La mère de mon meilleur pote a une chatte large et humide

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La mère de mon meilleur pote a une chatte large et humide
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AsMoth , 20 juillet 2012 dans J'avoue tout



Samedi après-midi, pleines vacances d’été. Mon ami Daniel m’a demandé de passer chez lui et ses parents pour qu’on profite de la piscine familiale.

J’arrive donc à l’heure prévue et sonne à la porte. Personne ne m’ouvre. Curieux. Je passe donc par le jardin, me disant que ce coquin ne m’as très certainement pas attendu pour se prélasser dans l’eau fraîche. Arrivant dans le jardin, je ne vois personne dans l’eau. Ça alors ! Je vois néanmoins une paire de pieds qui doivent être ceux de sa mère, allongée sur le transat. Bingo ! Sandra est au moins là.

Je remarque d’entrée de jeu que la « belle daronne » est en maillot de bain deux pièces.

Finissant ma longue marche jusqu’à Sandra, je restai figé lorsque je réalisai que le maillot rouge que je voyais apparaître au loin n’était ni plus ni moins qu’un maillot en résille, totalement transparent. La belle « milf » était allongée sur son transat, une main en guise de casquette pour me voir arriver vers elle sans être éblouie par le soleil.

Sandra prit en effet la peine de se redresser en position assise. Elle passa ses pieds de part et d’autre du transat, les cuisses écartées. Je voyais déjà les poils de son pubis taillés en « i » transparaître de ce maillot qui n’en avait que le nom. Je me mis aussitôt à bander dans mon boxer de bain qui lui aussi n’en avait que le nom. Cela faisait longtemps que je l’avais, si bien qu’il était totalement détendu, au point d’être quasi transparent au soleil.

La belle daronne comme j’aimais l’appeler me regarder me dessaper en direct devant ses yeux. J’étais très gêne par l’érection soudaine et violente qui pointait entre mes cuisses. je finis par enlever mon short ainsi que mon tee-shirt et mes chaussures, me retrouvant en boxer de bain devant la mère de mon pote. Gêné et intimidé, je regardai à nouveau en sa direction. Bordel ce qu’elle était bonne ! Sandra avait quarante deux ans, vingt-deux de plus que moi. Elle était châtain, la peau halée et disposait d’une incroyable paire de seins. Avec son maillot en résille, les mamelons brunâtres et leurs pointes longues et épaisses m’apparaissaient déjà parfaitement. Sandra était une bourgeoise qui avait la chance de vivre du salaire colossal de son mari et de passer son temps à s’occuper d’elle et à être coquette. Elle était surtout divinement sexy. J’avais toujours eu tendance à reluquer son cul et ses seins lorsqu’elle se tenait devant moi, et ce à son insu. Quel jeune homme comme moi n’aurait pas fantasmé sur pareille créature. Elle représentait en effet le symbole même de l’érotisme et de la féminité.

Les choses de corsèrent lorsque ma queue continua de durcir, de gonfler et de se tendre dans mon boxer. Sandra s’adossa alors à son transat, posant ses pieds sur l’allonge, cuisses généreusement ouvertes. Je vis alors apparaître sous la grosse résille rouge sa chatte de femme mûre. Des grandes lèvres parfaitement lisses, comme rasées du matin. Un fruit largement fendu des petites lèvres qui semblaient pousser et écarter les grandes ; des petites lèvres visiblement plus foncées. Une chatte de femme, de « vraie ».

Sandra avait la bouche entrouverte et fixait ma queue qui ne cessait de se tendre. Je ne savais plus où me mettre. J’avais terriblement honte. Je fixais moi aussi sans même m’en rendre compte le sexe de Sandra, qui lui, était ouvert et semblait luire en son centre. Mon cœur battait à la chamade. Je ne savais comment me dépêtrer de cette situation très embarrassante, mais si excitante !

Je m’apprêtai aller dans la piscine en guise d’échapatoire lorsque Sandra prit la parole, rompant ce silence qui en disant pourtant long :

Au même moment, je vis Sandra baisser son soutif, se retrouvant ses gros nibards à l’air, visiblement gonflés comme des obus.

