Kenza rencontre le magazine Swing

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Kenza rencontre le magazine Swing
Home INTERVIEWS INTERVIEW : Rencontre avec Kenza Farah

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Kenza Farah est de retour avec son nouvel album « Au clair de ma plume ». Elle nous a donné rendez-vous lors d’une grosse journée de promotion pour nous en parler.
JustMusic.fr : Ton dernier album « Karismatik » est sorti en 2014 et tu es enfin de retour avec « Au clair de ma plume » qui sera disponible le 22 février prochain. Pourquoi as-tu attendu autant de temps pour revenir avec ce nouveau disque ?
Kenza Farah : Depuis mes débuts, j’avais enchaîné les albums avec pratiquement 1 ou 2 ans d’intervalles. J’ai aussi enchaîné les tournées et je n’avais jamais pris de recul, ni de repos. J’avais besoin de me retrouver sur le plan personnel mais également musical, j’avais besoin d’autres choses et de prendre un peu de temps pour moi. C’était une nécessité pour justement revenir plus forte et sans deadline pour ne pas me mettre de pression. Je voulais être plus sereine et plus apaisée. J’ai raté tellement d’événements dans ma vie de tous les jours, car la musique est une petite partie de ma vie et j’avais négligé tout le reste. Il fallait que je me recentre sur l’essentiel, pour que ma musique continue à me parler pour ensuite pouvoir me livrer.
JustMusic.fr : En effet, tu t’es beaucoup livrée sur cet album et lorsqu’on l’écoute, c’est comme une sorte de mise au point. Dans le premier extrait « Photos », tu dis « que tu ne souriais plus sur les photos, que tu étais en deuil et que tu te sentais seule… ». Dans le titre « Au clair de ma plume », tu dis « qu’il y a eu des hauts et des bas dans ta carrière, qu’ils ont essayé de te détruire et qu’il faut que tu te tailles… ». Qu’est-ce qui s’est passé ? Ton nouvel album sort d’ailleurs dans une nouvelle maison de disques…
Kenza Farah : Je pense que c’est pour tous les types de travail et non pas que dans la musique, mais à un moment, on a besoin de changer de collègues, de cadre… J’étais arrivée à la fin d’un cycle et je n’avais pas envie de sortir des albums parce qu’il le fallait. J’étais prise par des obligations et j’avais envie de rentrer en studio quand je le souhaitais. Je ne savais plus ce que je voulais faire, du coup, il fallait vraiment que je change tout ! J’ai pris ma vie en main car j’avais besoin d’autres choses.
JustMusic.fr : Tu parles aussi d’amour et dans « Bandit » tu dis que « tu as le coeur bousillé, que tu ne veux plus de bandit car tu as trop donné… ». Ça va mieux aujourd’hui ?
Kenza Farah : Oui, ça va beaucoup mieux (sourire). Il faut savoir que dans mes titres, je me sers de ma vie, mais aussi des histoires qu’on me raconte… Il y a du vécu mais il y a aussi des choses qui sortent de mon imagination, ce n’est pas toujours personnel. Mais bien sûr ce sont mes mots et j’y ajoute ma touche (sourire). Au niveau de l’amour, je suis comme toutes les femmes et j’ai eu des déceptions amoureuses et j’en aurai encore. Tant qu’on est en vie, il nous arrive ces choses-là et c’est naturel. Comme j’ai la chance de pouvoir m’exprimer en musique, c’est vrai que mes états d’âmes reviennent souvent. Je suis plus à l’aise dans la mélancolie que dans la joie, malheureusement (sourire).
JustMusic.fr : Après la vie professionnelle et amoureuse, tu parles aussi de la trahison d’une amie dans « Hermana ». Mais dis-donc tu n’as pas eu de chance de ce côté là non plus…
Kenza Farah : Je ne pense pas que je n’ai pas de chance, mais je mets le doigt sur des sujets qui sont sensibles et qui peuvent arriver à tout le monde.
JustMusic.fr : Mais comme tu es une artiste…
Kenza Farah : C’est ça, comme je suis une artiste, on se dit que je n’ai pas de chance. Mais autour de moi, j’ai beaucoup d’amis qui se sont faits trahir. L’amitié, c’était un thème que j’ai voulu traiter dans l’album, et je voulais que les femmes puissent se reconnaître.
