La maman du jour aime vraiment se faire prendre

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Cunnilingus, ces petits trucs qui nous rendent folles - "Girls" © Visual






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En terme de cunnilingus , les femmes ont toutes leurs préférences. Les internautes que nous avons interrogées aiment surtout quand leur amant(e) varie les techniques. Témoignages.
« Je déteste lorsqu’un cunnilingus est fait avec brutalité et rapidité. Ce qui est important dans un premier temps, c’est d’en discuter avec son partenaire. Je l’avoue, ce n’est pas évident. Mais une fois que je lui ai dit, cette pratique s’est transformée en véritable moment d’extase. Il a favorisé la tendresse des mouvements et la douceur des caresses : plaisir total ! » Fabienne, 34 ans.
« Une chose que les garçons ne doivent pas oublier, c’est que le cunnilingus ne se fait pas qu’avec la langue. Personnellement, j’aime beaucoup quand mon partenaire utilise aussi ses doigts. La dureté d’un index alternée avec la souplesse d’une langue, cela crée une combinaison de sensations très intense ! Attention tout de même à la longueur des ongles ! » Fleur, 27 ans.
« J'aime qu'elle me caresse avec son souffle »
« Les doigts, la langue... Il existe beaucoup d'astuces pour stimuler encore plus une femme pendant un cunnilingus. Mais ce qui me fait vraiment craquer, c'est lorsque ma partenaire souffle lentement sur mon vagin . La chaleur et l'humidité de l'air rend le moment encore plus sensuel et excitant. Ce n'est pas aussi intense que la langue, mais cela vient suspendre le moment et je me lâche totalement ! » Eva, 34 ans
« Une chose toute bête mais un homme avec une moustache aura plus tendance à me chatouiller qu’à me procurer du plaisir : le contact des poils sur mon vagin, c’est rédhibitoire ! Cela dépend des femmes évidemment mais je préfère quand mon partenaire est rasé de près. Une fois que le coup de rasoir est passé, plus rien ne m’arrête ! » Perrine, 26 ans.
« Ce sont des sortes de petits chatouillis ! Quand les mouvements de la langue deviennent très monotones, j’aime dire à mon mec de titiller mon clitoris avec le bout de sa langue. Cela me fait faire des petits soubresauts pleins de plaisir ! Pour ensuite, pourquoi pas, revenir à des mouvements de langues plus lents. » Marie-France, 30 ans.
« Pour rendre ce moment encore plus surprenant, j’aime bien quand mon mari me mordille un peu les lèvres du vagin. Pas très fort, juste suffisamment pour me faire sentir la différence. Le meilleur, c’est qu’il ne prévient pas donc je passe de la tendresse à la surprise en quelques secondes et je dois avouer que cela transforme réellement l’instant. » Géraldine, 33 ans.
« Comme pour la pénétration, j’aime quand mon mec varie la vitesse et les mouvements. S’il commence doucement sur les lèvres du vagin, il continue ensuite plus vivement vers l’intérieur. Et là, les sensations sont doublées ! Pareil quand il bouge sa langue de gauche à droite et change pour jouer de haut en bas, cela modifie complètement le cunnilingus et on s’ennuie moins ! » Claude, 40 ans.
« Souvent les hommes n’osent pas de peur de nous faire mal. Mais aspirer de temps en temps le contour du clitoris est extrêmement plaisant. Evidemment, je précise qu’il ne faut pas le faire trop brutalement mais cela change du cunnilingus « classique ». Le suçon est une bonne alternative ! » Louise, 29 ans.
« Non, tout ne se passe pas uniquement au niveau du vagin. Quand mon mec est occupé entre mes cuisses, il a pris l’habitude de faire balader ses mains sur tout mon corps. J’ai l’impression de « me sentir moins seule » en quelque sorte. Il vient caresser mes reins, pincer mes tétons : c’est le jour et la nuit ! » Blandine, 31 ans.
« Dans l’imaginaire collectif, la position la plus courante pour faire un cunnilingus est la femme sur le dos, la tête de l’homme entre ses cuisses. Mais avec un peu d’imagination, on peut facilement trouver d’autres positions bien plus excitantes qui stimulent encore plus. Avec mon mec, on le pratique souvent debout, lui à genoux devant moi. Le plaisir est là et l’excitation de cette nouvelle position décuple le plaisir. On peut aussi le faire à califourchon ou même en levrette ! » Marion, 28 ans.
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Journée de la Terre ou non, faire l’amour dans la nature les propulse au 7ème ciel. Batifoler dans les prés, c’est leur plaisir (presque) secret. Sept femmes nous parlent de leur sexualité à l’air libre.
Faire l’amour en plein air reste le fantasme numéro un des Français* !   Mais de là à passer à l’acte, il y a un pas que beaucoup n’osent franchir. Pour certaines, hors de question d’aller s’ébouriffer le brushing sur un sol inconfortable. Pour d’autres, rien de tel que le soleil ou le picotement de la paille sur leur peau pour booster leur libido. Quand on sait que 9 rapports sexuels sur 10 ont lieu dans un lit, on peut se demander qui sont ces amoureuses écolos. Au clair de lune ou dans une clairière, elles n’ont pas peur de se mettre à nu… Et cela sans être forcément exhibo : « Je suis plutôt pudique mais quand je vois le ciel au-dessus de ma tête, être à poil ne me pose plus aucun problème », explique Sophie, 32 ans. « Coucher avec mon mec en pleine campagne, c’est une manière de vivre ma sexualité de manière moins aseptisée que dans un lit », ajoute-t-elle.   « Dès qu’il fait beau, on prend les vélos et on s’échappe hors de la ville », raconte cette fois Laurence qui a 35 ans. « On cherche un petit coin à l’abri des regards et on se laisse totalement aller ! Toute la semaine, nous travaillons beaucoup et c’est vraiment le week-end ou en vacances qu’on se laisse aller à nos idées coquines ».
