L'Allemande punis son esclave 4

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L'Allemande punis son esclave 4
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esclave nÚgre [ HIST. ]  - nÚgre : terme actuellement injurieux ; emploi politiquement incorrect
der Negersklave  - Neger: heute stark diskriminierend
der Master-Slave-Betrieb pas de plur.
fonctionnement en esclave suiveur [ MÉTROL. ]
procédé maitre- esclave ( aussi : maßtre-esclave) à réarrangement [ TECHN. ]
les marrons m. pl.  - nom donné aux esclaves fuyards
se rendre esclave de qn./qc. [ fig. ]


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Chapitre 8 : « Un Orgasme bien huilĂ© » L’aprĂšs midi fila trĂšs vite aprĂšs que Billy ai joui (enfin). Lisa pris une douche puis elle s’occupa de rĂ©gler quelques affaires par e-mail ou rĂ©gla ses comptes. Elle passa quelques coups de fil Ă  ses copines mais toujours restait Ă  son esprit ce qu’elle avait planifiĂ© pour sa soirĂ©e. La felation qu’elle avait fait Ă  Billy allait lui assurer qu’il serait bien docile pour la nouveautĂ© qu’elle avait prĂ©vu. Elle le savait, sa soumission totale dĂ©cuplerait son plaisir et rien qu’en y pensant elle se sentait toute chose et dĂ©jĂ  humide, son sexe lĂ©gĂšrement gonflĂ© de plaisir. Elle avait hĂąte. De plus son esclave allait commencer une nouvelle pĂ©riode d’abstinence sans jouir alors que de son cĂŽtĂ© allait recevoir de nombreux orgasmes Ă  rĂ©pĂ©tition. « Quel rĂ©gal » pensa telle. Elle ouvrit le sac qu’elle avait ramenĂ© et regarda le sextoy qu’elle s’était commandĂ© quelques jours avant. Cela allait ĂȘtre extraordinaire. Elle en frĂ©missait d’avance. Ce soir elle
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4eme Chapitre : « Au claquement de doigt »
Lisa s’était amusĂ©e Ă  inventer une sĂ©rie d’ordres pour me guider et le tout Ă©tait rythmĂ© par des claquements de doigts. Ça se passait comme ça 
 elle m’appelait tout naturellement si je n’étais pas Ă  cĂŽtĂ© d’elle puis quand j’arrivais, claquait des doigts en me montrant ce qu’elle voulait, par exemple si elle pointait vers ses pieds, je savais qu’elle voulait que je m’en occupe, je tombais immĂ©diatement Ă  genoux et commençais Ă  embrasser ses pieds ou ses escarpins si elles les avaient encore. Au 2Ăšme claquement de doigts j’enlevais ses talons en douceur et commençait Ă  embrasser ses pieds comme elle aimait, au 3Ăšme claquement de doigt je lĂ©chais jusqu’à ce qu’elle me dise d’arrĂȘter. Tout Ă©tait possible pour elle, un claquement de doigt et elle pointait du doigt son cul et je l’embrassais sur les fesses, si elle montrait le canapĂ© je savais qu’elle voulait que je m’y allonge pour que mon visage devienne son « petit coussin » etc etc. Elle pouvait presque me commander sans avoir Ă  me parler. Rien qu’en claquant des doigts. Cela fonctionnait super bien et on en rigolait beaucoup aprĂšs coup elle et moi. Elle disait que le monde serait beaucoup plus simple si tous les hommes Ă©taient comme moi hahaha. Je ne suis pas persuadĂ© mais peu importe.
