La belle brigitte II

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La belle brigitte II





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Article mis Ă  jour le 09/09/22 10:36


Thomas Montet

Mis à jour le 09/09/22 10:36



Jeudi 8 septembre, le monde entier pleurait la mort de la reine Elizabeth II et, sur les rĂ©seaux sociaux, les hommages Ă©taient nombreux. Certains se sont mĂȘme un peu trop prĂ©cipitĂ©s, au point de faire une Ă©norme boulette... et c'est Brigitte Macron qui en a fait les frais !
Brigitte Macron est-elle morte ? Pas si vite ! Jeudi 8 septembre, le grand public inondait la Toile de messages de condoléances et de tristesse aprÚs l'annonce faite par le palais de Buckingham du décÚs de Sa Majesté la reine Elizabeth II, emportée à 96 ans. Sur Instagram, une star du petit écran a été piégée par une fausse information et a partagé la nouvelle de la mort de la PremiÚre dame, pourtant bien en vie !
C'est Océane El Himer, candidate de télé-réalité passée par Les Marseillais et Les Princes et les Princesses de l'Amour, qui a fait cette belle bourde dans la story de son compte Instagram suivi par un million d'abonnés. La jeune femme de 29 ans a donc partagé une photo en noir et blanc de Brigitte Macron avec écrit "RIP" (Rest in Peace) en légende et une date : 1926-2022. Visiblement, elle n'a pas tilté une seule seconde que l'épouse d'Emmanuel Macron n'était pas nonagénaire... TrÚs vite, elle a été alertée de son énorme erreur et a préféré s'en expliquer plutÎt que de supprimer totalement sa publication. Océane El Himer a donc admis avoir repartagé un peu vite cette photo initialement diffusée sur le compte de l'homme d'affaires Audren Dimitris. " En repostant ta story, je me prends les foudres ", a écrit celle qui habite à Dubaï. 
Face au bad buzz , notamment moquĂ© par le rappeur Booba - devenu le pourfendeur des starlettes de la tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© et des influenceuses -, la demoiselle a pris la peine de se justifier, laborieusement, suite Ă  son erreur : " En aucun cas je ne voulais faire de l'autodĂ©rision ou une comparaison. J'Ă©tais sur Insta, je suis tombĂ©e sur la 1ere story d'Audren Dimitris, du coup j'ai repostĂ© direct sans penser que cela Ă©tait de l'autodĂ©rision, je pensais que c'Ă©tait rĂ©el. Toutes mes excuses Ă  Brigitte Macron. " Un message honnĂȘte mĂȘme si OcĂ©ane El Himer ne semble pas trĂšs bien comprendre ce qu'est l'autodĂ©rision...
C'est donc bien la monarque britannique qui a poussé son dernier soupir le jeudi 8 septembre 2022. Elle est morte dans son chùteau de Balmoral, en Ecosse. C'est son fils aßné, le prince Charles, qui devient désormais roi à sa place. TrÚs vite, il a diffusé un communiqué pour pleurer la mort de sa mÚre : " La mort de ma mÚre adorée, Sa Majesté la reine, est un moment de grande tristesse pour moi et tous les membres de ma famille. Nous pleurons le départ d'une souveraine chérie et d'une mÚre aimée. Je sais que sa perte sera profondément ressentie par le pays, les territoires et le Commonwealth, et par tant de gens à travers le monde. En cette période de chagrin et de changement, ma famille et moi seront réconfortés en sachant le respect et la profonde affection qu'il y avait envers la reine. "
Brigitte Macron est-elle morte ? Pas si vite ! Jeudi 8 septembre, le grand public inondait la Toile de messages de condoléances et de tristesse aprÚs l'annonce faite par le palais de Buckingham du décÚs de Sa Majesté la reine Elizabeth II,...
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par Amandine Blanc
Créé le 11/09/2022 à 16:22 , modifié le 11/09/2022 à 16:22


