La mère sexy de mon meilleur pote

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La mère sexy de mon meilleur pote
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Je m'appelle XXX, j'ai 21 ans et je suis en deuxième année de médecine, tout comme mon meilleur ami YYY. Un samedi, je passe chercher YYY car nous devons faire un tennis, je sonne donc chez lui et sa mère m'invite à entrer.
- Bonjour madame, je viens chercher YYY. - Il n'est pas là. - Il revient bientôt ? On doit faire un tennis. - Il ne devrait pas tarder, il est parti il y a une heure et je ne sais pas où il est. Tu es XXX, c'est ça ? - Oui. - Tu n'es pas trop stressé avec ces études, ça a l'air très difficile. - On fait aller, c'est dur mais bon.
Elle m'invite à m'asseoir sur le canapé et s'assied à coté de moi. On parle ainsi de choses et d'autres pendant plusieurs minutes, la mère de YYY est maintenant collée à moi et son pied se frotte au mien. Je dois admettre que ça commence à me donner des idées. Elle doit le sentir, je sens une main se poser sur mon pantalon, je regarde, elle est en train de me caresser au travers de mon short et une bosse commence à se former.
- Madame ... C'est n'est pas une bonne idée. - Laisse moi faire.
En disant cela, elle se penche, baisse mon short et commence à me sucer. Ma queue est maintenan t totalement dure sous l'effet de ce massage buccale des plus agréables. Elle se met à se doigter tout en continuant la fellation. Quelques secondes après, elle se relève et s'assied sur mon chibre et s'empale dessus. Elle prend de nouveau le contrôle des opérations et imprime la cadence. Après 2 minutes de ce traitement, je sens la sauce monter, je lui dit gentiment que je vais venir, elle arrête alors tout mouvement et place bien mon sexe au fond de son vagin. Elle reste ainsi jusqu'à la fin de mon orgasme et se relève ensuite, elle me lèche un peu la queue, redevenue molle et me remet le short en place. J'entend la porte d'entrée s'ouvir et Julien arrive :
- Salut maman, salut XXX, on y va ? - Oui - Reviens quand tu veux XXX, j'ai été très contente de faire ta connaissance. - Merci madame, moi aussi.
On sort tous les deux pour notre partie de tennis..



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Création : 24/08/2013 à 20:20
Mise à jour : 24/08/2013 à 21:15

# Posté le samedi 24 août 2013 21:06

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Série : Mon pote et sa mère

Premier texte : Mon pote et sa mère (1)
Texte précédent : Mon pote et sa mère (1)
Ce texte est le dernier épisode soumis par l'auteur

Nous nous étions caressés sur son canapé. Elle nous avait maté par caméra interposée. Et j'étais là, ce matin, pétrifié d'avoir simplement les épaules effleurées par les mains de sa mère. Elle qui m'a massé les adducteurs et qui depuis me fait tant fantasmer.

Je deviens dingue, je viens de lui avouer pour moi et son fils... et lui dire de vive voix que j'éprouve de graves sentiments pour elle. Elle a 35 ans mais se fringue comme nous, convers jeans et tee shirts. Je sens ses mains chaudes sur ma peau nue. Sa présence souple derrière moi et ses petits mots qu'elle susurre à mon oreille:

— Se sera notre secret... bel Augustin.

Et ses mains de se promener sur ma poitrine. Je sens ses tétons tendus sous sa légère nuisette venir frôler mon dos. Je dois dire que je n'ai jamais ressenti un désir pareil. Je ne peux me retenir et éjacule dans mon caleçon. La honte absolue! Je gémis, elle comprend ce qui se passe. Je vois le tissu se gorger de ma liqueur, elle me pince les seins. Cri de jouissance. Sa bouche vient effleurer la mienne. Ses lèvres s'entrouvrent, j'y glisse ma langue, avide d'y pénétrer. Ce long baiser me fait oublier d'avoir joui si vite. Elle écarte sa bouche tendre, chaude, en fait brûlante de la mienne le temps de me dire:

— Ce n'est rien vilain petit garçon... J'aime que tu aies du plaisir et je n'ai pas fini de t'en donner.

