La corruption des filles

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La corruption des filles
Accueil Le Débat ressources débats Wathinote : Corruption en milieu scolaire et éducation des filles (Côte d’Ivoire), Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en Education
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Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en Education.
Le phénomène de la corruption dans le secteur de l’éducation en Côte d’Ivoire a pris des proportions inquiétantes. Cette étude du Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en Éducation (ROCARE) est axée sur la corruption en milieu scolaire et son impact sur les filles.
L’enquête de terrain s’est déroulée auprès d’une population de 719 élèves et 57 enseignants et 13 membres de l’administration dans 4 écoles à d’Abidjan et 2 écoles à Bingerville du 15 au 19 janvier 2007. Les résultats indiquent que la définition de la corruption apparaît plus ambiguë pour les élèves contrairement aux autres acteurs de l’école.
Aussi, les moyens de lutte contre la corruption sont-ils peu connus. Quel que soit le site d’enquête, le phénomène a quasiment la même ampleur. Les raisons avancées pour justifier les pratiques de corruption sont la peur de l’échec aux examens et l’acquisition coûte que coûte de diplômes.
Les procédures de recrutement et d’évaluation des élèves sont généralement remises en cause. Comparativement aux garçons, les filles sont plus exposées à cette pratique surtout entre 15 et 19 ans, du fait de la crise d’adolescence mais aussi et surtout de la peur de l’échec en classe d’examen.
Les facteurs favorisants le fléau sont l’environnement, l’ambition, les conditions de vie et la pauvreté. Cette situation a des conséquences sur l’éducation des élèves et des filles en particulier mais aussi détériore l’image de l’école ivoirienne. D’où le souhait d’éradiquer le phénomène à travers des campagnes de sensibilisation et la création de cellules de lutte dans les écoles.
Cette étude sur la « corruption en milieu scolaire et éducation des filles», a permis aux différents acteurs de l’école d’identifier les facteurs favorables à la corruption ainsi que les conséquences sur l’éducation. Les recommandations suivantes doivent permettre de réduire l’impact de la corruption en milieu scolaire :
Au niveau institutionnel et politique
La priorité doit être ici accordée à la prévention. Pour ce faire, il faudrait :
Au niveau des établissements scolaires
Corruption is taking alarming proportions in the sector of education in Côte d’Ivoire. This study carried out by the Educational Research Network for West and Central Africa (ERNWACA) is about corruption in schools and its effects on girls.
The field survey involved 719 students, 57 teachers and 13 members of the administration from 4 schools in Abidjan and 2 schools in Bingerville. It has been carried out from january 15 to january 19, 2007. From the conclusions, the definition of corruption appears to be more ambiguous for students than for other actors in schools.
Furthermore, means to fight against corruption are not well known. The phenomenon has almost the same scale in all the schools surveyed. The reasons given for corruption practices are fear of failure to exams and acquisition of exams by all means.
Recruiting and student assessment procedures are generally called into question. Girls are more exposed than boys to these practices, mostly between the age of 15 and 19. This is because of adolescent crisis and fear of failure in examination years.
Factors encouraging the scourge are environment, ambition, living conditions and poverty. This situation has an impact on the education of students, especially girls. It also damages the reputation of schools in Côte d’Ivoire. It has to be eradicated through awareness campaigns and the establishment of anti-corruption units.
This study on « corruption in schools and girls’ education » enabled the various actors to identify the factors encouraging corruption and its impact on education. The following recommendations should help curbing the impact of corruption in schools:
At the institutional and political levels
Priority should be given to prevention. The recomendations are:
Les Wathinotes sont soit des résumés de publications sélectionnées par WATHI, conformes aux résumés originaux, soit des versions modifiées des résumés originaux, soit des extraits choisis par WATHI compte tenu de leur pertinence par rapport au thème du Débat du mois. Lorsque les publications et leurs résumés ne sont disponibles qu’en français ou en anglais, WATHI se charge de la traduction des extraits choisis dans l’autre langue. Toutes les Wathinotes renvoient aux publications originales et intégrales qui ne sont pas hébergées par le site de WATHI, et sont destinées à promouvoir la lecture de ces documents, fruit du travail de recherche d’universitaires et d’experts.
The Wathinotes are either original abstracts of publications selected by WATHI, modified original summaries or publication quotes selected for their relevance for the theme of the Debate of the Month. When publications and abstracts are only available either in French or in English, the translation is done by WATHI. All the Wathinotes link to the original and integral publications that are not hosted on the WATHI website. WATHI participates to the promotion of these documents that have been written by university professors and experts.
Un tel obstacle faire toujours baisser l évolution de l Afrique
corruption,véritable obstacle au développement de l’Afrique.Tant quelle excitera, l’Afrique s’enfoncera davantage.
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Accueil Actualité presse écrite L'indicateur Renouveau LUTTE CONTRE LA CORRUPTION : Les femmes et filles s’engagent

