La famille modèle

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Publié le 04 Sep 2015 à 00H00
Modifié le 19 novembre 2018
Par PHILIPPE TESTARD-VAILLANT

© G. PAZAT/KAMERA PHOTO/PICTURE TANK

Lorsqu'on entend le mot « famille », on pense spontanément à un couple entouré de ses enfants. Pourtant, ce modèle occidental est loin d'être universel. Le visage de la famille varie fortement d'un bout à l'autre de la planète. Petit aperçu en images.
Un article issu du n°272 de Science & Vie
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Apparue vers la fin de l’Antiquité en Occident, puis consolidée par le christianisme qui a transformé le mariage en un sacrement et interdit le divorce, la famille nucléaire (formée d’un couple avec un ou plusieurs enfants) est la forme d’organisation familiale la plus répandue dans le monde aujourd’hui.
Mais depuis un demi-siècle, cette institution, dans les pays industriels, est le théâtre de nombreux bouleversements.
La multiplication des divorces, donc des familles « recomposées », conduit de plus en plus d’enfants à être entourés d’adultes autres que leurs parents biologiques. On attend du deuxième mari d’une femme qu’il se comporte « comme un père » vis-à-vis des enfants issus du premier mariage de sa nouvelle compagne, et de la femme qu’elle se comporte « comme une mère » vis-à-vis des enfants du premier mariage de son nouveau mari. Dans ce contexte, la parenté sociale, et non la parenté biologique, s’étend. Un trait qui fut propre à de nombreuses sociétés dites « primitives »
Mort à l’âge de 94 ans en octobre 2010, le Kenyan Akuku avait été marié 130 fois, avait divorcé de 85 de ses épouses et engendré quelque 300 enfants. Toujours au Kenya, pays majoritairement chrétien où la polygynie (le fait, pour un homme, d’avoir plusieurs épouses) est tolérée, les députés ont voté en mars 2014 une loi permettant aux hommes d’épouser autant de femmes qu’ils le souhaitent, sans obtenir le consentement de leur première épouse.
Légale dans la quasi-totalité des pays musulmans (selon le Coran, un homme a le droit d’avoir quatre épouses et des concubines) et clé de voûte de la structure familiale dans une cinquantaine d’États d’Afrique et d’Asie, la polygynie tend toutefois à régresser en raison, entre autres, de la crise économique qui rend plus difficile l’installation de plusieurs épouses (au moins dans les villes), de l’essor de la scolarisation féminine et des inconvénients inhérents à ce mode de vie familiale, à l’origine de rivalités entre épouses.
En Afrique centrale, le mot nyak, qui signifie « coépouse », ne veut-il pas dire par extension « être jalouse » ?
Chez les Na, une ethnie de langue tibéto-birmane vivant sur les contreforts de l’Himalaya, à la lisière des provinces du Yunnan et du Sichuan, le vocabulaire de la parenté ne comporte aucun mot voulant dire « père » ou « mari ». Frères et sœurs vivent sous le même toit avec les enfants de ces dernières. Le soir venu, les hommes quittent leurs sœurs pour se glisser dans le lit des femmes des maisons voisines, une coutume matrimoniale baptisée nana sésé (« visite furtive »). Quand un enfant naît dans cette société hyper-matrilinéaire, où chacun met un point d’honneur à n’être ni jaloux ni fidèle, il appartient automatiquement au groupe de la femme qui l’a mis au monde. Celle-ci, avec son ou ses frères, l’élève. Le père biologique de l’enfant, lui, n’est pas considéré comme son géniteur dans la mesure où, pour les Na, le sperme de l’homme n’est qu’un simple catalyseur permettant à la femme d’enfanter (un peu comme la pluie fait pousser l’herbe, sans plus). À noter : déjà maltraités par le pouvoir communiste, les Na doivent désormais faire face à un accroissement exponentiel du nombre de touristes curieux de visiter ce « royaume des femmes ».
Très original, le système de parenté en vigueur chez les !Kung, un groupe vivant aux confins de la Namibie et du Botswana, divise toutes les personnes apparentées à un individu en parents k’hâi (« jouer ») et parents kwa (« respect »). Avec un parent k’hâi, par exemple son grand-père ou sa grand-mère, son mari ou sa femme , un individu entretient des relations détendues.
A contrario, avec un parent kwa, comme son père, sa mère, ses oncles, ses tantes , un individu doit utiliser des formes polies et les rapports sont beaucoup plus distants.
De même, si un !Kung a une relation k’hâi avec une personne, il entretiendra une relation kwa avec les parents de celle-ci, preuve de l’autorité des parents sur leurs enfants. Enfin, la relation kwa la plus extrême est celle entre un homme et sa belle-mère, ou entre une femme et son beau-père. En théorie, ils ne sont même pas supposés s’adresser la parole !
Dans une famille occidentale, tout individu n’a qu’un père et une mère. Mais dans certaines sociétés, comme celle des Baruya, une tribu d’agriculteurs-chasseurs découverte en 1951 dans les hautes montagnes de Papouasie- Nouvelle-Guinée, tous les frères de son père sont des pères pour un enfant, toutes les sœurs de sa mère sont ses mères, et leurs enfants, automatiquement ses frères et ses sœurs. Un enfant peut donc se tourner vers différents « pères » ou différentes « mères », en cas de besoin. Ce modèle a toutefois tendance à disparaître, et les familles se « nucléarisent » ces dernières décennies. Les garçons des familles Baruya subissent par ailleurs des rites d’initiation beaucoup plus élaborés que les filles. Ainsi, vers l’âge de 9-10 ans, tous les garçons sont brutalement séparés de leurs mères et de leurs sœurs et enfermés dans la « maison des hommes » où ils séjournent jusqu’à l’âge de 20 ans. Au cours de nombreuses cérémonies destinées à les dépouiller de tout ce qui les rattache au monde maternel, les garçons sont symboliquement réengendrés par d’anciens initiés et mis au courant de secrets qui leur donneront le droit de représenter à eux seuls leur société et de la gouverner.
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Le mariage et la famille n’ont pas simplement évolué ; les familles modernes ne se conforment pas au modèle biblique. Comprendre ce que Dieu a prévu pour elles peut nous aider à améliorer nos foyers.


