La folie sexuelle extrême

La folie sexuelle extrême




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La folie sexuelle extrême
Librairie J.-B. Baillière et Fils , 1893 ( p. 132 - 140 ).
book La folie érotique Benjamin Ball Librairie J.-B. Baillière et Fils 1893 Paris T Les Nécrophiles Ball - La folie érotique, 1893.djvu Ball - La folie érotique, 1893.djvu/1 132-140 


Dernière modification il y a 7 ans par Ernest-Mtl


Le nécrophilisme ou la nécrophilie constitue un degré extrême et l’une des plus remarquables déviations de l’appétit vénérien, et dénote chez les auteurs la plus étrange aberration mentale coïncidant parfois, en apparence , avec la plus saine raison.

Le vieil Hérodote nous raconte comment Périandre, tyran de Corinthe, après avoir fait mourir sa femme Mélitta, eut des rapports sexuels avec le cadavre.

Ce nécrophile historique a eu des émules à toutes les époques.

Connus dans l’antiquité et au moyen âge sous le nom de lycanthropes , vampires , démoniaques nommés nécrophiles par Guislain, etc… ces malheureux furent la terreur des populations et l’objet des mesures les plus sévères.

On a vu, paraît-il, des prêtres violer les cadavres auprès desquels ils étaient chargés de réciter les dernières prières.

Il y a plusieurs années, M. Baillarger a donné lecture à l’Académie de Médecine d’un rapport sur un cas de nécrophilisme fort intéressant [1] .

Il s’agissait d’un sieur X***, âgé de vingt-sept ans, d’un tempérament lymphatique, mais doué néanmoins, d’une très grande force musculaire. Il a présenté dès ses premières années des signes non douteux d’idiotie. À mesure qu’il avançait en âge, l’absence d’intelligence devenait de plus en plus manifeste.

X*** ne put jamais apprendre à lire ; il était d’ailleurs violent, indocile, plein de bizarreries. Élevé par les soins de l’administration de l’hospice de Troyes, il fut successivement placé chez plusieurs paysans, mais aucun d’eux ne put le garder. On le ramenait à l’hospice, déclarant ne rien pouvoir obtenir de lui.

Plus tard, X*** devient sujet à des accès de manie périodique. Presque tous les mois, il était pendant plusieurs jours d’une violence extrême, injuriant les personnes qui l’entouraient, proférant des menaces de mort et d’incendie. Il fallait alors quelquefois le renfermer dans une cellule et même dans quelques cas le maintenir fixé par la camisole de force.

De temps en temps, il quittait furtivement l’hospice, et après avoir erré plusieurs jours dans la campagne, il revenait exténué de fatigue, les vêtements en lambeaux et couvert de boue. Cependant dans les intervalles de ses accès, X*** pouvait se livrer aux plus rudes travaux ; il était infatigable et faisait à lui seul l’ouvrage de plusieurs personnes. Aussi, malgré son état d’imbécillité, trouvait-on de temps en temps des cultivateurs qui consentaient à le prendre.

Cependant, un fait d’une extrême gravité vint mettre fin à ces essais de liberté.

X*** se trouvait alors chez un cultivateur du bourg d’Eslissac, lorsqu’en présence de cinq ou six personnes il commit une tentative de viol sur une paysanne. On fut forcé de le réintégrer à l’hospice de Troyes, où bientôt se passèrent les actes monstrueux qu’il nous reste à raconter :

X*** trompant la surveillance des gardiens s’introduisait dans la salle des morts, quand il savait que le corps d’une femme venait d’y être déposé, et il se livrait aux plus indignes profanations.

Il se vanta publiquement de ces faits, dont il ne paraissait pas comprendre la gravité. D’abord on ne put y croire ; mais, appelé devant le directeur, X*** raconta ce qui se passait de manière à lever tous les doutes.

On prit, dès ce moment des mesures pour mettre cet homme dans l’impossibilité de renouveler les profanations qu’on venait de découvrir. Mais cet idiot, si privé d’intelligence pour toutes choses déploya, dans ce cas, un instinct de ruse qui le fit triompher de tous les obstacles. Il avait dérobé une clef qui ouvrait la salle des morts et les profanations de cadavres purent ainsi continuer pendant longtemps.

