La masturbation d'une ado coquine

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La masturbation d'une ado coquine
.
auteur : Grégoire Leuroux
.
     Hier soir j'ai dîné
avec Clothilde. Nous travaillons dans la même administration
mais dans des services différents. Nous nous sommes rencontrés
la première fois il y a quelques semaines et le courant
est bien passé entre nous. Nous nous voyons régulièrement
ici et là, au restaurant d'entreprise, à la photocopieuse,
à la machine à café.
     Nos relations n'avaient toutefois
jamais été plus loin, et je le regrettais. Tous
les soirs une voiture conduite par un homme plutôt séduisant
l'attendait sur le parking. Elle montait rapidement, l'embrassait
furtivement sur la bouche puis ils partaient.
     Lundi dernier, il y a une semaine,
la voiture n'est pas venue, les jours suivants non plus d'ailleurs,
si bien qu'un soir j'ai proposé à Clothilde de
la déposer en ville où je supposais qu'elle habitait.
C'était en novembre quand la pluie et le froid commence
à enserrer notre région d'une chape humide et
brouillasseuse.
     Et puis voilà, hier soir
nous sommes allés dîner dans un de ces restaurants
cossus de province où les notables et les bourgeois sortent
leurs épouses apprêtées pour la circonstance.
C'est Clothilde qui avait réservé notre table
dans un ancien château médiéval. Le décor
et l'ambiance étaient pesants, mais notre table était
très à l'écart, presque dissimulée
aux yeux des autres convives qui préfèrent montrer
à tous leur notabilité prospère.
     Clothilde était très
séduisante, elle s'était très légèrement
maquillée et avait remonter ses longs et épais
cheveux bruns sombre en chignon. L'idée de les libérer
et de les voir ruisseler sur ses épaules nues me tourmentait
déjà, mais en arriverions-nous là dès
ce soir ? Elle portait un pull grenat assez près du corps,
un peu trop à mon goût car le relief de son soutien-gorge
apparaissait nettement. Encore une fois, mon imagination vagabondait
et je l'imaginais jouant avec sa poitrine libérée
de ce carcan indigne, mais je tâchais de me concentrer
sur notre conversation gaie et futile, le vin aidant.
     La serveuse semblait nous choyer,
moi particulièrement d'ailleurs. Nous devions la changer
du tout-venant quinquagénaire flétri du reste
de la clientèle. A chacune de ses visites, elle s'approchait
très près de moi, bien plus près que ne
le nécessitait le service. Elle collait sa cuisse contre
la mienne, se penchait ostensiblement pour me desservir offrant
à mon regard ses seins libres et menus avec un visible
plaisir. Quand elle prenait ma commande elle se tenait tout
près de moi, plantait son regard noir dans mes yeux et
se tenait déhanchée de manière très
sensuelle. Ce manège était très excitant,
mais je me gardais bien de manifester quoique ce soit, par égard
pour Clothilde d'abord et pour ne pas risquer de rompre cette
étrange relation ensuite.
     Nous en étions à
la commande du dessert et notre seconde bouteille de vin touchait
à sa fin. Clothilde s'abstint prétextant des problèmes
de poids. Je lui fit remarquer que ses formes généreuses
étaient tout à fait séduisantes et harmonieuses
et que je m'opposais vigoureusement à toute tentative
de perte de poids de sa part.
     - C'est parfait dit-elle, j'aime
les compagnons vigoureux et déterminés. Je ne
prendrais toutefois pas de dessert je n'ai plus très
faim. Tu me feras goûter un peu du tien.
     Avant même que je réalise
ce que je disais, la phrase était sortie, incongrue :

     - D'accord si tu me montres tes
seins.
     - Tu les verras ne t'inquiète
pas .
     - Non, continuais-je, je voulais
dire maintenant .
     Je ne croyais pas que j'avais
dit cela. Notre conversation avait été très
sage jusqu'à présent et voilà que soudain
cela basculait. Je la voyais déjà se lever, me
gifler et partir en pleurant et hurlant que j'étais un
goujat et tout et tout. Mais non, son regard pétillait
de malice et d'une légère lueur de lubricité
qui la rendait diaboliquement désirable.
     - D'accord dit-elle, qu'est que
tu as pris ?
     - Des oranges confites au miel.

