La femme baise le chauffeur alors que le mari ne voit pas

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La femme baise le chauffeur alors que le mari ne voit pas
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Labourge33 , 11 novembre 2010 dans Vos Expériences



En mars 2008, en me rendant à Arcachon voir une amie, je suis tombée en panne de voiture. Très vite, un routier s'est arrêté en me demandant si je souhaitais de l'aide. Désemparée par la situation, j'acceptais volontiers qu'il me porte secours. Il a ouvert le capot, il a regardé s'il voyait d'où venait la panne. Il n'a rien trouvé. Le routier m'a proposé de me déposer au prochain garage. En m'aidant à monter dans la cabine de son camion, j'ai senti sa main sur mes fesses. Surprise, j'ai protesté, mais j'avoue que sentir sa main, a provoqué une chaleur qui a rapidement envahit mon ventre. De plus, comme j'étais en jupe, il en profitait pour se rincer l’œil. Quand il est monté à son tour dans son camion, il n'a pas manqué de me complimenter sur mes charmes. J'étais flattée, je me sentais femme, un homme m'avait remarqué. Enfin, faut voir l'homme. Bedonnant, proche de la soixantaine, physiquement pas très beau, taille moyenne et assez sale sur lui. La seule chose qui était plaisante chez lui, c'était ses beaux yeux verts.

Le camion a démarré et il a commencé à bavarder. Après 5 bonnes minutes, il a tenté de poser une main sur mon genoux en me disant. "La petite dame ne voudrait pas gouter à la chaleur de ma couchette".

Je me suis retournée pour voir l'arrière de sa cabine et sa fameuse couchette. Je l'ai regardé de nouveau. Sa main était maintenant sur ma cuisse. J'étais partagée entre le désir de m'offrir à cet homme et celui de descendre de ce camion. J'ai repoussé sa main.

"Dommage, elle se sait pas ce qu'elle perte la petite dame".

Au même moment, il a sortit sa queue de son pantalon. Il bandait très fort. Je l'a trouvait énorme par rapport à celle de mon époux.

"Alors, toujours pas décidé en voyant le morceau".

"Non merci, je suis mariée et fidèle à mon époux".

C'était un non, qui au fond de moi voulait dire oui. Nous étions au milieu des pins, le routier se caressait le sexe en me complimentant sur mes jambes, qu'il trouvait superbe. J'essayais de ne pas trop le regarder, mais mes yeux avaient du mal à quitter se sexe tendu. Faut dire que cela faisait presque un an que mon mari ne m'avait pas touché.

"Je crois que la petite dame à envie de se faire enfiler par Bébert, mais qu'elle n'ose pas demandé".

Il a garé son camion au milieu de nulle part. Il s'est approché de moi, toujours le sexe à l'air et en érection. Prise de peur, j'ai voulu sortir, mais il avait verrouillé les portes de la cabine.

"Si tu veux sortir ma jolie, il n'y a qu'une clé...ma queue. Et pour déverrouillé les portes, faut que ma clé rendre dans ta serrure".

"Pas avant que je te baise ! Car tu en meurs d'envie, je le sais !"

Ses mains étaient sous ma jupe, il caressait mes fesses et mon sexe à travers mon collant et ma culotte. J'essayais de me débattre, mais sans réelle conviction, car je désirais de plus en plus m'offrir à cet homme.

"Les femmes qui ont goutés la queue à Bébert, elle y revienne toujours !

Je vous en prie, laissez moi partir...

Pas avant que je m'occupe de ta chatte, ma belle !"

Il a attrapé le rideau qui était derrière moi et il l'a fait coulissé le long du pare-brise.

"C'est plus intime comme ça ! On sera plus tranquille pour notre petite affaire".

Avec sa force, il avait réussit a approcher ma tête de sa queue.

"Et si on commençait pas l'entrée ! Une petite pipe !"

Il m'a forcé à emboucher sa queue. Jamais je n'avais fait cela. Jamais je n'avais sucé un homme. Contrainte, je l'ai sucé maladroitement. Je ne devais pas trop mal me débrouiller, car il gémissait. Pendant que je le suçais, il caressait mon sexe à travers mon collant et ma culotte.

