Karla se fait piner sous la tente

Karla se fait piner sous la tente




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Karla se fait piner sous la tente
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J'ai toujours été un garçon assez renfermé, timide même, et élevé de surcroît par une mère célibataire qui considérait son fils unique comme une petite chose fragile qu'il fallait surprotéger. J'avais certes un petit retard de développement, n'ayant pas vraiment commencé ma puberté à l'âge de quatorze ans et demi, et j'étais en plus du genre "crevette", un peu maigrichon, mais mignon néanmoins.

C'est mon professeur principal qui a expliqué à ma mère que j'étais "désocialisé" et que "pour mon bien", il lui paraissait indispensable que je fasse l'expérience de la collectivité. Lui-même dirigeait un camp d'adolescents qui se déroulait dans le Périgord, et il se proposait pour m'inscrire. Ma mère vouait une confiance aveugle au corps enseignant et à ma grande terreur et malgré mes supplications - elle m'inscrivit dans ce que je considérais par avance comme devoir être un enfer.

Je me souviendrai toujours du rendez-vous à la gare, de l'inquiétude avec laquelle j'appréhendais la prise de contact. Mais cela se passa fort bien. Le groupe était composé d'une majorité de jeunes plutôt bcbg de 14 et 15 ans, pas méchants pour deux ronds et je parvins à faire bonne figure pendant le voyage en train, puis en autocar.

Arrivés au camp, nous eûmes quelques instants pour découvrir les lieux et nous installer. Premier choc, quand je découvris les blocs sanitaires (un pour les garçons, un pour les filles), avec leurs douches communes. Jamais au grand jamais, depuis que ma mère avait cessé de me laver, personne (sauf le médecin) ne m'avait vu entièrement nu et ma pudeur s'alarmait de ce moment à venir. Il faut dire que comme beaucoup de garçons de mon âge, j'avais peur de ne pas être "dans la norme", d'autant plus que le médecin avait évoqué devant moi "un petit retard pubertaire absolument pas alarmant". J'imaginais donc les railleries qui ne manqueraient pas d'accompagner le dévoilement de ma nudité, surtout que les conversations au cours du voyage avaient comme de bien entendu en grande partie porté sur le sexe.

Pour dormir, nous disposions de grandes tentes bleu marine, qui hébergeaient chacune huit ados. La structure était astucieuse, les lits de toile étant incorporés sur les parois latérales - quatre de chaque côté sur deux niveaux. Je choisis un "lit" en hauteur, pensant avoir un peu plus d'intimité, rangeai mes affaires et sur l'injonction d'un des animateurs, j'allai comme au supplice prendre ma douche - une serviette et ma trousse de toilette en main.

Ce fut un choc pour moi, dès l'entrée, que ces interpellations joyeuses de jeunes mâles qui entraient et sortaient, dont la plupart étaient totalement indifférents à l'idée de montrer leur nudité. J'en repérai bien quelques uns qui me paraissaient aussi gênés que moi, retardant furtivement le moment de quitter leur slip... Pour ma part, je le fis "courageusement" tout en matant furtivement pour faire mes comparaisons. Certes, alors que j'étais parmi les plus vieux, je n'étais pas très avantagé avec mon petit sexe et sa minuscule toison qui surmontaient un sac qui commençait à se garnir mais qui demeurait entièrement lisse, sexe qui ne m'avait encore donné aucun des plaisirs habituels qu'il procure à un garçon: je ressentais parfois des pulsions, mes érections me troublaient et me gênaient, quelques rares et faibles pollutions nocturnes me perturbaient, mais faute d'information et d'initiation, du fait de mon retard pubertaire également, j'ignorais les innombrables ressources que procurent la masturbation - qu'elle soit pratiquée seule ou collectivement.

