La maîtresse torture sa petite esclave rousse

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La maîtresse torture sa petite esclave rousse
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vidéo Découverte par des universitaires coréens, elle aurait été tournée par un soldat américain en 1944.
Le 5 juillet, la Corée du Sud a rendu publique une vidéo qui pourrait être la première montrant celles que l’on a longtemps appelées par euphémisme « les femmes de réconfort ». Ces femmes étaient, en réalité, des esclaves sexuelles exploitées par l’armée japonaise au cours de la seconde guerre mondiale. Selon les historiens, jusqu’à 200 000 personnes, pour la plupart des Coréennes mais aussi des Chinoises, des Indonésiennes et des ressortissantes d’autres pays asiatiques, ont été enrôlées de force dans les bordels de l’armée impériale.
Cette question empoisonne les relations entre Séoul et Tokyo depuis des décennies, nombre de Sud-Coréens y voyant le symbole des abus et violences commis par le Japon durant sa domination coloniale, de 1910 à 1945. Seules des photographies de cet épisode étaient connues jusqu’à aujourd’hui. L’extrait vidéo, qui aurait été tourné par un soldat américain en 1944, a été découvert par des universitaires coréens après deux ans de recherche dans les archives américaines.
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Statut de l’esclave
mâle au sein du couple lesbien.

Note : Ce texte est écrit à partir de la consultation
du forum gynarchique de Gynarchy Internationnal, Promotion de la Gynarchie,
Expériences.
Je présente
et résume ici le point de vue de Maîtresses vivant au sein
d’un couple lesbien et possédant un esclave en phase d’éducation
ou déjà formé à la soumission à la Femme.
Ce qui m’a
poussé à écrire cet article est que les idées
développées sur ce forum ne sont pas des phantasmes de mâles
en quête de sensations particulières mais bien le fruit d’une
expérience pratique réellement vécue qui à mon
humble avis on une valeur formative et exemplative certaine pour Celles
et ceux qui débutent dans ce domaine ou qui veulent simplement s’informer
pour débuter dans une relation Maîtresse/esclave.
Le texte écrit
dans une fonte différente et entouré de guillemets sont les
paroles prononcées par les Maîtresses elles-mêmes.
Pour les partenaires du
couple lesbien, l’un des moyens les plus productif est de toute évidence
le contrôle total et permanent par les Maîtresses de la sexualité
de l’esclave. Pour certaines d’entre-Elles, l’esclave doit
être « pénétrable » à souhait.
Etre forcé par ses Maîtresse rappelle à l’esclave
qu’il est sous le pouvoir et le bon vouloir des ses Maîtresses.
« Celui
d’une soubrette à tout instant pénétrable et au
‘clito’ méticuleusement contrôlé »
« Nous le faisons à tour de rôle et sans aucune manifestation
affective, pour qu’il n’y trouve rien d’autre qu’une
sorte de contrainte physique témoignant de notre pouvoir, un rappel
régulier de l’essence pénétrable de la Féminité
à laquelle il doit adhérer. » « Nous voulons
lui faire expérimenter notre intrusion, notre invasion de son être,
notre souveraine possession de son intériorité. »
Pour Elles l’esclave
est une sorte d’être ou d’objet asexué ni mâle
ni femelle utile par le travail qu’il peut fournir, ou pouvant servir
d’élément décoratif voir encore d’objet passif
tel une table, un repose-pieds ou un porte manteau.
« Nous
avons attribué à notre esclave le statut de représentant
d’une sorte de troisième sexe. » « C’est
en tenant compte de cela que l’on fait de l’esclave un élément
passif, décoratif, utile, qui agrémente l’épanouissement
sensuel et sentimental du couple féminin. »
L’esclave peut également
contribuer intellectuellement, affectivement, financièrement dans le
cadre strict des besoins et désirs des Maîtresses à l’épanouissement
sensuel et sentimental du couple féminin.
Ce qui fait l’unanimité au sein de la sororité lesbienne
gynocratique est que l’esclave ou les esclaves appartenant aux Femmes
n’ont d’autre utilité que de vivre et exister que pour assurer
la pleine et entière satisfaction de ses Maîtresses par une obéissance
et une soumission totale ainsi que par un dévouement sans limite.
« Sa
seule fonction appréciale, ‘le zizi’, est d’empêcher
l’esprit de l’esclave de penser sérieusement à autre
chose qu’à Nous, ses Maîtresses, et à notre bonheur. »
L’esclave gynarchiste
est une espèce d’être-objet purement destiné au service
de la Femme, à la satisfaction des ses besoins et à la réalisation
de ses désirs et ceci de la façon la plus désintéressée
qui soit.
« Il
est vraiment devenu un objet et, ma foi, nous en sommes assez contentes. »
Pour certaines d’entre-Elles,
l’esclave peut être considéré comme un automate, un
robot que les Maîtresses activent en poussant sur les bons boutons en
fonction du type de tâche à effectuer, robot possédant une
certaine aptitude à exécuter les ordres reçus, voir pour
certains une certaine capacité d’initiative
orientée exclusivement vers la réalisation du désir féminin.
« Je
préfère avoir une machine dont je presse les boutons en fonction
de mes besoins plutôt qu’un mâle trop ‘informatisé’
qui serait convaincu de pouvoir fonctionner tout seul. » « Le
système de Pavlov est un peu simpliste s’agissant d’un
esclave familier et même intime. Toute la difficulté est
de trouver et maintenir un équilibre satisfaisant ( pour nous les Femmes)
entre l’aptitude à exécuter des ordres et une certaine
capacité d’initiative qui si elle est orientée exclusivement
vers l’anticipation de nos désirs, peut être assez agréable. »
Pour permettre au mâle
courant, commun d’atteindre un comportement sain, un dressage-éducation
efficace doit tenir compte de la nature de l’esclave et du contexte de
la vie quotidienne.
Pour certaines Dominatrices,
ce type de dressage s’apparente à la culture de plantes vertes
auxquelles on donnera plus ou moins de lumière, plus ou moins de chaleur
ou de nutriments selon la nature de la plante. Le résultat de la culture
sera d’autant meilleur que la culture sera faite avec beaucoup d’attention
et de méticulosité.
Pour arriver au meilleur résultat, la chasteté imposée
à l’esclave semble essentielle et être sous contrôle
féminin. Le débat actuel porte principalement sur le fait que
celle-ci doit être totale et définitive ou être savamment
dosée par les Maîtresses pour être un moyen efficace de pouvoir
permanent.