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Samedi 10 septembre, devant le chĂąteau de Windsor, Kate Middleton n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  saluer la foule venue rendre hommage Ă  la reine Elizabeth II. Un recueillement lors duquel la princesse de Galles a partagĂ© un tendre moment avec une petite fille en pleurs.
ÉvĂ©nement au chĂąteau de Windsor. Ce samedi 10 septembre, les princes William et Harry, accompagnĂ©s de leurs Ă©pouses, ont marchĂ© sous les applaudissements de la foule rassemblĂ©e pour rendre hommage Ă  feue Elizabeth II. La premiĂšre apparition publique collective des deux couples depuis le 9 mars 2020. Pour l’occasion, ces derniers se sont d’abord recueillis devant le parterre de bouquets de fleurs dĂ©posĂ©s par centaines, aux portes de la rĂ©sidence royale situĂ©e dans le Berkshire. Ils n’ont ensuite pas manquĂ© de saluer les sujets de la dĂ©funte MajestĂ© en descendant la cĂ©lĂšbre "Long Walk", longue avenue traversant le parc qui mĂšne au chĂąteau. Un moment trĂšs Ă©mouvant lors duquel Kate Middleton et une jeune Britannique ont attirĂ© l’attention. Comme l’a rapportĂ© le Sun , la nouvelle princesse de Galles a en effet pris le temps de rĂ©conforter une enfant en pleurs. Partageant la peine de la fillette, la mĂšre de famille se serait ainsi penchĂ©e en lui glissant quelques mots. “Bonjour ! Pourquoi es-tu triste ?” aurait ainsi demandĂ© Kate Middleton Ă  la petite fille. Remarquant Ă  quel point son interlocutrice se tenait proche des barriĂšres de sĂ©curitĂ©, celle qui partage la vie du prince William aurait fait preuve d’une grande bienveillance : “Est-ce qu’on t’écrase contre la grille ? Tu veux venir Ă  la maison pour prendre le thé ?” Visiblement trĂšs touchĂ©e par la prĂ©sence de la trĂšs jeune fille, Son Altesse Royale se serait alors tournĂ©e vers les parents de cette derniĂšre. “ Vous devez ĂȘtre si fatiguĂ©s. C’est une longue journĂ©e, n’est-ce pas ?” aurait ainsi dĂ©clarĂ© Kate Middleton.
La jeune Britannique aurait ensuite expliquĂ© Ă  la Princesse qu’elle avait laissĂ© un mot et des fleurs pour la reine Elizabeth II. Une attention qui aurait vĂ©ritablement Ă©mu la tĂȘte couronnĂ©e. "Oh, merci beaucoup. C’était trĂšs agrĂ©able de vous rencontrer. Maintenant, Ă  la maison pour le thĂ© !" aurait ainsi lancĂ© la belle-fille du roi Charles III.
Lors de son passage devant la foule, Kate Middleton a Ă©galement rĂ©vĂ©lĂ© la rĂ©action de son fils, le prince Louis, Ă  l'annonce du dĂ©cĂšs de son arriĂšre-grand-mĂšre, la reine Elizabeth II. “Au moins, mamie est avec grand-pĂšre maintenant” , a-t-il dit Ă  sa mĂšre. Des confidences aussi adorables qu’émouvantes.