Mais je fus rassuré en constatant que d'autres - qui du fait de l'habitude des collectivités ne semblaient pas plus gênés pour cela - n'étaient absolument pas sortis de l'enfance et demeuraient totalement imberbes, avec un appareil génital des plus modestes. Curieusement les plus pudiques me semblèrent les mieux développés, dont un certain Yoann très poilu et dont le sexe me paraissait impressionnant. Si je pris cette première douche collective rapidement, j'en sortis donc rassuré, d'autant plus que personne n'avait spécialement prêté attention à mon physique: ce moment ne serait pas le cauchemar que j'avais imaginé.

Dîner, veillée "informations" sur les activités qui nous étaient proposées (essentiellement sportives, ce qui ne m'enchantait guère), puis nous fûmes invités à aller dormir, vers 23 heures.

Mes camarades de tente avaient mon âge et semblaient assez sympas. Six d'entre eux étaient des habitués de la structure associative et ils annoncèrent spontanément à Jack et moi - les nouveaux - qu'ils nous passeraient les bons tuyaux. Pas de bizutage en perspective, donc une autre raison de m'affoler disparaissait. Si je ne m'enchantais toujours pas de ce séjour, je commençais à me dire que ce ne serait pas le supplice que je m'étais imaginé. Nous étions éclairés par une lampe centrale alimentée par un réseau extérieur, et un animateur passa nous voir pendant que nous nous déshabillions:

— OK les gars, vous avez vingt minutes pour vous coucher, et ce sera l'extinction. On n'est pas des bêtes, bavardages tolérés un certain temps pour peu que vous restiez à votre place. Gardez bien votre lampe de poche près de vous, pour le cas où vous devriez aller aux toilettes.

Il me regarda, et me lança, sans agressivité aucune:

— Tu gardes ton slip pour dormir, Mathieu?

Sans rien répondre, en rougissant, je le retirai et enfilai un pyjama avant de me glisser sous ma couverture. Le plus dur avait été fait sous les douches, et je pouvais continuer sur ma lancée malgré quelques rires malicieux.

— Allez, bonsoir les gars! lança -t-il en nous quittant.

Il se passa quelques minutes pendant lesquelles nous avons bavardé, ce qui continua de me détendre. Décidément, ça commençait bien... Dix minutes après, la lumière s'éteint soudainement... Nous étions dans l'obscurité absolument totale. Quelques bavardages encore, et le silence se fit - d'autant plus que certains devaient être fatigués par le voyage et le déphasage. Pour ma part, je fermai les yeux en méditant sur ce qui m'attendait pendant près d'un mois.

C'est alors que je sentis une vibration qui parcourait la tubulure de la tente collective, dont je me demandais quelle pouvait être l'origine (j'ai failli me couvrir de ridicule en demandant à haute voix ce qui se passait) Cette vibration cadencée allait crescendo, sans que quiconque ne dise quoi que ce soit.

Cela peut sembler incroyable, mais c'est vrai: je ne savais pas à quoi mes camarades se livraient. Peut-être d'ailleurs (nous étions dans le noir absolu) certains seulement avaient commencé la pratique rituelle, et les autres qui s'en étaient abstenu au début par pudeur ou réserve se sont laissés entraîner par l'ambiance et la libido... Pour ma part, je ressentais une bizarre excitation, dont j'étais absolument incapable de comprendre quelle en était l'origine, mais qui me poussait à me caresser le ventre et même le sexe... Cela ne vibrait plus: cela tremblait carrément, avec même un petit grincement le long d'une tubulure... Puis j'entendis des râles de bonheur très discrets, à ma gauche, sous moi, devant. Peu à peu le calme revint, quand Jack lança un:

— Putain, ça fait du bien! provoquant une rigolade générale.

Je me demandais bien "ce qui pouvait faire du bien", mais j'avais quand même assez d'astuce pour comprendre que poser cette question c'était me couvrir de ridicule... J'eus beaucoup de mal à m'endormir malgré la fatigue.

Le lendemain, au réveil, malgré le regard un peu bouffi que tout adolescent offre à ce moment, je percevais quand même une certaine complicité entre mes camarades, des regards amusés. C'est Jack, encore lui, qui lança avec un petit ton guilleret:

— On a un sage parmi nous, Mathieu ne joue pas au cinq contre un! qui les fit tous pouffer de rire.

