La directrice de l’école se met à quatre pattes

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La directrice de l’école se met à quatre pattes
Gel, grêle, sécheresse et calamités agricoles











Le fonio est une céréale dont la culture n'exige que très peu d'eau.
Getty Images / Karisssa






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(ETX Daily Up) - La sécheresse qui assoiffe une grande partie des sols européens depuis le début de l'été rappelle combien l'eau est une denrée précieuse et épuisable. Les restrictions imposées aux agriculteurs nous engagent sérieusement à réfléchir à l'alimentation de demain. Et si nous prenions exemple sur les pays d'Afrique de l'Ouest qui cultivent depuis des millénaires une céréale qui n'a quasiment pas besoin d'eau pour pousser... Connaissez-vous le fonio ?
Ce n'est pas du couscous. Ce n'est pas non plus du boulgour ou du quinoa. Mais, on se rapproche esthétiquement de toutes ces graines. Distinguée par deux sortes, l'une blanche et l'autre noire - bien que moins répandue, cette céréale est cultivée en Afrique de l'Ouest depuis 5.000 ans. C'est une forme de millet. Elle est même l'une des premières graines que le continent noir a commencé à produire. Son existence n'est donc absolument pas nouvelle. D'après les données statistiques de la FAO, l'organisation pour l'alimentation et l'agriculture des Nations Unies, la production de fonio s'est élevée à 700.000 tonnes, sur une superficie de 920.000 hectares, en 2019.
Si l'on en parle de plus en plus, c'est parce que sa culture est parfaitement adaptée aux zones de production arides. Elle existe en Guinée, au Mali mais aussi au Sénégal, au Togo ou encore au Burkina Faso. Entre le Sahara et les régions tropicales d'Afrique centrale, le fonio se plaît à pousser sur un sol peu profond, sablonneux et parfois rocailleux. Surtout, sa culture fonctionne dans un climat très peu arrosé. Selon les données de l'association ICVolontaires, qui met en place des programmes humanitaire, environnemental et social en Afrique de l'Ouest, la céréale peut pousser dans les vallées de zones où il ne pleut pas beaucoup; celle-ci se nourrissant ainsi des eaux de ruissellement. On compte sur elle lorsque les réserves d'autres céréales s'amenuisent et que l'on attend une prochaine récolte. D'un point de vue agricole, le fonio est également intéressant parce qu'il peut pousser sur des terres fatiguées par les cultures à répétition.
Cependant, cette céréale que le journal britannique The Guardian avait déjà repérée en 2014 comme le nouveau quinoa à la mode n'a pas que des avantages, et c'est ce qui permet de comprendre les limites de sa production. Avant d'être préparé, le fonio a besoin d'être décortiqué. Traditionnellement, les femmes utilisent un mortier et un pilon pour ne garder que le coeur. Pour décortiquer un kilo de fonio, il faut compter une heure de travail... Trois à quatre pilages sont en effet nécessaires, sans compter le besoin d'enlever aussi le sable contenu dans les grains.
D'après l'organisation sénégalaise IED Afrique, une décortiqueuse fut développée en 1993, capable de traiter cinq kilos de fonio en seulement huit minutes. Une avancée technologique qui a depuis été développée encore davantage, autorisant les experts à imaginer le fonio comme la céréale de demain. Au Ghana, la cheffe Fatmata Binta a créé une fondation qui permet aux femmes de devenir propriétaires de leurs terres et de cultiver le fonio. D'origine Peul, la cuisinière qui vient de recevoir le Basque Culinary World Prize - sorte de prix Nobel de la gastronomie, accommode elle aussi cette céréale dans son restaurant éphémère Fulani Kitchen qui retranscrit toutes les habitudes culinaires du peuple de ses origines, la plus grande tribu nomade d'Afrique.
Sans gluten, le fonio dispose de très hautes teneurs en acides aminés, notamment en méthionine et en cystine. S'il est moins riche en protéines, son indice glycémique est faible, ce qui le rend intéressant à prescrire aux personnes souffrant de diabète ou d'obésité. Ses adeptes vantent aussi sa bonne digestibilité. Fade pour certains, goût de noisettes pour d'autres, cette céréale ancestrale se cuisine dans tous les cas très facilement, de la même manière que du quinoa : dans un grand volume d'eau bouillante. En Afrique de l'Ouest, on a coutume de le transformer en bouillie, en pain et même en bière !
On peut ainsi l'utiliser dans du porridge, sinon revisiter un taboulé dans lequel on remplace le couscous par du fonio, voire même confectionner des barres de céréales maison avec la farine de fonio.
