La jeune traînée la plus impatiante

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Grégory Parigi
Publié le 03/01/2012 à 07:19, mis à jour le 03/01/2012 à 06:33


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Dans le Var, la construction est l'un des principaux secteurs d'activité, avec le tourisme et l'agriculture. Aussi, depuis maintenant quatre ans, la Communauté d'agglomération dracénoise souhaite implanter un centre de formation des apprentis (CFA) sur son territoire. En effet, les établissements les plus proches se trouvent à La Garde et à Antibes. Déjà surpeuplés, ils ne peuvent accueillir davantage d'apprentis dans de bonnes conditions. « Les jeunes résidant dans l'Est Var et souhaitant passer un CAP, un BEP ou un bac, pro sont obligés de s'exiler dans l'une de ces deux villes, avec tous les frais que cela implique », déplore Philippe Donat, le président de la fédération du bâtiment du Var. « Au final, seuls les jeunes issus des familles les plus aisées peuvent accéder à ces formations », regrette-t-il. « Dans l'Est du département, les besoins sont plus importants que dans le reste de la région Paca. Un centre de formation devient indispensable», avance-t-il. Aussi, la profession a finalement préféré Draguignan à Grasse pour la construction de l'établissement. Si le projet allait à son terme, entre 600 et 700 jeunes pourraient ainsi être accueillis.

Dans le Var, la construction est l'un des principaux secteurs d'activité, avec le tourisme et l'agriculture. Aussi, depuis maintenant quatre ans, la Communauté d'agglomération dracénoise souhaite implanter un centre de formation des apprentis (CFA) sur son territoire. En effet, les établissements les plus proches se trouvent à La Garde et à Antibes. Déjà surpeuplés, ils ne peuvent accueillir davantage d'apprentis dans de bonnes conditions. « Les jeunes résidant dans l'Est Var et souhaitant passer un CAP, un BEP ou un bac, pro sont obligés de s'exiler dans l'une de ces deux villes, avec tous les frais que cela implique » , déplore Philippe Donat, le président de la fédération du bâtiment du Var. « Au final, seuls les jeunes issus des familles les plus aisées peuvent accéder à ces formations » , regrette-t-il. « Dans l'Est du département, les besoins sont plus importants que dans le reste de la région Paca. Un centre de formation devient indispensable », avance-t-il. Aussi, la profession a finalement préféré Draguignan à Grasse pour la construction de l'établissement. Si le projet allait à son terme, entre 600 et 700 jeunes pourraient ainsi être accueillis.
C'est pourquoi, depuis maintenant quatre ans, la communauté d'agglomération dracénoise (Cad) planche sur le projet d'un CFA en Dracénie.
Un projet dans les cartons depuis 2007
En 2007, la fédération du bâtiment avait démarché le conseil régional. « Mon prédécesseur à la tête de l'agglo, Max Piselli avait même proposé de céder un terrain de 2,5 hectares appartenant à la Cad pour y bâtir un établissement », se souvient Olivier Audibert-Troin, l'actuel président de la communauté d'agglomération.
Le financement d'un centre de formation des apprentis est assuré par la profession, par l'État et par la Région. Le projet de Draguignan est chiffré à 12 millions d'euros, sans le foncier, offert par la Cad.
Construction propre et risques sismiques
Pour Olivier Audibert-Troin, le président de la Cad, la Région traîne des pieds pour finaliser le projet. En charge des questions de formation au sein de son groupe politique au conseil régional, il exhorte la Région à le suivre dans l'aventure.
Mais le projet ne fait pas encore l'unanimité. « À Draguignan, un CFA n'est pas forcément nécessaire, a affirmé Hugues Parant, le préfet de région, en visite à Draguignan, il y a deux semaines. « Que la chambre des métiers nous démontre sa nécessité avant tout » , a-t-il déclaré.
En 2010, l'État lançait le grand emprunt. C'est dans ce cadre qu'une enveloppe de 500 millions d'euros avait été créée pour aider les projets de formations innovantes. Le CFA de Draguignan pourrait justement correspondre à tous les critères et prétendre à une aide. En effet, il proposera des formations nouvelles, orientées sur l'éco-construction, les métiers de l'environnement et la construction en zone de vulnérabilité. « L'État croit au projet, affirme Olivier Audibert-Troin . Il y a urgence. La Région doit nous suivre dès à présent ou les aides seront attribuées à d'autres projets et nous passeront sous le nez » , clame-t-il.
En attendant, un calendrier a été fixé. Les différents interlocuteurs se rencontreront à nouveau en janvier. Sur les chantiers du Var, on attend avec impatience l'arrivée de sang neuf et qualifié pour pallier les départs en retraite de ces prochaines années.
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France Télévisions




Rédaction Culture




Publié le 05/11/2020 09:27


Mis à jour le 02/12/2020 15:53





























L'écrivaine Djaïli Amadou Amal (@ Olivier Thibaud)