Rouge comme une pivoine, je ne répondis pas: comment avouer que je ne comprenais rien à cette plaisanterie? Toilette, petit déjeuner, puis activités... la journée passa assez vite et je me surpris même à éprouver du plaisir à apprendre le tennis. Douche (sans la gêne de la veille, bien que quelques plaisanteries égrillardes fussent échangées, avec même quelques petits attouchements complices entre certains plus extravertis, gestes anodins qui n'allaient pas bien loin mais qui eurent le don de m'exciter: j'eus à peine le temps de me rhabiller pour dissimuler mon érection.

Après la veillée, au moment de nous coucher, je surpris encore quelques regards complices. Peu de bavardages, et des que la lumière fut éteinte, je ressentis les mêmes vibrations que la veille.

Mais cette fois, ce fut tout à fait différent. Je perçus un mouvement sur le côté, comme si quelqu'un se mettait près de moi. Puis une main se glissa sous ma couverture. Dans un premier temps, je fus terrifié par cette intrusion dans mon intimité. Avec une efficacité redoutable, la main glissa sur mon ventre qui frémit, trouva l'élastique de mon pyjama, s'insinua dessous et palpa ma verge qui m'envoya un message d'une brutalité inouie. Sensation délicieuse s'il en est, que je n'avais jamais connue et qui me transporta au septième ciel.

Puis la main, impérieuse, remonta et par un sec mouvement le long de l'élastique, me fit comprendre que je devais baisser mon pyjama - ce que je fis comme un automate tremblant de désir et encore un peu d'appréhension. Ensuite elle revint sur mon sexe, me flatta longuement le sac lisse, qui se rétracta à l'extrême par l'effet du plaisir avec une tendresse infinie pendant que je me tordais de plaisir. Puis elle revint sur ma verge qui fut décalottée avec douceur avant de subir un lent mouvement masturbatoire d'une délicatesse infinie, qui me faisait cambrer à l'extrême. Cela ne dura que quelques minutes avant que l'orgasme survienne, qui me transperça de plaisir; je poussai alors moi aussi un gémissement de bonheur comparable à ceux que j'avais entendu la veille. Je sentis la caresse d'un mouchoir en papier qui essuyait ma maigre semence sur mon ventre, puis la perception du mouvement annonciateur du départ de mon bienfaiteur. Les uns après les autres, mes camarades jouissaient de leur côté, et le silence et le calme total revinrent... avant qu'un autre frémissement se fasse entendre. Je pensai:

— C'est LUI, c'est "celui qui me l'a fait" qui "se le fait" à son tour!

Et cette seule idée me galvanisa suffisamment pour que je repousse ma couverture, et que je remette à profit les connaissances acquises à l'instant. Nous avons joui quasiment en même temps, dans un grand frémissement de la structure suivi d'un soupir poussé de concert avant de nous endormir.

Ma vie a changé cette nuit là. J'ai découvert en un éclair les joies que le sexe pouvait procurer, faisant les recoupements avec les conversations de collégiens auxquelles je ne participais pas mais que j'écoutais, sur "la branle" et autres sujets fondamentaux à cet âge.

De tout le séjour, je ne me suis pas lassé d'approfondir mes connaissances - seul puis accompagné, avec des copains de hasard. Je connus l'immense bonheur d'être sucé puis de pouvoir rendre le plaisir qu'on m'avait ainsi fait. Je pus également savonner des corps attirants pendant qu'on me rendait la politesse. C'est aussi pendant ce mois que j'ai compris que je ne serais jamais attiré par les filles - contrairement à pas mal de mes camarades.

Et le plus étonnant, c'est que je n'ai jamais su lequel de mes sept compagnons de tente m'avait ouvert de tels horizons. Car jamais, aux cours de ces nuits passées en commun, la "main baladeuse" n'est revenue; et l'ignorance dans laquelle j'étais tenu m'a empêché de lui rendre la pareille, pas certain du tout qu'une telle initiative aurait été approuvée par tous... Pourquoi a-t-il fait cela? Par pur altruisme, pour se donner lui-même des sensations extrêmes, par goût du risque? (j'aurais pu crier, me débattre...) Je ne sais.

