La leçon part en couilles

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La leçon part en couilles
Le blog du grand Art et du petit N'importe quoi !

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Mademoiselle Rêve (Gwen)



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J9. Nous sommes le mardi 24 mars 2020. Je me suis réveillée avec Julie la Petite Olive dans la tête. Il reste 276 jours avant Noël. Mais y aura t-il Noël ? Mon imprimante est vide, mon Dragon imprimera les 30 pages de la collégienne au taf (oui, il travaille encore) et je bénis la directrice de la primaire qui joue les facteurs dans le village pour mon gars et ma puce. Aujourd’hui, je me demande comment c’est ailleurs. Est ce que les gens ont la vie qu’ils décrivent ? Est ce qu’ils passent 3h le matin avec une recré à faire travailler les enfants, et remettent-ils ça l’après midi ? Vous faites réciter les leçons vous ? Nous nous sommes volontairement coupés des informations, quand je veux le nombre de morts, je le cherche sur un site fiable. Même sur Twitter j’ai masqué pas mal d’infos entrantes et angoissantes. Je dors déjà mal de base, je suis déjà angoissée de base, j’ai des attaques de panique presque 2x la semaine, alors tout ce qui peut accroître le stress est proscrit de la maison.
J12. Vendredi 27 mars 2020. Les entreprises ferment, même celles d’alimentation. L’armée prend le contrôle des entrepôts, des magasins et de la distribution. C’est la mise en place du rationnement. Toutes les semaines un carton de première nécessité sera déposé devant les portes d’entrées. Il faut afficher sur la porte une attestation avec le livret de famille pour le nombre d’enfants et on doit être tous présents derrière la porte pour que les soldats vérifient qu’on ne triche pas. Si on a des besoins spécifiques (traitements médicaux, ordonnances, hygiène…) il faut faire la demande en ligne et joindre des documents officiels pour justifier. Le confinement est total. Même le jardin n’est pas un lieu autorisé.
J18. Jeudi 2 avril 2020. Nous avons reçu notre premier colis ce matin. Il y a 2kg de farine, 3 litres de lait, 2kg de pâtes, 2kg d’haricot vert, 2 kg de lentilles, un sac de pommes de terres, 1 litre d’huile, 1kg de sucre, 6 rouleaux de papier toilettes, 1 kg de flocons d’avoine, 1kg de compote de pommes, 15 oeufs, 500g de beurre, 1kg de café. Un petit guide avec des recettes établies par des nutritionnistes est joint, avec les quantités par personne. Sur les réseaux sociaux chacun met la photo de son panier, on pioche même dans les recettes des grands parents (croquettes clémenceau sans lait, sans beurre, sans lait ou le potage à l’avoine ou le roti sans viande) Le soir à la télévision, le gouvernement annonce que les animaux doivent faire leur besoin dans la nature car la distribution de litière n’est pas prévue pour eux. Libre à ceux qui le souhaite de donner leur ration à leur animal, il n’y aura pas non plus de distribution de croquettes. Nous avons deux chats. Les larmes coulent sur mes joues. Les comptes en banque sont gelés, rien ne rentre, rien ne sort. On ne verse plus les salaires mais les prêts ne sont pas décomptés, ni les factures d’énergie.
J21. Dimanche 5 avril 2020. C’est l’anniversaire de mon fils. J’ai fait un gâteau. Nous avions acheté des cadeaux depuis des semaines. Je pense avec tristesse aux enfants pour qui ce n’est pas le cas. Il pleut.
J25. Jeudi 9 avril 2020. Le colis contient des carottes et des courgettes. Les colis de base sont agrémentés selon les agriculteurs à proximité. Nous sommes favorisés selon notre lieu de vie. Le soir, le gouvernement annonce une année blanche. Les élèves feront l’année scolaire suivante dans le même niveau. Ceux qui sont en 6ème restent en 6ème, les terminales en terminales. Les instituteurs et professeurs n’ont plus l’obligation du PCA. Les enfants de soignants sont pris en charge par les militaires dans des tentes de confinement au pied des établissements de soins.
