La Bite De Mon Homme

La Bite De Mon Homme




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































La Bite De Mon Homme
Veuillez séléctionner votre pays Belgique France Suisse Canada Maroc Algérie Tunisie Autre Veuillez séléctionner votre pays.
Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
« Le plus frappant, c’était qu’il y avait beaucoup de veines. On aurait dit le bras d’un homme après qu’il ait soulevé des poids. » – Julie R. « J’ai directement pensé, ‘Le trou est, genre, en train de me regarder. On dirait une sorte de pupille ou quelque chose comme ça.’ C’était comme un troisième œil. » – Annie P. « C’est vraiment marrant à regarder, et en même temps, pas du tout. Voilà ma première pensée. J’ai pris l’habitude de voir des pénis maintenant, mais je pense encore qu’ils ont un drôle d’aspect, parce que c’est le cas. » – Maria T.
« Ne vous méprenez pas, les vagins aussi sont bizarres, mais je n’y avais jamais vraiment pensé avant de voir mon premier pénis . Je me disais : ‘qu’est-ce qu’il se passe ici ? Pourquoi ne peuvent-ils pas être plus beaux ?’ » – Camille L.
« J’ai pensé, ‘mon dieu, dans quoi je me suis encore fait embarquer ?’ Je n’y étais pas du tout préparée et j’ai probablement froncé les sourcils, confuse. On aurait dit un ver géant. » – Isabelle D.
« J’avais déjà touché l’engin de mon copain quelques fois avant ça, mais quand je l’ai réellement vu, ça m’a dégoûtée. J’ai pensé : ‘je n’arrive pas à croire que je suis sur le point de mettre cette chose dans ma bouche.’ Mais je l’ai quand même fait. » – Dounia R.
« J’ai pensé : ‘personne ne m’a jamais dit que c’était violet à l’extrémité. Intéressant.’ Je croyais que tout était d’un seul ton. » – Lucie K.
« On ne peut pas regarder attentivement une verge sans voir les testicules, et ce sont les choses les plus bizarres au monde. Le premier truc qui m’est passé par la tête a été ‘cet organe est tellement étrange’. » Puis je me suis demandé : ‘Pourquoi sont-elles à l’extérieur ?’ » – Emilie H.
« La première fois que j’ai vu un pénis, je me suis rendu compte que la locution du ‘serpent à un œil’ était totalement vraie. De temps en temps, quand je vois un sexe en érection , cette expression me traverse encore l’esprit. » – Allison B.
« Franchement, j’étais choquée. Quand je l’ai touché, j’étais surprise par la douceur de la peau. J’imagine que toutes ces lotions qu’ils utilisent fonctionnent vraiment. » – Mégane D.
« La première fois que j’ai vu un pénis, je suis restée stoïque. Quand il a fait son apparition, j’ai pensé : ‘donc tout tourne autour de ça ?’ Je n’étais ni impressionnée ni excitée. » – Alia A.
« Les pénis que j’avais vus auparavant, c’était dans des films et ils étaient généralement en érection. Donc quand j’ai vu celui de mon copain de l’époque qui ne l’était pas, j’ai pensé : ‘Il ne devrait pas être plus gros ?’ » – Justine S.
« Je rase mes poils pubiens depuis qu’ils ont commencé à pousser, et j’ai supposé que les mecs le faisaient aussi. Donc quand j’ai vu l’impressionnant buisson de mon partenaire, je me suis dit, ‘Mais attends. Je croyais que tout le monde se rasait ?’ » – Carla. B.
Inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur le chemin du bien-être
Sera utilisé conformément à notre politique de confidentialité
Ce livre permet de se soigner naturellement. Plus de 150 affections y sont répertoriées. De « abcès » à « Yeux irrités » des centaines de remèdes y sont dévoilés en utilisant des solutions naturelles. Il est offert gratuitement en ce moment pour tous nos lecteurs
Copyright Santeplusmag © 2022. Tous droits réservés.
Le contenu du site santeplusmag.com y compris les textes, images et autres éléments sont strictement à titre informatif. Le Contenu n’est PAS destiné à se substituer à un diagnostique médical. Demandez TOUJOURS l’avis d’un médecin ou d’un autre professionnel de santé qualifié pour toutes les questions que vous vous posez au sujet d’un problème de santé.

