La bonne institutrice

La bonne institutrice




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































La bonne institutrice


法语角
法语课程
每日一句
词典
语法
听力
题库
文库
说法语
交友




讨论区
幽默



更多 Refer


法语国家
法语谚语
法语系
法语姓名
留学



登录 注册


声明:双语文章中,中文翻译仅代表译者个人观点,仅供参考。如有不妥之处,欢迎指正。本内容为法语角原创翻译,转载请注明出处为法语角。



Pédagogie
Les qualités pédagogiques du bon enseignant


© Copyright 2022, Tous droits réservés 

Veuillez désactiver Adblock sur votre navigateur. Merci
Le profil du bon enseignant comporte de nombreuses qualités innées et acquises. Parmi ces dernières, les qualités pédagogiques doivent avoir une importance accrue car elles influencent grandement l’atmosphère d’une classe et par conséquence la performance de l’élève.
Certes, cela suppose un travail pré-pédagogique, pédagogique et post-pédagogique. Il s’agit d’abord de savoir programmer une progression à long terme en fixant à moyen terme des objectifs précis qu’il faut formuler de façon aussi claire et intelligible que possible pour les élèves. Tout enseignant se doit d’apprendre à construire des séquences d’apprentissage. Ensemble complet de séances d’enseignement qui s’articulent autour d’un thème et aboutissent à une évaluation finale. Il convient également d’expliquer le pourquoi et le comment de l’approche pédagogique choisie. Informer les élèves sur ce qui est attendu d’eux est une nécessité.
Parmi ses qualités pédagogiques , l’enseignant se devra d’être cohérent dans sa démarche. Notamment en veillant à l’adéquation des savoirs et savoir-faire développés avec les objectifs généraux poursuivis ainsi qu’avec les évaluations choisies. Trop souvent, on entraîne les élèves à comprendre et à parler, mais au moment de les évaluer, on leur impose seulement des tâches écrites. En tant qu’enseignant responsable d’une classe, on n’oubliera pas non plus de clarifier les critères d’évaluation dont on se servira pour mesurer les progrès de tous les élèves. Si ces exigences de clarté et de cohérence respectées, il en résultera un effet sécurisant et structurant pour de nombreux élèves. Tout ceci contribuera à établir dans la classe une atmosphère stable, favorable à l’apprentissage car ne réservant pas de mauvaises surprises aux élèves.
Toutefois, il ne faudrait pas croire qu’une préparation de cours soignée est en soit une panacée. Il faudrait plutôt la considérer comme une aide précieuse dans des situations où l’imprévu fait partie du quotidien. Bien sûr, les enseignants ne sont pas recrutés sur leur aptitude à faire face à l’imprévu, à improviser ou à inventer de nouvelles solutions face à des problèmes inédits. Mais leur formation peut leur permettre d’acquérir ces aptitudes.
L’enseignant veillera aussi à impulser un rythme aux séances d’apprentissage par l’alternance des tâches et des activités, ce qui est d’autant plus important que l’élève est plus jeune. Cette alternance permet de stimuler et l’attention et la motivation. Attention et motivation seront également activées par un choix judicieux de documents proposés aux élèves. L’enseignant, ayant des qualités pédagogiques, accordera un soin tout particulier à la qualité, la variété et l’adaptation des documents au public concerné. Ils ne peuvent être le fruit du hasard. Rien n’oblige un enseignant à se contenter de travailler jour après jour avec ses élèves le contenu d’un manuel que d’autres peuvent avoir choisi. Les documents ne manquent pas, du pur didactique aux documents authentiques des plus variés: affiches, extraits de romans, dépliants publicitaires, extraits de programmes.
La liberté de choix de l’enseignant est grande, sa responsabilité aussi. À lui de sélectionner ce qui convient le mieux à sa classe a un moment donné de l’apprentissage. Il doit savoir qu’un bon input facilite l’acquisition inconsciente des données. L’attention étant alors centrée sur le contenu et non pas sur la forme du message.
En effet, il importe que l’enseignant s’efforce de créer des situations propices à l’apprentissage et donne des possibilités de mise en œuvre des connaissances afin de favoriser le développement de l’autonomie de l’élève.
Le schéma classique de l’acte d’apprentissage se divise en trois temps forts: phase de repérage, phase d’assimilation, phase de transfert. Il est bien évident que, notamment pour la deuxième phase, toutes les activités proposées ne peuvent être communicatives. Souvent, des activités pré-communicatives précèdent des activités communicatives. Les premières, très répétitives, mettent un travail de précision (phonologique, fonctionnel, structural. . .) indispensable à certains moments de l’apprentissage. L’alternance d’activités pré-communicatives et communicatives permet de travailler sur les différentes composantes de la compétence de communication.
Peu importe la quantité d’informations échangées, ce qui compte, c’est l’existence d’un enjeu. Il faut qu’il y ait un déficit d’information à combler (information gap). Ou, si les mêmes informations partagées par les interlocuteurs, un déficit d’opinion qui devient alors l’enjeu de la communication. Même au tout début de l’apprentissage, de telles activités sont possibles. Les jeux communicatifs sont une façon de faire communiquer les élèves malgré les limites de leurs connaissances.
Par exemple, les élèves doivent simuler un interrogatoire dans un commissariat, les uns étant des suspects, les autres des policiers. Les seconds posent des questions, les autres répondent. Si les élèves policiers connaissent quelques questions, très vite ils demanderont la possibilité d’en exprimer d’autres, qu’il faudra introduire. Et travailler un certain temps avant que l’interrogatoire ne reprenne. De même, pour répondre aux questions, les suspects seront sans doute à court de vocabulaire qu’il faudra aussi leur fournir dans une phase intermédiaire. La démarche est séduisante. Mais elle implique un tel changement dans les représentations et les pratiques du maître et des élèves.
Ici, il s’agit de renforcer la mémorisation de façon délibérée. Mais pour éviter aux élèves des reprises trop semblables qui, du fait de leur monotonie, finiraient par ennuyer les élèves. On peut, tout en gardant à l’esprit la notion fondamentale de nos jours de progression en spirale, proposer aux élèves:
Ces répartitions ont l’avantage de permettre de ne pas travailler seulement sur des unités minimales de contenus d’enseignement et de prendre en compte l’articulation des micro-unités.
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
[…] L’approche constructiviste de l’apprentissage Jean...
c'est une blague cette réponse? Dans l'article même, vous me...
Ah là, Madame, vous ne donnez pas de "règles.claires". "Il f...
De plus en plus d enfants avec des ta, seuls a la maison dev...
[…] construction d’un modèle mental de la situation ém...

