La blonde la brune et l'asiatique

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Publié le

1 février 2013


par maison-latger

Elles ont deux ans. La blonde. La brune. Elles ont deux ans. Grandiront chacune de leur côté. La brune. La blonde. Quand mon émotion à les prendre dans les bras me désarme toujours. L'une d'elles s'endort sur mon épaule. A la promenade du front de mer. A la forêt de mâts de St Cyprien. L'autre se tord de rire aux chatouilles que je lui fais. Sur le canapé. Quand la télévision annonce des résultats de deuxième tour. Elles auront sept ans. La blonde. La brune. Elles iront à l'école. S'exprimeront parfaitement quand elles parlent déjà. Leurs parents, mes amis, veillent déjà au grain de leur éducation. Et je vois, au-delà de la chair, le vertige de toutes les transmissions. Conscientes. Inconscientes. Les valeurs. Les principes. Et quelques traditions. Le coeur qui bat, si jeune, tout contre ma poitrine, m'impressionne toujours. La sensation d'une fragilité, comme celle d'une force qui me dépasse. Celle de la vie, aveugle, opportuniste, qui se déploie partout où elle tient une chance. La blonde. La brune. La vingt-deuxième lune. Une femme me donnera-t'elle une fille ? Une fille ? Un garçon ? Un enfant ? Qui m'arrachera à mon égocentrisme. Déplacera le centre d'inertie ? A la forêt de mâts, une intelligence en sommeil respire profondément, en confiance, quand celle de ses parents m'accorde une brève responsabilité qui m'honore. Je réalise ici, au ciel tourmenté d'un mois de mai timide, que des proches m'ont confié bien souvent ce qu'ils avaient de plus précieux. A ces heures, ces soirées, et ces journées entières, et à ces nuits parfois, où l'auteur toujours vert était baby-sitter. Les foules en liesse et les forêts de drapeaux me laissent indifférent. Ce n'est pas à cela que je ferai la fête. En ce jour si étrange. Ste Prudence. Quand j'ose espérer pour deux petites filles un avenir serein, brillant ou confortable, où le droit à chercher le bonheur, à l'atteindre, sera permis aux générations futures. C'est la blonde que j'ai portée. Fille de mon ami d'enfance. Sortant d'un restaurant pour longer une plage et respirer la mer. Mais c'est mon coeur qui est lourd, que j'ai traîné comme j'ai pu au Couvent des Minimes. Dans ce bureau de vote, magnifique, où j'ai tiré le rideau pour cacher mon dépit. Et c'est sans enthousiasme que j'ai dû en conscience choisir entre deux choses. A la nouvelle lune, j'ai des projets pour moi et pour les gens que j'aime. Des tonnes de combats à livrer à mains nues. Sans armes et sans argent. Avec mon seul amour pour cette espèce humaine qui m'exaspère et m'exalte, qui me bouleverse aux promesses endormies dans mes bras. Ce rire éblouissant. Terrible. Un peu cruel. Celui de l'insouciance. Au canapé ouvert sur les toits de ma ville. Au soleil qui décline dans un ciel barbouillé. Je ne comprends pas bien d'où me vient le chaos d'une infinie tristesse. Quand un tiers du pays a explosé de joie, qu'un second est cynique, qu'un troisième hésite entre la déception, la colère et le découragement. Je suis un peu des trois. A l'étroit dans mes contradictions et mes morcellements. J'ai voté pour le vainqueur avec le sentiment paradoxal de partager la défaite. En ce jour. Ste Prudence. Je ne suis pas à la fête. La blonde. La brune. Un dimanche d'enfants. Qui marchent et qui raisonnent. Qui m'émerveillent chaque fois aussi vrai qu'ils me crèvent le coeur. Est-ce ma solitude ? Ce que je n'ai pas fait ? Que je n'ai pas construit ? Mon moral qui hésite. Avec ce ciel de mai. Je ne suis pas certain. Ne le serai jamais. Ni de ce que je fais. Ni de ce que je dois faire. Si l'auteur est bien vert, il est loin d'être père. Elles ont deux ans. A mon âge, un instant, j'ai l'impression d'être enfant ou bien aussi vieux qu'elles. Quand elles savent déjà user des sentiments, obtenir ce qu'elles veulent, qu'elles s'en tirent mieux que moi avec si peu de mots. Qu'elles s'extasient sur tout, s'enthousiasment d'un rien, et découvrent le monde. Je le découvre alors, dans son jus, avec elles. La brune. La blonde. Mon Azur. Mon Asmar. Et moi comme nourrice. Qu'est-ce que j'ai pu rater ? Quel est ce pincement ? Cette pincée bien mince de regrets dispersés ? Qui pleut dans la lumière, les embruns de la côte, et mon âme angoissée ? Je ne pourrai pas subvenir aux besoins d'un petit être humain. Et l'échec que j'essuie n'est pas électoral. Il n'est pas politique. Perméable à mes frères, j'arrive à me réjouir au concert de