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Djaïli Amadou Amal, écrivaine camerounaise reconnue comme l'une des grandes plumes de l'Afrique actuelle remporte le prix Goncourt des lycéens 2020 pour "Les Impatientes". L'auteure décrit dans son ouvrage l'effroyable condition féminine dans certaines parties de l'Afrique. Mariages forcés, polygamie, viols et violences physiques : derrière les murs de certaines maisons "aisées" se cache un esclavagisme des temps modernes auquel il est difficile pour une femme d'échapper. 
"Patience !" Voilà la parole la plus entendue par ces jeunes filles qui vivent dans la bonne société camerounaise au sein d’honorables familles qui tiennent plus que tout à leur réputation. Elles s'appellent Ramla, Hindou, et Safira, et leurs routes vont se croiser, s'emmêler, se heurter, avant de s’éloigner. Ces femmes, dont Djaïli Amadou Amal raconte l’histoire dans son dernier roman, ont en commun un refus du sort qu’on leur impose en invoquant la fatalité. Elles tentent toutes trois d'y échapper par la révolte. Les Impatientes , de Djaïli Amadou Amal, a été publié aux éditions Emmanuelle-Collas le 4 septembre 2020, il vient de remporter le prix Goncourt des lycéens 2020.
L’histoire : A peine sortie de l’adolescence, Ramla est forcée d’accepter un mariage arrangé par son père. Elle est amoureuse d’un autre qui a demandé sa main, mais qu’à cela ne tienne, elle épousera un homme de 50 ans, riche, et très en vue dans la ville de Maroua, dans le Nord du Cameroun. Un homme cependant déjà marié à Safira, 35 ans, qui lui a donné six enfants. Ramla refuse ce mariage mais rien n’y fait. Elle partira habiter dans la “concession” - c’est ainsi qu’on appelle ces grandes demeures où les hommes abritent leurs femmes et leur descendance.
Finies donc les études qu’elle appelait de ses vœux et la carrière de pharmacienne dont Ramla rêvait avec son amoureux. Elle sera à la disposition de son mari, avec interdiction de sortir de la maisonnée.   
Safira, elle, voit d’un très mauvais œil débarquer cette rivale. Elle mettra mille stratagèmes en place pour écarter la jeune femme, et arriver à ses fins, avant de comprendre que sa co-épouse subit elle aussi son sort. Elle prendra exemple sur cette jeune fille, ce qui la mènera vers le savoir. La sortie de l’illettrisme : un premier pas vers la maîtrise de son destin.   
La troisième histoire est celle, terrifiante, de la sœur d’Hamla, Hindou, mariée le même jour qu'elle, mais avec son cousin cette fois. Un cousin alcoolique et violent, auquel elle se soumettra, non sans tenter de se rebeller et de fuir, avant de sombrer dans la folie.  
On ne sort pas indemne de cette lecture, tant la personnalité de ces femmes est lumineuse dans une marée d'obscurantisme. Dès le premier chapitre, qui raconte la journée de mariage des deux sœurs , l'engrenage effroyable mis en place par les hommes, et que les femmes n'ont d'autre choix d'accepter, nous prend aux tripes. Un proverbe peul ne dit-il pas : "La patience cuit la pierre" ? C'est la valeur cardinale qu'on enseigne aux femmes dès le plus jeune âge. Patience, qui vaut acceptation d'un destin décidé par d'autres, car "il est impossible d'aller contre la volonté d'Allah" . La plupart des femmes y sont si soumises qu'elles ne se rendent pas compte de leur enfermement. Ramla raconte : “Ma mère, si elle avait conscience de mon désarroi, se disait que tout cela n’était qu’enfantillage et que, dès que je serais mariée, je serais plutôt heureuse de mon sort. Mais il fallait surtout que je comprenne que c’était mon destin et ‘face au destin, on ne pouvait rien’ , affirmait-elle. Ne serais-je pas bientôt l’épouse d’un des hommes les plus riches de la ville ?”
Le roman est l’histoire d’une domination absolue des hommes sur les femmes, qui deviennent leurs esclaves plus ou moins serviles. Elles sont là pour leur “bon plaisir”, et quiconque tente de s’opposer à cette loi “édictée par le Tout-Puissant" est durement châtiée par son mari, et si cela ne suffit pas, par le reste de la famille, à commencer par le père. Personne n’y trouve rien à redire.
Les portraits de femmes ne sont pas univoques, ceux des hommes non plus. F ace à la violence intrinsèque de ces cages dorées, où les hommes ont tous les droits et les femmes toutes les obligations - dont celle cardinale, de ne jamais se plaindre, certaines figures d’espoir émergent pourtant. Celle du frère de Ramla, par exemple, grâce auquel elle a rencontré son amoureux. Les deux hommes s’élèvent contre son mariage, la soutiennent, et seront poursuivis par les deux clans jusqu’à ce qu’ils quittent la ville. Celles de ces femmes ensuite, qui
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