BienEnseigner © Copyright 2022, Tous droits réservés 
Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience . Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez refuser si vous le souhaitez.
Accepter En savoir plus
This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these cookies, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities ...

Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. This category only includes cookies that ensures basic functionalities and security features of the website. These cookies do not store any personal information.

Any cookies that may not be particularly necessary for the website to function and is used specifically to collect user personal data via analytics, ads, other embedded contents are termed as non-necessary cookies. It is mandatory to procure user consent prior to running these cookies on your website.
Être un bon enseignant est le rêve de chaque membre du corps enseignant. Mais qu’est-ce qu’un bon enseignant ? Et qu’est-ce qui différencie un meilleur prof des autres professeurs? En d’autres termes: quelles sont les qualités d’un bon enseignant?
Vous trouverez ci-dessous les qualités et les caractéristiques d’un bon enseignant, dont certaines vous sont certainement très familières. Jetez un coup d’œil et voyez ce que vous en pensez.
La confiance d’enseigner peut signifier un certain nombre de choses : cela peut aller de la confiance dans les savoirs que les profs enseignent à la confiance en leur capacité à maîtriser le processus d’enseignement et d’apprentissage en général. De plus, une bonne gestion de classe est aussi importante pour améliorer la confiance en soi. Bien que ces deux « révélations » (et bien d’autres) soient importantes, la confiance la plus critique qu’un enseignant puisse éprouver est beaucoup plus générale et plus difficile à décrire que cela.
La confiance en soi, c’est avoir confiance en sa capacité de faire un bon travail, d’aider les élèves à s’améliorer, d’agir d’une façon positive, de s’adapter aux nouvelles méthodes d’enseignement . C’est également avoir conscience de sa valeur et de son utilité dans la société.
C’est la conscience que vous avez de savoir que vous êtes au bon endroit pour faire ce que vous voulez faire, et que peu importe ce qui se passe, disposer de ce temps pour le passer avec ces jeunes apprenants sera bénéfique, à la fois pour eux et pour vous. pour les élèves, il est clair que les enseignants dégagent ce sentiment. Travailler dans les écoles peut être difficile et stressant, mais aussi – et heureusement –extrêmement gratifiant. Mais si vous n’êtes pas sûr d’être au bon endroit lorsque vous enseignez, c’est que vous ne l’êtes probablement pas.
Avoir une certaine expérience de la vie en dehors de la salle de classe et en dehors du domaine de l’éducation est inestimable pour placer l’apprentissage en contexte en rapport et garder les activités scolaires en perspective. C’est l’une des qualités nécessaires d’un bon enseignant. Les profs qui ont voyagé, travaillé dans d’autres domaines, pratiqué des sports de haut niveau ou vécu un certain nombre d’autres expériences de vie apportent à la profession des perspectives autres que celles de l’« enseignant » théorique. De la compréhension de l’importance cruciale de la collaboration et du travail d’équipe, à la capacité de répondre à la question mathématique intemporelle « quand allons-nous utiliser cela ? », les enseignants qui ont consacré beaucoup de temps et d’énergie à des activités alternatives arrivent dans la profession avec une compréhension approfondie de la place de l’école dans le tableau plus large de la vie.
Pour que les élèves cherchent à s’améliorer, il faut bien sûr qu’ils soient motivés. Et pour susciter cette motivation chez eux , on doit leur permettre d’agir comme les acteurs principaux ; leur rôle n’étant pas de recevoir de l’information comme dans une activité d’enseignement (par exemple, un exposé), mais de se servir de la matière apprise pour résoudre des problèmes ou encore, d’effectuer les exercices proposés par l’enseignant.