Nous étions en juillet. Et le directeur (qui était, je le rappelle aussi, mon professeur principal qui avait tant insisté pour que je me "socialise") a ouvert des yeux ronds quand je lui ai demandé s'il restait de la place dans le camp pour la session d'août et s'il pouvait contacter ma mère pour lui annoncer que je souhaitais prolonger mon séjour...


Accueil » alpinisme » S'étouffer dans une tente : sachez que
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Une ouverture plus basse pour l'alimentation en O et une ouverture plus haute pour l'évacuation du CO est idéale.
Cuisiner dans une tente peut être dangereux car l'étouffement est lent.

Assurer une ventilation suffisante, ouverture suggérée d'au moins 50 cm², l'idéal est une ouverture plus basse pour l'alimentation en O et une plus haute pour l'évacuation du CO si le poêle est utilisé en continu, aérer le poêle de temps en temps une faible alimentation en air peut être plus nocive que pas de ventilation du tout (la flamme s'éteint alors tout simplement) cuire uniquement avec flamme maximale et bleue; si la flamme est jaune, assurer plus d'alimentation en air Éviter les longs mijotages Utiliser des pots de petit diamètre Débarrassez régulièrement la tente de la glace et de la neige faites attention aux symptômes, sortez en entrant Rester attentif dans la mesure du possible, ne pas dormir lorsque le poêle est en marche