D’après la Bible, le mariage symbolise un grand et merveilleux mystère (Éphésiens 5:32). Elle décrit en outre le résultat de l’amour étonnant de Dieu au niveau familial :

« Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! » (1 Jean 3:1).

Or, ces superlatifs contrastent énormément avec les réalités de nos familles modernes. Vu les misères que ces dernières procurent à tant de gens, le mariage et la famille semblent être des institutions passées de mode qu’il faille éliminer pour « évoluer ».

Comment le mariage et la famille sont-ils devenus des éléments de base quasi universels dans diverses cultures, dans le monde, à travers l’histoire ? Ceux qui pensent que la famille est un produit de l’évolution pensent que la monogamie est une erreur de parcours.

Selon l’anthropologue Margaret Mead, « les pères sont des nécessités biologiques, mais aussi des accidents de la société ». Elle estime que d’autres structures sociales, n’attribuant pas au père le rôle qu’il n’a cessé de remplir, auraient tout aussi bien pu s’imposer.

Selon le biologiste évolutionniste David P. Barash, « la monogamie est menacée du fait de notre biologie. Les hommes, typiquement, sont plus imposants que les femmes, ont plus de muscles, sont plus enclins à la violence et deviennent sexuellement et socialement mûrs plus tard. Ces traits sont typiques d’une espèce animale dans laquelle le mâle fait concurrence à d’autres mâles pour s’accoupler avec un certain nombre de femelles » (« Is Monogamy Over? » , Time du 21 septembre 2015, p. 64). Néanmoins, il a également dit :

« Bien que la monogamie ne soit pas naturelle et, de ce fait, ne soit pas facile, elle offre le bénéfice des soins de deux parents. Il est rare, pour toute espèce, que le mâle et la femelle s’occupent de leurs petits, à moins que les mâles soient certains d’être génétiquement apparentés aux petits, une assurance que seule la monogamie peut fournir. Et les enfants des humains ayant plus besoin des soins, de la protection et de l’investissement des parents, probablement plus que n’importe quel autre animal, ils bénéficient de la monogamie ».

