La leçon sexuelle d'une jeune étudiante

La leçon sexuelle d'une jeune étudiante




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































La leçon sexuelle d'une jeune étudiante


Prostitution étudiante, quelles réalités ?


Une mise au point sur la prostitution étudiante, au moment où la sortie du film « Elles », de Malgoska Szumowska, relance le débat.


Copyright © 2022. infos.fondationscelles.org.
Designed by Shape5.com Joomla Templates



Au printemps 2011, la Mission parlementaire sur la prostitution , présidée par la députée Danielle Bousquet, écrivait : « La prostitution étudiante existe bel et bien. Il est en outre possible que ce soit dans des proportions non négligeables en valeur absolue. Reste à en mesurer l'importance ».

De fait, le phénomène, même s'il est très médiatique, demeure caché et difficile à déceler pour les travailleurs sociaux et les personnels de santé universitaires : « Il y a bien des doutes parfois, quand on sait bien que l'étudiant n'a pas de bourse, pas de soutien financier familial, qu'on voit qu'il est vraiment très bien habillé, mais ce n'est jamais dit clairement », explique Anne-Marie Coupé, du CROUS de Rennes. Des doutes, des soupçons, mais aucune certitude.

Les syndicats étudiants sont eux-mêmes assez partagés sur le sujet : si certains ont reçu des témoignages directs, d'autres jugent le phénomène marginal. Les CROUS et les services de médecine universitaire ont pu recenser quelques cas avérés mais leur nombre reste limité : une dizaine de cas par an à Lyon, deux cas à l'université Paris V - Descartes...

Pour autant, les quelques enquêtes menées directement auprès des étudiants (sous forme de questionnaire anonyme) apportent des données plus précises : à Bordeaux III et à Poitiers, entre 2 et 3% des étudiants interrogés ont dit avoir été « confrontés à une situation de prostitution étudiante » ; et à Montpellier, ils sont 2% à avoir eu recours à la prostitution. Des chiffres qui ont de quoi inquiéter si on les ramène à la population étudiante totale en France, près de 2,3 millions.


Entre précarité et libertinage : profils de la prostitution étudiante

Les médias aiment nous donner à voir des étudiant(e)s qui se prostituent « pour le plaisir » : plaisir de l'argent (« pour vivre plaisamment », comme l'écrivait une étudiante sur son blog), plaisir du libertinage, plaisir de la transgression, plaisir de la domination des hommes... Elles ont choisi (ou du moins elles le prétendent). C'est d'ailleurs le point de vue présenté par le film « Elles ».

Mais, pour les étudiants interrogés à Montpellier, l'entrée dans la prostitution est rarement motivée par le « plaisir » : 96 % d'entre eux pensent que le premier facteur d'entrée dans la prostitution est la précarité, 4% le plaisir.

« Ça commence par un, puis deux impayés de loyer, on a peur de se retrouver sans toit en plein hiver, raconte Marie, alors on va sur internet chercher des petits boulots, on essaye des boulots de nuit de serveuse. Et puis un jour, il y a un mec qui passe ou une ancienne serveuse qui vous explique l'escorting... »

Le phénomène touche avant tout des étudiant(e)s dans la précarité. En 2000, sur les 2,2 millions d'étudiants que comptait la France, 100 000 vivaient en dessous du seuil de pauvreté (Rapport Dauriac pour le Ministère de l'Education nationale). Douze ans plus tard, la crise aidant, la précarité de la population étudiante s'est accrue : selon deux enquêtes menées en 2011, 26% des étudiants interrogés disent être « en difficulté lorsqu'il s'agit de faire face aux dépenses courantes » et un quart déclare vivre avec moins de 400 euros par mois (enquêtes LMDE / IFOP et USEM / CSA).

C'est toujours occasionnel, provisoire. « Elles se disent : je vais faire cela pendant quinze jours / un mois, juste pour passer un moment difficile, explique Hélène de Rugy, déléguée générale de l' Amicale du Nid . Mais c'est un engrenage ». Une mauvaise rencontre, l'accoutumance à l'argent rapide peuvent les entraîner toujours plus loin. C'est ce qu'expliquait Laura D. au moment de la sortie de son livre-témoignage (Mes chères études. Etudiante, 19 ans, job alimentaire : prostituée, 2008) : « Quand on se prostitue une fois, on souffle financièrement. Mais ça crée une addiction à l'argent. Donc quand le porte-monnaie est vide, on repense à cette solution. Y penser, c'est déjà être dans l'engrenage ». Et l'engrenage, c'est une difficulté croissante à poursuivre des études et même à mener une vie normale, « parce que la prostitution, c'est un temps à vivre très éprouvant », dit encore Hélène de Rugy.

La précarité suffit-elle à expliquer la plongée dans la prostitution ? La plus grande partie des étudiant(e)s en précarité choisissent de faire des petits boulots plutôt que de se prostituer.