En Europe, les magasins bio constituent les endroits où le trouver le plus facilement, avec à la clé - il faut l'avouer, un prix élevé. Le plus simple étant de miser sur des épiceries bio en ligne. Compter par exemple environ 10 euros le kilo chez Naturalia. Aux Etats-Unis, le distributeur bio Whole Foods le commercialise.
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Après une année exceptionnelle, l’hôtel Bird-in-Hand Family Inn de Lancaster County, en Pennsylvanie, est en train de ressentir les effets du ralentissement de l’économie.
L’augmentation du prix de l’essence, une forte inflation et l’incertitude économique ont sans doute découragé certaines personnes de se rendre dans cette région surnommée les Pays-Bas de Pennsylvanie, explique Tammy Portner-Smith, la directrice de l'établissement. En juillet, les réservations étaient en baisse de 13 % par rapport à l’année dernière. L’entreprise, qui envisageait de construire une scène plus grande pour les spectacles musicaux proposés à ses clients et aux personnes de l’extérieur et de transformer certaines chambres en suites plus vastes en les déclinant sur un thème agricole, a mis ses projets de côté.
Mais il est une mesure qui n’est absolument pas à l’ordre du jour : « Il n’est pas question de licencier pour l’instant », assure Mme Portner-Smith.
L’hôtel Bird-in-Hand aurait même besoin d’une douzaine d’employés supplémentaires. Il lui faut davantage de femmes de ménage et de réceptionnistes pour soulager les gérants, qui se chargent souvent de nettoyer les chambres et de prendre les réservations, rapporte Mme Portner-Smith. L’hôtel fonctionne avec une cinquantaine d’employés, contre 70 avant l’arrivée de la Covid-19, début 2020.
« Même si l’activité a ralenti et qu’elle n’est pas au niveau que nous attendions, notre personnel ne suffit toujours pas, déplore la directrice. C’est vraiment difficile de devoir dire à un client : “Désolé, nous manquons du personnel nécessaire pour vous satisfaire.” »
Dans tous les Etats-Unis, les entreprises ont vu la demande de biens et de services baisser tandis que l’inflation grimpait et que la Réserve fédérale augmentait ses taux d’intérêt . Entre avril et juin, l’économie américaine s’est contractée à un taux annuel de 0,9 %, et cette seconde contraction trimestrielle consécutive incite les économistes à envisager avec inquiétude l’arrivée d’une récession , peut-être même déjà installée.
Pourtant, le marché de l’emploi continue de croître à un rythme soutenu et constitue une force pour l’économie générale. En juillet, 528 000 emplois ont été créés aux Etats-Unis, ce qui a permis à la masse salariale de dépasser légèrement son niveau prépandémie, et le taux de chômage est tombé à 3,5 %.
Elle a également augmenté plus rapidement au cours du premier semestre qu’à n’importe quelle autre période marquée par un début de contraction de l’économie depuis la Seconde Guerre mondiale. Récession ou pas, les derniers chiffres de l’économie montrent que la production s’affaiblit bien plus vite que le marché de l’emploi.
Le décalage entre la croissance de ce dernier et une économie qui décélère tient dans un point essentiel : malgré le ralentissement de la demande, le nombre de travailleurs disponibles pour fabriquer des biens et fournir des services est considérablement inférieur aux besoins des entreprises .
Dans de nombreux cas, les employeurs n’ont pas réussi à retrouver un nombre suffisant d’employés suite aux suppressions de postes pendant la courte — mais profonde — récession de début 2020. D’autres, revenus à des niveaux d’avant la pandémie, hésitent à se séparer de leurs employés car ils ont en mémoire les difficultés traversées pour en recruter de nouveau après les fermetures liées à la Covid-19. Selon certains économistes, la dynamique inhabituelle du marché du travail met l’économie américaine dans une position plus favorable que par le passé pour essuyer une récession.
« La demande de main-d’œuvre est suffisamment forte pour que les employés qui perdent leur emploi en trouvent bien plus rapidement que lors d’une récession classique, explique Bill Adams, économiste en chef à la Comerica Bank. Cela va largement interrompre le cercle vicieux d’une récession où les pertes d’emploi déclenchent des réductions de dépenses des consommateurs et réduisent le chiffre d’affaires des entreprises, ce qui conduit à de nouveaux licenciements. »
En période de récession, en général les entreprises sont lentes à remercier leurs salariés lorsque la demande commence à baisser, mais une fois le cycle enclenché les licenciements s’accélèrent brusquement. Au cours des soixante-dix dernières années, les récessions américaines se sont toujours accompagnées d’une augmentation du taux de chômage, avec une hausse médiane de 3,5 points de pourcentage pour les récessions post-Seconde Guerre mondiale.
