La célébrité a un prix

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Création : 09/04/2009 à 20:24
Mise à jour : 06/05/2010 à 23:44
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Bonjour chère lectrice, Si vous êtes sur ce blog c'est que votre curiosité a eut le dessus sur vous. C'est très bien que serait un auteur sans des lectrices ? Je pense sincèrement qu'il ne serait rien. Bon ce ci est ma troisième fiction, j'espère qu'elle vous plaira, autant que les deux premières, si vous ne les aviez pas lu, je vous invite cordialement à la faire si ça vous tente. Je crois que j'ai fais le tour. Sur ceux bisous. A bientôt. Ps : Si vous avez des question, envoyer moi un message
La vie n'est pas toujours comme on veut. Un jeune garçon qui vit en Allemagne, dans une grande ville comme Berlin, en fera bien l'expérience. Il est âgé de 18 ans. Comme tout les jeunes de son âge, il va au lycée mais pendant ses passes temps, il défile sur les podiums de mode de son village, toujours soutenu par sa moitié, Tom qui est son aîné de 10 minutes. Bill est très grand avec une taille digne d'un mannequin. Il se maquille de noir pour ses yeux et met quelque fois du gloss pour ses lèvres. Il a les cheveux longs ce qui porte quelque fois à confusion. Ses traits de son visage sont très efféminés ce qui rend souvent jaloux les autres mannequins des concours de beauté. Il a toujours rêvé de porter des vêtements de grands couturiers et de pouvoir défiler sur les plus grands podiums du monde. Le 1 septembre, un jour spécial, celui de son anniversaire mais aussi le jour du grand défiler annuel de Berlin. Pleins de gens sera présent à cette cérémonie important, couturier, manager de mode, ... c'est un jour où pleins de jeunes recrue seront embauchés pour faire carrière. Bill veut absolument faire partie de ces jeunes recrues. Heureusement pour lui, un homme d'une vingtaine d'année, le remarque. A la fin du défilé, un contrat est signé. Bill content, saute dans les bras de son frère. Quelques mois passe, Bill doit partir de chez lui pour la collection d'hiver. Mais ce qu'il ne sait pas, c'est qu'il part en laissant une moitié déchirée derrière lui...



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Chapitre 1. Je me réveil doucement. Encore un jour où je ne vais avoir aucune nouvelle de Bill. Enfin si, j'ai des nouvelles de lui, dans les journaux, dans les magasins, à la télé...Je me lève et vais me doucher dans la salle de bain de notre... enfin mon appartement. Et oui Bill ne vis plus avec moi. Il me manque terriblement. Je me rappelle encore du jour du défilé qui était en même temps celui de notre anniversaire. Bill était tellement beau. Aucun mannequin ne lui arrivait à la cheville. Et après il y a eut ce foutu contrat qui a gâché toute ma vie. Il est parti du jour au lendemain et n'est plus jamais revenu. Il ne m'a même pas appeler pour me donner des nouvelle, moi qui les toujours soutenu. De tout façon, je suis sur que son répertoire est tellement bondé de personnes qu'il m'a oublié. Comment il a put me faire ça ? Moi je croyais qu'il serait pas comme tout ces mannequin siliconé de partout qui prenne la grosse tête. Je suis vraiment déçu de lui. Ça fait trois mois que ça dure, le mois de décembre n'a jamais était morbide sans Bill. Je finis de me laver et sors de la salle de bain nu, à quoi bon je suis tout seul. Je m'habille et prends même pas la peine déjeuner. Je pars direction le lycée. C'est cool ce soir on est vendredi et comme tout les vendredi je sors en boite avec Georg et Gustav. Mon lycée apparaît devant moi, qu'il est moche comme lycée. Je n'ai pas le temps de sortir une clope que la sonnerie retentit. Putain elle commence bien cette journée. J'entre en cours de français pour 2 heures. Pff passionnant. La place à côté de moi est vide. C'était celle de Bill. Quand le cours ne nous intéressait pas on parlaient, rigolaient et on se faisait virés pour aller déconner dehors. Son rire cristallin me manque. Je sens un contact mouillé sur ma joue. Je lève les yeux et vois toute la classe me regardais, je sais plus quoi faire. Gustav se retourne vers moi avec une mine dépitée. • Tu veux sortir ? Me demande la prof. Je ne réponds pas et sors en courant. Les