On ne se prostitue pas par hasard. « Si les étudiants basculent, ce n'est jamais seulement un problème d'argent, mais une vulnérabilité », dit Bernard Lemettre du Mouvement du Nid . Et la plongée dans la prostitution vient souvent en réponse à un « parcours jalonné d'accidents biographiques destructeurs » : maltraitances physiques, violences morales ou verbales, abus sexuels, ruptures familiales, carences affectives...

Mais ce n'est pas la seule raison. 15% des étudiants de l'université de Montpellier III, interrogés par l' Amicale du Nid , ont dit qu'ils seraient prêts à accepter un acte sexuel en échange de cadeau ou d'argent, s'ils se trouvaient dans une situation précaire. Pour ces jeunes, le corps est devenu un service ou un instrument qui peut aider à survivre ou à se procurer des biens matériels.

Cette évolution s'inscrit dans un courant plus global de banalisation de la prostitution . La fascination pour l'idéologie consumériste , tout comme l'image glamour que les médias peuvent donner de la prostitution , incitent un nombre croissant de garçons et de filles, toujours plus jeunes, à entrer dans la prostitution.

D'ailleurs, il n'est pas question de prostitution, le mot n'est jamais prononcé. Pour ces jeunes filles, mettre son profil sur internet n'a rien à voir avec la prostitution, c'est de l'escorting ! Et les annonces repérées sur internet ou dans la presse gratuite évoquent des échanges de services coquins, pas de la prostitution : « Ch. JF pour faire le ménage en tenue sexy une ou deux fois par semaine » / « Jeune étudiante de 18 ans en première année de psycho, je cède des clichés de ma vie intime et sexuelle afin de pouvoir financer mes études... ». On repère également un nombre croissant d'échanges qui ne sont pas forcément monétaires. Ainsi, les annonces proposant des services sexuels contre un logement gratuit sont devenues courantes : « Cherche une étudiante ou stagiaire pour partager mon studio contre services. J'attends vos propositions » / « Propose une colocation avec étudiante dans un studio de 20m² : jeune homme charmant ».

Troc, escorting, échange de services .... Où est la prostitution ? « Je ne suis pas une prostituée, précise une jeune étudiante. Une prostituée, c'est une fille sur un trottoir en mini-jupe et qui part avec le premier venu. Moi je choisis ».

Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Pour soutenir le travail de notre rédaction, nous et nos partenaires utilisons des cookies pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal. Le traitement de certaines données personnelles (telles que les adresses IP, les données de navigation, d'utilisation ou de géolocalisation, les identifiants uniques ou les interactions avec les réseaux sociaux) nous permet de financer l'information disponible sur notre site et d'améliorer notre offre via l'analyse et la mesure d'audience ainsi que l'affichage et la mesure de performance des publicités et/ou des contenus personnalisés.
Cliquez sur "Accepter" pour consentir ou paramétrez vos choix. En cliquant sur "Continuer sans accepter", vous refusez tout dépôt de cookies sur votre terminal. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment sur notre site. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de cookies, consultez notre charte cookies .
Même les premiers rapports sexuels de la vie des adolescents français ne sont pas toujours voulus. Selon une étude de Santé Publique France , chez les 15-17 ans, 8 % des jeunes femmes disent avoir déjà été confrontées à des rapports forcés ou à des tentatives de rapport forcés contre 1 % des jeunes hommes.
L'agence sanitaire a donc lancé une campagne autour du consentement sexuel, d'octobre à novembre, sur son site Onsexprime.fr, intitulé « Ok pas ok ». A la maison aussi, il est possible d'éveiller son adolescent à la question du consentement. Gilles-Marie Valet, psychiatre et pédopsychiatre, auteur du livre « Les 101 règles de l'éducation bienveillante », chez Larousse, nous livre ses conseils.
Comment réussir à aborder le consentement avec son adolescent ?
Gilles-Marie Valet. A l'adolescence, les questions de sexualité peuvent mettre mal à l'aise. Les jeunes n'ont pas envie d'en parler, et les parents sont également gênés. Ce qui est important c'est la prévention, il faut favoriser un climat de confiance. Il faut que l'enfant sache qu'il peut parler. Moi je dis ceci aux parents : vous savez, un pénis, un vagin ça fait partie du corps comme les doigts. Mais ce sont des zones des corps qui sont à protéger car elles peuvent tenter des gens mal intentionnés. Il faut que les parents fassent preuve d'ouverture sur ces sujets.
A partir de quel âge faut-il commencer à parler de consentement ?
Le mieux est d'en parler très tôt, dès trois ou quatre ans. Au moment de la toilette par exemple. On peut dire à ses enfants : « Je te lave tes parties intimes, mais il faudra que ce soit qui t'en occupes ». Il faut évoquer des choses précises, avec un vocabulaire qui va aller graduellement selon l'âge.
Il faut être précis. On entend souvent les parents dire « ton corps t'appartient, personne ne doit le toucher ». Mais il faut nuancer. Car cela peut sous-entendre que l'adolescent peut tout faire avec son corps, comme lorsqu'il va mal, se scarifier par exemple. Il faut donc plutôt dire « c'est ton corps, il faut que tu en prennes soin ».
Comment ne pas culpabiliser les adolescents ?
Il ne faut pas faire peur aux adolescents. Pour cela, on peut déjà commencer par rappeler la loi. Avant 15 ans on considère que les mineurs n'ont pas à avoir de relations sexuelles. Mais il ne faut pas parler que de l'interdit. L'idée c'est d'interroger l'adolescent sur ses envies, lui demander s'il saura identifier quand il aura envie d'un rapport et comment il saura si l'autre aussi en a envie. Il faut lui rappeler que si le partenaire ne dit rien, tant qu'il ne dit pas qu'il est d'accord, on n'agit pas. Il faut donc responsabiliser l'adolescent et lui réaffirmer le fait que dans une relation, on est deux.
On peut également l'aider à distinguer le désir de faire l'amour et le fait d'être prêt à le faire car il y a souvent un grand décalage entre ces deux sentiments. La puberté se développe, les hormones arrivent et donc chez les filles comme chez les garçons, il y va y avoir des désirs. Mais la maturité affective n'est pas développée.
Faut-il adapter son discours selon que son adolescent est une fille ou un garçon ?
Il y a des facteurs sociétaux qui peuvent expliquer les chiffres (8 % des jeunes femmes disent avoir déjà été confrontées à des rapports forcés ou à des tentatives de rapport forcés contre 1 % des jeunes hommes). Le garçon est élevé dans l'idée qu'il doit défendre une certaine virilité et chez la fille, ces codes tendent à dire que le féminin est associé au romantisme, à la douceur. Ces critères d'ailleurs évoluent et c'est très bien. D'autres facteurs, biologiques et hormonaux, peuvent être observés. Les adolescents sécrètent de la testostérone par exemple, et elle favorise l'agressivité. Le discours qu'on tient aux ados peut tenir compte de cela, mais il faut qu'il soit universel.
En revanche, il faut limiter le plus possible l'accès à la pornographie car elle continue de véhiculer des archétypes selon lesquelles la femme est nécessairement d'accord.
Que faire si on n'arrive pas évoquer ce sujet ?
Ce n'est pas grave. Si on n'est pas à l'aise avec ce sujet, on peut déléguer ! On peut confier cette tâche à un parrain, une marraine ou un médecin.
Profitez des avantages de l’offre numérique

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Je créé un compte pour recevoir mes newsletters et gérer mes données personnelles.


Je souhaite recevoir des offres du site et ses partenaires




Beauté Mode Sexo

Actu Sexo


Sexualité


Pratiques sexuelles


Désir et libido


Plaisir et orgasme


Problèmes sexuels


Positions sexuelles




Gynéco


Problèmes gynécologiques


Consultation gynécologique


Règles


Contraception


Sexe féminin


Grossesse


Hygiène intime




Célibataire


Rencontre amoureuse


Séduction


Ma vie de célibataire


Comprendre les hommes




Couple


Vie de couple


Problèmes de couple




Psycho Sport Astro Lifestyle People Culture Aygo X
























Je certifie ne pas envoyer d'e-mail indésirable

Le premier rapport sexuel ? « Je m’en souviens comme si c’était hier ». Nous sommes nombreuses à pouvoir nous remémorer minute par minute ce grand rite de passage qu’est la première fois. Entre comte de fées et fiasco, des jeunes femmes racontent leur première expérience sexuelle.