Il fallait dire que mon membre en érection ne passait pas inaperçu. Je n’avais plus le sexe d’un petit garçon, et surtout je bandais si fort que dès lors le processus engagé, mes vingt centimètres sur cinq gonflaient et durcissaient à n’en plus finir, devenant parfois même douloureux.

Sandra se mit dès lors de la crème solaire sur les seins et ne tarda pas à l’étaler devant moi, se massant les seins plus avec un érotisme brûlant qu’avec souci de fonctionnalité. Prenant à leur base ses beaux nibards bien fermes et bien galbés à pleines paumes, elle se mit à les masser très suggestivement devant moi. Par pudeur, elle regardait le sol en appliquant cette maudite crème sur ses nibards qui se mirent à gonfler et durcir à vue d’œil. Sandra écarta les cuisses plus encore, comme par réflexe, m’offrant une vue directe sur sa chatte entrouverte. Le capuchon de son clitoris se distinguait parfaitement du reste. Bref, j’étais scotché, tétanisé devant la scène. J’avais complètement oublié la piscine. Je sentais mon gros gland littéralement écrasé contre mon boxer qu’il tendait à en sortir. Une exquise douleur qui me fit sentir à quel point je mouillais.

Sandra finit par relever les yeux directement en direction de mon entrejambes pour constater tout l’effet produit. Je ne savais plus où me mettre, mais dans l’état d’hypnose dans lequel la belle « milf » m’avait plongé, je m’en moquait royalement.

Sandra rabaissa le dossier du transat en position horizontale et pivotant sur elle-même avec une agilité féline, elle se mit sur le dos et me présenta son cul.

Chose en effet que je n’avais pas constaté à la base : elle portait un string !

La belle resta le cul cambré, cuisses serrées.

Je crus halluciner. Mal comprendre.

J’enjambai la mère de mon pote sur le large transat, au niveau de ses mollets, appliquant de la crème sur ses cuisses et ses fesses.

La belle me présentait sans pudeur aucune sa belle chatte, comme volontairement. Je me mis à étaler la crème sur ses cuisses en fixant cette chatte de femme mûre dont les petites lèvres semblaient gonfler et dépasser de plus en plus des grandes, prises au piège dans ce filet rouge infernal.

Sandra avait les yeux fermés. Elle ne pouvait me voir…

Mon gland, ma queue toute entière me faisait mal, prise au piège dans mon maudit boxer…

Alors, rouge de honte, le cœur battant, j’osai.

Je retroussai la jambe droite de mon boxer pour me retrouver la queue raide tendue devant moi et mes boules lourdes de sperme à l’air.

Les choses se justifièrent lorsque j’entrepris de m’attaquer à ses fesses rebondies. A son cul de rêve. Remontant la crème pour l’étaler, je ne faisais qu’ouvrir les fesses et la chatte de la mère de Daniel plus outrageusement encore. Je surpris d’ailleurs un gémissement de sa part, qu’elle ne tarda pas à justifier :

Mes réponses étaient courtes et expéditives. Je ne voulais pas parler. Je dévorais la chatte de Sandra du regard, avec une seule envie, ou plutôt deux : la goûter et y fourrer ma queue. Ma belle grosse queue qui coulait de mouille et bandait à la mort au-dessus de Sandra qui ne se doutait de rien.

Sa rondelle m’apparaissait sous la ficelle de son string, quant à elle parfaitement opaque.

Sans crier gare, Sandra se redressa soudain de sur son transat pour se mettre à quatre pattes :

En se relevant, le cul de la belle heurta ma queue en érection totale. Une sensation qui n’échappa pas à l’expérience de Sandra.

Elle vit ma queue en érection totale.

Dans cette position, elle me présentait sa rondelle à demi mot et sa chatte en totalité. Entrouverte, désireuse de quelque chose comme le sexe ou la langue d’un homme. Je me sentais perdu. Quoi faire ? Quoi penser ? … Perdu.

Pour me convaincre, la belle daronne vient coller sa chatte contre mon gland.

J’arrache presque le string de la mère de mon pote. Elle se retrouve en moins de deux le cul et la chatte à l’air. Une merveilleuse chatte qu’elle m’offre si généreusement, les fesses bien ouvertes et tendues en arrières.

