L'étudiante black est de retour

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L'étudiante black est de retour
Heïdi Soupault est étudiante en sciences politiques. Elle plaide pour un retour des cours en présentiel à l’université pour les cours de travaux dirigés. (L'Obs)
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Girlpower a posté le 17 janvier 2021 à 11h24
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Plumeetpinceau a posté le 17 janvier 2021 à 08h44
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diabolodenfer a posté le 16 janvier 2021 à 10h46
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rouveyrol a posté le 16 janvier 2021 à 10h19
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diabolodenfer a posté le 16 janvier 2021 à 10h40
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rouveyrol a posté le 16 janvier 2021 à 14h42
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Pouldiguy a posté le 16 janvier 2021 à 14h11
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colvestro a posté le 16 janvier 2021 à 09h53
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VIDEO. Heïdi Soupault, étudiante en deuxième année de licence à l’IEP de Strasbourg, a écrit une lettre au gouvernement pour alerter sur l’état de détresse du monde étudiant. Alors que Jean Castex a annoncé un retour très limité en présentiel à l’université pour les étudiants de première année, elle réclame une date butoir pour le reste des effectifs.
« Souvent, je pleure devant mon ordinateur sans vraiment savoir pourquoi… » Heïdi Soupault étudie les sciences politiques à I’IEP de Strasbourg. Avec sa voix guillerette et sa bonne humeur, l’étudiante de deuxième année donne le change. Mais derrière une façade enjouée, le quotidien qu’elle décrit n’a rien de reluisant.
Comme plus d’un million et demi d’étudiants en France, la jeune femme de 19 ans n’a pas mis les pieds en cours depuis plusieurs mois. Pour elle, pas d’amélioration en vue : si le Premier ministre Jean Castex a annoncé , jeudi 14 janvier, un retour en présentiel à l’université, celui-ci ne s’applique qu’aux étudiants de première année et ne concerne que les cours en travaux dirigés, en demi-groupe. Soit une très petite minorité des cas. Pour le reste des effectifs, le flou demeure, déplore Heïdi Soupault.
L’étudiante plaide pour un élargissement du retour en classe de travaux dirigés à tous les étudiants. « Ce sont des cours où l’on est environ 25, ce n’est pas plus qu’une classe de primaire… », fait-elle notamment valoir.
Comme beaucoup d’autres étudiants, Heïdi Soupault est au bord du gouffre. Une détresse dont elle a fait part dans une lettre ouverte destinée au gouvernement, dont elle a lu quelques extraits pour « l’Obs » dans la vidéo ci-dessous , en plus de répondre à nos questions.
Alors que de nombreux étudiants ont exprimé leur souffrance avec le hashtag #EtudiantsFantômes , la force de la lettre de la jeune femme a sans doute été de pointer du doigt la difficulté de ne pas pouvoir se projeter :
Son texte, où elle se qualifie de « morte-vivante » , a d’abord connu un engouement auprès de la communauté des « sciencepistes », avant d’être partagé massivement sur les réseaux sociaux.
« Oui, il y a pire que nous, mais je ne pense pas qu’il faille hiérarchiser les souffrances » , défend la jeune femme, qui a bien conscience qu’elle n’est pas la plus à plaindre : en colocation, elle souffre moins de l’isolement que ses camarades confinés dans les petites chambres des résidences universitaires.
Pour certains, la souffrance et l’isolement ont déjà conduit à des drames. Depuis le début de la crise sanitaire, les jeunes affluent dans les services d’urgences psychiatriques. A Lyon, deux étudiants ont voulu se défenestrer depuis le début du mois. Pour l’un, le pronostic vital est engagé. L’autre a été retenue in extremis par des témoins. Dans son adresse au gouvernement, Heïdi concluait : « La majorité ne sautera pas, rassurez-vous, mais la morosité nous aura rongés jusqu’à l’os ».
Il y a un gros problème avec ces jeunes beaucoup ont déjà décroché ! Au delà de la déprime et du risque de suicide ( c’est un âge où le risque de suicide est très important) il y aura un manque de compétences dans quelques années si on ne forme pas nos jeunes ! Il faut prendre ce problème au sérieux ! Les vrais héros de cette crise sont peut-être nos ados et jeunes adultes!