JustMusic.fr : Dans « La cible », tu parles de tes parents qui t’ont aidée à aller mieux. Quelle relation as-tu avec eux ?
Kenza Farah : Mes parents sont mes piliers, tout mon univers tourne autour d’eux et rien d’autre… Ce n’est pas la musique, la gloire, l’argent… mais tout tourne autour de ma famille ! Depuis toujours, ils m’ont toujours soutenue dans tous mes choix et même les plus douloureux. Quand j’ai voulu faire de la musique à 16/17, ils ont toujours été là et même quand j’ai eu des moments de doute, ce sont eux qui m’ont poussée à continuer. Je parle souvent de ma famille et des mes parents dans mes titres, car ils sont importants pour moi.
JustMusic.fr : Le titre « Dernier souffle » est très fort car tu dis que « tu as un flingue au-dessus de ta tête et que les gens qui t’entourent sont des pervers… que tu veux que ton ciel s’illumine. »
Kenza Farah : J’ai écrit ce titre dans une période très très bad. Il paraît sombre et il fait bien partie de moi. C’est une métaphore que j’ai employée car parfois on se sent obligé de faire les choses car on est dans un tourbillon, mais il faut aussi savoir se taire pour ne pas déclencher des guerres. Quand on est une personne publique, on a une arme, mais elle peut se retourner contre soi. Je ne m’exprime pas souvent sur ma vie personnelle, et c’est vrai que lorsque je le fais c’est toujours en musique et spécialement dans ce nouvel album.
JustMusic.fr : Est-ce que ça a été dur de te livrer autant ?
Kenza Farah : Ça n’a pas été difficile car je n’ai pas eu de pression, je l’ai fait au feeling et je n’ai écrit que lorsque j’en ressentais le besoin. J’écris souvent la nuit car je n’aime pas trop travailler en journée. Honnêtement, après avoir sortir 5 albums, je me suis demandé ce que je pouvais raconter… Quand on est vivant, on continue à avoir des expériences, à être déçu, à être amoureux, heureux, malheureux… Toute la vie, on a des choses à dire et mon inspiration, je la traduis en texte et musique. Ça n’a pas été difficile, au contraire, c’était naturel.
JustMusic.fr : Comment t’es-tu sentie à la fin et que ressent-tu en l’écoutant aujourd’hui ?
Kenza Farah : Je suis satisfaite, fière et contente car il reflète complètement tous les messages que je voulais faire passer.
JustMusic.fr : À quand de nouveaux concerts ?
Kenza Farah : J’espère bientôt car la scène me manque. On va attendre la sortie de l’album, je vais continuer la promo et on verra par la suite. Ce serait génial de refaire des concerts (sourire) !
JustMusic.fr : Quel est ton meilleur souvenir de scène ?
Kenza Farah : Il y en a eu énormément mais sans être originale je dirais que l’Olympia a été un moment fort ! C’est une salle mythique et beaucoup de grands artistes ont chanté sur cette scène. Sinon, il y a aussi mes premières dates à Marseille car ma famille ne m’avait jamais vue sur scène.
JustMusic.fr : Que peux-tu ajouter pour donner envie au public de découvrir ton nouvel album ?
Kenza Farah : Comme toujours, j’ai fait cet album avec le coeur ! Je pense qu’il est abouti car je l’ai fait sincèrement, j’y ai mis mes états d’âmes… (sourire).
JustMusic.fr : Pour terminer, as-tu un petit message à adresser à ton public qui attendait ton retour avec impatience ?
Kenza Farah : Je suis contente de leur offrir ce nouvel album, j’espère qu’il leur plaira et qu’il recevra un très bon accueil. Moi, en tout cas, j’en suis fière (sourire) !
