Le 19septembre, l’impatience était palpable entre les murs de la Makers House, haut lieu de l’artisanat de luxe sponsorisé par Burberry, qui y donnait son défilé, retransmis sur internet et les réseaux sociaux. La marque créée en 1856 y bouleversait d’un coup d’un seul les élégances en vigueur, après une annonce faite en février: sitôt présentée, la collection était disponible aussi bien en boutique que sur le site de la marque. Autrefois, pour ranger dans sa penderie un modèle aperçu sur le «catwalk», il fallait attendre six mois.
Aussitôt vu, aussitôt acheté. La mode, friande de bons mots, n’a pas été longue à trouver une formule choc pour baptiser le phénomène. Le SNBN ou comment on peut, désormais, s’offrir une pièce de luxe sur un coup de tête via son smartphone. Aux côtés de Burberry, Alexander Wang, Diane von Fürstenberg et Tom Ford, l’américain Tommy Hilfiger est l’un des nouveaux apôtres de ce récent credo de la mode: en septembre encore, à New York, il présentait sa collection automnale immédiatement disponible à la vente, avec pour égérie le mannequin aux 24 millions de followers Instagram, Gigi Hadid, qui signait une ligne «capsule».
La mode se démoderait- elle de plus en plus vite, à tel point que l’on doive acheter les vêtements au moment même où ils croisent notre regard? Selon une étude menée par Vestiaire Collective, site de mode européen haut de gamme et luxe, le modèle «See now, buy now» domine avec 70% des produits achetés en saison. Il est loin le temps où l’on constituait sa garde-robe estivale dès le mois de mars. « Le SNBN est symptomatique de notre société du streaming, estime Louise Taccoen, responsable marketing prêt-à- porter femme et accessoires chez Carlin. Pour les nouvelles générations, abreuvées de flux Instagram et Snapchat, fanatiques de blogueuses mode et autres “ influenceuses ”, il n’est plus question d’attendre six mois pour arborer un modèle.» A fortiori lorsqu’on s’adresse à un marché mondialisé, comme le souligne Anne Étienne-Reboul, head of consulting Asie et Europe du cabinet Peclers : « Nous vivons dans un monde digitalisé, où tout le monde veut acheter tout de suite à n’importe quelle heure. En Chine, par exemple, tout ou presque passe par l’appli We Chat. Et une marque comme Burberry est forte en Asie. Le SNBN est une manière de répondre à ces nouveaux clients dont les besoins de consommation sont plus grands parce qu’ils proviennent d’un pays neuf, où l’on trouve moins de points de vente.» D’autant que les acteurs de la «fast fashion», Topshop (qui pratique le SNBN), Zara et H & M en tête, impulsent un nouveau tempo, frénétique. «Le rythme fou de ces marques entraîne une forme de pulsion- compulsion mode que l’on commence à ressentir dans le luxe», remarque Erin Doherty, rédactrice en chef de Glamour. Or, le géant espagnol Inditex (Zara), tout comme son concurrent suédois Hennes & Moritz, puise une bonne partie de son inspiration sur les catwalks. «Ces marques bénéficient d’un temps de production record: on peut trouver la copie d’un modèle chez Zara quatre à six semaines après un défilé, souligne Dani Marino, international account director chez Peclers. Du coup, lorsqu’un produit sort, la tendance est déjà sur le marché depuis des mois.» Mais l’imitation n’est-elle pas la plus since
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