« Le mâle en cours d’asservissement est
sensible à la chasteté imposée et ‘institutionnelle’
si j’ose m’exprimer ainsi, qui découle de sa condition inférieure
de mâle et de l’homosexualité de sa Maîtresse. »
« … y compris la pause d’un chastity tube en acier poli,
fixé à demeure par deux ou trois piercings, je ne sais plus, dont
un frenum. » « L’esclave nous montre sa giclette
dans un tel contexte de contrainte, d’humiliation, de dérision
qu’il ne s’agit d’aucune manière d’une manifestation
de virilité et encore moins l’acte arrogant d’un mâle. »
L’une des techniques
utilisée avec succès dans le dressage du mâle et la technique
de la double contraine, ‘double bind’ ou encore de la douche écossaise
qui consiste à souffler le chaud et le froid de manière à
laisser l’esclave dans un état de perplexité permanent le
rendant plus attentif aux désirs de ses Maîtresses et le conduisant
à réfléchir en permanence à la qualité de
son service.
« Indulgence,
approbation, encouragement et à la première réaction
positive, surprise, colère, punition. »
Peut-être ce peut-il
que dans certains cas une méthode soit plus efficace que l’autre ?
Il semble également que le dressage pour être efficace à
long terme doive obtenir la collaboration et l’adhésion inconditionnelle
du mâle au projet et aux valeurs gynocratiques par :
Une préparation psychologique,
un conditionnement à la soumission et à la servitude à
la Femme comme un moyen pour le mâle de se réaliser pleinement.
« Je
veux parler d’une préparation psychologique, d’un conditionnement
conduisant le mâle à désirer se soumettre, à concevoir
la servitude à la Femme comme le meilleur moyen de réaliser
son bonheur . »
Un apprentissage à
adopter comme naturel et inéluctable un comportement allant dans le sens
de la soumission à la volonté féminine et à la satisfaction
pleine et entière du désir féminin.

Ceci constitue sans nul doute, pour votre serviteur et les autres mâles,
une nourriture spirituelle qu’ils devront méditer pour assainir
leur comportement à l’égard des Femmes qu’Elles soient
lesbiennes ou non. Il espère sincèrement que les idées
ci-dessus contribueront rapidement au développement d’une société
de type gynocratique et aideront certaines d’entre Vous Mesdames à
prendre en main de manière efficace les mâles inférieurs
que nous sommes.
Et comme le dit si bien une Maîtresse :
« Il
m’est apparu clairement que seul l’asservissement total de mon
mari pouvait à la fois me rendre la vie meilleure et ma tranquillité
d’esprit. »
La clé d’une
société meilleure, une civilisation de la paix et du progrès,
celle de demain doit naître, naîtra de la prédominance et
de la souveraineté du clitoris sur le pénis.

Je suis une maitresse Lyonnaise ( lyon )Je suis sévère, coquine, un peu garce, et surtout, j’aime torturer les hommes délicatement, en prenant le temps. Mon homme ne me comble pas assez, il m’est soumis, mais pas complètement. J’ai envie d’aller plus loin. Jusqu’où, je ne sais pas, mais je veux un vrai esclave pas un débutant. Torture, humiliation, à distance, entre mes cuisses, sous mes cravaches et talons aiguilles, on peut tout faire ensemble, je peux tout faire de vous, il suffit de me contacter avec respect. Si je sens que vous n’êtes pas un vrai soumis qui se connait, je ne pourrais rien faire avec vous. Si vous êtes déjà la propriété d’une autre dominatrice, je ne pourrais rien faire avec vous sans son accord. Je vous ordonne, vous faites ! Si je ne suis pas avec vous physiquement, comme pendant nos séances de domination au téléphone, vous me faites parvenir les preuves d’une manière ou d’une autre, on trouvera un moyen.
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