"Tu ne te débrouilles pas mal ! Et je sens que tu commences à prendre ton pied, ton collant est mouillé".

C'est vrai que le plaisir avait pris le dessus. Je suçais cet homme avec plus d'entrain et je prenais beaucoup de plaisir à le faire. Soudain me me sentais chienne et j'aimais cela.

Sentant qu'il allait jouir, il s'est retiré de ma bouche. Il s'est dévêtu, je voyais ce vieux corps bedonnant. Il n'était vraiment pas beau et pourtant j'avais terriblement envie qu'il me baise. Il m'a demandé de déboutonné mon chemiser et de mettre mes seins à l'air. Je me suis exécutée. Puis il m'a attiré vers sa couchette. Il a commencé a me peloter et sucer les seins. Très vite je me suis mise à gémir sous ses caresses. Il a voulu m'embrasser, mais je ne voulais pas. Il a pris ma tête en m'obligeant à l'embrasser.

Très vite je me suis libérée et je me laissais faire.

Après un moment, il a retroussé ma jupe, baissé mon collant et ma culotte. Il est venu sur moi, sa queue bien dure à la main en me disant.

"Tu vas gouter à la queue de Bébert ! Je vais défoncer ta chatte de bourge !"

Je sentais sa queue à l'entrée de ma chatte trempée. Je réalisais que j'allais m'offrir à un autre homme que mon mari, qui jusqu'à ce jour avait été le seul et unique homme de ma vie. Sa queue prenait possession de mon intimité. Je la sentais glisser en moi. Que c'était bon !

Cela faisait tellement longtemps que je n'avais sentie le sexe d'un homme qu'une

fois entièrement en moi, j'ai jouis.

Il a commencé à me baiser. Sa queue allait et venait en moi lentement, m'arrachant un râle à chacun de ses coups de reins.

"T'aime la queue, salope ! T'aime te faire mettre ! Hein..."

Je ne répondais pas, appréciant le plaisir que je prenais.

"Dis moi que t'aime te faire mettre ! Dis le moi !"

"T'es une vrai salope ! Prends ça sale putain !"

"Oui baise moi ! Je suis ta salope !"

Je ne me reconnais pas en disant cela. Le plaisir était si intense, que je n'étais plus moi même. Je n'étais plus que jouissance. J'ai eu un second orgasme. Bébert m'a suivi de peu en inondant ma chatte de son sperme.

Il est resté sur moi un long moment. Nous reprenions tous les deux nos esprits. Il s'est retiré, il s'est assis sur la couchette en me regardant. Instinctivement, j'ai rabaissé ma jupe pour cacher mon intimité.

"Ça faisant longtemps que je n'avais pas baiser une pute comme toi !"

Je le regardais sans dire un mot. Je me sentais honteuse de ce que je venais de faire. Honteuse de mettre abandonnée aussi facilement à cet inconnu. Et pourtant quel plaisir j'avais pris.

J'allais me rhabiller, quand il m'a dit.

"Attends ! J'ai encore envie de te fourrer. Une chatte comme la tienne on en rencontre pas tous les jours...mets toi à quatre pattes !"

Je me suis exécutée sans dire un mot. Il s'est positionné derrière moi et d'un coup, il m'a pénétrée. De nouveau je décollais au rythme de ses coups de reins. Jamais mon mari ne m'avait donné autant de plaisir. J'ai jouis pour la troisième fois, Bébert m'a suivi, inondant à nouveau mes entrailles.

Je me suis rhabillée. Il m'a déposé au garage le plus proche. Après avoir téléphoné à mon amie pour lui dire que j'étais en panne, j'ai pris un taxi et je suis rentrée à la maison.

Lessivée, j'ai pris un bon bain chaud.

Le soir, je n'arrivais pas à dormir, trop excitée par ce que j'avais vécue.
Que de plaisir à dévorer ton récit. j'adore........
c'est un plaisir de lire ta confession

terriblement bien écrit et erotique à souhait
eh bé, les rouiers sont sympas!!! quelle histoire!!
Ah mais c'est normal, c'était sur la route d'Arcachon, c'est à cause de l'iode.

