La bite de mon beau-frère

La bite de mon beau-frère




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La bite de mon beau-frère
Archivé de: Lettres Gay – Numéro 61
Date de parution originale: Octobre 1993

Date de publication/archivage: 2017-08-13

Auteur: Philippe
Titre: Sauté par mon beau-frère!
Rubrique: À voile et à vapeur
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 6471 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Je vais vous raconter comment, il y a quelques mois, j'ai réussi à faire l’amour avec mon jeune beau-frère. Il s’appelle Christian, est âgé de vingt-huit ans, est marié et père de deux garçons. Quand ils viennent à la maison pour quelques jours, ce que j’apprécie, c’est le matin, au lever, lorsque tout le monde se retrouve dans la cuisine pour le petit-déjeuner, en pyjama. Le tissu fin du pantalon permet de souligner une belle bosse à hauteur de l’entrejambe de Christian. J’ai souvent l’envie d’y regarder de plus près, ou d’y glisser une main; mais la perspective d’un conflit familial me rebute un peu... Pourtant je me doutais qu’il y avait là un beau morceau de choix vu la proéminence de la bosse.

La première fois où l'on a pu échanger des rapports s’est passée un samedi après-midi. Arrivé avec sa famille le vendredi soir, il devait repartir le lundi. Ce samedi, il faisait beau et chaud. Il était convenu de me donner un coup de main pour poser du papier peint. Vu la chaleur, j’étais en short, torse nu, nu pieds. Le reste de la famille avait résolu de partir pour la journée, afin de nous laisser tranquillement travailler. Au fur et à mesure de l’avancement des travaux, il voulut se mettre en short, mais n’en avait pas dans sa valise. Je lui en ai prêté un, que je choisis avec une braguette à boutons, un peu grand pour lui, car Christian est un grand garçon, 1m85, fin, roux de cheveux, yeux verts, un beau gars !

Après la pause de midi, nous nous sommes assis sur le canapé, et nous nous sommes offert un alcool. J’ai allumé machinalement le téléviseur. Il passait un reportage sur un supermarché du sexe ouvert à Paris. Rien d’excitant dans les images. Christian semblait intéressé. Je lui ai posé la question de savoir s’il était déjà entré dans un sex-shop. Une fois, me dit-il, entre copains, à l’Armée, mais vu la rigolade entre eux, il n’avait rien vu, avait fait semblant de s’y désintéresser pour ne pas, justement, montrer le contraire à ses amis ! Je lui ai signalé que je fréquente ces lieux de perdition, que j’achète diverses choses, tout en les lui énumérant. Il demanda s’il pouvait voir: préservatifs de toutes les couleurs, une poupée gonflable trois orifices, plusieurs godes, des strings-ficelles, des revues et cassettes pornos. Je ne lui ai montré ni les livres, ni les cassettes. Me demandant pourquoi, je me suis fait prier pour ne pas lui dévoiler que c’étaient des cassettes homos. De plus en plus curieux, il insista pour en passer une au magnétoscope, malgré la surprise qu’il pouvait en attendre.

Je me suis quand même décidé, et je saisis celle intitulée: “Les uns dans les autres”, où deux noirs s’envoient en l’air avec deux blancs. Revenu avec la cassette, je lui ai demandé s’il était toujours OK pour la regarder. Je vis dans son regard, et dans sa réponse, que j’excitais assez sa curiosité.

Le film commence, et il faut dire que les quatre hommes, nus, ne perdent pas de temps en préliminaires. Tous travaillent au plaisir de chacun, qui de la bouche et la langue, qui du cul et de la bite, qui des mains et des doigts. Je feins d’être blasé tout en discutant. Christian reste silencieux. J’esquive un regard vers son visage. Il ne semble rien perdre du spectacle ! Dans le short, trop large, je ne peux deviner son érection. La mienne est déjà sensible. Je lui chuchote, en me rapprochant, que dans le cas présent, je bande trop dur, et que j’en ai mal. Je décide d’ôter short et slip. Nu, assis sur le canapé à gauche de Christian, j’écarte les jambes jusqu’à toucher une des siennes, et commence à me branler. Il ne semble pas trop gêné... Je lui demande s’il se branle de temps en temps, et il me dit que oui. À savoir s’il a déjà vu d’autres bites bandées, il me raconte qu’il en a vues à l’Armée, lorsque s’organisait en chambrée des concours de jets de sperme. Lui n’avait jamais pratiqué. Celui qui envoyait son sperme le moins loin était dans l’obligation d’accepter le gage ordonné par le gagnant; celui qui crachait le plus loin...