Je certifie ne pas envoyer d'e-mail indésirable

Comment fonctionne le plaisir sexuel féminin ?
Première fois : tout savoir sur le premier rapport sexuel
Parler dans son sommeil pourrait régler les problèmes de couple, selon une étude
Voici l’âge auquel la libido des femmes baisse selon une étude
Les célibataires devraient miser sur cette date pour trouver l'amour, selon une enquête
Le fruit défendu : quelle est cette position sexuelle qui révolutionne le sexe oral ?
18 idées pour pimenter sa vie sexuelle
Sexe : qu’est-ce que la position du flipper, spéciale sensations fortes ?
Les 10 meilleurs sextoys à utiliser en couple
10 raisons pour lesquelles le sexe en été est toujours mieux l'aprem
8 bonnes raisons d’avoir un sexfriend
Tout ce que les hommes doivent savoir sur les coups d’un soir
Est-ce possible de jouir pendant la sodomie ?
Quelles sont les précautions à prendre lors d'un cunnilingus ?
Comment faire un très, très bon massage de la prostate ?
Nos partenaires et nous utilisons des données non sensibles comme des cookies ou des identifiants électroniques pour afficher des publicités personnalisées, mesurer le nombre de visiteurs ou encore adapter notre contenu.
Cliquez sur le bouton pour donner votre consentement à ces opérations et profiter d'une expérience personnalisée. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment en revenant sur ce site.
« J’étais célibataire et avec mon meilleur copain Jérôme, on s’était dit, si à 18 ans on est puceaux, on le fait ensemble. Le soir de mes 17 ans, Jérôme m’a dit « pourquoi attendre un an ? ». J’avais bu du G27 (oui, j’étais jeune), j’avais confiance, je me suis dit, « il a raison ! ».
Maladroitement on s’est embrassés, gênés par cette soudaine proximité, mais curieusement de plus en plus excités. On se caressait dans ma chambre, on s’est vite retrouvés nus, mais quand il a essayé de me pénétrer , ça n’a pas fonctionné.
Son érection sous pression n’était pas optimale et son sexe se tordait dans tous les sens. Il alors dit « mais putain, comment ça marche ce bordel ? », c’est là que j’ai explosé de rire, provoquant un fou rire mutuel. On était comme deux morceaux de puzzle destinés à ne pas s’emboiter. On s’est arrêtés, hilares mais frustrés. Le lendemain matin, les choses sont venues d’elles-mêmes et c’était tout sauf compliqué. »
La leçon : On peut rire de tout... sauf de la taille d’un pénis bien sûr.
« Je sortais avec Yohan depuis plus d’un an le moment était venu de sceller notre amour. Nous avions même convenu d’une date. Le jour J, j’étais paniquée, j’angoissais à l’idée d’ avoir mal lors du premier rapport sexuel , de saigner je ne sais pas pourquoi mais j’associais moins le sexe au plaisir qu’à la douleur.
Nous avons commencé tous les deux allongés sur le matelas qu’il avait mis par terre pour ne pas réveiller ses parents ! On a fait des préliminaires , mais j’étais tellement embarrassée par l’idée qu’il voit mon sexe de si près que j’ai rapidement proposé qu’il me pénètre. J’ai eu mal.
J’étais prête psychologiquement mais pas physiquement. Je grimaçais un peu, il se retirait, me rassurait, me disait qu’on pouvait arrêter. Il m’a repénétré et quand je lui ai dit « Je t’aime », il n’a pas pu se retenir et il a joui. Je n’étais plus vierge, absolument pas enchantée, mais curieusement très émue qu’on se soit offert mutuellement ce grand cadeau. »
La leçon : l’orgasme c’est pas le tout, et la tendresse bordel !
« C’était l’été de mes 16 ans et mes parents me surveillaient de près. Après deux heures de négociations, ils m’avaient autorisée à assister à un festival de musique à une condition, que mon père vienne me chercher à deux heures pétantes.
Dans la foule, alors que je dansais, éprise de liberté, un homme est venu me voir. Il avait 21 ans, il était étudiant en art du spectacle, tatoué, très beau. J’ai passé la soirée avec lui. Il m’a rapidement embrassé. On s’est retrouvés dans un coin du champ, seuls.
Inquiet, il m’a demandé mon âge, je lui ai dit que j’avais 18 ans, que je n’étais pas vierge et il a sorti un moyen de contraception , ravi. Curieusement, cette fausse identité m’a donné des ailes et c’est comme si je m’étais moi même convaincue. J’ai trouvé la situation tellement rock que j’ai adoré. A deux heures, j’étais dans la voiture de mon père, sourire aux lèvres en me disant « Tu vas t’en souvenir toute ta vie ! » »
La leçon : Mentir, c’est mal, mais ça peut faire du bien.
>>> Moralité, il n'y a pas une seule première fois qui ressemble à une autre !
Quatre rendez-vous hebdos pour quatre fois plus de Cosmo

ATTENTION: CONTENU RESERVE AUX ADULTES ENTRER        Sortir
Femmes libertines autour de chez vous
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site Histoire-Intime.fr. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies. Ok
Site d'histoires intimes et récits érotiques
Accueil » L’éducation de mademoiselle K.
Résumé : Mademoiselle K, jeune fille de 19 ans dont l’arrogance est entretenue par la fortune et la beauté fait la connaissance du professeur S, son nouveau tuteur privé qui lui apprendra l’obéissance et la discipline malgré sa réputation d’indomptable.
“Né dans le sein du luxe et de l’abondance, je crus dès que je sus raisonner, que la nature et la fortune se réunissaient pour me combler de leurs dons. Je le crus parce qu’on a
Sexe chaud Asiatique en intérieur
Je filme une amie en cachette pendant la douche
Une femme bouffe une bite blanche

Report Page