Depuis six mois, c'est le bal des pleureuses en continu dans les médias. Tous ces pôvres "étudiants" sont-ils dans l'impossibilité d'étudier? Non, absolument pas. Ils peuvent, au contraire, bosser comme jamais en économisant le temps perdu à aller dans les amphis mais bosser ne fait plus partie de leur cursus. Ce qui les traumatise, c'est leur manque de contacts sociaux, autrement dit de faire la fête tous les soirs avec les potes! On croit rêver! Etudiant ça vient d'étudier, là on parle de fêtards, d'une génération d'enfants gâtés qui ignorent le sens du mot effort, juste bonne à réclamer toujours plus d'aides pour continuer à fuir la vie réelle le plus longtemps possible...
Comment faire comprendre aux psychos rigides qui nous répètent en boucle "Et alors! De quoi ils se plaignent? Ils sont indemnisés!" que d'abord tout le monde n'est pas indemnisé. tout le monde ne peut pas se permettre de rester à la maison car la chèque ne tombe pas tout seul....Ils en parlent à leur aise parce que le chèque , pour eux tombe régulièrement, et je ne leur conteste pas ce droit, surtout pour les retraités...Seulement il serait quand même temps de comprendre que pour le payer, ce chèque, il faut de l'argent dans les caisses et que les caisses sont en train de se vider à vitesse grand V parce que des secteurs comme la restauration et le tourisme pour ne citer qu'eux produisent d'énormes richesse...Et qui si on continue à se cloitrer les chèques risque d'abord de diminuer, puis de disparaitre...Et là, il sera tard pour se réveiller.....
Les commerçants, les salles des spectacles, les salles de sports, kes restaurants et bars, les stations de sport d'hiver et.......j'en oublie!!! Bien sûr que tout à chacun comprend leur situation difficile malgré l'aide de l'Etat -tiens là personne ne se plain de l'Etat- mais quand j'entends leur proposition "laissez nous travailler" les bras m'en tombent...alors faudrait faire comme Trump...Une petite grippe qui passera vite..On fait
rien quitte ensuite à se plaindre de l'incapacité du gouvernent et bien sûr
la responsabilité de Macron forcément responsable de tout ça!!!
rouveyrol...Les bras vous en tombe parce que vous faites partie de ceux qui peuvent rester enfermés à la maison avec le chèque qui tombe en fin de mois...Alors essayez de comprendre que si votre chèque tombe tout seul c'est qu'il y a de l'argent dans les caisses...et quand des secteurs d'activité aussi important que la restauration et le tourisme et toutes les entreprises qui gravitent autour sont bloqués, les caisses se vident...Et bientôt on ne pourra plus payer votre chèque...et là les bras vous en tomberont deux fois plus...c'est difficile à comprendre, ca?
Alors allons y! Faisons comme si l'épidémie n'existait pas!!! Vous voilez que les caisses se remplissent pour ensuite les vider en distribuant des chèques..Bien sauf que laissez l'épidémie s'étendre risquerait à terme de manquer de bras pour les remplir vous fameuses caisses! Vous donnez l'impression de ne pas bien savoir comment fonctionne une épidémie!!
Quelque part vous n'avez pas tort... mais allez dire ça maintenant aux personnels hospitaliers qui luttent contre le virus et qui devront lutter 2 fois plus si on vous écoute !
Le risque de tout rouvrir, comme vous le souhaitez, apparemment, est d'augmenter encore le nombre de victimes, de façon exponentielle !
C'est ça le problème, d'abord !
Vous mettez l'économie avant la santé.
D'autres mettent la santé avant l'économie.
Dilemme cornélien.
Toute ma solidarité et compréhension pour cette catégorie de la population qui soit-disant devrait se taire car plus privilégiée que les autres.