     - Quel à propos répondit-elle
en riant !
     La serveuse vint déposer
mon assiette en se penchant si habilement que sa poitrine vint
se frotter à mon épaule. Malgré l'épaisseur
de ma chemise il me sembla bien que ses tétons étaient
très fermes et très saillants. Je tentait de les
imaginer quand Clothilde se leva.
     Je crains le pire, je pensais
qu'elle allait me planter là comme un gros malotru avec
mes remarques graveleuses.
     J'attaquais donc ma première
demi-orange confite, plutôt dépité. Je ne
l'entendis pas revenir. Elle s'arrêta derrière
moi et pardessus mon épaule glissa quelque chose dans
la poche de ma chemise, puis alla s'asseoir.
     Mes réflexes étant
un peu émoussés par la quantité d'alcool
que j'avais bue, je ne réalisai pas tout de suite la
situation. Clothilde avait glissé dans ma poche son soutien-gorge
et avait légèrement descendu la fermeture éclair
de son pull. Je voyais la naissance de mamelons qui maintenant
libérés s'épanouissaient avec générosité.
Je regrettais de ne pas l'avoir vu revenir car ils devaient
bouger merveilleusement quand elle marchait.
     - Alors ce dessert demanda-t-elle,
en attrapant la glissière de sa fermeture éclair
et en la tirant très lentement vers le bas.
     La chair de ses seins apparaissait
peu à peu, ils se séparaient assez haut sur son
buste et formaient deux belles sphères rondes et fermes.
Elle fit un léger geste des épaules qui les fit
tressaillir alors qu'ils étaient maintenant totalement
visibles, captivant mon regard.
     Je pris une cuillère de
mon dessert et la portais à sa bouche. Elle sortit doucement
sa langue, et me l'offrit pour que j'y dépose le morceau
de fruit. Elle la rentra lentement et ferma les yeux pour en
apprécier toute la saveur. Alors que la bouche et sa
langue étaient encore pleine de sucre liquide et épais
elle la passa sur ses lèvres qui devinrent brillantes.
Elle passa ensuite délicatement un doigt sur sa bouche
pour recueillir un peu du liquide et le déposa sur le
bout saillant d'un de ses tétons qui s'en trouva encore
raffermi.
     A ce moment précis je sentis
son pied dénudé se poser sur la chaise entre mes
jambes, se trouvant trop loin, elle donna un coup de rein pour
se rapprocher de la table. Ses seins furent parcourus d'une
petite ondulation qui affola mes sens déjà très
échauffés. Son pied touchait maintenant mon sexe
en érection, à l'étroit dans mon pantalon,
il en était presque douloureux et l'excitation que me
procurait cette caresse accroissait encore cette sensation.

     - Finalement, je n'aime pas trop
ce dessert dit-elle et elle remonta la fermeture éclair
de son pull.
     J'étais légèrement
déçu de la fin de ce petit jeu, mais finalement
assez satisfait de pouvoir finir mon dessert pour passer rapidement
à d'autres jeux en d'autres lieux. Il y avait ce téton
enduit de sucre qui m'obsédait et que je désirais
sucer et lécher. Clothilde se pencha pour ramasser sa
serviette qui était tombée et je profitais de
ce répit pour me hâter de finir. Mais je ne la
voyais pas se relever. Je m'apprêtais à me pencher
de son côté pour voir ce qu'elle faisait quand
je sentis entre mes jambes quelque chose qui ressemblait plus
à une main qu'à un pied.
     Clothilde était sous la
table, entièrement dissimulée par la longue nappe
qui tombait jusqu'au sol.
     Je sentis ses doigts déboutonner
un à un les boutons de ma braguette, sans cesser de son
autre main de caresser mon sexe et mes testicules. Je n'osais
imaginer ce qui allait se passer ou plutôt je l'attendais
avec une sorte de frénésie qui faisait trembler
ma petite cuiller au-dessus de mon assiette. Elle avait sorti
mon sexe érigé de mon pantalon et le tenait du
bout des doigts. Elle soufflait doucement dessus comme pour
le soulager de cette trop grande tension et de cette longue
contention. Elle le tenait entre le pouce et l'index et faisait
de lents et doux va et vient. Je me cambrai sur ma chaise, éperdu
de plaisir, elle en profita pour glisser sa main sous mes testicules
jusqu'à effleurer du bout de ses ongles mon scrotum.
Je crus un instant que j'allais défaillir, je tenais
désormais les bords de la table comme pour ne pas sombrer
dans cet abîme de plaisir que Clothilde me donnait.
     Je sentis alors le bout de sa
langue s'insinuer dans les replis de la peau qui couvrait encore
mon gland, elle se frayait délicatement un chemin jusqu'au
méat et le léchait avec application et fermeté.
Je la sentis saliver un peu plus. Elle avala enfin mon gland
et le découvrant complètement. Ses lèvres
se resserrèrent sur le petit bourrelet de peau si sensible
et sa langue tournait autour de l'extrémité de
mon sexe. Elle alternait des aspirations et des petits coups
de langue de haut en bas, puis elle faisait le tour du prépuce
avec le bout pointu de sa langue tandis que sa main enserrait
ma hampe à sa base. Je me demandais combien de temps
j'allais tenir à cette épreuve, j'estimais ma
résistance à deux minutes tout au plus.
     - Souhaiterez-vous prendre un
café ?
     Je levais mes yeux probablement
complètement dans le vague pour rencontrer ceux étincelants
de la serveuse. Clothilde sous la table devait trouver la situation
piquante car elle redoubla d'intensité sa caresse. Elle
faisait désormais de long va et vient sur mon sexe qui
entrait totalement dans sa bouche, quand il ressortait, elle
s'appliquait à faire onduler sa langue sur mon gland
avant de l'enfourner à nouveau. J'étais au bord
de la jouissance.
     - Pas trop fort m'entendis-je
prononcer dans un râle à destination de Clothilde.