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Dans le cadre des activités de la 3e édition de la Semaine nationale de la jeunesse contre la corruption, la Fédération nationale des collectifs et organisations féminines du Mali (Fénacof-Mali) a organisé le vendredi 17 janvier au Palais de la culture une conférence débat sur le thème “les jeunes femmes et femmes face à la corruption en milieu scolaire et universitaire”.
Le thème de cette 3e édition est “les femmes et les filles engagées contre la corruption sous toutes ses formes pour un Mali qui se développe dans la paix et la sécurité”.  Lobjectif, selon les initiateurs de cette conférence débat, est dinviter les femmes et les filles du Mali à refuser et dénoncer les auteurs de la corruption partout où ils se trouvent.
La conférence était animée par Mme Dembélé Oulématou Sow, lancienne présidente de la Fénacof-Mali et actuelle présidente de la Cafo. A ses côtés Me  Badiaga, professeur à lUniversité de droit, Dr. Mahamadou Diouara, professeur de sociologie à la FHSE, et le représentant du projet Juprec, Jean Paul.
Selon Mme Dembélé Oulématou Sow, la corruption est un phénomène constant qui freine le développement de nos Etats et préoccupe la communauté internationale.
“Cest une menace quelle présente pour la stabilité et la sécurité des sociétés, le fonctionnement des institutions, la préservation des valeurs démocratiques et éthiques”, a-t-elle dénoncé. Pour faire face à ce fléau, Mme Dembélé Oulématou Sow ajoutera que “le rôle des femmes et des  jeunes est déterminant. Elle est la mère, lépouse, la fille et à ce titre, elle peut jouer un rôle prépondérant, une fois informée et sensibilisée sur les dangers du phénomène”.
Elle sest engagée au nom des femmes et filles du Mali à recommander aux autorités de donner plus de contenu à la Semaine de la jeunesse contre la corruption.
Pour Me Badiaga, Dr. Mahamadou Diouara, tous ont promis daccompagner les femmes dans cette lutte qui reste une préoccupation de nos  autorités.
“Le sujet soulève plusieurs problématiques, notamment celui du milieu scolaire et celle de la femme ainsi que dans les familles. Pour lutter contre ce fléau, il faudrait que le Mali ait un Etat crédible. Mais cette lutte contre la corruption est inévitable”, a  affirmé M. Diouara.
Adama Diabaté

Accueil A LA UNE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION : Les femmes et filles s’engagent