Il est plus sûr de cuisiner devant la tente. Crédit photo : Eric Larsen

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C'est un truisme que la tente doit toujours être ouverte pendant la cuisson - et qui est souvent ignoré. Lorsqu'il fait trop froid ou venteux, les alpinistes tirent la fermeture éclair de la tente complètement fermée. Ils ignorent le risque d'intoxication au monoxyde de carbone. Nous montrons à quoi vous devez faire attention.
Un article de Franziska Haack - publié pour la première fois dans la revue spécialisée bergundstieg
Il passe inaperçu et discret et c'est précisément pourquoi il est si dangereux : le monoxyde de carbone (CO), un gaz incolore, inodore et insipide. Il se produit lorsque des substances contenant du carbone brûlent de manière incomplète si l'apport d'oxygène est insuffisant. Par exemple, lorsque vous cuisinez dans des tentes ou des grottes de neige mal ventilées.
Mars 2020 sur le Taschachferner à Pitztal. Deux hommes meurent d'une intoxication au monoxyde de carbone dans la tente. Il y a trois autres tentes à quelques mètres, mais personne ne remarque rien. Presque aussi imperceptiblement que le gaz toxique se propage, il agit également dans le corps.
Le monoxyde de carbone (également appelé monoxyde de carbone) pénètre dans le sang par les poumons et s'y lie à l'hémoglobine, le complexe protéique contenant du fer dans les globules rouges qui est responsable du transport de l'oxygène. L'affinité du monoxyde de carbone pour l'hémoglobine étant deux à trois cents fois celle de l'oxygène, il est préférentiellement capté par les globules rouges. En conséquence, il y a moins d'hémoglobine disponible pour le transport de l'oxygène et il y a un manque d'oxygène dans les organes et les tissus. Les victimes étouffent intérieurement - souvent silencieusement, sans haleter ni haleter.
Les deux défunts participaient à un stage de préparation à l'alpinisme d'expédition et avaient déjà passé la troisième nuit sur le Taschachferner. Le programme allait des techniques de sécurité sur le glacier à la question de savoir ce qu'il y a dans le sac de couchage la nuit à comment utiliser correctement le réchaud à gaz. « J'ai montré aux participants comment faire fonctionner le poêle et leur ai dit qu'ils n'étaient autorisés à cuisiner que dans l'abside et uniquement lorsque l'entrée était ouverte », explique Hansjörg Pfaundler, instructeur du cours et guide de montagne.
« J'ai montré aux participants comment faire fonctionner la cuisinière et leur ai dit qu'ils n'étaient autorisés à cuisiner que dans l'abside et uniquement lorsque l'entrée était ouverte »
Pendant les deux premières nuits, il a fait des patrouilles. « Parce que tout le monde a bien suivi les instructions, je ne l'ai pas fait le troisième soir et je n'ai communiqué avec le groupe qu'en criant depuis ma tente », explique Pfaundler. Tout semblait bien.
Cette nuit-là il fait assez froid, -6°C est mesuré dans l'une des autres tentes. Cela peut conduire les deux hommes à maintenir la fermeture éclair de l'entrée de la tente fermée, contrairement aux consignes, alors que la neige fond. Il neige aussi légèrement. Lorsque deux membres du groupe ont remarqué l'accident le lendemain matin, une fine couche de neige recouvrait la tente et les fermetures éclair de toutes les entrées étaient complètement fermées. A l'ouverture, une odeur de gaz s'échappe. La cartouche de gaz est vide, le robinet du poêle est ouvert.
La neige, la glace et la condensation scellent vraiment un toit de tente et empêchent l'échange d'air. Lors de la cuisson dans un espace clos si petit, la flamme nue consomme la quantité limitée d'oxygène disponible et produit du dioxyde de carbone qui déplace l'oxygène. De plus, il y a la consommation d'oxygène par la respiration.
Le gaz brûle de plus en plus incomplètement, la flamme produit désormais également du monoxyde de carbone - avec l'effet décrit ci-dessus. Si à un moment donné il n'y a plus assez d'oxygène disponible, la flamme s'éteint et le gaz continue de s'échapper jusqu'à ce que la cartouche soit vide. Des études suggèrent qu'une pièce mal ventilée peut être encore plus dangereuse qu'une pièce qui n'est pas du tout ventilée. Étant donné que dans ce dernier, la flamme meurt de faim plus rapidement sans oxygène et ne continue pas à produire du CO. Une flamme éteinte est - comme une flamme jaune - un signe d'avertissement que la teneur en oxygène dans la tente est trop faible.
Au moment des examens médico-légaux, les morts présentaient tous deux un œdème pulmonaire et une COHb (hémoglobine liée au monoxyde de carbone) de 48 et 59 pour cent. Cela signifie qu'un peu moins ou plus de la moitié de l'hémoglobine était occupée par du monoxyde de carbone et n'était plus disponible pour le transport de l'oxygène. Valeurs dans la gamme hautement toxique à comateuse. "Le monoxyde de carbone déplace l'oxygène et le manque croissant d'oxygène entraîne des modifications du choc, notamment un œdème pulmonaire", explique le professeur Walter Rabl, spécialiste en médecine légale, de l'Université de médecine d'Innsbruck, qui a autopsié les corps. « Le pur manque d'oxygène conduit à l'euphorie et à des sentiments de bonheur dans le corps. Il n'y a pas de sensation d'étouffement car la teneur en dioxyde de carbone dans le sang n'augmente pas, car le dioxyde de carbone peut être expiré normalement. »
Lorsque la flamme de leur poêle s'éteint, les hommes sont inconscients ou du moins endormis depuis un certain temps. Ceci est indiqué par les restes carbonisés dans le pot. En plus de l'entrée fermée, un autre défaut aux lourdes conséquences. "En brûlant les aliments, le processus d'empoisonnement au monoxyde de carbone a probablement été accéléré", indique le rapport de police. La mauvaise préparation de la nourriture de l'expédition - mijoter la nourriture dans la marmite sur la flamme au lieu de verser de l'eau chaude dans le sac - a probablement augmenté le temps de cuisson et donc la production de CO. Et : De petites flammes (comme nécessaire pour mijoter) produisent plus de monoxyde de carbone que de faire fonctionner le poêle avec une flamme maximale.
Le lendemain matin, i
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