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Kenza : Bonjour les garçons !Le groupe : Bonjour !Kenza : J’aime beaucoup « Automatic ».Bill : Merci beaucoup !Kenza : Je dois d’abord dire « Joyeux anniversaire Gustav » ! J’espère que ton anniversaire se passera bien.Gustav : Oui, oui, bien sûr.Kenza : Tu as prévu quelque chose pour ton anniversaire ?Gustav : Non, non, pas du tout.Kenza : Oh, eh bien peut-être que les garçons te prépareront un petit gâteau.Gustav : Non, je ne crois pas, nous ne faisons pas ça en principe. On ne s’offre pas de cadeaux les uns aux autres.Tom : Nous lui avons juste donné du raisin.Kenza : Ok … (rires) Alors, vous avez fini votre nouvel album « Humanoid ». Vous êtes satisfaits du résultat ?Bill : Nous avons mis longtemps à le produire, nous avons passé beaucoup de temps sur l’écriture, et ça nous a en fait pris un an. Et nous voulions continuer jusqu’à ce que nous nous sentions contents du CD. Et nous en sommes finalement très satisfaits. Nous sommes très contents de cet album. Nous sommes nerveux, nous attendons de voir ce que les fans en diront.Kenza : C’est votre album favori parmi tous ceux que vous avez déjà sortis ?Bill : Pour le moment, oui ! (rires)Kenza : Ok, nous sommes très pressés de l’écouter. Donc, nous avons vu la tracklist de l’album … Vous avez … Vous pouvez me donner un titre que vous préférez ?Bill : Oh, la tracklist a déjà été diffusée ? C’est intéressant, bon à savoir. Bref, oui, j’ai des chansons que je préfère. En fait, nous avons tous nos préférences, mais je ne veux pas les dévoiler maintenant, je veux attendre que l’album sorte partout. (rires)Kenza : Oh, je comprends ! Alors, j’ai reçu beaucoup de courriers de vos plus grands fans, parce qu’ils ont beaucoup de questions auxquelles ils aimeraient que vous répondiez ! Comme vous ne venez pas souvent en Suède, ils n’ont pas encore la chance de vous les poser. Donc, si vous aviez la chance d’interviewer un(e) fan, qu’est-ce que vous lui demanderiez ?Tom : Euh … (rires) On a intérêt à venir avec un bon truc.Bill : Oui, euh … Combien de fois s’est-il (elle) rendu à un concert de Tokio Hotel ?Kenza : D’accord, autre chose ?Tom : Euh … Oh, c’est vrai, on ne peut rien demander à ce propos, l’album n’est pas encore sorti. On ne peut pas non plus leur demander quel membre du groupe il/elle préfère, parce que c’est évident.Kenza : En parlant d’interview, on peut dire que vous en donnez beaucoup, mais est-ce qu’il y a une question en particulier que l’on vous pose souvent et que vous en avez marre d’entendre ?Bill : Euh … J’en ai marre qu’on nous demande si on est tous célibataires, et d’où nous vient le nom du groupe.Kenza : D’accord, donc d’où vous vient le nom Tokio Hotel ? Non, je rigole. J’ai quelques questions suédoises … Vous connaissez quelques mots en suédois ?Tom : Oui, « merde » et « merci ».Kenza : D’accord, alors les fans suédois aimeraient beaucoup vous entendre parler suédois, donc vous pouvez répéter après moi ?Le groupe : Ok. (Ils répètent)Kenza : Oh génial !Bill : Et ça veut dire quoi ?Kenza : Ca veut dire que vous aimez les Suédoises …Le groupe : Ah ! (rires) C’est vrai.Kenza : Est-ce que vous pourriez sortir avec des Suédoises ?Tom et Bill : Oui, bien sûr.Bill : Peu importe la nationalité, quand on tombe amoureux, on tombe amoureux. Tom était fou à l’idée de voir des fans suédoises, il ne se sentait plus dans la voiture. Donc je pense que les Suédoises ont marqué un bon point.Kenza : Donc, vous avez déjà joué un concert en Suède … Je crois qu’il y avait environ 8.000 billets, et ils ont tous été vendus en une heure ! Et en fait, vous n’êtes pas venus ! Et je me demandais vous aviez prévu de passer par la Suède lors de votre prochaine tournée …Bill : Oui, alors nous voulons nous excuser auprès de tous les fans et nous sommes désolés d’avoir annulé des concerts, mais malheureusement, je suis tombé malade. Nous allons vraiment venir jouer ici. Nous