Pendant que je me caressais, le film se déroulait sous des yeux ravis. Ma main gauche approcha et je l’ai placée sur sa cuisse droite. Pas de réaction négative. J’arrive aux boutons de short, et tâte une pine dure qui s’y loge. Il me regarde et ne dit rien.

— Puisque tu te branles, ce serait bien que je le fasse à ta place!

J’ouvris les boutons, et défis le short. Il se souleva pour me faciliter l'opération, et je descendis le slip en même temps. Quel beau morceau! Je m’en doutais. Plus de vingt-trois centimètres sur cinq de diamètre; un sac à couilles bien plein. Je pris sa bite à pleine main et fis coulisser le prépuce. Il écarta légèrement les jambes. Lui demandant s'il se faisait sucer, il me répondit par l’affirmative. Je lui dis qu’entre hommes, c’est meilleur qu’avec une femme, et qu’il n’avait qu’à regarder l’écran pour en juger. Je me suis agenouillé entre ses jambes, que j’ai écartées. Je le fis avancer, puis asseoir au bord du canapé. J’ai commencé par lui titiller les couilles avec le bout pointu de la langue. J’ai remonté tout le long de la hampe, vers le gland, en salivant bien sur cette peau laiteuse. Belle colonne de chair et belle peau douce à savourer. Puis je suis arrivé au gland rouge sang, et j’en ai englouti le maximum de longueur, en salivant beaucoup. Je l’entendis soupirer. Je me suis retiré et lui ai demandé s’il appréciait. Il avoua que vraiment je m’y prenais mieux que sa femme, qui engloutissait tout de suite sa verge en ne suçant que le gland. Je lui ai demandé quelles autres caresses ils se prodiguaient ?

— Elle accepte tout en amour sauf de se faire sodomiser, de crainte d’être déchirée, vu la grosseur et la longueur de mon engin !

— Alors, lui dis-je, tu n’as jamais enculé personne?

Et de lui expliquer que de mettre une bite dans une cul serré c’était drôlement plus agréable que dans un vagin élargi. Je lui ai montré qu’un trou de cul se travaille, et qu’on peut y mettre n’importe quelle queue, et tout ceci en m’enfonçant deux doigts dans le rectum. Me saisissant d’un gode de même taille que sa bite, je suis allé chercher du lubrifiant et, allongé sur le dos, sur le parquet, je me suis enfoncé le gode au maximum de sa longueur. Je lui ai demandé de me l’enlever, après m’être placé à genoux sur le canapé, et d’y mettre en lieu et place, sa propre bite super-bandée, bien pointée.

Je me suis penché et il se mit debout derrière moi. Je le laissais faire tout en le stimulant de mots obscènes, lui faisant comprendre le plaisir qu’il allait prendre. Il enleva le gode, plaça son gland au bord du trou. Je lui ai dit : “Pousse !” Ce qu’il fit. Il fut surpris de voir entrer la totalité de sa bite, me faisant sentir ses poils pubiens sur mes fesses. Il commença un va-et-vient alors que je me branlais. Il déchargea en hurlant de jouissance et moi après lui...

Nous nous sommes lavés, rhabillés, avons discuté de ce qui s’était passé et nous avons repris le travail. Il a maté ma collection de cassettes et nous avons eu d’autres occasions pour les regarder. Ça l’excitait toujours! Nous avons baisé à couilles rabattues nombre de fois. Il n’a jamais accepté d’être enculé. Cela ne me gêne pas, je suis plutôt passif.




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Publié par l'auteur sur l'archive wiki de Gai-Éros. Cet auteur vous présente 1 texte(s) et/ou série(s) sur Gai-Éros. Ce texte a été lu 19331 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)
Je savais depuis l’âge de 10-12 ans que les garçons ne m’étaient pas indifférents. Je ne prenais pas ça très sérieusement, dans ma tête je voulais quand même avoir une petite amie. Quand ma mère recevait le catalogue de la redoute, la page qui m’intéressait était celle des slips hommes, je pouvais deviner les bosses et voir ces beaux corps. C’était pour moi mon premier magazine porno.