Un soir assise sur mon visage comme Ă  son habitude, alors qu’elle surfait sur son portable sur diffĂ©rents sites internet dĂ©diĂ©s Ă  la domination fĂ©minine, elle dĂ©couvrit une pratique trĂšs proche du facesitting appelĂ©e le facefarting 
 ni plus ni moins pour la dominatrice que de peter au visage de son esclave, toutes les positions s’y prĂȘtait mais le reverse facesitting particuliĂšrement. D’abord surprise par cette pratique qu’elle trouva un peu extrĂȘme, Lisa fut intriguĂ©e puis elle chercha et se renseigna trouvant facilement de nombreuses vidĂ©os montrant comment des dominas de par le monde entier s’y prenait pour lĂącher leurs gaz au nez de leurs esclaves. Plus le pet Ă©tait odorant, plus l’esclave Ă©tait incommodĂ© et la domina satisfaite car elle avait rĂ©ussi Ă  forcer son soumis Ă  accepter un acte d’humiliation trĂšs sĂ©vĂšre. Elle avait dĂ©jĂ  lors de nos nombreuses sĂ©ances de facesitting retenue une envie de peter mais plus elle y pensait plus elle trouvait l’idĂ©e intĂ©ressante. Et plus elle cherchait plus elle en dĂ©couvrait sur cette pratique, des histoires, des vidĂ©os, des photos. Internet Ă©tait rempli de sites gratuits ou l’on pouvait voir des femmes plus belles les unes que les autres dominer des esclaves les transformant en filtre Ă  gaz leurs nez pressĂ©es contre le cul de leur maitresse 
 et dire que certains croient que les femmes ne petent jamais 

La premiĂšre fois qu’elle dĂ©cida de me gazer fut un peu spĂ©ciale. Je ne m’attendais pas du tout Ă  ce qui allait m’arriver. Le matin aprĂšs m’avoir embrassĂ© avant de partir pour son travail, elle posa une chaise appuyĂ©e contre le pied du lit. Quand je lui demandais pourquoi elle avait fait ça elle me rĂ©pondit avec un sourire et en caressant mon nez que « c’était un support pour le systĂšme de filtration d’air ». Je ne compris rien Ă  son allusion et Ă  midi elle m’envoya en sms une photo de son plateau repas chose qu’elle ne faisait pas habituellement (elle prĂ©fĂ©rait des photos intimes de son sexe, de ses fesses, ses jambes Ă©tendues sous son bureau ou encore des selfies avec son sourire Ă  me faire craquer
). Donc je ne compris rien Ă  cette photo montrant son plateau repas rempli de brocolis, de choux, un bol de chili avec un grand verre de Coca-cola. Je lui rĂ©pondis juste un « bon appĂ©tit mon amour ».
Quand j’arrivais Ă  la maison ce soir-lĂ . Elle Ă©tait dĂ©jĂ  la et m’attendait dans la chambre assise sur le lit. Elle portait son leggings lĂ©opard hyper sexy et je fus immĂ©diatement excitĂ© et prĂȘt Ă  tout pour lui plaire. Mais avant mĂȘme que je puisse l’embrasser ou lui dire bonsoir 

« CLAC ! » Elle claqua des doigts et pointa son index vers ses pieds. InstantanĂ©ment je m’approchais et me mis Ă  genou devant elle puis commençait Ă  embrasser les Louboutins que je lui avais offert quelques mois auparavant pour son anniversaire. « CLAC ! » Un 2Ăšme claquement de doigts et j’enlevais ses talons aiguilles mais alors que j’allais commencer Ă  embrasser ses pieds, elle m’arrĂȘta et m’ordonna.
- Stop ! Je n’ai pas envie de ça pour l’instant, allonge toi sur le lit mais met toi entiĂšrement sous les couvertures, repose tes jambes sur la chaise qui se trouve au pied du lit, je veux ta tĂȘte au milieu du lit mais sous les couvertures.
Sans vraiment comprendre je m’exĂ©cutais rapidement m’allongeant sur le dos. Elle me corrigea.
- Non, tourne toi sur le ventre et relĂšve le visage, cette fois je veux que tu puisses respirer normalement.
Une fois de plus j’obĂ©issais et me plaçait comme le souhaitait ma reine. DĂšs que je fus en place elle referma les couvertures sur moi et me rejoint en s’allongeant sur le dos dans le lit. Son cul moulĂ© dans son leggings ultra sexy Ă  quelques centimĂštres devant mon visage, ses jambes musclĂ©es passant au-dessus de ma tĂȘte et les pieds reposant dans mon dos (une position classique pour un cunnilingus sauf qu’elle avait autre chose en tĂȘte).


Lisa coinça les couvertures avec ses bras bloquant toute arrivĂ©e d’air et isolant l’intĂ©rieur du lit ou Billy se retrouvait enfermĂ©.
