La Bite De Mon Pote

La Bite De Mon Pote




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La Bite De Mon Pote
Publié par l'auteur sur l'archive wiki de Gai-Éros. Cet auteur vous présente 1 texte(s) et/ou série(s) sur Gai-Éros. Ce texte a été lu 19654 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)
Je savais depuis l’âge de 10-12 ans que les garçons ne m’étaient pas indifférents. Je ne prenais pas ça très sérieusement, dans ma tête je voulais quand même avoir une petite amie. Quand ma mère recevait le catalogue de la redoute, la page qui m’intéressait était celle des slips hommes, je pouvais deviner les bosses et voir ces beaux corps. C’était pour moi mon premier magazine porno.

Ce n’est qu’à l’âge de 15 ans que j’ai réalisé que j'étais gay et qu’il n’y avait rien à faire. J’avais un frère qui avait deux ans de plus que moi, mais je n’ai jamais été attiré par lui. Mais l’avantage d’un frère, c’est qu’il a des amis. Et je n’avais jamais assez de regarder Alex, un de ses meilleurs potes. Il était arrogant et pouvait se le permettre, il était beau gosse et avait un corps de footballeur (sport qu’il pratiquait avec mon frère). Il avait de belles jambes musclées, un beau buste. Quand il était en short, je faisais tout mon possible pour regarder ses sous-vêtements et la moindre vue du tissu me donnait une trique immédiate. Moi j’étais mince, imberbe. Ma timidité n’arrangeait rien.

Nous avions une salle de jeux dans le sous-sol où il y avait un canapé, un ordinateur et des jeux. L’été je pouvais rester des heures à jouer aux jeux vidéo seul. Mon frère et ses amis m’ignoraient, j’étais comme un meuble pour eux. Un après-midi, je me suis retrouvé seul dans la salle avec Alex, il était au téléphone (avec fil), il parlait avec sa copine du moment. Ses mains touchaient continuellement son entrejambe, ses doigts entrant dans son short par la ceinture ou les jambes. Ne pouvant résister mes yeux étaient tournés vers lui et ses mouvements plutôt que mon écran. À la fin de la conversation, il s’était engueulé avec sa copine et avait raccroché en colère. Ses mains étaient toujours autour de son short et mes yeux fixés dessus.

— Mate ton écran, tu vas planter ton jeu.

Je devins rouge de honte et ne sus que faire ; je restai tétanisé. Il se leva, prit une chaise et s’assit à côté de moi. Sa jambe toucha la mienne. Je jouais à « Call of duty ».

— Vas-y prends le côté gauche du clavier, je prends le droit. (Je suis gaucher)

On commença une partie à deux, partageant le clavier. Petit à petit sa main gauche se rapprocha de mon genou, puis de ma cuisse pour finir carrément sur mon short.

—Ok, un challenge : tu utilises que ta main gauche et moi que ma main droite.

Il a pris ma main droite et on a continué à jouer. Il a approché ma main de son genou, puis de sa cuisse et de son short sans que je résiste. Il faisait balader ma main sur sa bosse, puis à l’intérieur de son short dans son slip. Le coton était très doux et je le caressais. Il fit de même, et sa main finit dans mon slip. Il toucha les poils de ma bite.

— Ils sont doux tes poils, on dirait ceux de la chatte de Julie. (sa copine)

D’une main il baissa mon short et mon slip. Il stoppa de jouer, se leva, ma main sortit de son short. Il prit ma main et l’inséra dans son slip.

— Touche ma touffe, t’as jamais touché une fille, ça compense.

Il baissa son short et son slip, moi toujours assis sur ma chaise, sa bite bien dure devant moi. Il l’a approchée de ma bouche. Quand elle atteignit mes lèvres, je le léchai et suçai. Il gémissait de plaisir et me tint par la tête. Il enleva son tee-shirt. Me prenant par la tête il m’amena sur le canapé, lui couché, moi à genoux. Il retira mon tee-shirt. Je le suçais avec force et engouement.