klaxons, à sourire franchement aux sourires ravis d'un espoir soulevé, amplifié par la foule. Perméable à mes frères, j'arrive à être ému au discours élégant d'un homme qui s'en va pour avoir été trop vulgaire. Je ne sais plus où je suis. Si je suis quelque chose. Quand je n'existe en vrai qu'au contact de semblables. A ces enfants qui rient. A ces enfants qui dorment. Et dans le regard fugace d'un amour qui m'échappe. Je ne suis pas d'un clan. D'une communauté. Je ne suis pas d'un groupe. Ne suis pas d'un parti ou d'une religion. Ne suis pas d'un pays. Ni même d'une famille. Je ne suis pas d'un couple. Ne suis pas d'un courant ni d'une société. Ne suis que de ce vide qui s'est fait en silence au bureau de ma tête. Au creux de ma poitrine. Qui saigne dans le soleil qui se couche pour rien. La blonde. La brune. Venues me secouer. Me remettre debout. Me renvoient tout autant à mes vagues remous. Le port de St Cyprien. Avec mon ami fidèle comme dernière branche. Quand j'ai eu cet honneur de croiser tant de vies, tant d'amour, et d'êtres d'exception. Je traîne ma liberté comme de lourdes chaînes. Quand c'est elle, je le crains, qui est mon plus lourd boulet. La promenade où, je crois, je n'ai pas même regardé une seule fois au large. Agrippé à l'enfant qui dormait contre moi. C'est moi qui m'accrochais pour ne pas m'effondrer. Agrippé à la vie, j'ignorais l'horizon. Celui de mon parcours. En manque de prisons. Je me suis concentré sur la respiration de la petite fille. Pour ne pas me laisser prendre par le chant de sirènes. Qui m'emportant au loin m'emportaient toutes au fond. Une blonde. Une brune. Deux enfants de deux ans. Quand je ne peux lutter comme amant, comme ami, ni comme camarade, contre l'amour immense qu'éprouvent des parents pour leurs progénitures. Aux chatouilles du soir, dans ce grand canapé d'une amie essentielle, c'est sa fille qui rit, se moque du désespoir, de crises existentielles. Et la lune m'accompagne, dans la pente de rues qui descendent chez moi. Aux klaxons d'une fête que je ne ferai pas. J'ai le blues d'être libre. D'être seul maître à bord. J'en ferai quelque chose pour ne pas m'y noyer. C'est la nuit qui me gagne. Et l'idée d'être en mai. Je remonte la pente en descendant chez moi. Et j'entends les sirènes, tout ce bourbier de chaînes, que je traîne avec moi comme autant de ressources. Je remonte au bureau de ma tête. A la source. Pile au milieu de toi. Qui n'appartient qu'à ceux qui savent que ce milieu existe. Que j'ai vu dans tes yeux. Qui ne m'appartient pas. Mais reconstruit le monde aux forces qui lui résistent. La brune. La blonde. Et d'autres vies humaines. Pour me tenir debout. J'ai plusieurs fois deux ans. Et toutes les prisons que je peux m'inventer. Auxquelles m'accrocher pour ne pas m'effondrer. Ste Prudence. Priez pour nous. Je suis prêt à en manquer. A m'armer de l'amour plutôt que de patience. De sourire à l'instant donné pour être en vie. Ecorché ou battu. Exposé aux tempêtes comme aux désillusions. Si c'est un jour de fête, je refuse le cynisme. Ou de me protéger d'autre chose que de moi. J'arrive à mon platane où Dieu me tient sous cloche. Dans l'espace où je sens tous les mouvements du monde. J'ai puisé l'énergie et l'iode maritime, la chaleur de l'humain, et de mes amitiés. Je suis de tous les clans. Toutes les communautés. Comme de tous les groupes. De tous les partis, les pays, de toutes les religions. Et j'ai une famille. Et c'est à ce constat que je sais être riche, pour savoir être en vie. Le rire des enfants qui ne sont pas les miens m'appartiennent autant que Mozart et Chopin, que le soleil couchant ou la nuit qui revient. La victoire est la mienne. Quand je prends la défaite. Tous les points cardinaux. L'horizon. Ses sirènes. Les prisons. Et leurs chaînes. Les douleurs et les peines. Pour m'en couvrir la peau. Pour m'en faire un manteau. Quand je peux tout porter. Je n'ai besoin de rien quand j'ai besoin de tout. Que le vide que je sens est une plénitude. Qu'il est plein à craquer de tout ce qui existe. Que je le distribue pour ne pas m'y noyer. Je suis riche de toi. De mes frères. De mes soeurs. De la blonde. De la brune. Et de tous nos parents. Libre de tout recevoir et de tout endosser. Le blues comme le noir. Tout ce qui est à portée. La vingt-deuxième lune. Mon amour est l'enfant endormi dans mes bras que j'entends respirer. Celui-là, c'est le nôtre. Il a bientôt deux ans.
Philippe LATGER Mai 2012 à Perpignan

Publié dans
40 lunes
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