Ce n’est qu’à l’âge de 15 ans que j’ai réalisé que j'étais gay et qu’il n’y avait rien à faire. J’avais un frère qui avait deux ans de plus que moi, mais je n’ai jamais été attiré par lui. Mais l’avantage d’un frère, c’est qu’il a des amis. Et je n’avais jamais assez de regarder Alex, un de ses meilleurs potes. Il était arrogant et pouvait se le permettre, il était beau gosse et avait un corps de footballeur (sport qu’il pratiquait avec mon frère). Il avait de belles jambes musclées, un beau buste. Quand il était en short, je faisais tout mon possible pour regarder ses sous-vêtements et la moindre vue du tissu me donnait une trique immédiate. Moi j’étais mince, imberbe. Ma timidité n’arrangeait rien.

Nous avions une salle de jeux dans le sous-sol où il y avait un canapé, un ordinateur et des jeux. L’été je pouvais rester des heures à jouer aux jeux vidéo seul. Mon frère et ses amis m’ignoraient, j’étais comme un meuble pour eux. Un après-midi, je me suis retrouvé seul dans la salle avec Alex, il était au téléphone (avec fil), il parlait avec sa copine du moment. Ses mains touchaient continuellement son entrejambe, ses doigts entrant dans son short par la ceinture ou les jambes. Ne pouvant résister mes yeux étaient tournés vers lui et ses mouvements plutôt que mon écran. À la fin de la conversation, il s’était engueulé avec sa copine et avait raccroché en colère. Ses mains étaient toujours autour de son short et mes yeux fixés dessus.

— Mate ton écran, tu vas planter ton jeu.

Je devins rouge de honte et ne sus que faire ; je restai tétanisé. Il se leva, prit une chaise et s’assit à côté de moi. Sa jambe toucha la mienne. Je jouais à « Call of duty ».

— Vas-y prends le côté gauche du clavier, je prends le droit. (Je suis gaucher)

On commença une partie à deux, partageant le clavier. Petit à petit sa main gauche se rapprocha de mon genou, puis de ma cuisse pour finir carrément sur mon short.

—Ok, un challenge : tu utilises que ta main gauche et moi que ma main droite.

Il a pris ma main droite et on a continué à jouer. Il a approché ma main de son genou, puis de sa cuisse et de son short sans que je résiste. Il faisait balader ma main sur sa bosse, puis à l’intérieur de son short dans son slip. Le coton était très doux et je le caressais. Il fit de même, et sa main finit dans mon slip. Il toucha les poils de ma bite.

— Ils sont doux tes poils, on dirait ceux de la chatte de Julie. (sa copine)

D’une main il baissa mon short et mon slip. Il stoppa de jouer, se leva, ma main sortit de son short. Il prit ma main et l’inséra dans son slip.

— Touche ma touffe, t’as jamais touché une fille, ça compense.

Il baissa son short et son slip, moi toujours assis sur ma chaise, sa bite bien dure devant moi. Il l’a approchée de ma bouche. Quand elle atteignit mes lèvres, je le léchai et suçai. Il gémissait de plaisir et me tint par la tête. Il enleva son tee-shirt. Me prenant par la tête il m’amena sur le canapé, lui couché, moi à genoux. Il retira mon tee-shirt. Je le suçais avec force et engouement.

— Regarde-moi fixement dans les yeux quand tu me suces.

Il se leva et je continuais à avoir son sexe dans ma bouche.

Je suçais comme si ma vie en dépendait. Ses gémissements s’intensifiaient.

Je sentis un jet énorme et chaud dans ma bouche et quand tout entra dedans, j’avalai. Il prit un mouchoir, s’essuya, le jeta par terre. Il remit son slip puis son short. Je fis de même. Je pris son mouchoir rempli de sperme et le gardai dans un lieu sûr. Je me remis à jouer sur l’ordi et lui s’assit sur le canapé comme si de rien n’était. Mon frère entra après, ne s’apercevant de rien.

— Putain Alex t’es là ? Tu te branles ou quoi ?

— Trouve un moyen de le dépuceler lui !


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