Veuillez séléctionner votre pays Belgique France Suisse Canada Maroc Algérie Tunisie Autre Veuillez séléctionner votre pays.
Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
« Le plus frappant, c’était qu’il y avait beaucoup de veines. On aurait dit le bras d’un homme après qu’il ait soulevé des poids. » – Julie R. « J’ai directement pensé, ‘Le trou est, genre, en train de me regarder. On dirait une sorte de pupille ou quelque chose comme ça.’ C’était comme un troisième œil. » – Annie P. « C’est vraiment marrant à regarder, et en même temps, pas du tout. Voilà ma première pensée. J’ai pris l’habitude de voir des pénis maintenant, mais je pense encore qu’ils ont un drôle d’aspect, parce que c’est le cas. » – Maria T.
« Ne vous méprenez pas, les vagins aussi sont bizarres, mais je n’y avais jamais vraiment pensé avant de voir mon premier pénis . Je me disais : ‘qu’est-ce qu’il se passe ici ? Pourquoi ne peuvent-ils pas être plus beaux ?’ » – Camille L.
« J’ai pensé, ‘mon dieu, dans quoi je me suis encore fait embarquer ?’ Je n’y étais pas du tout préparée et j’ai probablement froncé les sourcils, confuse. On aurait dit un ver géant. » – Isabelle D.
« J’avais déjà touché l’engin de mon copain quelques fois avant ça, mais quand je l’ai réellement vu, ça m’a dégoûtée. J’ai pensé : ‘je n’arrive pas à croire que je suis sur le point de mettre cette chose dans ma bouche.’ Mais je l’ai quand même fait. » – Dounia R.
« J’ai pensé : ‘personne ne m’a jamais dit que c’était violet à l’extrémité. Intéressant.’ Je croyais que tout était d’un seul ton. » – Lucie K.
« On ne peut pas regarder attentivement une verge sans voir les testicules, et ce sont les choses les plus bizarres au monde. Le premier truc qui m’est passé par la tête a été ‘cet organe est tellement étrange’. » Puis je me suis demandé : ‘Pourquoi sont-elles à l’extérieur ?’ » – Emilie H.
« La première fois que j’ai vu un pénis, je me suis rendu compte que la locution du ‘serpent à un œil’ était totalement vraie. De temps en temps, quand je vois un sexe en érection , cette expression me traverse encore l’esprit. » – Allison B.
« Franchement, j’étais choquée. Quand je l’ai touché, j’étais surprise par la douceur de la peau. J’imagine que toutes ces lotions qu’ils utilisent fonctionnent vraiment. » – Mégane D.
« La première fois que j’ai vu un pénis, je suis restée stoïque. Quand il a fait son apparition, j’ai pensé : ‘donc tout tourne autour de ça ?’ Je n’étais ni impressionnée ni excitée. » – Alia A.
« Les pénis que j’avais vus auparavant, c’était dans des films et ils étaient généralement en érection. Donc quand j’ai vu celui de mon copain de l’époque qui ne l’était pas, j’ai pensé : ‘Il ne devrait pas être plus gros ?’ » – Justine S.
« Je rase mes poils pubiens depuis qu’ils ont commencé à pousser, et j’ai supposé que les mecs le faisaient aussi. Donc quand j’ai vu l’impressionnant buisson de mon partenaire, je me suis dit, ‘Mais attends. Je croyais que tout le monde se rasait ?’ » – Carla. B.
Inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur le chemin du bien-être
Sera utilisé conformément à notre politique de confidentialité
Ce livre permet de se soigner naturellement. Plus de 150 affections y sont répertoriées. De « abcès » à « Yeux irrités » des centaines de remèdes y sont dévoilés en utilisant des solutions naturelles. Il est offert gratuitement en ce moment pour tous nos lecteurs
Copyright Santeplusmag © 2022. Tous droits réservés.
Le contenu du site santeplusmag.com y compris les textes, images et autres éléments sont strictement à titre informatif. Le Contenu n’est PAS destiné à se substituer à un diagnostique médical. Demandez TOUJOURS l’avis d’un médecin ou d’un autre professionnel de santé qualifié pour toutes les questions que vous vous posez au sujet d’un problème de santé.