Il fallut enfin reconnaître l’inutilité des mesures employées jusque-là pour prévenir le retour d’actes si odieux et X*** fut envoyé à l’asile des aliénés de Saint-Dizier.

Mais il faut franchir un pas de plus, arriver à ceux qui, pour satisfaire leurs passions, vont jusqu’à déterrer les morts et briser leurs cercueils.

En 1848, on constata à plusieurs reprises au cimetière Montparnasse que les tombes récemment creusées avaient été profanées. Malgré les précautions qui furent immédiatement prises, ces attentats se renouvelèrent plusieurs fois de suite.

Ce ne fut qu’après un temps assez long qu’on parvint à surprendre le coupable. C’était un sergent, nommé Bertrand, en garnison à Paris, dont la conduite paraissait irréprochable et qui avait d’excellentes notes au régiment.

Cet homme, dont la généalogie démontrait nettement qu’il était un héréditaire, avait tous les quinze jours environ des maux de tête extrêmement violents qui précédaient les crises dans lesquelles se manifestaient ces désirs morbides. Il escaladait alors avec une grande agilité les murs du cimetière et déterrait les femmes récemment ensevelies, pour satisfaire sa passion. Traduit en conseil de guerre, il fut condamné à un an de prison.

On voulut ainsi donner une satisfaction à l’opinion publique en évitant de prononcer l’acquittement, et rendre hommage à l’expertise faite par les aliénistes, qui avaient reconnu que Bertrand était atteint de folie.

On peut rapprocher de ce fait les profanations récemment accomplies au cimetière de Saint-Ouen par un des gardiens, Brau, qui allait jusqu’à déterrer des femmes mortes de la variole pour violer leurs cadavres. Cet homme était marié, et sa femme a pu témoigner de la brutalité de ses habitudes.

Une perversion aussi monstrueuse de l’appétit sexuel ne peut exister que chez des fous, et les nécrophiles sont certainement des aliénés.

Ce sont presque toujours ou des dégénérés ou des congénitaux. Mais certainement ils ont toujours une tare : le malade dont l’observation est rapportée par M. Baillarger en est un type complet, Bertrand n’échappe pas plus à l’hérédité que Brau.

Mais nous abordons maintenant un sujet différent, et nous allons nous occuper d’une perversion sexuelle qui peut coïncider avec un état parfaitement normal de l’intelligence et même avec les facultés les plus brillantes de l’esprit.