— Regarde-moi fixement dans les yeux quand tu me suces.

Il se leva et je continuais à avoir son sexe dans ma bouche.

Je suçais comme si ma vie en dépendait. Ses gémissements s’intensifiaient.

Je sentis un jet énorme et chaud dans ma bouche et quand tout entra dedans, j’avalai. Il prit un mouchoir, s’essuya, le jeta par terre. Il remit son slip puis son short. Je fis de même. Je pris son mouchoir rempli de sperme et le gardai dans un lieu sûr. Je me remis à jouer sur l’ordi et lui s’assit sur le canapé comme si de rien n’était. Mon frère entra après, ne s’apercevant de rien.

— Putain Alex t’es là ? Tu te branles ou quoi ?

— Trouve un moyen de le dépuceler lui !


(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Voilà ma petite histoire qui s'est deroulée à la rentrée scolaire 2000. J'étais en terminale dans un lycée de Toulouse et j'étais interne depuis que j'étais en seconde. J'aimais bien la vie en groupe. Nous étions 8 par chambre, nous nous entendions tous très bien, mon meilleur pote s'appelait Sébastien.

Tout commença un mercredi après-midi où nous étions tous les 2 en étude car tous les autres avaient profité de ne pas avoir de cours le mercredi après-midi pour rentrer chez eux. Nous décidions d'aller en ville faire un tour et peut-être un cinéma. Et là surprise, il me proposa de faire un petit tour au cinéma porno, le ZigZag. Je n'y avais jamais mis les pieds. J'acceptai bien volontier sa proposition.

Nous avons pris nos tickets et nous nous dirigions vers la salle; le confort était sommaire. On s'installa au dernier rang, il n'y avait pas foule, le film commença. Les scènes de culs s'enchaînaient à un rythme rapide, nous remarquions que nos voisins avaient sorti leurs bites et ils se masturbaient, en gémissant. Entre le film et les gémissements de nos voisins, j'avais une trique qui me faisait mal dans mon jeans. Séb devait être dans la même situation car il n'arrêtait pas de se toucher au travers de son jeans.

Il n' en pouvait plus, il désserra sa ceinture, déboutonna sa braguette et il sortit sa bite et il commença les va-et-vient; je n'en pouvais plus, mais je me retenais. Et là surprise! Sa main se posa sur mon paquet: il me malaxa la tige et les burnes, me fit un petit sourire, et ses doigts s'étaient faufilés dans ma braguette. Ma bite trouva vite fait le chemin de la liberté et d'une main, il se masturbait et de l'autre, il me secoua ma bite. Je n'en pouvais plus, je ne portais plus d'intérêt au film, une seule chose m'intéréssait, c'était la bite de Sébastien.

Elle était longue, 20 à 22 cm, d'une bonne circonférence. J'osai, je posais ma mains sur son sexe, quelle sensation, le contact sur cette peau bandée au maximun, le toucher de ses veines le long de sa verge. Jamais j'avais eu une telle sensation, pourtant j'avais eu des relations avec une fille mais jamais de telles sensations. Jamais! Je sentais le sperme monter le long de ma tige; j'avertis Seb:

— Attention Sébas, je sens que je vais jouir!

Je crois que je n'avais jamais joui avec une telle force, heuresement que les sièges de devant étaient vide car sinon je fournissais le shampoing gratuitement. Sébastien ne tarda pas de m'imiter. Je me retrouvais avec du sperme de mon pote sur les doigts, et là un geste que je pourrais pas expliquer, je portai mes doigts à la bouche pour goûter pour la première fois du sperme. Quel goût! Jamais je n'avais goûté du sperme, même pas le mien.

On remballa nos bites dans nos jeans, le film se termina, on prit la direction du bahut. De retour au dortoir nous reparlions de notre expérience au cinéma cet après-midi. Je demandai à Sebastien:

— Alors Séb, tu as bien aimé ma bite?

— Salopard va! Et toi tu as bien aimé mon sperme?