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S’il était initialement prévu que Black Widow ouvre la phase 4 du MCU, la pandémie en a décidé autrement. Mainte fois repoussé, le film dédié au personnage de Scarlett Johansson est enfin disponible sur les écrans…
Black Widow prend place avant Avengers : Infinity War et juste après Captain America : Civil War . Pourchassé par les autorités, Natasha Romanoff se réfugie en Norvège où elle affronte Taskmaster, un super-méchant capable d’imiter ses adversaires. Une rencontre qui va pousser la jeune femme à remonter le fil de ses origines…
Loin des considérations cosmiques de certains de ses collègues, Black Widow évolue dans un univers plus terre-à-terre. Un peu comme Captain America mais sans les super-pouvoirs. En toute logique, son aventure solo ne convoque pas de thématiques trop fantastiques mais plutôt des codes chers aux films d’espionnage.
Tel James Bond, Natasha Romanoff est ici amenée à parcourir le monde pour découvrir le pourquoi du comment quant à une terrible machination. Ses investigations l’amenant également à renouer avec sa petite sœur et ses parents. Même si en réalité, c’est beaucoup plus compliqué…
Sur fond de Guerre froide, au cœur de magnifiques paysages, Black Widow raccroche les wagons avec Captain America et le Soldat de l’hiver et peine parfois à imposer de véritables enjeux.
L’action par contre est au rendez-vous. L’humour aussi car on reste dans une production Marvel relativement balisée et prévisible. Rempli de séquences parfois très impressionnantes, Black Widow parvient néanmoins à faire preuve d’une certaines cohérence, en imposant un discours féministe incarné sans se priver de foncer dans le tas. Oui, le méchant est un peu transparent, et oui, certaines bonnes idées ne sont pas vraiment exploitées (Taskmaster est un peu oublié en cours de route) et oui encore, le MCU s’est déjà montré plus audacieux mais, en l’état, Black Widow parvient tout de même à remplir sa part du contrat.
Un film qui de plus, bénéficie de l’investissement d’acteurs de premier plan : Scarlett Johansson tout d’abord, assure comme toujours. Elle est ici remarquablement accompagnée par Florence Pugh ( Les Filles du docteur March ), David Harbour ( Stranger Things ) et Rachel Weisz ( La Momie ).
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dbl8 a posté le 17 novembre 2016 à 16h48
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vladimir_i_o a posté le 17 novembre 2016 à 16h48
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anarchostalinien a posté le 17 novembre 2016 à 16h48
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yvon_le_za_bulon a posté le 17 novembre 2016 à 16h48
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pinkvictory a posté le 17 novembre 2016 à 16h48
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J’ai assisté à une scène assez étrange lors de mon dernier séjour à Paris  : cela remonte à quelques jours, fin juillet, en pleine saison touristique. Fatiguée d’avoir trop marché, je décide de faire une halte au niveau du pont Alexandre III. Je m’accoude à la rambarde pour me reposer et admirer ce chef-d’œuvre architectural et la vue sur les Invalides.
Mon esprit vogue au gré des bateaux-mouches de passage, lorsqu’un « Madame » vient interrompre mon activité méditative. En tournant la tête, je m’aperçois que ça ne m’est pas adressé, mais destiné à une femme occupée à prendre des photos à quelques pas de moi.
La personne qui a lancé le « Madame » est une jeune fille d’environ 25 ans. Son allure est rassurante, son look simple et discret... peut-être une étudiante, pensé-je.
L’étudiante pointe un objet brillant par terre, le ramasse et se dirige vers la femme aux photos. S’ensuit alors un échange troublant  :
La femme saisit l’objet que l’étudiante agite sous son nez  : un gros anneau doré, style jonc en or, l’examine quelques secondes, puis déclare : «  Effectivement, elle est poinçonnée, c’est sûrement de l’or  »
L’étudiante reprend la bague et revient à la charge  :
Cette dernière parle un français correct, mais avec un petit accent que mon oreille n’arrive pas à identifier.
Toujours en souriant, l’étudiante met la bague trouvée à son annulaire puis, l’air déçu, déclare : «  C’est dommage, elle est beaucoup trop grande pour moi.  » Elle l’ôte, la glisse prestement au doigt de la femme et dit avec enthousiasme : «  Regardez, elle est à votre taille, quelle chance  !  »
La femme tend la main devant elle pour voir l’effet. L’air satisfait, elle admet que la bague lui va très bien. L’étudiante ne lui laisse pas le temps de souffler et enchaîne  : 
La femme répond vivement qu’elle ne les a pas, l’étudiante prend une voix très douce  : «  Vous faites comme vous voulez... Elle vous plaît, c’est dommage de rater cette affaire. Combien vous avez  ? »
La femme sort son porte-monnaie et en tire deux billets bleus, l’étudiante dit que ça ira, s’empare rapidement des 40 euros, salue la femme, et les deux partent dans des directions différentes.