larmes dévalent mes joues, je suis à bout. 3 mois que je suis sans nouvelle de lui. Je cours jusqu'à la colline, on aimaient bien quand on était petit venir ici, quand nos parents nous grondés. Je vois le sol pleureur...notre sol pleureur, lui qui est témoin de notre amour et de notre enfance. On aimait bien monter dedans pour se cacher. Je m'assoie au bord du petit lac. Une famille de cygnes y on refuge. Ils sont tellement beaux. Il y en a deux plus précisément. Bill disait toujours qu'ils nous représentaient. Trop de souvenirs ici que je décide de rentrer enfin à mon appartement qui me semble bien vide. J'allume la télé, n'importe quoi à 9h du matin il y a rien à la télé à part les dessins animés pour les gosses de 4 ans. Je vais dans la cuisine et prends un pot de Nutella. Je vais aller sur l'ordi. J'entre dans ma chambre pour aller le prendre mais il n'y ait pas. Où il peut bien être ? A oui c'est vrai je me rappelle. Ça fait trois mois que je n'y suis pas allé donc il doit être dans la chambre de Bill. Je redoute d'y aller. Sans que je puisse faire quoi que ce soit, mes pieds me conduisent devant sa porte. Ma main s'avance tout doucement et enclenche la poignée. Une odeur de renfermer s'échappe de cette pièce, je me ferais mieux d'ouvrir un peu. J'ai pensé plusieurs fois à changer cette pièce en chambre d'amis ou autres mais je m'y suis refusé, j'ai toujours espoir que Bill revient. En plus, cette chambre représente beaucoup de souvenir. J'ouvre les volets, la lumière pénètre dans la pièce, je vois alors tout les prix de beauté, les dessins, les photos de nous deux qui sont accrochés au mur. Dans ce temps là, on était liés comme les deux doigt de la main. Jamais sans l'autre. Ça y est ça recommence, je pleure de nouveaux. Depuis que Bill est partit, le Tom protecteur s'est transformé en Tom le sensible. Il n'y a pas une journée où je ne pleure pas. Je prends l'ordinateur et sors de cette pièce qui me brise le cœur avec ces souvenirs. Je l'allume en me posant sur le canapé. Je connecte sur MSN ! Un peu normal qu'il n'y ait personne ils sont tous en cour. Je regarde l'heure en bas de l'écran, 11h30 ! Putain déjà. Le temps passe vite, comme la vie. Il faut la savourer mais moi j'en ai plus le goût. Une partie de moi est morte. J'entends sonner à la porte, je pose l'ordi portable sur la table basse et me dirige vers la porte. J'ouvre et la je vois les GG. De vrais amis cela, toujours là pour moi depuis que Bill est parti. Je laisse entrer et pars m'asseoir sur le canapé après avoir poser l'ordi sur la table du salon. Les GG ne tardent pas à me rejoindre. • Ça va ? Me demande Gustav. • On peut dire ça comme ça. • Pourquoi tu pleurais ce matin ? • Bill. Il ne dise plus rien. Georg change de sujet et nous raconte ses « blagues » marrantes. Moi je n'est plus envie de rire, enfaîte je n'est plus envie de rien. Le soir arrive vite. Les deux GG ont commandé des pizzas. On mange tous et on se prépare se soir, on va en boite. Je vais boire comme tous les vendredi soir et peut être qui sais, je vais peut être ramené quelqu'un pour me sentir moins seul. Georg a le permis, c'est cool ça. On arrive devant la boite. La musique résonne tellement fort qu'on l'entend de dehors comme si on y était dedans. On s'approche et comme d'habitude le videur nous laisse entrer. Faut dire qu'on est des habitués. On pose nos veste au vestiaire et rentrons dans la boite. Putain c'est bondé de monde. Des meufs et des mecs sexy dansent des collés serrés. Ça me donne envie de danser ça. Oui, je suis Bi. Et alors ? Ça vous pose un problème. Pas moi. On va s'asseoir à notre banquette habituelle et tout de suite une belle brune vient se coller à moi. Je passe mon bras autour de ses épaules. Sans que je ne le voie arriver, on se retrouve à danser sur la piste de danse. Elle se tourne de façon à coller son fessier à mon entre jambes qui commence à être en ébullition. Je pose mes mains sur ses hanches et commence à l'embrasser dans le cou. On danse et on danse. Les heures passent super vite. Vers quatre heures du matin, on décide tous de partir. Moi avec la brune dont j'ai retenu le nom et Georg au bras d'un blonde au seins siliconé mais bon il l'est aime comme ça. Gustav lui a eut quelque