— Pas mauvais. Dis-moi, c'était la première fois ou tu es un habitué? En fait, es-tu gai?

— Hormis quelques scènes de masturbation collective, jamais je n'ai eu de relation avec un mec, ou même avec une nana. En fait, je suis un puceau.

Nous étions tous les 2 sur le lit en calbut, au fur et à mesure que nous discutions, nos caleçons se dressaient et nos envies de sexualité se réveillaient petit à petit.

— Tu sais, c'était la première fois que je voyais un bite hors que la mienne en érection.

— J'ai eu plusieurs relations avec une fille, mais j'en garde un mauvais souvenir.

L'extinction des lumières allait arriver, je savais que la nuit allait être très hard. Nous étions dans le noir, Seb se coucha sur mon lit, sa bite sortait de son caleçon. Je me courbai vers son sexe qui ressemblait à un manche de balais, j'ouvris la bouche et j'engloutis son sexe et commençai à le sucer. Apparement, il adorait! Je tripotais ses boules, je m'amusais à lui titiler le fion, jusqu'au moment où je lui ai enfoncé mon majeur dans son trou de balle. Il se contracta, mais apparament, il était au bord de la jouissance.

Je me redressai et nous nous sommes embrassés longuement et là c'était à son tour de se pencher sur ma bite qui n'attendait que ça. Indescriptible, un vrai pro de la fellation, nous parlerons pas du doigt dans mon anus car je pense que ce n'est pas descriptible, il faut le vivre. Il me tardait qu'une chose: de passer à l'étape supérieure.

— Alors, mon petit pédé, tu aimes ça? me lanssa Seb.

— Oh oui! Continue à me sucer et surtout doigte-moi...

On prit la position du 69 sur le lit. Tous les deux, nous avions la bouche pleine et un doigt dans le cul. Je proposai à Seb:

— Si tu as une capote, je t'offre mon fion...

— Ah super! Bien sûr j'ai une capote, même plusieurs!

Je me mis à 4 pattes, il me lécha ma rosette et c'était super. Je le pressais de m'enfiler, je lui mis la capote, il humidifia mon fion avec un peu de salive et là, il présenta son sexe à l'entrée de mon corps. Je sentais la chaleur de son gland sur mes entrailles. Il poussa petit à petit, la douleur gagna du terrain sur le plaisir, mais avec toute la douceur que je ne lui connaissais pas il m'enfilla doucement, et peu à peu mon fion s'habitua à son chibre et le plaisir remplaça la douleur.

À une séquence très rapide, il me tringla, j'avais repris du poils de la bête, le plaisir était tellement immense que j'étais à deux doigts de jouir lorsqu'il se retira de moi, enleva sa capote et m'éjacula au visage. Je fis de même. Nous nous enlassions avant d'inverser les rôles. Seb se mit à 4 pattes et avec la même délicatesse que lui, je le tringlai à fond. Contrairement à moi, il souffre plus et il a perdu toute son érection. Je m'appliquais à lui redonner forme. Et comme deux grands amours, nous avons éjaculé en même temps. Nous échangions un long baiser avant de nous diriger vers les douches pour faire un brin de toilette.

Toute la nuit nous avons eu une petite discussion:

— Génial hormis les douleurs de la pénétration.

— J'ai vu, tu as même perdu complètement ton érection, mais j'ai su avec doigté te redonner le plaisir...

— Je m'en suis rendu compte, tu baises comme un dieu!

— Arrête de me jeter des fleurs, toi aussi tu baises comme un roi, quelle douceur. Chapeau!

Le matin arriva et le pion vient nous allumer la lumière et nous dit:

— Eh les gars! Vous pourriez être un peu plus discret lors de votre tringlage!

— Arrête, j'ai tout vu. Je me suis masturbé 2 fois grace à vous! Merci.

— Par contre la prochainne fois je m'invite ok! Sinon direction CPE!

— Arrête tes menaces, on t'invite...