Elle s'écarte encore plus de moi, relève sa nuisette et je découvre son sexe totalement épilé. Les grosses lèvres rougeoient et elles sont légèrement écartées. Elles laissent deviner les divines promesses qu'elles dissimulent encore.

— Tu vois, moi aussi je mouille... Touche moi.

Dieu de dieu! Quel lever, royal. Le bonheur et l'érection ne me quittaient pas. Mes doigts se promenaient à loisir autour de la fente luisante et palpitante comme un petit cœur.

— Oui... tu le fais bien, pas trop vite... Va dedans...

Elle n'était que chair excitée et souffle coupé, un trou profond avide de mes doigts. Son bassin tanguait, s'appuyait sur ma main maintenant trempée. Je caressais, je frottais, ça glissait. J'aurais tout renié pour son regard qui partait dans le vide. C'est moi qui étais responsable du plaisir qu'elle prenait. Ma queue pleine de sperme toujours aussi dure vibrait sous mon caleçon. Elle me dit:

— Sors-le ton oiseau, je vois bien qu'il ne demande que ça.

Je n'osais pas. Je n'arrivais pas à retrouver ma respiration, je ne voulais que la toucher, la faire hurler de plaisir sous mes doigts. Je venais de découvrir leurs pouvoirs. C'est elle qui s'en est saisi, j'ai juste un moment soulevé mes fesses. Elle vira sa nuisette. Nous étions nus, Adam et Ève.

Elle m'entraîna, tout en me manipulant le zob, vers le canapé. Mouvements de rotation légers, lubrifié par mon sperme. Elle me lâcha, s'assis et m'ordonna:

Elle écarta ses jambes. Je m'approchai, le regard fou. Je la détaillais sans plus aucune gêne. Nous étions simplement deux corps emparés de désirs. Je ne pouvais plus me préoccuper d'autre chose que de ce qu'elle demanderait. Je me suis agenouillé, j'ai bouffé, je me suis goinfré de sa petite chatte. J'ai sucé tout ce qui se présentait, grandes et petites lèvres, clitoris, trou du cul, comme à son fils. Je me suis relevé brutalement, le visage couvert de sa mouille abondante et je l'ai pénétrée d'un seul coup. Elle a hurlé de plaisir, j'étais une bête sauvage, un garçon rendu plus grand que tout les hommes. Je fourrageais toujours et encore plus fort. Elle jouissait de m'avoir sur elle, de sentir et savoir mon corps possédé par le sien qui s'y pressait, de toute sa fougue adolescente, celle qui l'obsédait... identique à celle de son... fils. J'ai à nouveau éjaculé et joui très longtemps. Je n'avais plus la notion du temps. Je ne savais plus ou ni quoi que ce soit. Une boule de plaisir, un tremblement de terre un océan qui se vide. Et elle au plus haut de son plaisir hurla... le prénom de son fils... «Oh Éric!» J'ai paniqué et suis redescendu tout de suite. Tombé du ciel. Elle aussi avait perdu le contrôle et dans cet orgasme, venait d'exprimer le plus intime de ses fantasmes. Pour notre malheur parce qu'Éric ne fût pas long à accourir et contempler d'un visage grave et interdit sa mère et son pote qui hier soir lui avait mis sa queue dans la bouche.

Éric était bouleversé, des pensées contradictoires se bataillaient dans sa tête. Surtout lorsqu'il croisa le regard de sa mère. Il y lut du plaisir, quelque chose qui allait au-delà des normes. Sylvie se sentait coupable et soulagé, elle montrait son vrai visage. S'en être ouverte à moi était une chose, prendre à témoin son fils, une autre. Elle se libérait d'un poid sans réfléchir.

— Augustin, t'as baisé ma mère! Putain mais vous êtes cinglés tous les deux!

— Écoute, ce sont nos désirs qui nous ont amené là, comme toi avec Augustin, ne lui reproche rien, c'est moi ta mère qui a une attirance folle pour les jeunes gens de vos âge.

Je me sentais mal vis-à-vis d'Éric, c'était comme si je l'avais trahi.