Home 2012 décembre 1 Les 10 scènes de cul qu’il faut avoir vues
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Si avec un titre pareil on dépasse pas les 5 000 000 de vues, je ne comprends plus rien. Parce qu’en plus, des scènes de cul, vous allez en avoir, ici. Des vraies, en plus. Et pas n’importe lesquelles, les plus belles. En bons investigateurs, à deux, un gars une fille, on s’est tapé toutes les scènes de cul possibles et imaginables, pour en tirer 10. Et Dieu sait si on a vu des trucs atroces. Si, si, je vous jure. On les a enlevées pour vous, mais peut-être qu’un jour on fera un article sur les 10 scènes de cul qu’il ne faut pas voir. Là, pour le moment, focalisons-nous sur le must. Évidemment, éloignez vos gamins de l’ordi, c’est un truc pour les papas et les mamans qui s’aiment très fort .
Les images pourraient être tout droit sorties d’un épisode des Feux de l’Amour qui aurait mal tourné, où John et Ashley se seraient finalement envoyés en l’air malgré les réticences de Jenifer, l’autre héritière de feu Victor ; le caméraman aurait pris des champis – et la ménagère de voir sa libido repartir comme en 14. Ils sont beaux, même si certainement en plastique (et je parle pas seulement des seins, plutôt des acteurs). Cette scène fascine par son puritanisme masqué à l’américaine. Ce sont les seins de Denise Richards, coutumière du fait, que l’on voit, et jamais ceux de Neve Campbell, la vraie star. Et évidemment, on ne descend pas sous la ceinture, parce que faut pas déconner non plus. On vous l’a mise en espagnol, je crois, mais je ne suis même pas sûr, parce qu’on ne la trouve pas, sinon. Mais en tout cas, les dialogues, vous vous en doutez sûrement, ne sont pas bien importants.
L’érotisme version tupperware, c’est Ghost . Demande à ta tante qui regarde Chabada le dimanche après-midi, elle a pour sûr succombé à la beauté de ces deux amants devant l’éternel, et surtout devant un truc de poterie qui, il faut bien l’avouer, fera certainement un vase assez dégueu et de forme phallique, juste bon peut-être à offrir pour la fête des mères, ou à finir au centre Pompidou, labellisé œuvre d’art moderne (je déconne, pas taper). C’est donc les mains pleines de glaise que nos deux chéris s’énamourent ensuite dans ce que l’on peut appeler une putain de scène de cul sans cul, très à la mode au début des 1990, avant que Peter Verhoeven prenne réellement les choses en main.
Court-métrage placé comme un cheveu sur la soupe au coeur du magnifique Parle avec Elle , le chef-d’oeuvre d’Almodovar, cette histoire d’homme minuscule qui pécho une humaine géante est d’un érotisme rarement égalé. Ici, rien de vulgaire, que du sexe, du beau sexe. Et la magie poétique de ce petit pervers d’Almodovar, ensuite. Jugez plutôt.
Quiconque n’a pas dans sa DVDthèque Shortbus a partiellement raté sa vie. Totalement, s’il n’a pas non plus de Rolex. Hymne au sexe, à l’homophilie, à l’hétérophilie, au libertinage, à l’amour fou, à la musique et surtout à New York, le film décoincera la plus tendax de tes grand-tantes fan de Ghost et de 9 Semaines et demi . Ici, la célèbre scène patriote du film, un beau plan à trois entre mecs, où il est question d’hymne américain dans ton cul. Homophobes s’abstenir.
De l’avis général du comité de sélection composé de deux membres, on a ici le plus beau couple de la sélection. Lui a une gueule de libertin du XVIIIème, elle aussi, donc ça tombe plutôt pas mal. Asia, il faut dire que c’est la fille la plus sexe du cinéma français, avec son accent et ses beaux seins, son visage malicieux et les personnages avenants qu’elle campe. La scène montre comment se servir du sexe pour faire s’intéresser le spectateur à des dialogues qui, sinon, paraîtraient hors contexte, totalement pompeux. Avale donc le cinéma d’auteur par ton cul !
Dérangeante dans le film, la scène n’en est pas moins sur-kifante sortie de son contexte. Et pour la gent masculine, même contextualisée, ben faut avouer que voir cette scène où Naomi Watts et Laura Elena Harring font des bisous sur le sofa du salon (qui, entre parenthèses, pourrait très bien être le mien) émoustille plutôt. Merci à vous, donc, monsieur Lynch, en matière de scènes de cul, vous êtes un grand. Et le film est chouette, aussi. Même si j’ai rien compris.
Tout être humain normalement constitué ayant vu Matrix a déployé une énergie considérable pour ne pas s’avouer, à l’aube de sa sortie, que Matrix 2 serait une daube intersidérale. Il s’en est convaincu, et a regardé les premières minutes in the mood for chef-d’oeuvre. Mais là, c’en fut trop : Néo qui pécho Trinity sur fond de musique à la Stomp et de scène orgiaque dans une grotte à Matrixland, c’est juste risible au possible. Cette scène, c’est certainement la scène de cul la plus nase de tous les temps. Il faut donc absolument l’avoir vue. Mention spéciale au dernier plan sur les regards des deux protagonistes. Avis de la demoiselle, à ajouter : « En plus, Néo est bof endurant, quand même, pour un élu… »