(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
En sueur, je me déshabille et entre dans la douche. Il est 17h30, mon fils vient de partir à l'entraînement de foot, et reste à la maison son pote Victor qui joue sur la PlayStation et qui l'attend pour aller au ciné avec leurs deux copines à 22h. Ma femme est partie chez des copines pour une soirée entre gonzesses.

Je me retrouve donc seul avec ce jeune mâle de 18 ans. En me savonnant, je pense à lui, à son corps bien sculpté par des années de sports, à ce sourire ravageur, à ses poils bien noirs, à ses bras puissants. Je l'imagine allongé sur le lit de mon fils absorbé par un jeu débile. Puis soudain, on frappe à la porte de la salle de bain:

— M'sieur c'est Victor! Quelqu'un vous demande au téléphone. Vous pouvez venir?

Avec un peu de vergogne, je décide de le mettre mal à l'aise, je sors de la douche et tout nu comme un vers, je me dirige vers le salon pour prendre mon correspondant. Je vois bien que Victor devient rouge de honte et se détourne de ma nudité mais bizarrement, il reste là au lieu de retourner dans la chambre de mon fils. Pendant que je discute avec mon correspondant, je me touche le sexe, ce qui a pour effet de le faire grandir rapidement. Je fais mine d'avoir oublié le jeune Victor qui ne sait plus quoi faire.

Je vois que son jean prend des volumes au niveau de son bassin. Une barre maintenant traverse sa braguette de part en part. La conversation téléphonique s'éternise et mon jeune ami est de plus en plus mal. Il décide de se mettre torse nu et retire ses chaussettes. Je le regarde avec un air sévère pour le décourager mais Vic reste en jean et s'étire vers l'arrière faisant jouer ses abdos et tous ses muscles. Un filet de poils bien noirs part de sa braguette et s'arrête juste en dessous du nombril. Le filet est court mais très fourni.

Ma bite est maintenant à l'horizontale, battant lourdement au rythme de mon cour. Elle des dimensions correctes: 18 cm sur 6. Mes couilles, à cause du froid, se sont resserrées sous ma queue et la chair de poule envahit mon corps. Vic a retiré son jean et reste en boxer short bien entrebâillé au niveau de la braguette. Avec indécence, je prends ma bite et la tape sur la table de la salle à manger; mon interlocuteur va terminer et je raccroche, assez essoufflé.

Vic s'approche de moi et introduit ma bite dans son boxer en rejetant sa tête en arrière. Je sens la chaleur de son corps sur ma bite et ses poils soyeux chatouillent mon gland décalotté! Je ne touche ce jeune mâle qu'avec ma bite mais cela me procure des sensations extraordinaires. Je m'appuie en arrière sur le buffet et décide de rester passif! Vic commence à me pincer les seins et à introduire un index dans ma bouche pour l'humidifier; ce mec est dingue parce qu'il pose de suite son doigt mouillé sur mon anus pour le pénétrer sauvagement. J'écarte mes cuisses pour lui faciliter le travail, maintenant il me pistonne avec son index et ça commence à me chauffer le cul.

Je l'entends qui marmonne: "Sale pédé, je vais lui en donner moi de la bite." Il se relève, descend son boxer et m'appuie sur la tête pour que je le suce. Sa bite est plus grande que la mienne, ce qui me complexe par rapport à mon âge, mais ses bras puissants m'obligent à le sucer jusqu'au bout! Ce jeune gars est viril au possible. Il bouge son corps pour me pénétrer la bouche comme si c'était une chatte baveuse. De temps à autres, il ressort sa queue et me flagelle le visage avec.

Mais je décide de ne pas me laisser faire par ce type bien trop présomptueux. Je me relève brusquement, le retourne et me mets à lui bouffer son petit cul bien serré. Il est vraiment bien velu et entre les couilles et le cul, une forêt de poils sentent fort la transpiration. Ma langue force le passage de son anus et il commence à haleter fortement. j'introduis un doigt, il pousse un petit cri. Je tourne le poignet en ressortant mon doigt pour bien le travailler; il crie à nouveau et j'introduis deux doigts. Il essaye de retirer ma main mais je ne cède pas et travaille son cul. Ses muscles jouent sur tout son corps il est magnifique, la sueur perle partout et son corps luisant va me pousser à l'enculer.