Serge Gainsbourg and Jane Birkin were the golden couple of their generation, and their grand amour continues to inspire and fascinate.
For a pair of lovers whose passionate and tempestuous affair made them the glamorous poster couple of their era,
their first encounter on the Parisian film set of Slogan in 1968 could scarcely be described as love at
first sight. The stunning upper-class British actress starring in the low-budget French flick complained bitterly to
her visiting brother, “He’s horrible! 
 Serge Bourguignon! The man in the film with me. He’s meant to be my lover
but he’s so arrogant and snobbish and he absolutely despises me!”
Then again, the unlikely beginning of Jane Birkin and Serge Gainsbourg’s tumultuous relationship entirely befitted
the unlikely coupling. Her, the dewy 22-year-old ingénue from Chelsea (infamous for becoming the first actress to go
full-frontal in mainstream cinema in the 1966 film, Blow-Up ) with the leggy thoroughbred gait, unforced
beauty and effortless style, and him, the louche, jolie laide 40-year-old musical genius as revered for his
exceptional way with a lyric as he was notorious for his Gitanes- and alcohol-fuelled hard-partying lifestyle — no
wonder the press and public were mesmerised by this seemingly far-fetched yet strangely perfect union of
opposites.
Controversy trailed in Birkin and Gainsbourg’s wake from the get-go. Singer, songwriter, composer, pianist, painter,
auteur, author, gambler, Pygmalion, alcoholic, poet, lothario, actor, misanthrope, provocateur, a modern-day
Baudelaire, a 20th-century Rimbaud, flñneur, French national treasure and the list goes on — there is no pithy way
of summing up who Gainsbourg was and why his prolific artistic output continues to be so influential over two
decades since his demise (everyone from Portishead to Beck, Madonna to Sonic Youth, Air to John Zorn have declared
him as a profound influence). His and Birkin’s place in the pop-cultural pantheon was cemented by ‘ Je t’aime
moi
non plus ’. It may sound relatively tame to the contemporary listener jaded by the twerking hijinks of the Miley
Cyrus generation, but back in the day, the duet became quite the cause célÚbre. Gainsbourg had originally recorded
the song with screen siren Brigitte Bardot, with whom he was having an affair after his first two marriages ended in
divorce. For fear of incurring the wrath of her husband, Gunter Sachs, the multi-millionaire German playboy and
scion of the Opel motor dynasty, Bardot begged Gainsbourg not to release the recording with its explicitly sexual
lyrics, backing of ecstatic feminine sighs and climatic culmination in the finale. Gainsbourg acquiesced,
re-recording it in 1969 with Birkin. Thanks to its unabashed eroticism, Gainsbourg and Birkin’s romp on vinyl was
condemned by the Vatican and banned by the BBC, thus catapulting it right to the top of the British charts.
"Thanks to its unabashed eroticism, Gainsbourg and Birkin’s romp on vinyl was condemned by the Vatican and banned
by the BBC, thus catapulting it right to the top of the British charts."
If one were to conjecture a typical day in the life of the Gainsbourg/Birkin household based on the countless
paparazzi snaps of this golden couple throughout their 13-year affair — they never married — one might get the
simplistic impression that life was one long night on the tiles, dressed to kill. Lithe and lovely, Birkin had the
sort of fabulously androgynous figure that had designers like Balenciaga, Yves Saint Laurent and Givenchy queuing up
to dress her. She was never without her voluminous wicker basket — these were the days before she met Jean-Louis
Dumas, then-Chairman and Artistic Director of HermĂšs, on a flight to London in 1981, who offered to design a travel
bag capacious enough for Birkin’s needs and which has since gone on to become the brand’s most coveted style of
maroquinerie . Gainsbourg was always in impeccable tailoring — often pinstriped — inimitably accessorised
with his dishevelled, devil-may-care and debonair attitude and his signature pair of white Repetto jazz shoes,
always worn sockless.
When the two children were young, the couple’s ritual was to feed them dinner in the evening, tuck them into bed, get
dressed to go out for dinner then stay out all night club-hopping, returning just in time in the wee hours for the
school run, sleep through the day, then fetch the girls from school. Rinse, repeat. The conclusion that life for
Gainsbourg and Birkin was essentially a non-stop dusk-to-dawn bacchanalia, punctuated by the odd parenting duty or
two, is all too easy to make. In December 2013, Birkin’s brother Andrew Birkin, whom the couple was very close to,
put together Jane & Serge: A Family Album , published under the aegis of Taschen. A familiar presence in
the couple’s life throughout their relationship, Andrew Birkin was an avid photographer and took thousands of candid