Rechercher :





Blog


Sex on the beach


Prof très particulière


C’est l’été, et il fait super chaud.


Mon moneyslave préféré


Saint-Valentin très privée


Mater des vidéos



Derniers commentaires Tania dans Tania Tania dans Tania Céline dans Céline Eric votre salope dans Tania Stephane dans Céline
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Ok Tout refuser Politique de confidentialité
Je m’appelle Charlène, j’ai 47 ans, et mon mari, Eric, a 49 ans. Nous avons toujours eu une vie de couple harmonieuse avec beaucoup de complicité, et la sensualité a toujours été présente.
Nous nous plaisons toujours, Eric a désormais les cheveux poivre et sel, mais il est toujours bel homme, les yeux bleus, sportif, grand, musclé, mince, avec la peau douce et un sourire charmeur.
Je m’entretiens aussi, car j’aime plaire et je ne m’en cache pas, je suis grande, brune, la peau mate, les yeux noirs, une silhouette élancée et des seins fermes, gros, et bien galbés que j’adore mettre en valeur avec ce la belle lingerie , comme mon cul rond et bombé…
C’est aussi un très bon amant, ce qui explique également la longévité de notre couple 26 ans que nous sommes mariés, tout de même ! Il est dirigeant d’une grande société et a beaucoup de responsabilités et je l’ai toujours beaucoup soutenu. Je suis moi-même cadre supérieur dans un hôpital et je sais ce que c’est d’avoir des responsabilités. Les enfants sont partis étudier et nous sommes désormais à nouveau un jeune couple qui se redécouvre…
Dernièrement, les découvertes ont été surprenantes…Il y a quelques mois, j’étais assise sur le canapé, jambes croisées, en tenue de travail, tailleur jupe courte et moulant.
Eric était assis à côté de moi, lisant le journal et il a soudain fait tomber un vase que j’aime beaucoup. On aurait dit qu’il l’avait fait exprès ! J’ai crié de surprise et lui ai dit « tu aurais pu faire attention ! »
Il a eu un drôle de sourire, comme si il me provoquait et j’ai été mécontente. Là, il a fait tomber le cendrier ! J’ai détesté ce comportement de gamin et je l’ai disputé, en criant très fort. Il n’a pas répondu, à genoux au sol en ramassant les dégâts, et quand il s’est relevé, j’ai vu qu’il bandait ! Et pas qu’un peu, il y avait une grosse bosse dans son pantalon.
J’étais encore plus furieuse qu’il prenne ainsi les choses à la légère ! Je lui ai donné une tape sur les fesses en le traitant de petit pervers. Jamais je n’aurais imaginé sa réaction il a frissonné de tout son corps, et d’une petite voix, m’a dit « oh oui, j’aime ça ! ». Je n’en revenais pas, et lui ai redonné une plus grosse fessée, par jeu, en disant « et là, tu aimes ! ». Il était tout rouge, la bosse toujours très grosse et il m’a dit « oh oui Maîtresse, j’aime ça, il faut me punir, je n’ai pas été sage ! ».
Quelle surprise, mon mari était donc un soumis ! Je lui ai dit « cela fait longtemps que tu es une petite lopette ? ». Il m’a répondu qu’il l’avait toujours été, mais n’avait jamais osé le montrer car il craignait ma réaction, mais que voyant que je devenais de plus en plus sûre de moi, avec mon boulot, etc, ma façon de gérer la maison, il avait pensé que le moment était venu de se dévoiler, certain que cela me plairait.
J’avoue que j’étais intriguée mais aussi assez excitée par la situation nouvelle ! Il s’est mis à genoux, et naturellement, j’ai retiré mon string, écarté les jambes, et je l’ai saisi par les cheveux en lui ordonnant de me lécher le minou. Il s’est exécuté avec sa langue râpeuse, je mouillais beaucoup, j’étais prêt à jouir quand il s’est interrompu en disant « merci Maîtresse ». Furieuse, je lui ai dit « espèce d’imbécile, bon à rien ! j’étais prête à jouir, et tu t’es arrêté trop tôt en parlant à tort et à travers, reste un peu dans ta condition, lopette, et fais-moi jouir avec la langue, tu parleras plus tard si je t’autorise ! ». Il était très excité et m’a fait jouir très vite avec sa langue.
Je l’ai repoussé par terre tout de suite, et lui ai ordonné de faire la vaisselle. « Bien Madame » a t-il répondu. Tandis qu’il l’avait, essuyait, je suis venue derrière lui, et j’ai baissé son pantalon : « tu seras mieux ainsi, lopette ! ». Je lui ai mis un doigt dans le cul sans prévenir en lui disant « allez, plus vite pour la vaisselle, bonne à rien ! ». Avec mon autre main, j’ai saisi sa bite toute raide qui perlait. J’ai crié « tu as demandé la permission à qui pour bander ? C’est MA queue, désormais, et c’est moi qui décide ». « Oh pardon, Maîtresse » a -t-il dit. Je l’ai poussé que la chaise pour qu’il s’assoie et je me suis assise sur lui, jambes bien écartées. J’ai saisi sa queue, et l’ai enfoncée dans ma chatte encore trempée, en lui disant « tu es mon sextoy , active -toi pour me faire jouir ». Là, je l’ai chevauché, jusqu’à ce que je jouisse et me suis retirée avant qu’il puisse éjaculer. « Interdiction d’éjaculer jusqu’à nouvel ordre, lopette, c’est compris ? C’est à qui, la queue ? « Elle est tout à vous, c’est votre queue, Maîtresse » a-t-il répondu, tête et yeux baissés en signe de soumission.
C’est bien, il avait compris la première leçon…
Moi je suis près a tout les excès analalors je vous attend les hommes ou femmes vicieuses
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)