D’autres savants ont catalogué les autres avantages fournis par le mariage et la famille. La couverture de la revue Time du 13 juin 2016 résumait plusieurs des avantages qu’offre le mariage, dans notre monde moderne qui change rapidement :

« Conjointement, de nouvelles preuves ne cessent de s’accumuler démontrant qu’il y a peu de choses qui soient aussi bonnes, pour notre bien-être et nos finances, que le fait de rester marié.

Les couples qui sont restés ensemble jusqu’à leurs vieux jours ont trouvé qu’être ensemble a été une expérience sublime, déclare Karl Pillemer – gérontologue à Cornell University ayant effectué une enquête poussée sur 700 personnes âgées, pour son livre 30 Lessons for Loving . Tous – 100% d’entre eux – ont déclaré à un moment donné que la longévité de leur mariage était ce qu’il y avait de meilleur dans leur vie ».

Mais il a ajouté : « Tous ont aussi déclaré que “le mariage est difficile”, voire “réellement difficile” ou “réellement très difficile” » (p. 38).

(Les bénéfices, pour les enfants grandissant dans des familles ayant deux parents solides ont été documentés dans de nombreuses enquêtes. Lire à cet effet notre encart « Faits sur la famille »).

Les institutions que sont le mariage et la famille sont-elles le fruit du plus pur des hasards lors d’une supposée « évolution » ? Les avantages et les défis de ces relations intimes ont-ils, au contraire, une raison bien précise ?

Dieu prétend être l’Auteur du mariage et de la famille.

Quand on interrogea Jésus sur le divorce, Il en clarifia le contexte :

« N’avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l’homme et la femme et qu’il dit : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ? Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint »         (Matthieu 19:4-6).

Dieu a conçu la relation intime qu’est le mariage pour qu’elle soit exclusive et durable – étant symbolique des liens étroits entre Christ et Son Église (Éphésiens 5:32). Il a toujours été dans Ses intentions que les mariages produisent des enfants pieux, et que la famille reflète la relation qu’Il souhaite avoir avec nous (Malachie 2:15 ; 2 Corinthiens 6:18).

En dépit de ces objectifs divins, les imperfections humaines n’ont pas tardé à souiller les rapports merveilleux que Dieu souhaitait. Adam et Ève succombèrent à des tentations qui ont mené à des conditions de vie bien plus difficiles et à une guerre des sexes. Leur fils succomba à la jalousie et assassina son propre frère. La vie des familles, depuis, n’a cessé d’empirer.

Ces relations que Dieu a créées étaient-elles défectueuses ? Aucunement. Mais nous autres humains nous sommes écartés du modèle divin. Les choix humains d’options matérialistes de piètres valeurs (comme le fait de remplacer l’amour et l’engagement par la convoitise et l’égoïsme) et l’adoption de raccourcis (comme les rapports sexuels prémaritaux, le manque de préparation et l’absence de fidélité) proscrivent l’édification des rapports parfaits que Dieu a établis dans la Bible.

Le modèle divin a été suffisamment résilient pour fournir des bénéfices à des millions d’êtres humains pendant des millénaires. Nos versions humaines de la famille ont toutes eu de graves défauts et elles ont produit bien trop de maux tragiques, étant souvent dysfonctionnelles ou étant des foyers de mauvais traitements. Il ne faut pas confondre ces institutions humaines dysfonctionnelles avec les institutions originales parfaites que Dieu a conçues.

La Bible fournit de nombreuses clés permettant de développer le genre de relations que Dieu souhaite. Parlons brièvement de quatre d’entre elles.

Comprendre l’ultime raison d’être de ces relations fondamentales peut aussi nous aider à ne pas trop nous attarder sur les défis et les frustrations de cette vie, conscients qu’une vie pleine de joies en tant qu’enfants de Dieu, et pour l’éternité, nous attend.
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Toutes les références bibliques dans cette brochure sont tirées de la version Louis Segond (©1975 Société Biblique de Genève), sauf si mention est faite d’une autre version. Tous droits réservés.

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