Éric ne s'en rendait peut-être pas compte mais sa bite se déployait sous son caleçon que j'avais pour ma part vite renfilé. Des sanglots ne demandaient qu'à sortir de sa gorge sèche et contracté. Une façon de ne plus penser, de se laisser aller à ses désirs, qu'il n'osait, n'y pouvait formuler clairement après ce qui venait de se passer. Il s'en voulait de ses pensées hors nature. Il nous en voulait de ne pas l'avoir associé... et si c'était, là, l'ultime basculement dans la débauche d'envies troublées. Éric pleurait maintenant à chaudes larmes et alla s'assoir sur les genoux de sa mère qui avait remis sa nuisette. Elle calîna son fils. J'étais très éxcité à les voir ainsi, à peine vêtus, comme deux amants. Je suis allé m'asseoir à leurs pieds pour leur témoigner de mon soutient et, pensais-je, ainsi rattraper ou expier une espèce de faute. Mais la bosse sous le caleçon d'Éric m'attirait trop. J'ai commencé à lui caresser la cuisse tout doucement.

Il reniflait, cherchait à se calmer, peut-être à revenir à un temps plus innocent. C'était trop tard. Il était dans le fond heureux de l'attention que nous lui prodiguions. Ils écartait ses jambes, posées sur celles de sa mère, comme pour désavouer ce qu'il venait de me demander. Son corps s'abandonnait, Éric voulait comme nous hurler de plaisir et de jouissance. Ma main se promenait maintenant librement sur ses cuisses, jolies et musclées.

— Voilà mon chéri, calme toi, nous voilà trois fous. Regarde comme il est gentil ton ami à te carresser ainsi. Oui, sors lui la bite, carresse-la, honore-la. Oui comme ça, sur mes genoux mon chéri, je veux qu'Augustin te la suce.

La mère d'Éric lui caressait la poitrine. Cette situation m'excitait.

J'ai sorti sa queue par la fente à l'avant de son caleçon, sa bite était toute droite. J'y ai porté la langue, l'ai titillé du bout, je l'ai léchée, dans un geste que je souhaitais de réconciliation et d'encouragemment à se laisser aller dans les bras que je savais voluptueux de sa jeune mère. Sylvie n'en perdait pas une miette et j'ai clairement perçu les mouvements de son bassin. Elle s'est, tel un serpent, arrangée pour me présenter son sexe au même niveau que la bite de son fils. Je n'avais plus qu'à sucer l'un et mettre mes doigts où il fallait chez l'autre. Je me suis appliqué et ai donné un plaisir important à mes deux protagonistes. Éric se tortillait sur les jambes de sa mère pendant que cette dernière se mouvait au rytme de mes doigts dans sa fente et sur son clito enflé. Ma salive se mélangeait à la mouille d'Éric à l'odeur âpre et sucré. J'étallais celle, abondante, qui s'écoulait du sexe de Sylvie sur leurs cuisses, leurs fesses et les couilles d'Éric. J'étais le témoin et l'acteur de ces plaisirs forts et coupables. Je n'avais jamais été aussi excité. Sylvie, au bord de l'orgasme et dans un souffle, nous demanda de nous le faire.

— Faites-le vous deux, je veux vous regarder le faire.

On se placa tête-bêche, Éric allongé sur le canapé. C'était bon de sentir ses doigts et sa bouche sur mon sexe raidi d'une excitation que je n'avais jamais eu si forte. Le fait d'être maté par Sylvie et encore plus losqu'elle vint donner des coups de langues sur le sexe de son fils et mes lèvres. Je l'ai embrassée pendant qu'Éric continuait de me sucer, de me caresser le dérrière. Il passait même ses doigts dans mon sillon. Le baiser fougueux de sa mère et les attentions d'Éric me firent jouir. Syvie gémissait et masturbait Éric qui jouit à son tour et nous envoya plusieurs giclées de goutelettes brûlantes et claires sur nos visages ravagés par la fureur de nos plaisirs. Sylvie a joui rien qu'à participer au plus près. On se retrouva tout les trois, nus sur le canapé, Éric et moi caliné par Sylvie. Elle ébourifait nos cheveux et nous faisait de tendres bises, des petits gestes d'affection.