Depuis deux ans je vis ma vie avec Thibault, l'homme que j'aime. Une décision réfléchie qui faisait suite à une liaison qui avait été sans nuage. Je l'avais connu à la fac et nous avions sympathisé. Pour les cours de géométrie nous avions formé un binôme. J'étais plutôt intellectuel et mathématicien par goût, lui était plutôt intuitif, nous nous complétions parfaitement. Thibault trouvait les pistes à suivre et moi je les finalisais dans la piaule que j'occupais au campus universitaire.

J'étais pédé depuis toujours, j'avais eu plusieurs expériences. Lui était carrément puceau. Il était bien plus beau que moi et je me trouvais très chanceux de l'avoir parmi mes amis. Chaque fois qu'il venait chez moi, j'avais la gaule et je me triturais le cerveau : comment l'amener dans mon lit ? Ma queue, tassée dans mon calbute, me causait une vraie souffrance et je devais, chaque cinq minutes, lui donner un peu plus d'espace. Comme il était très intuitif, il ne lui fallut pas longtemps pour identifier mon problème.

— Je vois que tu manques de tissu. Sors-la, ta pine, ne te gêne pas. Tu veux qu'on se fasse une branlette ?

— OK, mais d'abord on se met à poil.

Il avait un corps délicat, une queue longue et assez fine. J'étais grand, un peu efflanqué et ma bite était bien plus grosse. Je m'agenouillai aussitôt, l'objet de mon désir en bouche. Les pédés qui ne sucent pas sont pour moi des extra-terrestres, car sucer est consubstantiel à la sexualité entre hommes. Heureusement ils sont très rares et j'en ai très peu rencontré.

— Hé ! J'avais parlé d'une branlette !

On ne parle pas la bouche pleine et je continuai à sucer. Je ne savais pas alors si Thibault était gay ou non et il ne le savait pas non plus, mais il ne retira pas sa bite. Il est un proverbe qui dit que l'occasion fait le larron. La pine de Thibault gonfla et il me juta dans la gueule. J'avalai aussitôt son foutre et je me léchai les babines.

— C'est mieux qu'une branlette, dit Thibault.

Je n'allais pas dire le contraire. Je me redressai la queue raide.

— Si tu ne me rends pas la pareille, je devrai me branler, Thibault.

Ce ne fut pas une réussite même si l'intention y était. Les dents me râpaient la couronne et me faisaient un mal de chien. Je me dégageai et lui dis :

— Restons-en là pour aujourd'hui. On a un problème à finir. Quelle est l'aire de ce tétraèdre dont l'un des côtés est une courbe ?

— Il faut déterminer d'abord la surface de portion de cercle, l'ajouter à celle du rectangle et diviser par sinus b.