AllongĂ©e sur le dos, Lisa commençait dĂ©jĂ  Ă  ressentir les effets de tout ce qu’elle avait mangĂ© dans le seul but d’avoir des gaz (depuis toute jeune elle savait trĂšs bien que les choux et les brocolis la faisait Ă©normĂ©ment peter). Elle s’était retenue toute la journĂ©e afin de garder tous ses gaz pour ce soir, la torture allait pouvoir commencer. Lisa souriait comme une chatte qui aurait pris une souris au piĂšge. Sauf que la souris c’était Billy 

Un sourire diabolique se dessina sur les lĂšvres de Lisa et Ă  ce moment-lĂ  elle laissa s’échapper un Ă©norme pet pppppprrrrrrrrrrrrrrrrrttttttttttttttttt sous les couvertures, je fus d’abord choquĂ© quand je compris ce qu’elle venait de faire puis l’odeur d’Ɠuf et de brocoli pourri me pĂ©nĂ©tra et je me mis Ă  tousser tellement c’était insoutenable. Je commençais Ă  me dĂ©battre pour sortir de sous les couvertures mais elle m’en empĂȘcha et cria.
- ArrĂȘte tout de suite, je croyais que tu m’aimais ?
- Oui chĂ©rie je t’aime mais ça pue vraiment lĂ .
- Comment ça ça pue ! Je suis ta reine ici, pas ta chĂ©rie, ça devrait sentir la rose a tes yeux. Si ça pue ce n’est pas mon problĂšme mais le tiens alors si tu m’aimes, tu arrĂȘtes de te dĂ©battre tout de suite !
Billy se calma sous les couvertures Lisa fut satisfaite mais elle en voulait plus.
- Je veux t’entendre respirer profondĂ©ment par le nez Ă  chaque fois que je claquerais des doigts c’est compris !
Le ton de sa voix Ă©tait trĂšs directif mais aussi suppliant (elle savait exactement ce qu’elle faisait en jouant sur l’affectif) et une fois de plus je me soumettais et reprenais ma position allongĂ© sur le ventre.
Pour ajouter Ă  sa domination Lisa claqua des doigts « CLAC ». De ce simple geste elle pouvait lui commander de faire tout ce qu’elle voulait, mĂȘme si lui ne le voulait pas, et comme prĂ©vu Billy obĂ©it.
Sous les couvertures, je me mis Ă  respirer profondĂ©ment par le nez comme elle venait de me l’ordonner. A chaque inspiration je remplissais mes poumons des gaz qu’elle venait de lĂącher sous les couvertures juste 15cm devant mon visage. Je n’en revenais pas, Lisa Ă©tait une vĂ©ritable princesse Ă  mes yeux mais jamais je n’aurais pu imaginer qu’elle puisse produire quelque chose d’aussi horrible.
- Laaaaa c’est trĂšs bien. dit-elle le sourire aux lĂšvres tout en caressant sa tĂȘte par-dessus la couverture.
Lisa Ă©tait extatique, elle venait une fois de plus de lui faire accepter sa domination et elle gloussait en silence sachant comme elle Ă©tait ballonnĂ©e qu’elle allait pouvoir le gazer toute la soirĂ©e. Quand il allait sortir de sous les draps si elle dĂ©cidait de le laisser sortir, il serait dans un drĂŽle d’état. Lisa senti son ventre ronronner, hoo hooooo ouiiiiii se dit elle le prochain va ĂȘtre Ă©norme.
« Attends un peu » et vicieuse jusqu’au bout elle s’enfonça un peu plus dans le lit jusqu’à sentir le visage de Billy collĂ© contre son cul, elle plaça ses fesses de part et d’autres de son nez.
« La c’est mieux comme ça, je veux ressentir ta respiration entre mes fesses a travers mon leggings.
En bon soumis obĂ©issant qu’il Ă©tait Billy continuait Ă  respirer calmement. Il avait du s’imaginer qu’il allait souffrir 15 minutes et que ça aurait Ă©tĂ© fini, il ne pouvait pas ĂȘtre plus loin de la vĂ©ritĂ©. Lisa avait prĂ©vu de le garder la soirĂ©e entiĂšre et peut ĂȘtre un bout de la nuit dans cette position. De toute façon elle le savait, elle allait avoir des gaz jusqu’au lendemain.
