La bonne veut le pénis de son demi-frère

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maell95



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 Maell95 -
21 juil. 2019 à 20:19


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20 juil. 2019 à 22:31


Maell95
21 juil. 2019 à 20:19




Bonsoir,

Je lui ai expliqué durant l’aprem et il a était complètement réceptif. Il m’expliquer que « Je voulais découvrir et voir ce que ça faisait avec un autre gars ». Au moins il a était franc.

Après, je ne pense pas que l’on regrette les faits. C’est mon frère et pas le voisin. Et on a déjà vécus énormément de choses ensembles.

Au moins il s’est fait plaisir ^^

A voir durant les jours qui viennent comment il va réagir et s’il va m’en reparler



cindycalypso - 22 mars 2015 à 13:01

^^Mârïe^^ - 22 mars 2015 à 14:27


A - 14 janv. 2020 à 13:54

begonie - 15 janv. 2020 à 13:32


Emilie - 18 févr. 2020 à 22:45

joraline - 18 févr. 2020 à 23:23


Adhanael - 1 août 2018 à 17:52

Andy31200 - 2 août 2018 à 09:37


Anonyme - 14 juin 2020 à 19:13

begonie - 9 mars 2021 à 16:28


Estelle - 20 juin 2018 à 19:49

begonie - 21 juin 2018 à 05:47

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(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
À l'âge tendre de 8 ans, j'avais eu le triste malheur de perdre ma mère adorée. Papa, veuf pour la deuxième fois, possédait d'un premier mariage un garçon âgé de 16 ans. Mon affection, si éprouvée par cette tragique disparition, se tourna donc exclusivement vers les deux hommes de ma vie, ma seule famille désormais. J'aimais Papa, j'adorais Serge, mon demi-frère si gai, si doux. Maman l'avait chéri comme sien, bien qu'elle ne fût que sa belle-mère, et sa mort l'avait affecté autant qu'elle m'avait déchiré. Mais il avait dompté sa peine et m'avait choyé, entouré, et ce d'autant plus que mon père, écrasé par ce coup du sort, était devenu taciturne et quelque fois même brutal.

En pâtissait surtout mon frère, pour des raisons qui m'échappaient. Les querelles devenaient violentes, Serge recevait coups sur coups, se rebiffait sous les injures dont notre père l'accablait.

— Tu crois que je vais tolérer ça ? hurlait Papa, blême de rage. Tu n'es qu'un sale dégénéré, un rebut de la société. Que je revoie avec ce type, je te ferai passer le goût du pain !

— Je n'y peux rien, c'est ma nature, se défendait mon demi-frère, essayant de parer les coups. Tu auras beau dire et beau faire, on n'échappe pas à son destin. Est-ce que je m'occupe de ta vie ? Laisse-moi libre de la mienne.

Sur ces mots les coups redoublaient et Serge, meurtri, ulcéré, s'en allait pleurer dans sa chambre. Pour moi, j'étais bouleversé. Je ne comprenais rien à ces scènes, sinon que mon frère adoré était battu et injurié pour une cause qui m'échappait. J'aurais voulu lui être utile, l'aider et raisonner Papa, mais celui-ci me rembarrait avec sa violence habituelle.

— Ferme-la, c'est pas tes oignons, tu es trop jeune pour comprendre.

Non, je ne comprenais rien du tout, sinon que Serge fréquentait quelqu'un de peu recommandable. Ce type, je croyais l'avoir vu : un homme jeune, dans la trentaine, mais vieux pour moi évidemment, comme l'étaient tous les adultes. Or précisément cet adulte était venu à la maison un jour, en l'absence de mon père qui travaillait dans une boutique, étant vendeur en quincaillerie. Ils étaient allés dans la chambre que je partageais avec Serge. Mon frère m'avait dit gentiment :

— Ce monsieur est mon prof de maths, il m'aide à faire mes exercices. Tu ne nous dérangeras pas, promis ? Ça durera une petite heure. Tu ne diras rien à Papa, je veux lui faire la surprise d'une note excellente en maths, car tu sais que c'est mon point faible.

J'avais promis et attendu. Quand tous les deux étaient sortis, mon frère avait l'air tout joyeux et le monsieur lui avait dit, passant sa main sur mes cheveux :

— Il est sympa, ton petit frangin. Tu crois qu'on peut lui faire confiance ?

— J'en suis sûr, Louis, il se taira. Nous sommes très proches l'un de l'autre et il ne m'a jamais trahi. Pas vrai, Lilian ?

Je répondis "Croix de bois, crois de fer", formule que j'avais découverte dans mes lectures du Club des Cinq, et qui me semblait admirable. Serge me serra contre lui, posa un baiser sur ma joue.