J31. Mercredi 15 avril 2020. L’internet mondial est saturé. Le gouvernement annonce des heures de connexion selon notre secteur géographique. Habitué à travailler la nuit, chéri est volontaire pour l’utilisation de 3h à 7h. La télévision via internet ne diffusera qu’une seule chaîne et un programme unique dès demain. Les enfants attendent le colis de demain avec impatience, ils espèrent toujours de la viande. Nous ne leur avons pas dit que la viande et le poisson étaient réservés au corps médical et à l’armée.
J39. Jeudi 23 avril 2020. Il y a beaucoup de coupures de courant. Nous avons reçu des bougies dans notre colis. L’utilisation des téléphones est réglementée pour ne pas saturer les réseaux. On doit utiliser le même créneau que pour internet. Maman a un créneau de 15 à 19h, on s’enverra des mails en décalés. La voisine est morte, on a vu les militaires venir chercher son corps. Son mari pleurait sur le pas de la porte.
J42. Dimanche 26 avril 2020. Notre chat Alsace est toujours là. Il reste au pied de l’escalier de la maison, on le fait rentrer dès qu’il gratte la porte. Il nous couvre de ronrons. Nous partageons avec lui un peu d’œuf dur. La petite Bretagne n’est pas revenue depuis 5 jours. Les enfants sont tristes. Pour remonter le moral des troupes je décrète ce jour « pyjama day » et je fais des pains au chocolat. On se régale avec les restes du congélateur, cannellonis et lasagnes chèvre-épinard. Et même une glace en dessert. La journée c’est long, on joue ++++ sur les consoles, on fait des jeux de société, on lit aussi beaucoup. Je n’ai pas dit aux enfants qu’on ne recevait plus rien de l’école, je continue la classe 2h tous les matins en improvisation totale.
J46. Jeudi 30 avril 2020. Les militaires sont venus chez le voisin. Et chez d’autres habitants du village. Un soldat a mis sa ration dans notre colis. J’ai fait une mousse au chocolat.
J50. Lundi 4 mai 2020. Il y a un mois, tout le monde pensait que ce jour là les enfants seraient à l’école. Et nous sommes toujours dans la maison. Il y a de plus en plus de chiens errants dans le village. On se mets aux fenêtres pour les regarder. Les cloches ont sonné 4 fois, il y a eu 4 morts aujourd’hui. On n’arrive plus à suivre les infos sur Twitter, le site a crashé. Facebook également. Skype ne fonctionne plus. J’arrive encore à envoyer des mails, mais je n’en reçois plus. De personne. La télé diffuse maintenant de la musique en continu, avec un bandeau et le décompte des morts, leur nom, leur âge, leur lieu de vie.
J60. Jeudi 14 mai 2020. Alsace n’est pas venu hier. J’ai coupé les cheveux de mon mari et de mon fils. Je ne me souviens plus de la dernière fois que j’ai mis des chaussettes.
J68. Jeudi 22 mai 2020. Le gouvernement a annoncé une reprise partielle de l’économie. Les entreprises alimentaires, d’énergie et de télécommunications sont invitées à rouvrir dès lundi. Il ne faut pas utiliser les voitures mais utiliser les cars de l’armée qui passent dans les rues et les villages. Ceux qui travaillent normalement de nuit travaillent de jour. De 18h à 6h personne ne doit être dehors. Il y a des attaques de chiens, et il y a des gens qui pillent les maisons vides. Hier il y a eu des coups de feu derrière la maison.
J72. Mardi 26 mai 2020. Chéri est rentré très triste du travail, il a perdu 5 collègues et son chef. Il faut tout réorganiser. Beaucoup de transporteurs et de routiers manquent à l’appel. Jeudi ça sera le dernier colis de rationnement.