photographs of his sister and Gainsbourg, few of which have ever been published. The book offers a rare, authentic,
intimate and far more accurate view of daily life for the couple. Much like Andrew Birkin was instantaneously
captivated by Gainsbourg — outrageous one moment and introspective the next, with an outrĂ© sense of humour and
rapier wit — the rest of the Birkin clan (mother, Judy Campbell, the English stage actress and NoĂ«l Coward’s muse,
and father, David Birkin, a Royal Navy lieutenant-commander and World War II hero) took immediately to Gainsbourg,
whom they met at the end of July 1968 during a visit to Saint-Tropez, where Jane Birkin was based, having landed the
plum part of Penelope Lannier in La Piscine , also starring Alain Delon.
Gainsbourg loved to scandalise the public. When their daughter was 13, he recorded ‘Lemon Incest’, a risquĂ© duet
which included the lyric “the love that we will never make” and a video of two of them lounging in bed. While
designed to shock, his true intention, according to Birkin, Charlotte Gainsbourg, as well as family friends, was to
record a pure love song from a father to a daughter. Other stunts which provided Gainsbourg much gratification
included his reggae rendition of ‘La Marseillaise’, setting alight a 500-franc bill on live television to show how
much money he had left after paying his taxes, and telling a 23-year-old Whitney Houston that he wanted to “fuck
her” (also on live television).
For all the apparent irrepressible gaiety, gregariousness and grandiloquence, Gainsbourg’s true self was essentially
lonely and brooding, a character darkly tempered by a Russian melancholy of Chekhovian proportions. Gainsbourg’s
sister, Jacqueline Ginsburg, has commented that his cynical persona was always a defense mechanism, a cultivated
carapace under which lay a sensitive and vulnerable individual.
What’s more, with his prominent ears and an even more majestic proboscis, Gainsbourg harboured no delusions about his
appearance, and was fond of sardonically quipping, “I prefer ugliness to beauty, because ugliness endures.” A
cursory glance at his history of wives, mistresses, lovers and rumoured-paramours would, of course, indicate
otherwise. Jane Birkin, Brigitte Bardot, Caroline Paulus (aka Bambou), Catherine Deneuve and more — if there is a
God, this is a veritable roll call of His most divinely beautiful creatures. Very much part of Gainsbourg’s enigma
was his irresistible magnetism to the world’s most desirable women despite his unconventional physicality, sealing
his status as the world’s most unlikely sex symbol. Birkin has said that Gainsbourg revelled in surrounding himself
with attractive women, that he was well aware of his looks and sought validation via the attention of the
aforementioned women. She has also recounted that in their entire relationship he was very pudique — he never let
her or the children see him bathe, go to the toilet, or totally naked. This was a man who, despite his penchant for
showmanship, controversy and publicity, was fundamentally very private and modest.
"For all the apparent irrepressible gaiety, gregariousness and grandiloquence, Gainsbourg’s true self was
essentially lonely and brooding, a character darkly tempered by a Russian melancholy of Chekhovian
proportions."
After a decade together, Birkin still loved him deeply, but life with Gainsbourg ultimately proved to be one
alcohol-induced contretemps too many. Birkin left Gainsbourg for the director Jacques Doillon, with whom she had a
daughter. While Gainsbourg was devastated when Birkin left him, he remained very close, eventually winning over even
Birkin’s new partner, such was his charisma. When Lou Doillon arrived, Gainsbourg sent an enormous package to the
American hospital full of clothes he’d bought for the baby with a card he signed “ Papa Deux ”.
The Rue de Verneuil family home became Gainsbourg’s solitary abode, where he passed away on 2 March 1991 at the age
of 62. His body was discovered by Bambou, his partner for the last decade of his life. Birkin was shattered by his
death, and her grief was compounded by the passing of her father two days later. The four women closest to
Gainsbourg — Birkin, Bambou, Charlotte Gainsbourg and Kate Barry — kept vigil around his corpse for four days in the
bedroom, reluctant to let him go. When they finally had to bury him, Birkin picked out a plot in the CimetiĂšre du
Montparnasse (where many artists and intellectuals, including Charles Baudelaire, Jean-Paul Sartre, Simone de
Beauvoir, Man Ray and Constantin BrĂąncusi, are buried). Birkin had just lost the greatest love of her life, and she
felt she should bury a part of herself in the coffin — her beloved Munckey, a stuffed felt monkey that was her most
prized possession since childhood.

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