Ca fait faire de ces trucs l'iode, c'est dingue

Très sympathique récit en tout cas, merci.
Écriture soignée, on voit bien le dilemme qui se pressentait à vous. La crudité de langage sert aussi la situation. Vous faites une entrée remarquée. J'espère vous lire à nouveau.
très beau récit mais il n'en demeure pas moins que cela était très dangereux! si vous n'aviez pas accepté sa réaction aurait été imprévisible et à la limite du viol, s'il a vraiment fermé ses portes.
confession trés érotique c'est certain mais imagines si tu avais dis "non" bah tu te fesais violer, sa craint quand même...sans protection en +, tu as eu de la chance de finir avec aucune saloperie (enfin je l'espére pour toi) car tu dois être une de + dans sa liste

alala les routiers et les auto_stoppeuses ne faillissent pas à leurs réputation :D

Effectivement si je n'avais pas voulu, ça aurait été du viol.

Mais en vérité, j'en avait terriblement et il le savait très bien.

Il m'a juste tendu la perche si je puis dire.
Merci à tous pour vos messages de remerciement. Ca me conforte dans mon choix d'avoir choisit ce forum, pour me libérer en racontant mes différents adultères. Ca me permettait de ne pas tout garder pour moi, d'évacuer.

Je prépare le récit de mon second adultère afin de vous en faire profiter. Mais je doute qu'il soit plus excitant que ce dernier. Il était plus prévisible.
Cette histoire est très bien racontée et très excitante, mais, il n'empêche qu'elle me dérange un peu. Obtenir du sexe par la force n'est pas louable !!!

Heureusement que tu étais consentante vu ta situation avec ton mari mais imagine si ça n'avait pas été le cas...

D'autres filles n'étaient peut-être pas du tout consentantes et ont peut-être quand même gouté à la bite à " Béber " :D
Je n'aime pas beaucoup la porte fermée à clé
Pour répondre aux interrogations de certains. Le routier savait très bien que j'étais prête pour une partie de jambes en l'air. Il l'a vite senti et moi aussi je me sentais de franchir le pas. Mais je ne me serais jamais permise de lui en faire la demande. D'une éducation catholique, il est vrai aussi que je lui ai un peu résister (sans grande conviction faut le dire !!!), car à ce moment je me suis mise à penser à mon mari, mes enfants et ma famille. Mais très vite j'ai succombé au désir de sentir un homme et au plaisir qu'il allait mettre offert.

C'est jamais facile de tromper son mari, surtout la première fois. Même si notre vie intime est inexistante, il reste votre mari, le père de vos enfants.
Beau récit, ah cette fameuse éducation judéo chrétienne. L'essentiel c'est que tu sois en accord avec toi même, t'a la culpabilisation de tromper ton mari, mais en l'ayant fait tu ne t pas trompé à toi même. Bises.
C'est bon Labourge, ton explication me convient tout a fait.

Il n'a fait qu'aller au devant de tes désirs et sans violence. Tu sous-entends que si tu avais vraiment voulu refuser cela aurait été possible... Et tu ne te serais pas révélée à toi-même.
Cela faisait un moment que je n'étais pas venu sur le forum, mais pour un retour j'ai été ravi par cette superbe confession.

Merci pour ce petit moment de partage très sympathique et muy caliente

C'est jamais facile de tromper son mari, surtout la première fois. Même si notre vie intime est inexistante, il reste votre mari, le père de vos enfants.

j'espère que ça nous donnera lieux à de nouvelles lectures de tes aventures qui m'ont tout l'air d'être très interressantes :)
très belle confession, très agréable à lire

Mais maintenant dans la vie, tu t'ais mise à dire des mots crus ???
Cela est un récit fort agréable à lire, cela me met en appétit!!
J'ai adoré ton reci, c'est trop bien de se lacher comme ca, et quelle chance il a eu ce routier !

Et depuis, as tu eu d'autres aventures aussi cochonnes ?

Depuis cette histoire, j'ai trompé bon nombre de fois mon époux. Je publierais début de semaine mon second adultère

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