Son ventre gargouilla encore et Lisa ferma les yeux et contracta Ă  peine ses abdos pour lĂącher un bruyant ppppppprrrrrrrrrrrrrrrrrrttt qui dura plusieurs secondes. Ce pet la fut si long qu’elle senti ses fesses vibrer contre le nez de Billy. Lisa claqua des doigts « CLAC !!!» et ne put s’empĂȘcher d’éclater de rire quand elle senti son pauvre Billy qui se mit Ă  respirer plus fort entre ses fesses comme elle venait de lui ordonner d’un simple claquement de doigt. Elle le laissa respirer plusieurs fois profondĂ©ment avant de lui demander.
Ça sent bon mon amour ? En tout cas, je n’ai pas envie de vĂ©rifier. Ici je ne sens rien du tout et c’est trĂšs bien comme ça. Une reine comme moi ne devrait jamais respirer ses propres gaz, tu ne crois pas ?
Lisa Ă©tait capable de forcer les gens Ă  quitter une salle de rĂ©union si elle petait silencieusement (ça la faisait beaucoup rire d’ailleurs de voir les mecs s’accuser pensant tous qu’une si belle femme puisse ĂȘtre Ă  l’origine d’un tel acte) mais le mot clĂ© ici Ă©tait salle de rĂ©union 
 elle eut peine Ă  imaginer la torture de son pauvre Billy enfermĂ© sous les couvertures 😈 et lui ne pouvait pas s’enfuir.
A l’humiliation de devoir respirer ses pets, Lisa ajoutait la moquerie. Comme le voulait ma position de soumis je lui rĂ©pondis et mĂȘme si j’aurais voulu sortir de ce lit, mon envie de faire plaisir Ă  ma domina fut plus forte.
- Oui ma reine, ça sent trÚs bon menti Billy.
Haaa c’est parfait alors mon cƓur, tiens rĂ©gale toi avec celui la ! « CLAC » (claquement de doigts) pppprrrrrrrrrrrttttt. Je pense que tu vas passer une bonne soirĂ©e sous la couette hahahaha,
Moi je ne peux pas sentir mes pets et heureusement d’ailleurs mais tu sens cette odeur ? C’est les brocolis qui me donnent ces gaz terribles mais maintenant que j’ai fait de toi mon petit esclave Ă  pets je vais pouvoir en manger trĂšs rĂ©guliĂšrement parce que j’adore ça 😈 . Tu t’occuperas des gaz pour moi hein mon chĂ©ri ?
Oui ma reine. rĂ©pondis-je entre 2 longues inspirations inhalant les gaz de ma maitresse. Lisa entendit son ventre gargouiller et elle se mordilla les lĂšvres tout en claquant des doigts « CLAC ». Son cul laissa s’échapper un ppppprrrrrrrrttttttttt directement dans les narines de son esclave bien docile qui ventilait de plus belle.
Haaaaaa ouiiiii que ça fait du bien. Et pendant que Billy respirait ses gaz elle se moqua de lui. « BĂ©bĂ© pour une premiĂšre je trouve que tu t’en sort trĂšs bien. Maintenant quand tu me verras manger des brocolis tu vas trembler haha. »
Une heure plus tard, l’air sous les draps Ă©tait devenu irrespirable et dans un si petit espace les pets de ma reine semblaient ne jamais se dissiper. Ma respiration Ă©tait trĂšs lente, mon nez toujours calĂ© entre les fesses de ma reine. Il ne se passait pas 3 minutes sans qu’elle ai a nouveau envie de peter, je n’en pouvais plus et chaque fois que j’espĂ©rais que ça soit la fin, j’entendais Lisa claquer des doigts et je recommençais Ă  respirer de toutes mes forces juste pour lui faire plaisir tandis qu’elle me gazait Ă  bout portant. Je l’entendais rire Ă  chaque fois, elle semblait passer un trĂšs bon moment et ne jamais vouloir s’arrĂȘter. Effectivement je compris enfin pourquoi ma reine avait mis la chaise contre le lit ce matin (le fameux support pour mes jambes afin d’avoir la tĂȘte au niveau de son cul dans le lit) et la photo de son plateau repas. Cruellement, elle avait tout planifiĂ© depuis le dĂ©but.