Je crache sur mon gland une salive bien épaisse et en lui écartant les fesses, je lui demande: "Tu es bien majeur Vic?" Quand il me répond oui, je force le passage de son anus serré et d'un coup, l'encule jusqu'à la garde. Il panique, il me dit: "Arrête! J'ai trop mal." Je lui dis: "Panique pas, je vais te niquer." Ce jeu de mot me fait rire, lui non. Après une minute, je le prends par les épaules et je me mets à l'enfiler avec rythme. Il beugle tout ce qu'il sait mais ses plaintes se transforment rapidement en gémissements, du liquide coule le long de ses cuisses poilues, ses cuisses sont bandée à mort. Il est beau dans l'effort et la soumission. Je caresse son torse mais refuse de toucher à sa bite qui bat contre le dossier du canapé. Je sens le sperme qui effectue son trajet je long de mon corps, j'étouffe un cri et balance toute la purée dans ses entrailles jusque ici vierges. Il pousse un "oh!" et je vois du sperme couler le long du canapé.

Je me retire lentement de son cul, il beugle encore une fois et se retourne et me décoche un direct à la mâchoire en me disant: "Putain! C'est la première fois mais qu'est-ce que c'est bon! Je ne suis pas pédé mais franchement, c'est bon." Je me relève, lui prends sa bite dans la main et ainsi le tire vers la douche pour le laver entièrement. J'insiste sur son petit trou qui me paraît bien ouvert.

Épuisés on s'installe avec des bédés sur le canapé du salon et on attend mon fils et les deux copines comme si de rien n'était.

En partant, ce vicieux de Victor me met la main au paquet discrètement en me clignant un oeil. Pas mal ce petit mec hétéro; et sa copine est mignonne...


(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Hello, je m’appelle Yehan, j’ai 19ans, 1m85, 75 kg, cheveux châtains, yeux marrons, torse et cuisses imberbes et j’ai un frère de 17 ans.

L’histoire qui m’est arrivée s’est déroulée il y a un peu plus de six mois. Nos parents étaient partis au chalet pour le weekend et mon frère Mathieu avait invité un de ses amis, Marc, à venir passer le weekend chez nous. Ne voulant pas passer ma soirée avec deux «petits», j’étais sorti le samedi soir de mon côté avec des potes.

Lorsque je suis rentré, il devait être 2h du matin et tout le monde dormait. J’étais fatigué mais j’avais envie de prendre une douche et de me branler un coup étant donné que ma copine n’avait rien voulu faire ce soir. Je suis donc rentré dans la salle de bain et j’ai commencé à me doucher.

Une fois ma douche finie, je me suis essuyé et j’ai remarqué que la porte de la salle de bain était entre ouverte, alors que j’étais sûr de l’avoir fermée. Je regardais dans la glace et vis que Marc, le pote de mon frère, me matait par la porte. J’ai donc décidé de lui montrer ce qu’était une vrai bite de grand...

Je dois dire que je suis assez fier de ma queue: elle fait presque 20 cm pour un diamètre de 6 cm, j’en suis fier et ma copine l’adore. Enfin bref, j’ai donc commencé à me regarder dans la glace et à me caresser la queue, jetant toujours un œil pour voir ce que faisait Marc. Et il se caressait le caleçon le petit salop.

Je me suis donc retourné et l’ai appelé:

— Si tu voir mieux faut ouvrir la porte Marc!

Et là la porte s’est ouverte, Marc était debout, le caleçon tendu.

— Eh ben, Marc, on n’arrive pas à dormir? Je te plais comme ça on dirait, petit pMere Et Fille Francaise Baise
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