Et si sortir du lit conjugal permettait de s’aimer autrement ? Prendre la clé des champs pour réveiller leur désir, ces femmes le font dès qu’elles en ont l’occasion. Pour casser la routine et (re)découvrir son partenaire, Catherine, 35 ans, aime donner à son couple une bouffée d’air pur. « Je me sens libre quand je fais l’amour en plein air avec mon mec. Le téléphone ne sonne pas, on n’entend pas la télé des voisins et je ne suis pas déconcentrée en voyant tout d’un coup un chemisier que j’ai oublié d’emmener au pressing ! Je décroche totalement du quotidien et du coup, je me sens non seulement libre dans ma tête mais aussi dans mon corps. Et c’est beaucoup plus intense. » Marie, 41 ans, est également accro aux caresses bucoliques :   « La dernière fois ? Nous revenions d’une soirée et nous roulions en pleine campagne. On a trouvé un sentier un peu paumé… Quand nous faisons l’amour dehors, je me sens plus animale. Ca sent le foin, on entend les oiseaux, je ne suis pas du tout la même, j’ai plus de sensations. Il y a une autre complicité avec mon copain, l’orgasme est plus rapide, plus fort ».
Et puis il y a l’adrénaline aussi. La trouille de se faire remarquer dans les bosquets, la peur d’être débusqués en pleine intimité. Sursauter à chaque craquement de brindille n’aide pas à atteindre le 7ème ciel. Mais se laisser aller au plaisir, tout en gardant dans un coin de sa tête qu’on pourrait être surpris, se révèle parfois aphrodisiaque. « Je me sens redevenir ado, comme si je faisais une chose totalement interdite. Je sais que quelqu’un pourrait arriver à tout moment et je trouve ça terriblement excitant », avoue Sandrine, 43 ans. Mais quand des intrus se permettent d’interrompre la scène, la magie disparaît brusquement et l’on se sent parfois complètement ridicules… « On venait à peine de terminer quand nous avons entendu des voix. Je cherchais désespérément ma culotte quand un groupe de randonneurs a débarqué. Ils ont rigolé et nous ont applaudi. J’avais envie de disparaître, mon mec s’est marré et nous nous sommes engueulés comme jamais ! », se souvient Julie, 29 ans. Si l’expérience vous tente, évitez les forêts d’Ile de France où les promeneurs du dimanche et les bandes de scouts envahissent les sous-bois au moindre rayon de soleil. Des inconnus qui vous découvrent en pleine brouette balinaise, c’est une chose.
Mais la famille, c’est pire que tout ! Laure, 31 ans, en rougit encore : « Nous étions en vacances dans les Landes, chez mes beaux-parents. Avec mon chéri, nous avons profité d’une balade pour nous éclipser. A l’abri derrière un rocher, nous étions tellement dans le feu de l’action que nous n’avons rien entendu. Et tout d’un coup, je vois le chien de la maison qui nous regarde… Et voilà Beau papa, Belle maman, 5 autres adultes et tous leurs gamins qui viennent voir ce que trafique le chien… La honte de ma vie, je crois. J’ai prétexté un dégât des eaux dans notre appart pour rentrer plus tôt à Paris… ». Si faire l’amour dans la nature n’est pas expressément interdit, se faire pincer peut vous attirer des ennuis. L’article 222-32 du Code Pénal est plus qu’explicite : « L’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible au regard du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende ». Ca fait cher le câlin, non ?! Mieux vaut donc se dénicher un nid d’amour à l’abri des regards indiscrets. Il y a 20 ou 30 ans, c’était un jeu d’enfant de batifoler en plein air. Aujourd’hui, il faut être expert en cache-cache ! Le livre d’Elise Rousseau et Philippe J. Dubois « Comment faire l’amour dans la nature »** peut vous aider. Testées pour vous, des forêts, prairies, dunes ou clairières : vous n’avez plus qu’à choisir !
Trimballez toujours dans votre sac un plaid ou un pull, histoire d’éviter l’effet « mon fessier dans la fourmilière » ! Méfiez-vous des moustiques et des tiques dans les forêts. Ronces, orties et charbons sont également à boycotter durant vos ébats. A la campagne, préférez les sentiers isolés aux prés. Se retrouver entourés d’un troupeau de vaches (plus curieuses, tu meurs !), ça casse un peu l’ambiance. Et surtout, renseignez-vous sur les périodes de chasse : être prise pour un chevreuil, ça laisse des traces ! Sur la plage, la serviette est de rigueur. Le sable s’infiltre partout, vraiment partout… Bien sûr, on ne laisse pas traîner son préservatif au milieu de la forêt. Ou alors on se la joue écolo jusqu’au bout : les capotes en latex naturel et le lubrifiant à la sève pure de l’arbre d
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