De plus, chaque élève ayant un ensemble d’intérêts différent, chaque élève aura un ensemble de motivateurs différents en conséquence. De nombreux élèves (ou la plupart) pourront concilier leurs propres perspectives et ambitions avec ce qui se passe dans la classe et en tirer la motivation suffisante pour avancer. Malheureusement, certains élèves s’appuieront aussi simplement sur des motivations externes. Le pire, c’est que nous avons tous rencontré des étudiants qui n’arrivent pas à trouver de relation entre ce qui les motive et ce qui se passe dans la classe autour d’eux.
Ces étudiants courent le risque de se désengager complètement. C’est là que l’enseignant principal se doit de connaître chacun de ses élèves pour l’aider à contextualiser le travail qu’il fait et lui permettre de se connecter avec quelque chose faisant partie de son domaine d’intérêt. Les enseignants qui ne peuvent pas aider les élèves à établir cette connexion doivent reconsidérer ce qui se passe. Après tout, quel est le point de travail auquel un étudiant ne trouve aucun intérêt et pour lequel il ne peut faire aucun lien ?
Oui, tous les professeurs sont des héros. Passons maintenant au-delà de la platitude pour voir ce que cela signifie vraiment. Certains enseignants ont encore du mal à montrer leur vulnérabilité de faillibilité. Ces enseignants dépenseront énormément d’énergie pour cacher le fait qu’ils sont frustrés par quelque chose, qu’ils sont bouleversés ou peut-être même en colère. Pourquoi ? D’autres enseignants sont liés par des logiques internes pour éviter d’admettre « Je n’ai aucune idée de la réponse à votre question ». Mais parmi les qualités d’un bon enseignant est qu’il se connecte véritablement avec les élèves, et n’a pas peur de montrer des émotions en classe, et qui peut admettre en toute humilité qu’il n’estt pas les dépositaires de toutes les connaissances.
Bien sûr, personne ne veut être un professeur rabat-joie en classe, mais quelle meilleure façon d’enseigner l’empathie que de proposer aux élèves quelqu’un avec qui sympathiser lorsqu’ils démarrent une mauvaise journée ? Quelle meilleure façon de favoriser la collaboration et d’enseigner que d’admettre qu’il est normal de ne pas savoir quelque chose et de dire à ce moment-là : « Je ne sais pas, découvrons ça » ?
N’insistons pas sur ce point. Après tout, beaucoup d’encre (ou de pixels selon le cas !) a déjà coulé sur ce sujet. Au fil du temps, l’affirmation : « mais je ne suis pas très bon avec _________» (remplissez le vide avec un nombre quelconque d’appareils technologiques) ressemble de plus en plus à : « mais je ne suis pas très bon avec un téléphone ».
Le seul moment où le sentiment ci-dessus est acceptable, c’est quand il est immédiatement suivi de : « mais je suis tout disposé à apprendre ! » Après tout, nous n’accepterions pas des rationalisations aussi faibles de la part des étudiants concernant leur travail. En tant que professeur, nous perdons de la crédibilité chaque fois que nous permettons à de telles excuses de ne pas être contestées. Voilà, tout est dit…
Les nouvelles technologies sont un moyen pour amener les élèves à s’intéresser aux différents sujets de leurs apprentissages. C’est parmi les qualités d’un bon enseignant. C’est pour cela que les enseignants aiment utiliser les nouvelles technologies en classe. Ces outils peuvent être d’excellents alliés pour un enseignant qui veut prendre le temps de construire des activités pertinentes. Donc, ils doivent s’adaptent à ces nouvelles technologies, et souvent, se forment en autodidactes dans le domaine informatique et les nouvelles technologies.
Les profs qui ont accompli des choses exceptionnelles dans leur vie professionnelle osent prendre des risques. Cela ne veut pas dire mettre leur vie ou celles des élèves en danger, non, mais plutôt prendre le risque de bouleverser leurs habitudes et leurs routines. C’est le risque d’essayer de nouvelles méthodes pédagogiques, de trouver de nouvelles solutions aux problèmes quotidiens, de faire quelque chose de nouveau, d’audacieux. Ils sont convaincus que pour réussir, il faut prendre le risque d’échouer.
Les enseignants encouragent également leurs élèves à prendre des risques, ils aimeraient tous être des preneurs de risques, mais tous les enseignants ne sont pas naturellement des téméraires. Ce point va de pair avec la démonstration de leur vulnérabilité. L’enseignant qui est prêt à se démarquer, à essayer quelque chose de nouveau, à être « farfelu » au nom de la pédagogie, gagne le respect des élèves, même si les sarcastiques et les mécontents – et il y en a toujours – semblent dire quelque chose de différent.