Je ne tarde pas à me pencher en avant, mes mains sur son cul de déesse, pour lui dévorer la fente. Une fente chaude, humide, goûteuse… divinement odorante. L’odeur de la féminité ! La langue la parcourt et entre en elle, au plus profond. La déesse ne tarde pas à réprimer un profond gémissement de plaisir.

Les petites lèvres plissées et violacées de sa belle fente de femme se font lécher, dévorer, aspirer pat ma bouche affamée de sexe. La belle rugit de plaisir.

Je me redresse, possédé par le diable. J’ai à peine besoin de me masturber pour durcir et gonfler mon membre, tant celui-ci dégouline de mouille, le gland gonflé à exploser. Je me cale derrière Sandra, un genou posé sur le transat. La belle m’offre son cul et sa chatte, une main posée sur sa cuisse pour ouvrir celle-ci.

Mouillant mon sexe de salive, je ne tarde pas à le présenter à cette chatte de femme. Le bout de mon sexe en rut vient farfouiller sa vulve luisante de salive et de mouille. Elle est si chaude, déjà en surface… je m’y introduis, presque d’une traite, faisant grimacer puis gémir Sandra de plaisir, sentant subitement ce beau morceau de viande ouvrir, écarteler sa chatte de femme mature pour enfin la lui remplir. Posant mes mains sur son cul de déesse si généreusement offert, je me mets dès lors à lui pilonner la chatte, comme une bête investie d’un pouvoir diabolique, issu des enfers. La « belle daronne » sent passer mon membre épais en elle. Mon membre de mâle en rut.

Je ne me rendais plus compte de rien. C’était comme si ma tête était déconnectée. Je ne sentais plus que ma queue, dure et gonflée à exploser, glisser dans le vagin chaud et humide de Sandra, la mère de mon meilleur ami. Je réalisai en surface que j’étais en train de baiser cette femme mûre, cette « déesse », pilonnant allégrement sa fente de mon sexe d’homme. Je la baisais si fort que Sandra finit par s’allonger sur le transat, le cul et la chatte toujours bien offerts. Oh oui qu’elle aimait la queue !

Je sentais ma queue entrer dans sa chatte en totalité et ses fesses fermes et rebondies percuter mon bas ventre. Allongé bras tendus sur la mère de mon pote, je lui remplissais la chatte de mon sexe.

Je n’aurais jamais cru baiser un jour aussi chaudement une femme. On aurait dit deux acteurs pornos…

Je réalisais combien il était divin de baiser une femme de cet âge. Libérée, affranchie, épanouie. Sandra se donnait sans pudeur aucune à mes désirs. Tout le contraire des jeunes oies de mon âge qui n’osaient s’offrir à quatre pattes et encore moins afficher leur petite rondelle… !

Sandra était non seulement ultra « bonne » et en plus se donnait à fond. Un diabolique mélange qui me transcendait. Comme si j’attendais depuis toujours de baiser de la sorte.

Un plaisir corporel exquis ; un plaisir spirituel divin : l’accomplissement de soi en tant qu’être humain au travers de l’acte d’accouplement.

Mon bas ventre claquait contre les fesses et les cuisses de Sandra qui se donnait à moi, quelque part contrainte dans une telle position. Oui, j’avais l’impression de baiser une femme. Une déesse. Le soleil caressait nos corps. L’odeur de la crème solaire m’enivrait. J’avais la queue qui disparaissait à chaque pénétration profonde dans cet antre chaud délicat et doux, délicieusement humide, faisant de chaque acte de désir un met succulent.

J’étais au paradis et j’aurais aimé y rester. A jamais.

Jamais une femme ne s’était offerte à moi de la sorte. Pourtant, Sandra n’éprouvait bien entendu aucun sentiment pour moi ! C’était ce qu’on devait appeler un « super coup »… Sauf que pour moi, elle était bien plus. C’était la première fois que je me sentais exister de la sorte en tant qu’être humain. Personne n’avait donné de soi de la sorte, sans retenue, ni pudeur, ni autant de désir, pour ma piètre personne.