Confortablement allongĂ©e dans son lit la tĂȘte au dessus des couvertures, lisa souriait comme une diablesse. Elle Ă©tait trĂšs satisfaite de la façon dont se passait sa soirĂ©e, elle regarda sa montre, il Ă©tait 20h00. Cela faisait plus d’une heure qu’il Ă©tait sous les draps Ă  respirer sans se plaindre ou presque tous les gaz qu’elle lui envoyait. Elle avait du mal Ă  y croire mais sa soumission lui faisait ressentir un tel pouvoir que plus jamais elle n’arrĂȘterais de le dominer. Ça devait ĂȘtre l’enfer pour lui. Il toussait, il pleurait elle le savait et son nez devait ĂȘtre en feu mais elle n’en aimait que plus sa soumission. Maintenant elle allait vraiment tester sa rĂ©sistance. Elle attrapa un livre sur sa table de nuit et lu toute la soirĂ©e n’entendant que le bruit de sa respiration sous les draps, la respiration de son Billy dĂ©vouĂ©. Elle n’avait pas bougĂ©e, son cul toujours appuyĂ© contre son visage avec le nez de Billy bien calĂ© entres ses fesses avec juste assez d’espace pour respirer (elle pouvait ressentir le va et viens de sa respiration) elle n’avait qu’à claquer des doigts pour qu’il accĂ©lĂšre sa respiration au moment oĂč elle sentait venir un pet. C’était la premiĂšre fois qu’elle testait cette forme de domination et devait bien avouer qu’elle trouvait ça trĂšs drĂŽle mais surtout cela lui donnait un sentiment de puissance et de plaisir trĂšs intense. Et vu le festin de brocoli qu’elle avait mangĂ© Ă  midi, elle allait pouvoir rester encore plusieurs heures Ă  le gazer, pauvre Billy hahaha, dire qu’il endurait tout ça par amour pour elle. Pendant ce temps au moins elle pouvait profiter de son bouquin et respirer l’air frais de la chambre.
Avec ma reine, ma torture Ă©tait autant physique que morale. Rester enfermĂ© comme ça sous les couvertures Ă  respirer uniquement ses pets Ă©tait difficile mais me forcer Ă  accĂ©lĂ©rer ma respiration lorsque elle lĂąchait ses gaz Ă©tait quand mĂȘme trĂšs vicieux. Elle s’était placĂ© de sorte que mon nez Ă©tait comme enfermĂ© en face de ses fesses. Depuis des mois, elle me dominait dĂšs qu’elle le voulait de toutes les façons possible mais c’était la premiĂšre fois qu’elle me gazait. Son plaisir Ă©tait ma prioritĂ© et elle semblait aimer me dominer plus que tout. Tant pis pour moi si ça impliquait de me retrouver dans des positions dĂ©sagrĂ©ables comme ce soir.
Lisa senti venir encore un pet, elle regretta de ne pas les avoirs compter. La prochaine fois elle lui ordonnerait de le faire et elle se promit de recommencer dùs qu’elle le pourrait.
N’ayant plus de signes de vie depuis plusieurs minutes Lisa appela son esclave.
Billy chéri tu es toujours en vie ?
Elle l’entendit trĂšs faiblement sous les couvertures. « Oui ma reine ».
« Haa, tant mieux’ j’arrĂȘte pas de peter ce soir je sais pas comment tu fais pour supporter mes gaz. Mais ça serait dommage que tu rates le prochain.» son ventre ronronna et elle eut un sourire narquois claquant des doigts « CLAC !!! ». ImmĂ©diatement elle entendit et ressenti le nez de Billy qui commençait Ă  ventiler entre ses fesses comme un aspirateur ssssssnnnnnnnnniiiiiiiiiffffffffff. Une seconde plus tard, son cul de dĂ©esse lĂącha un long, trĂšs looooong fffffffffrrrr frrrrrrrrrrr fffffffffrrrrrrrrrrrrrrrrr, ce pet brĂ»la presque son anus tellement il Ă©tait chaud et Lisa poussa un « houuuuuu » de soulagement puis un rire « hohoho yessss » un silencieux (les plus mortels) pensa Lisa avec un sourire de satisfaction 😈 .
Fiùre d’elle, elle tapota sur son v
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Ces deux gouines se bouffent la chatte et baisent avec un gode ceinture
Jeune prostituée avec son cul brisé en deux

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