Certaines grandes entreprises, comme Ford Motor, Twitter et la société de courtage immobilier Redfin ont récemment licencié des salariés ou annoncé des réductions de personnel. Walmart a annoncé des licenciements ciblés, et Robinhood Markets se sépare également de certains employés.
Personne ne sait si l’économie américaine va s’engouffrer dans une spirale récessionniste et assister à de fortes réductions des dépenses des consommateurs, mais ce type de scénario ne manquerait probablement pas de déboucher sur une augmentation des licenciements. Certains économistes estiment qu’il faudra que le taux de chômage — à 3,5 % du mois de juillet — augmente de façon considérable avant que l’indicateur d’inflation de la Fed ne passe sous les 6,8 %, le plus élevé en quarante ans, et se rapproche de sa cible de 2 %.
Le marché du travail reste exceptionnellement tendu, même si certains signes indiquent qu’il commence à ralentir un peu. Si le nombre d’inscriptions au chômage, qui est un indicateur des licenciements, s’est mis à augmenter après avoir atteint son plus bas niveau en un demi-siècle au printemps dernier, il reste historiquement bas. Les offres d’emploi américaines sont tombées en juin à leur plus bas niveau en neuf mois, a déclaré mardi le département du Travail, mais le total n’en reste pas moins historiquement élevé et bien au-dessus du nombre de personnes à la recherche d’un travail. Fin juillet, le nombre d’offres publiées sur le site Indeed.com était supérieur de 52,5 % au niveau prépandémie. Les demandeurs d’emploi sont moins nombreux qu’avant l’arrivée de la Covid-19.
Certains secteurs, notamment les transports , l’entreposage, les services professionnels et commerciaux ainsi que l’industrie, ont dépassé leurs niveaux d’emploi d’avant la Covid. Mais les entreprises ont vu la demande dépasser de loin leur capacité à renforcer leur masse salariale.
De nombreuses entreprises ont beaucoup licencié au printemps 2020 et ne sont toujours pas revenues à leur niveau prépandémie. Les employeurs des secteurs des loisirs et de l’hôtellerie, comme les restaurants, les bars et les hôtels, ont du mal à reconstituer un personnel suffisant pour s’adapter au rythme des dépenses des consommateurs. Le secteur pourrait fournir une source cruciale de croissance de l’emploi cette année à mesure de la poursuite de son redressement, estiment les économistes.
« On entend parler de start-up technologiques qui licencient , mais ce n’est pas le cas dans tous les secteurs, explique Brett Ryan, économiste à la Deutsche Bank. Il manque encore un million d’employés dans les domaines des loisirs et de l’hôtellerie par rapport à l’avant-Covid. Donc il y a encore de la concurrence pour des emplois dans les services à bas salaires et à haut niveau de contact. »
Pour attirer et retenir du personnel, l’hôtel Bird-in-Hand Family Inn paie ses employés un dollar de plus de l’heure et propose une prime de 400 dollars à qui parraine un nouvel employé, à condition que celui-ci reste au moins 90 jours dans l’entreprise, révèle Mme Portner-Smith.
« C’est pour le ménage que nous avons vraiment beaucoup de difficultés, déplore-t-elle. Plus personne ne veut le faire. »
Cet été, trois cars de tourisme ont quitté l’hôtel le même jour. Faute de suffisamment de femmes de ménage, l’équipe de direction s’est employée à changer les draps, retirer les serviettes et vider les poubelles pour préparer la venue des clients suivants. L’établissement a également eu des difficultés à trouver suffisamment d’employés pour gérer les réservations à la réception, ce qui a parfois conduit à une accumulation de messages non-traités, rapporte Mme Portner-Smith. Ces derniers temps, elle a appelé six candidats à des emplois de réceptionniste. L’un d’entre eux lui a raccroché au nez.
En juin, dans l’enquête mensuelle de la National Federation of Independent Business, les propriétaires de petites entreprises ont manifesté un pessimisme d’une ampleur inédite depuis le début de l'étude, il y a 48 ans, sur leurs perspectives d’avenir. Près de la moitié d’entre eux a déclaré n’avoir pu trouver personnes pour leurs offres d’emploi de juillet, ce qui n’est pas loin de battre le record historique atteint en mai, selon NFIB.
Dans beaucoup de cas, les entreprises rechignent sans doute à licencier en raison des difficultés et des dépenses liées au recrutement, suppose Susan Sterne, économiste chez Economic Analysis Associates.
« Ce qui m’inquiète, c’est que si vo
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