sommes décidés à le faire. Nous sommes en train de planifier la prochaine tournée, elle sera énorme, début 2010, et nous viendrons en Suède. Kenza : Maintenant, parlons un peu d’amour ! Georg, tu as une copine, c’est bien ça ?Georg : Oui, c’est vrai.Kenza : Ca n’a pas été difficile de lui faire confiance au début, comme tu es célèbre, enfin, tu ne t’es pas dit que tu devais faire attention ?Georg : Je pense qu’on se rend compte rapidement si quelqu’un est sérieux ou pas. Depuis le début, j’étais plutôt sûre qu’elle ne se moquait pas de moi.Kenza : D’accord. Et les autres, vous êtes célibataires, c’est ça ?Bill, Tom & Gustav : Oui.Kenza : Très bien … Vous trouvez ça dur de faire confiance à des filles ? Je veux dire … C’est la raison pour laquelle vous êtes encore célibataires ?Bill : Oui, c’est extrêmement dur de faire confiance à quelqu’un et d’apprendre à le connaître. La situation dans laquelle je suis avec des gens autour n’est pas normale. Peu importe où je vais, je ne suis jamais seul. Je n’ai jamais l’occasion de rencontrer une fille d’une manière normale. C’est assez irréaliste de penser que je puisse tomber amoureux dans le contexte où je me trouve en ce moment. Mais il y aussi une partie avec la confiance aussi.Kenza : Vous avez beaucoup de jeunes fans qui sont « amoureuses de vous », vous savez, celles avec les grandes pancartes pendant les concerts avec écrit dessus « Epouse-moi, Bill », ou « Viens, je suis enceinte », ou des choses comme ça, donc … Vous pensez que ce serait une mauvaise chose pour vous d’avoir une copine ? Parce qu’il y aurait beaucoup de mauvaises choses qui se diraient sur elles, des rumeurs …Bill : Je pense que beaucoup de fans seraient tristes, mais je ne le garderai pas secret, parce que … c’est bien d’être honnête. Mais je pense que pour le moment, il n’y a pas d’inquiétude à avoir, je ne vais pas tomber amoureux.Kenza : Donc vous ne garderez pas votre relation secrète, vous le direz à tout le monde que vous avez une copine.Bill : Oui, tout à fait.Kenza : Alors, Tom, qu’est-ce qu’une fille devrait faire pour t’impressionner ?Tom : Eh bien … Elle devrait me laisser l’emmener chez moi et coucher avec elle pendant le premier rendez-vous, ça c’est obligé.Kenza : Et qu’est-ce que toi tu fais pour impressionner une fille ?Bill : Il couche avec elle.Tom : Oui, je couche avec elle. (rires)Kenza : D’accord … (rires) Alors …Tom : Il y a des techniques …Kenza : Vous dites souvent qu’il ya des tas de choses que vous ne pouvez pas faire : vous ne pouvez pas faire du shopping, sortir avec des amis, enfin vous ne pouvez pas faire des choses « normales ». Vous êtes des célébrités, ça ressemble à ce que vous imaginiez avant ?Bill : Non, je pense que tout ce qu’on lit toute la journée sur les people, c’est en fait 10% de la réalité. Vous n’avez qu’une petite partie d’une vie qui est en fait en train de continuer son cours. Personne ne sait ce qui arrive réellement quand la caméra est éteinte, et la plupart ne se disent pas que la vie des célébrités continue toujours. Donc je pense que personne ne pouvait s’imaginer que ça serait comme ça, nous non plus. C’est quelque chose qu’on apprend quand ça nous arrive. Kenza : J’ai une dernière question pour vous : que voulez-vous dire aux fans suédois ?Bill : Nous voulons tous vous remercier, et nous sommes désolés d’avoir dû annuler un concert, mais merci beaucoup pour tout votre soutien. Nous sommes impatients de partager l’album avec vous, ainsi que les concerts live, bien sûr.Kenza : Merci beaucoup d’avoir pris du temps, j’espère que vous passerez une bonne journée, et à bientôt.Le groupe : Merci.Traduction de Hollywood. pour A-TH.

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K3iraSchrei

Age : 31Inscription : 22/04/2009MessagesElle taille une pipe à l'examinateur pour avoir son permis de conduire - Video porno films xxx sexe en streaming
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