numéros mais pas de conquête. Ils nous déposent devant mon appart. Elle commence à m'embrasser dans le coup dans l'ascenseur. Je la plaque contre la paroi en fer. Elle passe ses jambes autour de ma taille. Les portes s'ouvrent, je la porte jusqu'à la porte où je la repose par terre. Une fois rentrer dans l'appartement, on va vite dans ma chambre. Une fois que je me suis retourné après avoir fermer la porte, je me retrouve en boxer. Ok elle est très forte. Je la déshabille. On est maintenant nu l'un contre l'autre, je nous jette sur le lit. Après avoir mis un préservatif, je la pénètre sans douceur et débute de vas et viens brutaux. Apparemment, elle n'a pas l'air d'être déçu puisqu'elle hurle comme une chienne et qu'elle s'agrippe au fauteuil. Au bout de quelques minutes, je me délivre enfin en elle. Je me retire, me couche sur le côté. Elle s'est endormie. Et ben dis donc c'est ce qu'on appelle pas tenir le sexe. Je n'ai pas envie de dormir. Je me lève et pars prendre une douche, je suis tout en sueur. L'eau tiède coule sur mon corps chaud à cause de mes ébats. Ça fait du bien, je peux vous le dire. Je sors quelque minutes après de la douche, m'enroule la taille à l'aide d'une serviette. Je rentre dans ma chambre, me mets un boxer et range mes affaires qui traînaient sur le sol. Je me glisse ensuite sous la couette et regarde le plafond mais si j'y vois rien avec le noir. Je sens mes paupières lourdes comme mon esprit. Je sens le sommeil me prendre. Je m'endors en pensant à une seule personne...Bill.



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Chapitre 2. On est en juin et encore un jour sans Bill. J'en ai vraiment marre de cette vie. Mes parents me soutiennent comme il peut mais Bill me manque. Si vous savez comme je suis tellement en colère contre lui. Quand on était petit, je lui avais juré que je ne l'abandonnerais jamais et que lui aussi. Mais il n'a pas tenu sa promesse, il m'a trahit. Je lui en veux terriblement pour ça. 8 mois que je vis seul. La célébrité à un prix, oui en effet, sa célébrité me détruit à petit feu de jour en jour. J'aimerais tellement pouvoir revenir en arrière pour l'empêcher de signer ce foutu contrat. Vous me trouvez égoïste ? Peut être mais vous savez sûrement pas la douleur et le vide que je ressens au plus profond de moi. Comment il a put m'oublier ? Je soupire, que faire de plus. Je tourne ma cuillère dans mon café depuis tout à l'heure que je suis levé. Je me décide enfin de boire ce breuvage amer, lave ma tasse et monte dans ma chambre pour aller prendre des vêtements propres. Heureusement que j'ai une salle de bain intégrée dans ma chambre, j'entre dans la cabine de douche, me lave vite fait et sors avec une serviette blanche enroulée autour de la taille. Je retourne dans ma chambre pour m'habiller. Aujourd'hui, on est jeudi mais on a pas cours, j'en ai donc profité pour faire la grâce matinée parce que depuis 8 mois, je ne dors plus ou presque. Il est maintenant 12h, je vais passé l'aprèm avec mes parents. Eux, au moins ne m'ont pas abandonné. Je monte dans mon bolide. Une Cadillac flambant neuve. Je me l'ai acheté pour mes 18 ans. Faut dire que ma famille est assez aisée. Enfin bref. Me voilà enfin devant la maison de mes géniteurs. 30 ans de mariage ce n'est pas beau ça. J'entre dans l'immense demeure et trouve ma mère dans le salon avec mon père entrain de lire son journal. Ils captent ma présence, je vais faire un bisou à ma mère et à mon père. Je m'assoie sur le canapé et croise les bras. • Comment tu vas Tom ? Demande mon père en changeant de page. • Toujours aussi seul mais bon et vous ? • Ça va ! Au faite Tom, tu n'es pas en cour ? Répondit ma mère toute souriante. • Non aujourd'hui tous mes profs étaient absents, sûrement à cause de la grève. • Ben c'est cool tout ça ! Ça vous dit un petit resto en famille. Mon cœur se sert à ce mot. « Famille » ça fait bien longtemps que nous n'en sommes plus une, depuis son départ plus précisément. J'hoche la tête positivement, ma mère reproduit mon geste et part se préparer, je continue de discuter de tout et de rien avec mon père. Quelques minutes plus tard, ma mère apparaît toute belle dans le salon et nous dit qu'on peut y aller. Mon père et ma mère