Réalisant cet état de bien-être, mon démon se calma ; je repris le contrôle. Je me mis à entrer en Sandra avec plus de passion. Les sensations de plaisir extrême de mon sexe refirent surface. J’entendis la chatte de la belle chuinter de mouille. J’entendis ses gémissements. Celle qui aurait pu être ma mère m’offrait ses charmes les plus intimes sans retenue aucune, avec la plus pure générosité. Sa chatte de « femme-mère » faisait fondre mon sexe à la sensibilité soudaine de jeune adolescent. Pris dans ses charmes, j’avais envie de jouir. De jouir en elle. Au plus profond. Marquer son antre de ma présence à jamais. Marquer le monde, le paradis, ce paradis de mon passage. Oui, en ce moment précis, nous étions l’Eternel. Le sourire d’extase de Sandra, une légère larme coulant de son œil, scellaient à jamais dans leur brillance et leur éclat ce moment unique, féérique.

Quelques secondes plus tard, je vécus comme un nouveau dépucelage. Le « vrai ». Le « premier » dans mon cœur. Je me mis à éjaculer dans le vagin de celle qui avait mis mon meilleur ami au monde. Et alors ? N’était-ce pas l’endroit le plus doux présent sur Terre ? Le refuge. Je me mis à éjaculer, encore et encore, au fond d’elle, râlant mon orgasme totalement relâché. Libéré. Heureux.

Sandra sentit mon sexe libérer mon sperme chaud dans sa fente. La lui remplir. L’inonder. Je n’aurais souhaité plus ni rêvé mieux que cet instant qui restera à jamais gravé dans ma mémoire.

Une fois mon éjaculation terminée, je finis par me retirer de Sandra au bout d’un long moment, à regret. Je plongeai dans la piscine après avoir remis mon boxer qui restait tendu de mon sexe encore gonflé d’excitation.

Je vis alors Sandra assise dans son transat, cuisses grandes ouvertes, la chatte généreusement offerte à l’astre céleste. Sa fente était encore bien ouverte, les petites lèvres toutes dehors. Sandra avait pris soin d’essuyer sa chatte qui coulait de mon sperme tel un volcan en activité.

Je la vis apposer ses doigts sur son clitoris pour finir par se faire jouir au travers d’ultimes caresses, les seins durs et leurs pointes dressées vers le ciel, accompagné d’un profond râle de plaisir.
Je suis toujours aussi fan de tes récits, j'ai eu très chaud
je rejoint luce pour te dire bravo, moi aussi j'ai vraiment chaud comme rarement. merci beaucoup pour ton récit
Magnifique histoire, extremement bien racontée.
Waouh trop bien raconter je kiffe!!!!
Asmoth!!!!!! tu m'as manqué tes récits, ton short! lol tout :pardon:

heureux de pouvoir à nouveau te lire.

Très beau récit et superbe expérience merci

Pour moi, la coquine Sandra a bien préparé son coup .. Une bronzette torride au soleil.. Hummmm

Merci pour avoir partagé cette experience torride..
Fffuuiiiii!!!! C'est tout simplement brûlant, ardent et explosif. Bravo et merci pour cette confession ;-)
J'ai chaud, très chaud....merci pour ce texte et ses détails.
texte très exitant t'en a d'autre comme sa ^^

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Ce jeune minet de 18 ans est tombé sous le charme d'Eva Long. La maman de son meilleur copain est une sublime bonasse, une cougar BCBG aux gros nichons, très sophistiquée. Bref : un fantasme ambulant. La mature fait du jeunot son toyboy. Elle lui plaque le visage entre ses cuisses pour l'obliger à lui prodiguer un délicieux cunnilingus. Elle est en chaleur et mouille à fond, rien ne vaut une bonne teub pour oublier la nouille molle de son mari. Et tant pis si son fils lui fait un scandale, elle n'y peut rien s'il n'y a que les étudiants qui l'excitent.

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La mère de mon pote Vincent est une vraie COCHONNE au gros cul qui adore sentir ma queue bien raide dans sa CHATTE, Cet après-midi, j’étais allé faire quelques courses non loin de la maison de mon pote Vincent et je décide d’aller lui rendre une petite visite. Quand j’arrive chez lui, je vois sa mère qui m’informe que Vincent n’est pas à la maison. Elle me demande de rester pour lui tenir un peut compagnie. La mature coquine se met dans une lingerie très sexy et me demande de la baiser!
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