Son intuition avait vu juste mais il restait à faire des équations qui dépassaient sa compétence. Je fis rapidement les calculs.

— 18,43 cm, juste la longueur de ma bite.

— La géométrie mène à tout. Est-ce qu'elle te mènera dans mon lit ? Tu as compris que je suis gay.

— À vrai dire je m'en doutais. Tu crois que je le suis aussi ?

— Ce sera à toi de trancher. Tu restes dormir avec moi ?

En effet, ça ne coûtait rien et dès le matin au réveil Thibault et moi étions fixés sur son orientation sexuelle. J'avais trouvé place dans son cul et il m'avait dit :

— C'est mon truc. Tu crois qu'on pourrait vivre ensemble ?

Ça faisait deux ans maintenant et au plaisir de s'enculer s'était ajouté de l'amour. J'avais 23 ans, lui 22, et j'étais l'homme de notre couple. Non que Thibault fût féminin, mais quand il se donnait à moi, il se faisait tellement fragile que je voulais le protéger. Son anus était une chatte, je le pénétrais lentement et je lui donnais du plaisir. Il n'éprouvait pas le besoin de vouloir inverser les rôles, ce que j'aurais fait par amour même sans désir d'être passif. Nos bouches soudées par un baiser, ses minces bras autour de moi, ses jambes encerclant mon bassin, le livraient à moi corps et âme et quand je déchargeais en lui, son sperme jaillissait aussi. Étroitement mêlés l'un dans l'autre, nous nous endormions apaisés.

Comme nous vivions une vie de couple, nous ne nous séparions jamais. Mes parents l'avaient accueilli avec chaleur, heureux de voir que je me stabilisais enfin. Mon existence jusqu'ici avait été très chaotique et je ne me protégeais pas beaucoup. La chance m'avait accompagné et je n'avais rien attrapé. Thibault n'avait plus que son père et il me reçut fraîchement. C'était un homme de cinquante ans et qui me parut homophobe. Le coming-out de son fils l'avait laissé un peu groggy. Chef d'entreprise autodidacte, il possédait six concessions automobiles et n'avait qu'un seul héritier. J'avais ruiné sans le savoir ses espoirs de pouvoir transmettre le fruit du travail d'une vie à un garçon qui à son tour pourrait continuer la lignée. Car Thibault était fils unique. Une question me taraudait. Veuf à l'âge de quarante-deux ans, son père n'avait pas de compagne.

— Pourquoi ne s'est-il pas remarié ?

— Ça, c'est un mystère pour moi. Il a eu pas mal d'occasions mais est resté célibataire et pourtant c'est un très bel homme.

Oui, Jean Beltran était bel homme et paraissait dix ans de moins. Son visage était régulier et sa moustache très soignée, noire et en croc sous son nez droit, lui donnait un air conquérant. Sa silhouette haute et élégante, sa tête rejetée en arrière, tout en lui disait l'aristo. Et il vivait dans un château, une demeure du 17ème siècle avec deux tours, un pigeonnier, et un domaine de trois hectares dont s'occupait un jardinier.

Ma première visite au château me fit découvrir mon beau-père et un mode de vie inconnu. Né dans un milieu ouvrier, je n'avais jamais vécu comme Thibault dans des espaces aussi grandioses. Cuisine, salle à manger, bibliothèque, billard, salon, se trouvaient au rez-de-chaussée. À l'étage se trouvaient les chambres, chacune avec salle de bains. Sous les combles, se trouvait un sauna.

Pour entretenir la maison, une cuisinière-femme de ménage avait la mission impossible de gérer trois cent mètres carrés. C'était la mère du jardinier, un grand gaillard de trente-cinq ans dont le prénom était Thomas et qui servait parfois à table, l'air très stylé et impassible. Comme je l'ai dit précédemment, le premier repas fut contraint. Nous étions tous embarrassés et la conversation traîna. Ce fut un vrai soulagement de me retrouver dans la chambre enfin seul avec mon Thibault.

— Eh bien ça promet ! dis-je en quittant mes vêtements, si toute la semaine se passe ainsi, ça sera de drôles de vacances.

— T'inquiète, on ne restera pas. On patiente jusqu'à de
La fille est une garce et il veut la punir
La soumission est sa pratique préférée
Video Porno Fils Viol Mere

Report Page