Peu importe le succès ou l’échec du risque qui est pris, l’expérience sera certainement mémorable pour les enfants de cette classe, et au fond, n’est-ce pas exactement ce que nous visons ? Après tout, comme le dit le vieil adage : « il n’y a pas de mauvaise publicité ».
Ils aident leurs élèves à retenir l’essentiel du cours en classe pour les préparer aux examens. Autrement dit, ils saisissent les idées essentielles du cours, et ceci facilitera la tâche des élèves pendant leurs révisions. Cette technique peut s’avérer encore plus utile et efficace pendant l’année du baccalauréat, au cours de laquelle le programme est assez chargé et le matériel à parcourir pendant les préparations à l’examen est assez volumineux. Du coup, plus les élèves retiennent de matière en classe, moins ils auront du mal à faire leurs révisions.
Qu’il s’agisse de se soucier de qui est en retard en classe, de rassembler chaque petit travail afin de « recueillir des notes » ou de passer trop de temps à donner des cours à la classe afin de « couvrir la matière », la pénurie de moyens mis en œuvre pour distraire les enseignants de ce qui est important n’existe pas ! Les enseignants qui sont solides savent que des petites choses comme les retards chroniques ou l’école buissonnière sont généralement des symptômes de problèmes sous-jacents plus importants et, en tant que tels, le fait de passer un temps et une énergie précieux à essayer de « résoudre » le problème ne fonctionne presque jamais.
De plus, parmi les qualités d’un bon enseignant, ils comprennent également qu’une évaluation efficiente et efficace signifie de réduire au minimum le travail tout en donnant une rétroaction ciblée et significative et que le fait de faire participer les étudiants, de relier le matériel à leurs intérêts et leurs passions est le moyen le plus sûr de maximiser l’apprentissage. 
 Les meilleurs professeurs ne font pas ce qu’on leur dit… C’est l’une des qualités d’un bon enseignant.
Des enseignants solides font leur travail sans trop se soucier de « ce que le directeur d’école en pensera ». Ils prendront des risques, leurs classes pourront être bruyantes, ou désordonnées, ou les deux. Leurs activités peuvent finir par casser quelque chose (habituellement les règles) afin de susciter de l’excitation ou de l’engagement. Ils comprennent que l’apprentissage n’est pas une activité soignée et ordonnée et que le respect des règles et des routines peut faire perdre aux élèves leur curiosité naturelle, leur spontanéité et la passion qu’ils apportent à l’école. Donc, il faut apprendre à gérer la pression de sa hiérarchie.
S’inquiéter de ce que le directeur peut penser peut être épuisant et contraignant dans n’importe quel travail, et l’enseignement n’y fait pas exception.
Parmi les qualités d’un bon enseignant: Ils ont une grande adaptabilité et flexibilité
Chaque élève vient d’un milieu unique avec une personnalité individuelle, des besoins éducatifs et des étapes de développement divers. Souvent, les enseignants estiment que si un plan de cours ou une méthode d’enseignement fonctionne effectivement bien avec un type d’élève, cela ne fonctionnera pas forcément avec un autre élève. Les bons enseignants apprennent donc à s’adapter pour répondre aux besoins individuels de chaque élève. Vous pouvez apprendre à vous ajuster en suivant les étapes suivantes :
– Célébrer l’individualité des élèves :  créez un environnement d’acceptation en encourageant la créativité, la liberté de pensée et les questions en classe. Acceptez les élèves où ils sont sur le plan de leur développement et sur le plan académique. Lorsque les élèves se sentent à l’aise et acceptés, ils se sentent également plus à l’aise pour poser des questions et apprendre.
– Identifier différents styles d’apprentissage : les bons enseignants sont capables d’identifier les besoins d’apprentissage individuels de leurs élèves tout en créant des plans de cours adaptés à leur style académique. Par exemple, certains étudiants apprennent
Mon premier fist
Une fille arabe monte une bite
Rousses et blondes mûres se lèchent et baisent

Report Page