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Dans le cadre des activités de la 3e édition de la Semaine nationale de la jeunesse contre la corruption, la Fédération nationale des collectifs et organisations féminines du Mali (Fénacof-Mali) a organisé le vendredi 17 janvier au Palais de la culture une conférence débat sur le thème « les jeunes femmes et femmes face à la corruption en milieu scolaire et universitaire ».
Le thème de cette 3e édition est « les femmes et les filles engagées
contre la corruption sous toutes ses formes pour un Mali qui se développe dans
la paix et la sécurité ».  L’objectif, selon les initiateurs de
cette conférence débat, est d’inviter les femmes et les filles du Mali à refuser
et dénoncer les auteurs de la corruption partout où ils se trouvent.
La conférence était animée par Mme Dembélé Oulématou Sow, l’ancienne
présidente de la Fénacof-Mali et actuelle présidente de la Cafo. A ses côtés
Me  Badiaga, professeur à l’Université de droit, Dr. Mahamadou
Diouara, professeur de sociologie à la FHSE, et le représentant du projet
Juprec, Jean Paul.   
Selon Mme Dembélé Oulématou Sow, la corruption est un phénomène constant
qui freine le développement de nos Etats et préoccupe la communauté
internationale.
« C’est une menace qu’elle présente pour la stabilité et la sécurité
des sociétés, le fonctionnement des institutions, la préservation des valeurs
démocratiques et éthiques », a-t-elle dénoncé. Pour faire face à ce fléau,
Mme Dembélé Oulématou Sow ajoutera que « le rôle des femmes et
des  jeunes est déterminant. Elle est la mère, l’épouse, la fille et
à ce titre, elle peut jouer un rôle prépondérant, une fois informée et
sensibilisée sur les dangers du phénomène ».
Elle s’est engagée au nom des femmes et filles du Mali à recommander aux
autorités de donner plus de contenu à la Semaine de la jeunesse contre la
corruption.
Pour Me Badiaga, Dr. Mahamadou Diouara, tous ont promis d’accompagner les
femmes dans cette lutte qui reste une préoccupation de
nos  autorités.
« Le sujet soulève plusieurs problématiques, notamment celui du milieu
scolaire et celle de la femme ainsi que dans les familles. Pour lutter contre
ce fléau, il faudrait que le Mali ait un Etat crédible. Mais cette lutte contre
la corruption est inévitable », a  affirmé M. Diouara.
L’Indicateur du Renouveau du 21
janvier 2019
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Dans le cadre des activités de la 3e édition de la Semaine nationale de la jeunesse contre la corruption, la Fédération nationale des collectifs et organisations féminines du Mali (Fénacof-Mali) a organisé le vendredi 17 janvier au Palais de la culture une conférence débat sur le thème « les jeunes femmes et femmes face à la corruption en milieu scolaire et universitaire ».
Le thème de cette 3e édition est « les
femmes et les filles engagées contre la corruption sous toutes ses formes pour
un Mali qui se développe dans la paix et la sécurité ».  L’objectif,
selon les initiateurs de cette conférence débat, est d’inviter les femmes et
les filles du Mali à refuser et dénoncer les auteurs de la corruption partout
où ils se trouvent.
La conférence était animée par
Mme Dembélé Oulématou Sow, l’ancienne présidente de la Fénacof-Mali et actuelle
présidente de la Cafo. A ses côtés Me  Badiaga, professeur à
l’Université de droit, Dr. Mahamadou Diouara, professeur de sociologie à la
FHSE, et le représentant du projet Juprec, Jean Paul.   
Selon Mme Dembélé Oulématou Sow,
la corruption est un phénomène constant qui freine le développement de nos
Etats et préoccupe la communauté internationale.
« C’est une menace qu’elle
présente pour la stabilité et la sécurité des sociétés, le fonctionnement des
institutions, la préservation des valeurs démocratiques et éthiques »,
a-t-elle dénoncé. Pour faire face à ce fléau, Mme Dembélé Oulématou Sow ajoutera
que « le rôle des femmes et des  jeunes est déterminant. Elle est
la mère, l’épouse, la fille et à ce titre, elle peut jouer un rôle
prépondérant, une fois informée et sensibilisée sur les dangers du
phénomène ».
Elle s’est engagée au nom des
femmes et filles du Mali à recommander aux autorités de donner plus de contenu
à la Semaine de la jeunesse contre la corruption.
Pour Me Badiaga, Dr. Mahamadou
Diouara, tous ont promis d’accompagner les femmes dans cette lutte qui reste
une préoccupation de nos  autorités.
« Le sujet soulève plusieurs problématiques, notamment celui du milieu scolaire et celle de la femme ainsi que dans les familles. Pour lutter contre ce fléau, il faudrait que le Mali ait un Etat crédible. Mais cette lutte contre la corruption est inévitable », a  affirmé M. Diouara.



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