— Dans ce cas, opina l'adulte, s'exprimant sur un ton sérieux, chaque jeudi après-midi nous renouvellerons la séance. Serge a besoin de progresser, mes cours lui sont indispensables.

Serge parla à son oreille et le professeur s'esclaffa, et moi je ris de le voir rire. Le second degré m'échappait, j'avais 8 ans et j'étais loin de soupçonner quelles diableries deux homos peuvent manigancer. La notion même de libido m'était totalement étrangère. Quand ma quéquette durcissait, j'attendais, sans m'interroger sur cette bizarrerie fréquente, de retrouver l'état normal. Les mots BANDER et SE BRANLER n'étaient pas du vocabulaire des écoliers de CE2. Tout au plus les mots BITE et COUILLES, entendus pendant la récré lors de secrets conciliabules entre des grands de CM2, me paraissaient-ils sulfureux puisqu'on les disait à voix basse et riait aux éclats ensuite. Exactement comme Serge et Louis venaient justement de le faire. Parlaient-ils de bite et de couilles ?

Une grande envie me tarauda d'interroger le soir mon frère quand chacun regagna son lit, mais une pudeur instinctive arrêta les mots sur mes lèvres. Une pudeur que partageait Serge. Jamais de propos graveleux ni de mouvements équivoques. Sans doute la différence d'âge y était-elle pour quelque chose. Bien qu'occupant la même chambre, je ne l'avais jamais vu nu. Pour enfiler son pyjama, il posait ses fesses sur sa couche, se trémoussant pour dérober son anatomie aux regards. Ma curiosité d'enfant ne serait ainsi satisfaite que quelque huit années plus tard, quand commence vraiment mon histoire.

En effet, à 49 ans, Papa mourut en quelques heures suite à une rupture d'anévrisme. Je me retrouvai orphelin. J'avais 16 ans, Serge 24, mais il avait, dès 18 ans, quitté la maison familiale parce que notre père le battait. Leur relation, jamais bien bonne, s'était encore détériorée. En dépit de l'interdiction, Serge continuait "à voir le type", Papa en était convaincu bien qu'il ne l'eût jamais surpris. Son intuition était fondée. Chaque jeudi après-midi, le prof se pointait à 16 heures, Serge s'enfermait avec lui pour travailler ses exercices et ça durait parfois longtemps. J'avais honoré ma promesse et conservé ce grand secret. Pourtant plusieurs choses m'intriguaient. Les progrès en mathématiques tardaient à se manifester, les notes restant catastrophiques. D'autre part, les cours se passaient dans une obscurité totale car Serge fermait les volets tout le temps de leur tête à tête. Pas très commode pour étudier. Peu de temps avant mes 10 ans, j'eus le fin mot de cette aventure.

Située au rez-de-chaussée (la maison n'avait pas d'étage), la chambre ouvrait sur le jardin. Sous la fenêtre un petit banc faisait face à des lauriers-roses, et je m'y asseyais parfois. C'est ce que je fis ce jour-là, mon livre d'histoire à la main. À peine assis, un bruit étrange me parvint, un bruit de succion, de baisers, et puis des mots prononcés bas : "grosse bite... salaud... mets-la moi..."

Ce fut une révélation. J'étais maintenant en CM2, je savais le sens de ces mots car je faisais partie des grands dans la cour de récréation. Là se construit la connaissance, empirique, un peu fantasmée, de la sexualité adulte. On y parlait de CUL, de CHATTE, de GOUINE et aussi de TANTOUZE, injure utilisée souvent, un peu à tort et à travers, pour désigner ceux qui par jeu comparaient leur bite aux toilettes. Serge et Louis étaient des tantouzes, cela ne faisait aucun doute. Accablé par cette découverte, je fermai mon livre et m'enfuis. Quand ils sortirent de la chambre, je me cachai et j'observai. Se croyant seuls ils échangèrent, au moment de se séparer, un long baiser avec la langue.

C'était quelques semaines avant que Serge fête ses 18 ans. J'avais subi un choc terrible. Je tâchai de n'en rien montrer, mais ma relation avec lui ne serait plus jamais la même. Le dégoût éprouvé par moi se mêlait de curiosité, d'un intérêt renouvelé pour cet inconnu que j'aimais et dont je savais si peu de chose. Trois choses surtout surtout me fascinaient. La "grosse bite" était-elle la sienne ? Est-ce que le "salaud" c'était lui ? "Mets-la moi" surtout m'intriguait. Mettre quoi, où ça, et comment ? Ma connaissance à peu près nulle de la sexualité homo débouchait sur un grand mystère. Je savais le mot ENCULER, mais je n'en savais pas le sens. Me l'eût-on alors expliqué, je n'aurais pas cru une seconde qu'on puisse mettre une bite dans ce trou, pas plus que je ne croyais vrai qu'une femme accouchât par sa chatte. Bref, j'étais complètement paumé.