Cet échange s’est déroulé très vite  ; le temps qui sépare la rencontre de la prise de congé n’excède pas les trois minutes.
Après un moment, je décide de reprendre ma marche. Je me dirige vers les Champs-Elysées, en repensant à la scène dont je viens d’être le témoin  ; je me dis que cette étudiante est naïve ou pas très maligne, car au prix de l’or, n’importe quelle centrale de rachat d’or (comme on en voit un peu partout) lui en aurait offert plus que 40 euros...
Je constate aussi qu’à aucun moment, la femme et l’étudiante n’ont évoqué la possibilité de remettre la bague à la police.
Arrivée au niveau du Petit Palais, quelle n’est pas ma surprise de voir la même étudiante montrer une autre bague à une autre femme. Je reste interdite devant la scène déjà vue une demi-heure plus tôt  : soit l’étudiante a une chance inouïe et un altruisme surhumain, soit...
Je viens de comprendre qu’il s’agit d’une arnaque et que l’étudiante est un escroc. Cette fois-ci en revanche, elle a moins de chance : la femme abordée a l’air de ne pas parler français et semble méfiante. Elle hoche la tête frénétiquement en s’écartant de l’étudiante.
Poussée par ma curiosité et sans réfléchir, je m’approche de l’étudiante, la salue et sort un Ticket Resto de mon sac, je lui propose de l’échanger contre sa bague. Elle fait mine d’hésiter, je finis par lui avouer que je l’ai vue tout à l’heure, sur le pont Alexandre III. Elle prend le Ticket Resto, me jette la bague et s’enfuit à toute vitesse.
Je ramasse la bague et l’examine minutieusement. Elle est effectivement massive et pèse assez lourd. Deux poinçons sont gravés à l’intérieur  : « 750 » et « 18K ». A priori, rien ne les distingue des poinçons authentiques. Pour en avoir le cœur net, je me mets aussitôt en quête d’un bijoutier. Je traverse les Champs-Elysées, je passe l’Arc de triomphe et finis par en trouver un dans le XVIe arrondissement.
Je lui montre la bague et lui demande si c’est de l’or. Une seconde lui suffit pour m’affirmer de façon catégorique que c’est du toc. J’insiste pour savoir comment il peut en être aussi sûr si vite. Le bijoutier montre des signes d’agacement  :
Il me tend une boîte à chaussure pleine à craquer de bagues identiques à celle « trouvée » par l’étudiante, si ce n’est qu’elles sont oxydées et que leur couleur vire au gris vert.
J’expose au bijoutier les circonstances de mon acquisition et ma véritable motivation (la rédaction de cet article), il me répond :
Selon le bijoutier, cette escroquerie est apparue il y a quatre ou cinq ans, mais les cas se multiplient depuis 2010.
Si l’étudiante avait abordé ces femmes en leur proposant simplement de leur vendre des bagues en or, aurait-elle eu autant de succès  ? Probablement que non, car elle paraîtrait immédiatement louche, et la réceptivité des victimes au discours en serait drastiquement réduite.
Tandis qu’en mettant en place un scénario stratégique impliquant des procédés de manipulation, il est plus aisé pour l’étudiante-escroc d’arriver à ses fins, tout en faisant croire à ses victimes que la décision de donner de l’argent émane de leur propre volonté. Là réside l’art de la manipulation – dont l’étymologie ne signifie rien d’autre que « conduire par la main ».
Dans « Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens », rédigé par deux chercheurs en psychologie sociale, Vincent Joules et Jean-Léon Beauvois, on apprend que lorsqu’une requête est formulée directement, elle a peu de chances d’aboutir. Mais si une question anodine précède la demande, les probabilités de réussite sont multipliées par quatre.
La manipulation en question repose sur trois principes.
Effectivement, dans cette affaire, tout s’est joué lors de la phr
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