La guerre des générations

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Éditions du Panthéon - 12, rue Antoine Bourdelle 75015 Paris
 01 43 71 14 72



Conception graphique : Benjamin Courcot et Franck Mézière
Développement : Franck Mézière


« Ah !!! Cette génération n’a aucun respect pour ses aînés. N’cho ! Tu ne mérites pas d’être un Bala. Désormais, je te considérerai comme ton vaurien de frère qui pense être assez bien pour être le président de cette stupide jeunesse… Cela n’a pas d’importance. Et tu sais quoi ? Je ne t’ai pas mis à l’école pour que tu t’opposes à moi, ton propre père. »
Nous faisons tous des erreurs, c’est inévitable et nous devons nous les pardonner. À travers cet ouvrage, l’auteur cherche à nous faire prendre conscience d’un écart entre la génération des anciens, celle qui a commis des erreurs dans le passé, et celle des jeunes qui sont amenés à en commettre et ne veulent pas l’entendre. Dans une démarche pacifique, il cherche à apaiser les âmes en proposant un dialogue entre les générations, afin de mieux se comprendre, de se pardonner mutuellement et d’avancer ensemble dans la paix.
S’ouvrir à l’autre, accepter d’apprendre de ses erreurs, deux postulats apparemment simples. Cependant, l’humain est prompt à juger l’autre et à s’absoudre de ses propres errements. Avec lyrisme et chaleur, Tchekpa Ulrich Juste Gnakpea nous invite à plonger en nous-mêmes, pour le meilleur.

Conflit des générations : mode d'emploi.
Tchekpa Ulrich Juste Gnakpea nous propose de prendre un instant et de s'accorder entre nous : les anciens et la jeunesse. Mettre de côté ses différences, cohabiter avec "bienveillance", cette attitude qui traduit en un mot le message de ce tendre roman.
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Publié le 7 juin 2012 à 1:01 Mis à jour le 6 août 2019 à 0:00
Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures décisions.
Le FMI a délivré ses prévisions de croissance pour 2023, qui montrent des perspectives sombres pour l'économie mondiale. Mais c’est surtout l’inflation qui inquiète le Fonds monétaire international.
Airbus teste son A400M comme bombardier d’eau
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Vieillissement de la population, jeunes de moins en moins autonomes, vie en solo : les mutations accélérées de nos sociétés défient l'Etat providence.
Par Julien Damon (sociologue, chroniqueur aux « Echos »)
Les transformations familiales à l'oeuvre partout dans le monde et les difficultés croissantes de la protection sociale attisent plus que jamais les conflits de générations. Trois perspectives en anglais.
La tempête générationnelle Oncle Sam est en situation de faillite. Le spécialiste de comptabilité générationnelle, Laurence Kotlikoff, et l'éditorialiste Scott Burns, n'y vont pas de main morte. Les générations bénéficiant d'une couverture sociale solide (Medicare, Medicaid, Social Security, Obamacare, etc.) font peser, avec leurs retraites oisives protégées par le pouvoir gris de Washington, un insupportable fardeau, sous forme de chaîne de Ponzi. Les jeunes partent surendettés, ayant financé des études dans un contexte de « bulle éducative » (l'inflation des diplômes inutiles). Ils ne se mettent plus en couple et ne font plus d'enfants. La dynamique de vieillissement, nourrie d'une longévité qui s'accroît sans que les systèmes sociaux ne s'y adaptent, appellerait, pour faire face aux engagements, une augmentation immédiate des impôts des deux tiers, ou une diminution de 40 % de toutes les dépenses publiques. Les deux auteurs proposent des réformes structurelles, dites « violettes » (synthèse du rouge et du bleu), tenant chacune en une dizaine de lignes, afin de pouvoir être reprises sur des cartes postales envoyées aux parlementaires (voir www.thepurpleplans.org). L'idée force de cet ouvrage tonique et solide est que nous ne vivons pas seulement au-dessus de nos moyens. Mais aussi au-dessus de celui de nos enfants, et petits-enfants (pour la plupart encore non nés).
Jeunes adultes au bercail « Enfant boomerang » et « famille accordéon », le vocabulaire de la sociologie de la famille va s'enrichir de 2 nouvelles expressions. Analysant la sphère familiale comme protection sociale rapprochée, l'Américaine Katherine Newman a interrogé des centaines de personnes, dans 6 pays, pour saisir ce rôle d'amortisseur de crise que jouent les familles des classes moyennes. Un peu partout, les jeunes partent de plus en plus tard du foyer. Autonomes plus précocement (Internet aidant), les enfants demeurent pourtant dépendants plus longtemps. Partis depuis quelques années, ils peuvent revenir, sous les coups du divorce et du chômage. Au Japon, ces « parasites célibataires » sont très mal vus. En Italie, le maintien ou le retour à la maison des grands garçons n'est en rien déprécié. Les différences culturelles sont de taille. Partout, néanmoins, la croissance du phénomène est le signe d'une difficulté générationnelle à s'insérer. La densité de l'Etat providence a certainement, en l'espèce, de l'importance (dans les pays scandinaves les enfants partent tôt et ne reviennent pas). Le véritable sujet est celui des moyens donnés aux jeunes.
L'option solo En 1950, 22 % des Américains adultes étaient célibataires. Quatre millions d'entre eux vivaient seuls. Aujourd'hui, 50 % sont célibataires et 31 millions vivent seuls. Cette progression de la solitude - de la vie en « singleton » comme dit Eric Klinenberg -n'est pas synonyme d'isolement social. L'option solo permet de respirer dans des sociétés hyperconnectées. La population solo rassemble de jeunes diplômés, des divorcés, des veufs, des personnes qui n'ont jamais voulu vivre en couple. Ce mode de vie, de plus en plus choisi, peut aller jusqu'à représenter le tiers, voire la moitié des ménages dans les grandes villes. L'effet est considérable sur le marché du logement. Il ne serait, semble-t-il, préoccupant qu'aux grands âges, quand vivre seul n'est plus un possible garant de liberté mais une caractéristique du délaissement et du confinement. En définitive, le fossé générationnel concerne bien les deux âges extrêmes de la vie.
JULIEN DAMON EST PROFESSEUR ASSOCIÉ À SCIENCES PO (MASTER URBANISME)
Tous droits réservés - Les Echos 2022


Reference #18.34fc733e.1660815751.7509805e




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