— Les garçons, il ne faudra rien dire, les autres ne comprendraient pas.

— C'est clair! Je tiens à rester votre ami, à toi Éric et à vous... toi, Sylvie...

— Quand même c'est dingue ce qu'on a fait, mais putain c'était bon.

— Éric mon chéri, je suis comme çà, ce n'est pas pour rien que je vous accompagne au foot. J'ai toujours préféré les jeunes garçons. Tu es si doux, si magnifique, que depuis que tu deviens un jeune homme, je ne pensais qu'à cela et à Augustin. Je savais pour vous deux, ça m'éxcitait trop, j'en devenais dingue. Tu comprend Éric?

— Oui, mais, je sais pas si j'arriverai à te voir encore comme ma mère.

— Je suis embêté par votre conversation, je ne suis pas votre fils et pour Éric c'est vrai, moi je ne me verrais pas avec ma mère, faut dire qu'elle est... pas comme toi Sylvie. Tu me fais plus penser à une grande soeur, qu'à une mère.

— Oui mais moi, c'est ma mère aussi.

— On en reparlera plus tard. Pour l'instant, profitons de ce moment. Et à ce que je vois, ça ne vous empêche pas de recommencer à bander mes cochons! Ce que je voudrais, c'est que vous me preniez. C'est mieux qu'un beau rêve. Allez! Branlez-vous, je vais vous aider à être bien dur.

Sylvie se placa de façon à nous donner des coups de langues sur l'endoit si sensible de nos queues. Bon dieu c'était beau et bon de la voir ainsi, femme lubrique qui passait d'un sexe à l'autre.

— Éric, je veux que tu sois le premier. Je vais me mettre à genoux, tu me prendra par dérrière, Augustin t'aidera s'il le faut. Viens, allez, viens me la mettre ta belle queue, mon fils adoré.

Elle se placa de façon à faire saillir sa croupe. C'était quelque chose de terriblement obscène. Sylvie réalisait avec nous tous ses désirs enfouis depuis longtemps. Comme un seul homme, Éric s'est placé dérrière elle, il était très excité et dans un état proche du somnanbulisme. Sylvie sentait la queue qui cherchait à s'insinuer, elle tendait son cul, ses jambes s'écartaient pour s'offrir au membre filial. Je l'ai à peine aidé. La queue d'Éric est entrée dans le sexe maternel comme dans du beurre. Je sentais sous mes mains le bassin d'Éric commencer à onduler. Je suis resté un moment à accompagner ses mouvements. J'étais un maquignon qui veillait à la saillie. Je n'avais qu'une envie, celle de pénétrer à nouveau Sylvie, être sucé par elle ou de prendre mon ami en même temps. C'était beau de voir Éric, son visage se contracter ainsi de plaisir, d'entendre Sylvie geindre et demander:

— Plus vite, vas-y mon chéri, c'est bon, ne viens pas trop vite. Viens me donner ta queue à sucer Augustin. Je suis votre cochonne, donnez-moi vos bites, je veux vous sentir partout en moi et longtemps.

Sylvie s'est relevée légérement sur ses avant-bras et a tendu sa tête vers mon sexe. Elle me suçait au rytme qu'elle imposait à Éric. Il a joui, gémi de bohneur tellement la chatte de sa mère lui procurait d'incroyables sensations. Sylvie à voulu que je remplace Éric:

— Viens Augustin, prends-moi! Tu l'as grosse, je vais jouir, baise-moi fort, aide-le Éric, vite je vais jouir.

Je l'ai pénétrée avec une furieuse envie, elle jouissait pendant que je m'activais, des vagues de mouille et de sperme mêlés semblaient s'écouler sans discontinuer sur mes cuisses, baignaient mes couilles. Je suis venu fort également. J'étais épuisé aussi. On s'affala à nouveau et nous allâmes prendre un bon petit-déjeuner. Je me demandais ce que tout cela allait changer entre moi, Éric et sa mère. Allions-nous poursuivre cette inlassante quête de jouissances?