J77. Dimanche 31 mai 2020. Nous ne pouvons pas encore faire les courses mais nous pouvons commander ce que nous voulons par internet et l’armée fait la livraison le jeudi. J’ai commandé du vin. Rouge, blanc, rosé et même le dégueu du Jura. Avec les enfants nous avons fait des guirlandes en papier crépon et j’ai accroché la couverture faite avec toutes mes chutes de tissus à la fenêtre. On s’impatiente, comme la veille d’un départ en vacances.
J82. Vendredi 5 juin 2020. Les militaires sont affectés à ramasser les animaux errants. J’en déduis que nous allons bientôt sortir. Alsace est rentré. Hier on a bu. J’ai mal à la tête.
J88. Jeudi 11 juin 2020. Il y a eu un grand recensement cette semaine pour réorganiser les entreprises. J’ai été appelé pour reprendre mon ancien poste de téléconseillère en attendant que l’entreprise recrute. Sur 10 personnes du service, ils n’en restent que 2. Je n’ai même pas pensé à négocier mon salaire. Le couvre feu sera levé dimanche soir, les gens sont invités à descendre dans les rues pour faire la fête. Nos comptes en banque nous sont rendus. Les banques ont reçu ordre de reprendre une activité normale le mois prochain, chaque prêt reprendra normalement sans récupération des sommes précédemment dûes. Lundi, je déposerai mes enfants à l’école.
J91. Dimanche 14 juin 2020. C’est le dernier jour. J’annonce aux enfants qu’on pourra sortir ce soir. Ils n’en croient pas leurs oreilles. On décide de s’habiller, de mettre des paillettes et de la couleur, d’ouvrir les fenêtres pour entendre le village reprendre vie. A 20h il y a une sirène, nous sommes déjà sur le pas de la porte. Tout le monde pleure. On est resté jusqu’à plus de minuit à déambuler dans le village. Les enfants ont croisé des copains, on est encore imprégné de la distance sociale, alors les bisous et les mains serrées attendront un peu mais les sourires sont là.
J1. Lundi 15 juin 2020. Il est 9h. Je suis au bureau, les enfants à l’école. Mon mari a repris son travail de nuit. Bretagne était devant la porte ce matin. Les téléphones sonnent de partout. Je reçois tous les mails bloqués depuis des semaines, des annonces de décès, beaucoup. Ce soir on a organisé une sorte de fête des voisins mais à l’échelle du village. Ce soir on boit, et on danse.
Ce n’a pas été un coup de massue. Etant du genre stressée, forcément j’ai suivi tout ça avec une certaine appréhension. Comme beaucoup j’ai essayé de m’auto-rassurer (la grippette) et de ne pas (trop) focaliser sur la situation en Chine. Râtée.
Nous sommes le 18 mars. Depuis 2 jours nous sommes en confinement. Certains français font de la rébellion, ils restent dehors, ils se retrouvent, ils s’embrassent. On a l’impression d’être à l’école avec les provocateurs et les bons élèves.
Je ne sais même pas si je suis dans le « bon camps ». Sur les forums, les réseaux sociaux, et même à la télé, il y a encore des gens qui parlent d’un complot, qui parlent de manipulation, qui soutiennent que le virus n’existe pas.
Cette humanité m’épuise. Elle croit facilement en un dieu qu’elle n’a jamais vu mais il va falloir qu’on lui montre des milliers de morts pour intégrer la dimension réelle et grave de la situation.
Les enfants n’ont plus classe. Ce sont les parents qui font l’école à la maison. Les parents qui n’ont pas de métier indispensable restent chez eux, soit ils travaillent sur ordinateur, soit ils sont au chômage. Le corps enseignant s’adapte, fournit les supports par mail, il y a même des classes virtuelles avec la webcam et le micro. La société s’adapte.