Evidemment… On ne pouvait pas ne pas la mettre. Beaucoup d’entre vous l’ont vue, et s’en sont même déjà délectés (oui, c’est imagé et poli), mais pour ne serait-ce que le pour-cent de nos lecteurs qui ne connaissent pas ce grand moment de dépucelage ecclésiastique (qui donne un peu plus envie de rentrer dans les ordres que Des Hommes et des Dieux et ses repas sur fond de Lac des Cygnes ), séance de rattrapage.
A noter que le titre est de Dzibz, et que Marie le lui refuse.
Sur la banquette arrière du taxi, Angie Dickinson prend son pied. Et nous aussi. Enfin surtout Marie, en fait, en phase pré-orgasmique durant l’extrait : « C’est une scène purement cinématographique, l’exaltation du fantasme permise par la caméra. Le rêve en vivant. Et c’est là, devant toi, t’es avec eux, t’as envie de baiser avec le mec, avec Dickinson aussi, avec les deux en fait.
T’es ouf t’es ouf. Et en plus, c’est ouf, t’es QUE au début du film, c’est dingue, juste après elle se fait ASSASSINER, c’est dingue c’est dingue. T’en peux plus. Rha ça me fatigue, ça, même. »
Et Dzibz de répliquer : « vazy, viens on commande un taxi ! »  (Le tout se passe en fin d’extrait)
Il nous paraissait impossible de conclure ce passage en revue (non exhaustif, vos commentaires étant bien sûr les bienvenus) sans une scène de Basic Instinct . Parce qu’avec ce grand film, Paul Verhoeven a fait rêver des millions d’adolescents, aux goûts assez disparates : ceux qui kifaient Michael Douglas, ceux qui kifaient Sharon Stone et ceux qui kifaient les pics à glace. Il n’y a plus grand chose à dire sur cette scène qui n’ait encore été dit, sinon que c’est la plus torride scène de cul qu’il nous ait été donné de voir. De loin.
On pourra être en accord le jour où Béla Tarr fera tourner Bruce Willis dans un film où il tuerait GENTIMENT des terroristes hongrois. En noir et blanc. Mais en marcel. Avec de la musique folklorique hongroise. Et des bonnes meufs.
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Stunning quest there. What happened after? Good luck!
And I was just woninrdeg about that too!
Aussi le viol finalement consenti dans « Les chiens de paille »…
That’s really thinking at an imrvsesipe level
J’adore c’est très sexuelles!!!!!!!!!!!!!!!!!
Rétrospective « so shocking », mais les commentaires sont excellents. Rien à ajouter. Mention spéciale à vous.
La scène dans le film d’Almodovar ne serait pas tirée d’une nouvelle de Bukowski par hasard ? Bon, voilà, je lance seulement l’idée hein.
En passant, manière de lever le doute, la première vidéo est en italien et pas en espagnol. Sur ce, merci pour votre excellent blog !
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Conclusion MAGNIFIQUE … Je ne vais pas rajouter de scène ou quoi que ce soit mais… ça donne chaud au coeur … ou autre ! D’ailleurs par prévention vous auriez du préciser: « A ne pas regarder en l’absence de son amoureu(se) au cas où une soudaine envie vous prenne ! » Ca pourrait être pratique dans certains cas ! 😀
Bonjour,
Cette liste me parait cohérente mais souffre d’un oubli important:
http://www.dailymotion.com/video/x17sps_halle-berry-sex-scene_sexy
Cette scène est le grand moment d’un film très moyen
http://www.imdb.com/title/tt0285742/
Ah, je suis d’accord ! Très grande scène, dans un film par ailleurs effectivement plutôt moyen (et Halle Berry est sublime). Celle-ci serait dans mon top 10 à moi.
oulala, Halle Berry! Elle est si jolie qu’elle fait oublier le mobilier hideux.
Je tiens à ajouter ma pierre à l’édifice, The Big Easy avec Ellen Barkin et Dennis Quaid. Comme ça, ça fait pas rêver, mais le film est aussi drôle que sexy. Je n’ai pas trouvé LA scène en question mais celle-là donne le ton
http://www.youtube.com/watch?v=K1TT21FQ8e0
il manque deux scènes CULtes ou CULCUL au choix :
Celle des Watchmens accompagné par Léonard Cohen :
http://www.dailymotion.com/video/xa6trq_malin-akerman-watchmen-sex-scene_sexy#.UVYY0RlKBXI
Celle de Team Americe Police du Monde qui est le Kamasutra pour Barbie :
http://www.youtube.com/watch?v=u7tXpBrpecA
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ce message a rebours pour ce pseudo et nique ton pere groland
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On pourra être en accord le jour où Béla Tarr fera tourner Bruce Willis dans un film où il tuerait GENTIMENT des terroristes hongrois. En noir et blanc. Mais en marcel. Avec de la musique folklorique hongroise. Et des bonnes meufs.

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