montent dans ma voiture, ça sera plus facile pour le retour, j'aurais juste à les déposer. Je me gare devant le resto préféré de papa, il faut dire que le service et la nourriture est de très bonne qualité. Pour ma part, c'est pâtes à la bolognaise. J'adore ce plat, c'était celui de Bill aussi. Faut que j'arrête de penser à lui. Je le déteste autant que je l'aime. Ma vie s'était lui et maintenant je vis qu'a moitié. Nôtres nourritures arrivent vite, on mange tranquillement, je sens alors mon portable vibré dans ma poche. Je dis aux parents que je sors dehors pour téléphoner. Une fois ceci fait, je regarde l'écran de mon portable qui affiche « Georg ». • Allo ! Dis-je. • Tom, c'est Georg, j'ai appelé le bahut et il m'ont dit que demain il y avait encore grève à cause de la suppression d'emploi de certain prof. • Ok ! Mais quelque chose me dit que tu m'appelles pas que pour ça. • Oui en effet. Ce soir je fais une fête chez moi, avec plein de monde et bien sur tu es invité. Une fête sans toi, ce n'est pas une fête. • Ok je viendrais, rendez vous à quel heure chez toi ? • Ben Gustav et le reste vont venir m'aider à tout préparer cette aprèm, si tu veux venir tu es le bienvenue sinon c'est rendez vous à 20h. • Ok bon je te laisse. Bisous. • Bisous. Je raccroche. Avant c'est vrai j'étais le roi de la fête. Je m'étais l'ambiance mais maintenant je n'ai pas trop le moral à ça. Avant mon complice était Bill, tout les deux, on m'était une ambiance de folie. Maintenant que je suis seul, ce n'est plus pareil. La vie change et les personnes à qui ont tient aussi. Je sais que mes parents, les deux GG et la bande pense souvent à Bill comme moi d'ailleurs. Ils essaient de faire comme si de rien n'était alors que c'est tout le contraire, ils veulent rester fort pour moi. Je rentre de nouveau dans le resto. Je ne finis pas mon assiette de toute façon, j'ai plus faim. On demande l'addition, je vais pour sortir mon porte feuilles, mais une main se pose sur mon bras. • C'est pour moi ! Me dit mon père avec le sourire. Il paye. Vous savez avec mon père, il ne faut pas discuter argent, sinon c'est la troisième guerre mondiale. Nous montons tous dans ma voiture et nous roulons vers la maison des Kaulitz. Mon père me dit de les déposer devant le portail, ce que je fais. On se dit au revoir et me voilà de nouveau seul. Je rentre chez moi, je me prépare pour la fête ce soir. Je viens juste finir de me préparer, je regarde ma pendule dans le salon, bon 16h30. Je crois que je vais aller aider les mecs pour la fête. J'attrape les clés, ferme l'appart et me voilà enfin sur la route. Les parents de Georg sont aussi bien friqués et il vit encore chez eux à 21 ans. On peut dire que c'est un peu Tanguy. Sa maison apparaît devant moi. Je me gare, à ma place habituelle. Et entre dans la maison. Les mecs me voient et viennent me saluer. On parle quelque peu et commençons à tout ranger les objets fragiles, à mettre en place tout comme il faut. Les heures passent, on rigolent, on parlent, on fait tout simplement les cons. C'est quand même bien de se retrouver entourer par ses amis. Depuis quelque temps, j'ai envie de rester seul, cloîtrer chez moi sous la couette. Comme si tout les gens que je croisais dans la rue pouvaient lire en moi comme dans un livre ouvert. Une seule personne pouvait le faire mais elle n'est plus là, elle m'a abandonné, elle m'a laissé tout seul. Si vous saviez le mal que j'ai au fond de moi, il est indescriptible. Mon cœur est oppressé, il étouffe. Les invités arrivent par groupes. Les belles filles arrivent par dizaine. Curieusement elle ne me donne pas trop envie. Enfin bref. La musique résonne en dehors de la propriété, des filles en bikini dansent d'une façon très provocante autour de la piscine. Je commence à boire. De toute façon, une fête de Georg sans alcool, ce n'est pas une fête de Georg. En parlant de lui, il est où ? Je rentre dans le salon qui s'est transformé en boite de nuit et le voit entrain de tripoter une blonde au gros sein sur son canapé. On peut dire qu'il perd p
Il n'y a plus rien à faire, je suis déjà à quatre pattes pour lui
Baise spectaculaire au bureau
Fille française me donne sa fraise

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