Mes nuits surtout s'en ressentaient. Avoir près de moi ce grand frère rendait mon sommeil moins profond. Je pensais souvent à sa bite et ma quéquette durcissait. Était-elle très grosse, sa bite ? Enfin, bandait-il comme moi ? Je ne m'endormais plus aussi vite. J'épiais, dans le silence nocturne, les bruits qui venaient de son lit. J'entendais sa respiration, came au début, puis saccadée, un râle, et puis retombait le silence. J'ignorais qu'il se masturbait.

Un soir, rentrant de son travail, Papa alla droit à mon frère, puis le saisissant au collet, lui dit d'une voix pleine de colère :

— Je sais tout, sale petit pédé, tout, tu m'entends, espèce de fiotte !

— Et tu sais quoi exactement? demanda Serge, le visage blême.

— Tout ce qui se passe dans cette maison chaque jeudi après-midi. Je sais que tu te fais fourrer par ce type que je t'ai interdit de voir.

— Tu te trompes, dit mon demi-frère, essayant de se dégager.

— Tu oses nier que tous les jeudis tu ne le reçois pas dans ta chambre ? Notre voisin t'a dénoncé.

— Je le reçois, mais c'est moi qui fourre, répondit Serge calmement. Maintenant, lâche-moi, tu m'étrangles.

Papa eut un rugissement. Une grêle de coups s'abattit sur la tête de mon pauvre frère. Je regardais, épouvanté.

— Maintenant, file dans ta chambre, fais ta valise et fous le camp. Si t'es encore là dans une heure, je te mets la tête au carré. Tu es la honte de la famille, et quel exemple pour Lilian ! Pauvre gamin, s'il tourne mal, tu sauras qui en est la cause.

Moi je pleurais à chaudes larmes. Serge ne mit que 15 minutes pour faire son sac, puis il partit. Je ne revis mon demi-frère que six longues années plus tard quand la mort foudroya mon père. Il n'assista pas aux obsèques mais je fus sitôt informé que sa maison m'était ouverte. J'ai préféré aller chez lui plutôt que chez ma vieille grand-mère. Elle est chiante et elle sent mauvais, et puis j'idolâtre mon frère.

Nous sommes en 2017 et maintenant je vis chez Serge. Il a son logement à lui après avoir passé six ans chez une tante, soeur de sa mère. Il m'a recueilli aussitôt car je n'ai pas d'autre famille. Il partage son petit appart avec Louis Levert, son amant. C'est le même homme qui, il y a six ans, a bouleversé notre vie. Je le hais autant que je peux mais je ne laisse rien paraître. J'évite juste de le regarder. Où irais-je en cas de dispute ? Mon frère en est fou amoureux et n'envisage sûrement pas de me choisir plutôt que lui. En réfléchissant à la chose, je me dis que je suis jaloux. Jaloux ? Pourquoi ? Je n'en sais rien. À 16 ans on ne se connaît pas, on est en pleine transformation. Le corps a certaines exigences et l'esprit ne suit pas toujours.

J'avais une petite amie. Elle me suçait quelquefois, mais pourquoi, dans ces moments-là, pensais-je à la bouche de Serge en train de pomper son amant ? Ça me répugne et ça m'excite, je me branle en pensant à eux, mes draps sont cartonnés de sperme. J'imagine Serge enculant Louis, je sais que mon frère est actif. D'ailleurs, ne l'a-t-il pas admis face à notre père ce soir-là, ce même soir où il est parti en quinze minutes avec son sac ? C'est normal, c'est le plus viril. Foutaise, diront les homos, de frêles tapettes baisent des musclors. C'est certain, mais mon jugement ne s'appuie que sur des clichés car je n'ai aucune expérience.

Ce cliché se révèle exact en ce qui concerne mon frère. Son visage mâle, son corps puissant, s'opposent de façon radicale aux traits fins et au corps délié de Louis, son partenaire de baise. Leur physionomie cependant possède en commun une douceur qui se réfugie dans leurs yeux chaque fois que leur regard se croise, et cette douceur me rend fou. J'exècre surtout le moment où, après m'avoir dit bonsoir, ils se retirent sans leur chambre, me laissant tout seul et frustré. Car si je partage leurs jours, leurs nuits n'appartiennent qu'à eux. Mon imagination s'enflamme, je songe à leurs sexes bandés, aux caresses qu'ils vont partager. Être le voyeur de leurs nuits, j'en aurais honte mais j'en rêve. Je sais comment y par
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