Le monde change de regard sur ceux qui donnaient déjà leur vie hier et qui continuent de se sacrifier aujourd’hui : les soignants. Ils sont applaudis aux fenêtres le soir, ils sont encouragés, ils sont remerciés par des photos, des pizzas gratuites, des vidéos…
Des initiatives naissent de cet isolement physique. Nous parents, sommes plus souples avc les écrans pour faciliter des échanges sur skype ou autres système de communication à distance. Les astuces tournent plus vite que des toupies, la boite à je m’ennuie , les coloriages , les applications linguistiques , les podcast , des tutoriels de fabrication (jeux en carton, circuit de voiture…)
Il y a forcément quelque chose qui va ressortir de tout ça. Mais quoi ? Qu’on a si peu mis de moyens dans le monde médical qu’une pandémie causera note perte ? Que le président américain a tenté d’acheter le vaccin pour son propre compte personnel ? Que la France n’a pas écouté les mises en gardes de ses voisins et que ce pays a un stock infini de voleurs de masques, de revendeur de gel hydro-alcoolique et de rebelles du confinement ?
Peut être qu’on retiendra la leçon, ou peut être pas.
Partagée entre la profonde tristesse de voir que cette humanité part en couilles et la colère face à tout ce qui se passe, doucement je commence à prendre conscience que c’est là l’enjeu de notre civilisation : la liberté.
Avons nous pris goût à cette liberté ? je ne sais pas. Mais aujourd’hui quand on nous demande d’y renoncer quelques semaines, le peuple se crispe, le peuple rage, le peuple descend dans la rue. Pourquoi ? Par peur d’en être privé plus longtemps ? Par peur d’un tyran qui garderait pour lui les pouvoirs donnés en temps de crise ? Par peur que ce soit la dernière fois ?
Se pose t-il la question suivante : Pourquoi vivre si c’est pour être enfermé ?
L’incompréhension résonne. Pour chaque humain sur les quais de Seine, une mère va pleurer un parent, un fils ou un mari. Pour chaque homme ou femme qui achètera ses 4 paquets de 24 rouleaux de papier toilette, un enfant croisera les doigts que sa maman, caissière, ne ramène pas le Covid19 à la maison. Pour chaque couple qui s’invitera pour « le dernier apéro », les soignants crieront à l’aide pour choisir entre une femme de 38 ans et un homme de 42 ans. Qui aura le dernier respirateur ?
Nous ne pouvons pas résonner l’humain. Il a peur, son système ne répond plus qu’aux besoins primaires (faire du stock, fuir) et les émotions sont plus fortes que le reste. Ce besoin d’être ensemble, de se réunir, habituel en cas de fête, en cas de victoire sportive avait déjà été étendu dans de dramatiques circonstances (les attentats) mais aujourd’hui, avons nous une raison de se retrouver et de faire la fête ? Avons nous ce besoin de cohésion sociale physique, alors que c’est tout l’enjeu de ce confinement que de nous éloigner les uns des autres pour permettre de sauver des vies ?
Le monde va changer. Il y aura ceux qui auront suivi les règles, appliqué les consignes, et il y aura les autres : les rebelles, les anti-, les Saint Thomas, les complotismes, les nihilistes. Il y aura le monde de demain qui saura tirer les leçons. Il y aura les humains d’hier et leurs stocks de pâtes pour 8 générations. Il y aura des morts, et ceux qui continuerons de répéter que tout va bien, que les chiffres sont truqués et qu’on nous a menti.
Nous sommes le Bruce Willis d’Armageddon. Nous sommes la clé.
Il est de notre responsabilité de transmettre, d’éduquer, de montrer aux générations futures ce qui se passe aujourd’hui : laissez une trace, pour que demain on se souvienne.
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Ça part en couilles !


Hervé Lénervé




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Réunion de formation dans une grande Entreprise du CAC 40, dont nous tairons le nom, pour ne pas la nommer et parce qu’on s’en fout complètement.


-        Messieurs, mesdames ! Je suis votre formateur pour toute la journée. Je me nomme Hervé et je vous rappelle que nous sommes ici pour apprendre des techniques pour relâcher la pression due à votre activité. Pour ce faire, nous allons sérier les éléments générateurs et déclenchants de stress.
Premièrement, l'attente de votre hiérarchie. Etre à la hauteur de l'enjeu, du challenge qui vous est demandé, que j'appellerai « l'attente du maître ».