     - Entendu, je vous apporte un
déca répliqua la serveuse qui avait pris ça
pour ma réponse, et pour madame se sera ?
     - Un verre d'eau répondis-je
en imaginant que si je remplissais sa bouche de mon sperme,
cela serait le bienvenu.
     La serveuse s'éloigna
sans omettre de me frôler de sa hanche et Clothilde ralentit
le rythme et l'intensité de sa caresse. Elle sortit doucement
mon sexe de sa bouche et souffla un filet d'air sur toute la
longueur pendant quelques instants, puis elle déposa
un doux et léger baiser sur l'extrémité
de mon gland. Je n'avais pas jouis et l'excitation demeurait,
à faire mal. Je laissais mon sexe prendre un peu l'air
pour tenter de diminuer l'érection. Clothilde s'était
rassise et me regardait, visiblement satisfaite du résultat
de son intervention. Son regard était étincelant
de désir et de malice. Je serrais encore à pleines
mains les bords de la table quand la serveuse apporta le café
et le verre d'eau.
     - Je vous ai également
apporté l'addition précisa-t-elle. Madame ne regrette-elle
pas de n'avoir pas pris de dessert demanda-t-elle avec un soupçon
de sous-entendu dans l'intonation.
     - Pas du tout répondit
Clothilde, quelque chose à sucer sur le chemin du retour
me suffit, avez-vous des bonbons à la menthe ? La serveuse
ne s'attendait pas à une répartie de cette nature
et marqua un temps, puis elle dit :
     - Oui, bien sûr nous en
avons au bar, je vous en donnerai avec votre vestiaire
     Pas mécontente de sa réponse
et de mon air hébété Clothilde riait en
me regardant me tortiller sur ma chaise tandis que je me rajustais.

     La serveuse nous attendait avec
nos manteaux et nos bonbons.
     - J'espère que vous avez
passé une bonne soirée demanda-t-elle
     Clothilde s'était collée
derrière moi et elle écrasait ostensiblement ses
seins dans mon dos ce qui lui permit en toute discrétion
de passer furtivement une main par derrière entre mes
cuisses, jusqu'à caresser à nouveau mon scrotum.
Mon érection à peine résorbée se
rétablit aussitôt de manière très
visible pour la serveuse qui était en face de moi.
     - Oui, une très bonne
soirée vraiment, répondit Clothilde en s'essuyant
délicatement la commissure des lèvres
     - Oui, moi aussi, articulais-je
péniblement
     - En effet, Monsieur semble très
. content dit-elle en jetant un regard furtif mais sans équivoque
sur mon entrejambes. Puis-je me permettre de vous proposer de
venir à notre prochaine soirée cabaret pour fêter
le Beaujolais Nouveau. Les serveurs et serveuses font une petite
animation avec de la musique, des chansons et des saynètes.
C'est très bon enfant. Je vous réserve la même
table, elle semble bien vous convenir .
     Très embarrassé
par tous ces sous-entendus, je n'aspirais qu'à partir
rapidement
     - Oui, c'est une très
bonne idée, réservez-nous la table
     - Très bien, Monsieur,
je vous joins le programme, je suis Alex, je m'occuperais de
vous personnellement précisa-t-elle. Oh ! Suis-je étourdie,
continua-t-elle, j'ai oublié de vous apporter votre mignardise
avec votre café.
     Elle attrapa sur le bar une petite
assiette qui contenait un petit four en forme assez suggestive
d'éclair dont s'écoulait de la crème fouettée.
J'entendis Clothilde dans mon dos :
     - Oh ! Mon pauvre chéri,
ta mignardise, offre-là à Mademoiselle, cela la
récompensera de ses attentions à notre égard.

     - Oui, bonne idée, elle
est pour vous, dis en souriant.
     - Merci Monsieur, j'en profiterais
plus tard répondit-elle en me regardant droit dans les
yeux avec insistance, si bien que je dus détourner mon
regard.
     - Oui, c'est cela plus tard, conclut
Clothilde en me poussant vers la sortie
     - Bonsoir Alex dis-je
     - Bonsoir Madame, bonsoir Monsieur

     Ces émotions nous avaient
totalement dégrisés. Clothilde s'installa au volant
de sa voiture et nous prîmes le chemin de son appartement.
Je posais une main sur sa cuisse et remontais sous sa jupe vers
son ventre. Elle posa sa main sur la mienne.
     - Ne me déconcentre pas
pendant que je conduis, ce serait trop bête d'avoir un
accident alors que la soirée est tout juste commencée.
Donne-moi plutôt des détails sur la suite des évènements.
Quand nous serons arrivés, tu pourras vérifier
avec ce doigt - elle me pinça le majeur - le résultat
de tes projets. Si ma culotte est mouillée, tu viens
chez moi. Si ce n'est pas le cas il faudra que tu reviennes
en deuxième semaine. Je t'écoute. Tu as 15 minutes
pour préparer ta préface avant ton introduction.

     Elle rit encore de cette trouvaille,
tandis que je rassemblais mes esprits pour être convaincant.

     Mais, je raconterai cela un autre
jour.
e-mail : gregleuroux@post.club-internet.fr

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