À l'entraînement suivant, sa mère m'a tripoté plusieurs fois discrètement à travers mon short. Cela m'a mis dans un état térrible, à tel point que j'ai refusé la douche collective. Je me laverais chez moi... Éric tenait à venir, sa mère souhaitait que l'on rentre chez elle. J'imaginais ce qu'elle avait en tête. Éric n'était pas chaud, moi j'en brûlais d'envie, sa mère aussi. Elle était enchantée d'assister à la douche qu'elle me proposa de prendre chez eux. Éric se rangea de notre côté, avait-il le choix? On prévint mon père que je rentrais avec Sylvie et passais un moment chez eux, comme bien souvent.

J'entrai nu dans la baignoire. Sylvie promenait le jet sur mon corps et mon sexe bandé. Elle me savonna, elle insistait sur mes parties intimes, elle se pencha pour me prendre tendrement dans sa bouche. C'était ce qu'il me fallait pour me remettre de l'entraînement. Ni tenant plus, Éric m'a rejoint dans la baignoire; il ne voyait plus d'inconvénients à ce que nous soyons à nouveau réunis tout les trois. Sa mère le suça également tout en me branlant, avant de revenir à ma queue. Elle alterna ainsi un moment, nous étions au comble de l'excitation et attentif à la proposition de Sylvie:

— Éric, tu vas enculer Augustin pendant qu'il me léchera la chatte.

Aussitôt dit, aussitôt fait! Éric me pénétra en ayant au préalable savonné son sexe et mon trou du cul. Il me pénétra d'un coup, ce qui me surprit et me fit un peu mal. Sa mère s'est assise sur le rebord arrière de la baignoire, les cuisses très écartées, elle mouillait. Elle écartait de ses mains les grandes lèvres. J'avais une vision imprenable sur son sexe. Ma langue venait caresser son bouton au rythme des coups de reins de son fils. Mon cul s'habituait à la présence étrangère, j'en ressentais maintenant un plaisir qui m'irradiait tout le bas-ventre. Être pris de la sorte entre eux deux, sorte d'objet des envies de Sylvie, m'amenait à me laisser aller, m'imaginer avoir été kidnapé et d'être obligé de satisfaire mes ravisseurs. Sylvie bougeait de façon à accentuer le contact avec ma langue et ma bouche. Elle prit appui sur le mur derrière pour mieux s'ouvrir et s'offrir. Je me suis accroché à ses cuisses, à son bassin, j'avais le visage écrasé sur son sexe de femelle en chaleur, j'étais couvert de mouille, je tentais de m'encrer fermement à elle pour la sucer. Nous étions soumis l'un et l'autre aux oscillations que nous imposait Éric qui me fourageait comme un beau diable les entrailles.

— Je veux prendre ta place Augustin, et que tu continues de me sucer pendant qu'Éric m'enculera.

Je me suis agenouillé, en fait j'ai repris le jet et j'aspergeais le sexe de Sylvie, je visais son bouton et les couilles d'Éric. À l'entendre gémir, mon traitement improvisé se défendait.

— Prends appui à la baignoire, tu as bien droit à avoir du plaisir.

J'ai pris la place que Sylvie avait tout à l'heure et j'ai joui dès qu'elle a arrondi sa bouche sur mon sexe. Elle a tout avalé. Elle continuait à me sucer après mon orgasme, elle me vidait. J'imaginais qu'elle allait me bouffer la queue! Elle ne la lâcha pas jusqu'à ce qu'elle atteigne un orgasme qui de par les contractions qu'il produisit, amena Éric à des sensations auxquelles il a succombé en jouissant au plus profond dans le cul de sa mère. Nous nous sommes lavés mutuellement, en bons camarades de jeu.

Ensuite Éric m'a demandé discrétement d'aller faire du vélo tous les deux; il cherchait à échapper au désir de plus en plus envahissant de sa mère. Il me raconta qu'elle voulait le voir se mettre en pyjama, le prendre en photo, elle venait le soir au lit le câliner de très près, elle lui proposait de dor
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