Deuxièmement, les jalons de votre mission. Les délais impératifs à respecter sont générateurs de tension. Appelons cela « le courant continu ».
Troisièmement, l'ambiance, la rivalité dans les work teams. Je nommerai « le problème de couple à plusieurs. »
Nous allons commencer par un tour de table pour les présentations.
-        Bertrand, Service relation clientèle. Je suis épuisé par cette course à toujours montrer qui a la plus grosse bite !
-        Je reformulerai la phrase ainsi : la compétitivité dans les services crée un climat de suspicion et est néfaste à une synergie de l'ensemble. Je vous rappelle que travailler ensemble est cage de réussite.
-        Oui ? Toujours Bertrand ! C'est un peu comme si on voulait absolument connaître la taille du sexe de tout le monde ?
-        Bien, laissons de côté les termes imagés pour nous concentrer sur une logique d'Entreprise.
-        Jean-Alain, Service comptabilité. Bertrand a raison, nous devons jouer les petits coqs dans une basse-cour ou les renards rodent.
-        Oublions, messieurs-dames les allégories animalières, aussi, s'il vous plait !
-        Jean- Alain, toujours Service comptabilité, c'est comme si on voulait connaitre si Hitler avait une grosse bite ! 
-         Il est de notoriété publique qu'Hitler avait une petite bite ! Ce qui expliquait sa propension d'être leader ship par tous les moyens. C'était François, Franc-maçon et vice-président de la machine à café.
-        Messieurs ! Nous ne sommes pas là, pour parler des complexes supputés supposément d'Hitler et faire de la psychologie de comptoir, mais pour réfléchir ensemble aux améliorations à apporter dans vos fonctionnements quotidiens en termes de proces.
-        Roger ! Dis gros Roger, service technique et historien amateur, spécialisé dans la dernière guerre mondiale. Personnellement, je n'ai jamais vu la queue d'Hitler, exposée dans aucun newpaper.
-        Messieurs, messieurs ! Je vous rappelle encore que le career goal de ce training est de créer l'Esprit Corporate. Donc laissez tomber le pénis d'Hitler et revenons à nos boulons, pardon, moutons. A moins, qu'une personne, ici, ait déjà vu, de visu, le vit du vil Führer ? ...... Personne ? C'est toujours pareil, dès qu'on demande une petite new, personne pour lever la main. Donc passons à autre chose !
-        Je n'ai pas vu la bite d'Hitler, mais…
-        Jean-Alain-Ferdinand de la Vieillepissière, Senior Manager de la maintenance ménagère. Je disais donc, que je n'ai pu voir que les couilles d'Hitler ! Deux petites noisettes.
-        Le gros Roger, Service mécanique, tu étais trop loin pour voir sa petite bite ?
-        J'avais des jumelles, mais il était de dos.
-        Et tu es certain que c'était bien Hitler ?
-        Marie-Sophie, Relations Humaines. Ne dites-vous pas, vous les hommes, que pour diriger, mener et s'imposer, d'autant plus sur une Nation entière, il faut avoir des couilles d'Enfer ?
-        Messieurs, mesdames ! S'il vous plait ! J'aimerais recentrer le débat sur l'objectif même de cette formation qui…
-        Il est vrai qu'Hitler avait un problème avec les femmes, cela ne veut pas dire automatiquement qu'il avait un micro-pénis ! 
-        Non ! Mais cela pourrait expliquer ses rapports compliqués avec la gente féminine. Une personne équilibrée est un homme bien membré, même si c'est une femme. Regardez madame Thatcher !
-        On ne peut pas comparer Hitler à Thatcher ou réciproquement, ça n'a rien à voir !
-        Pourquoi tu n'as pas vu la bite de Thatcher, toi ?
-        Elle était en fer, si ce n'est pas du dur, ça ! C'est Chirac qui l'a dit !
-        Quand il était en ménage avec Jospin ?
-        N'importe quoi Chirac, J
Vintage et fantastique
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Une fête sexy sur le Yacht

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