Jusqu'à la dernière goutte

Jusqu'à la dernière goutte




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Jusqu'à la dernière goutte















Le Club de Mediapart



À la Une du Club



Depuis 48h



Les blogs



Les éditions



L’agenda



La charte



Participer
















Mediapart
Titre du logo Journal










Mediapart




France




International




Économie




Culture







Podcasts




Portfolios




Panoramiques




Vidéos




Documentaires







À la Une du Club




Depuis 48h




Les blogs




Les éditions




L’agenda




La charte




Participer







Facebook




Twitter




Instagram




Flux RSS







English




Español











Lire plus tard







Imprimer













Partager sur Facebook











Partager sur Twitter













Partager sur Facebook











Partager sur Twitter




Journal
— États-Unis


Journal
— A sec ! Vivre avec la sécheresse


Journal
— Brésil : splendeurs et misères du Parti des travailleurs


« Les Versets sataniques » ont été interdits en Inde, son pays natal, en 1988. Un an avant la fatwa prononcé par l’Iran contre Salman Rushdie, qui allait faire de sa vie un enfer. Son agression aux États-Unis en fin de semaine dernière n’a suscité aucune réaction officielle, dans un pays où les condamnations au nom du respect des croyants hindous se multiplient.


La publication dans un hors-série du « Figaro » d’un entretien-fleuve avec l’essayiste d’extrême droite Pío Moa, pour qui les gauches sont entièrement responsables du déclenchement de la guerre civile en Espagne en 1936, suscite l’indignation de nombreux historiens. Retour sur une entreprise de « falsification ».


Journal
— Amérique Latine


Face aux crispations sur certains points de la nouvelle Constitution, le gouvernement chilien prévoit déjà des réformes au texte en cas d’adoption par référendum le 4 septembre. Une position défensive qui témoigne de l’étroitesse du chemin vers la victoire du « oui ». 


Journal
— Amériques


Créé par Lula en pleine dictature, le PT, une fois au pouvoir, a malgré tout entretenu des relations cordiales avec l’armée brésilienne. Puis des tensions sont apparues, jusqu’à faire revenir officiers et généraux dans l’arène politique, en faveur de Jair Bolsonaro.


par

Jean-Mathieu Albertini


Pour que l’exigence de qualité et de singularité de l’individu contemporain puisse être conciliée avec ses appropriations massives, il faut que soit introduit un niveau de difficulté supplémentaire. La résistance nourrit et relance l’intérêt porté au processus global. Pour tirer le meilleur parti de ces mécanismes psycho-comportementaux, nos sociétés "gamifiées" créent de la rareté sur mesure.


par

clemence.kerdaffrec@gmail.com


[Rediffusion] Le choix de redéfinir collectivement ce dont nous avons besoin doit être au centre des débats à venir si l'on veut réussir la bifurcation sociale et écologique de nos sociétés, ce qui est à la fois urgent et incontournable.


Le bras de fer en cours avec la Russie autour des énergies fossiles est l’occasion d’entrer de plain-pied dans l’ère de la sobriété énergétique. Pourtant, nos gouvernants semblent lorgner vers une autre voie : celle qui consiste simplement à changer de fournisseur, au risque de perdre toute crédibilité morale et de manquer une occasion historique en faveur du climat.


par

Sylvain BERMOND


[Rediffusion] Catherine MacGregor, Jean-Bernard Lévy, et Patrick Pouyanné, directrice et directeurs de Engie, EDF et TotalEnergies, ont appelé dans le JDD à la sobriété. En réponse, des professionnel·les et ingénieur·es travaillant dans l'énergie dénoncent l'hypocrisie d'un appel à l'effort par des groupes qui portent une responsabilité historique dans le réchauffement climatique. Un mea culpa eût été bienvenu, mais « difficile de demander pardon pour des erreurs dans lesquelles on continue de foncer tête baissée. »


par

Les invités de Mediapart



Mentions légales
Charte de déontologie


Charte de participation
CGV


Confidentialité
Gestion des cookies


Découvrez notre offre de newsletters
Découvrez notre application pour mobile & tablette

1

Éditions


Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Il était une petite goutte de pluie qui aimait tant voyager. Elle en avait vécu des aventures, découvrant des circuits de plus en plus complexes, au fur et à mesure que les humains étendirent leur empreinte sur la planète. Avant eux, tout était si simple, le cycle de l’eau coulait de source, il prenait certes des chemins détournés, acceptait parfois de longues stations dans une nappe phréatique comme celle de Beauce, s’accordait des détours surprenants par le truchement des végétaux, prenait racine dans quelques lacs souterrains avant de ressurgir en plein soleil et de disparaître en vapeur ou en fumée.
Nul nuage noir dans cette formidable loterie qui ouvrait le bal. Ici dans une source, là dans un puits, ailleurs dans une résurgence, plus loin encore dans un océan ou bien une rivière. L’eau coulait, coulait, coulait sans se charger de poisons ni même d’immondices. La boue, la poussière, le sable, le pollen et bien d’autres choses encore, toutes plus naturelles les unes que les autres, se chargeaient de lui compliquer un tant soi peu l’existence et son périple. Mais rien de bien grave en somme, pas de quoi déposer la moindre plainte ni la plus petite récrimination.
L’eau allait son chemin, toujours accessible, toujours potable et saine, toujours offerte à qui voulait la boire. Les animaux et les plantes pouvaient s’en nourrir sans crainte, profitant pleinement de ses bienfaits. Où qu’elle fut, elle était source de vie et de santé, élément indispensable à toute vie sur cette planète. C’était un temps merveilleux où nulle force ne s’arrogeait le droit de propriété sur ce bienfait que l'on pensait inaliénable de la nature.
C’était un temps avant la venue des drôles d’animaux qui allaient debout sur leurs jambes. Ceux-là ont changé la donne, modifié l'équilibre, bouleversé les règles du jeu naturel. Il y eut des barrages et des retenues, des dérivations et des fossés, des puits plus profonds qui asséchaient les petites réserves voisines. L’eau devint un enjeu de pouvoir ou bien l’expression de la puissance. Elle découvrait alors que les hommes étaient capables de calculs, de viles stratégies pour priver d’autres humains de ce bien si précieux.
Mais là encore, tout ceci n’était rien en comparaison de ce qui allait suivre. L’expansion humaine fut accompagnée d’un chamboulement du sol. Des forêts arrachées, de drôles de matériaux couvrant les terres, des canalisations, des fossés, des dérivations, des circuits souterrains. L’imagination des nouveaux maîtres de la planète était sans limite. L’eau filait un mauvais coton.
Elle conserva sa pureté de nombreuses années encore, se moquant des fantaisies de ces drôles de personnages jusqu’à ce qu’ils se mettent à user sans mesure de cette merveilleuse ressource naturelle. Les tanneurs, les teinturiers, les équarrisseurs, les métallurgistes, les potiers, les lavandières, les maîtres verriers, les ferronniers, …, la liste serait interminable de ceux qui se mirent à souiller sans retenue nos rivières et nos sources.
Les paysans étaient encore des êtres raisonnables. Ils respectaient la nature, le cycle des saisons, les animaux et l’eau dont ils usaient avec parcimonie, ne comptant le plus souvent que sur les pluies pour irriguer leurs récoltes. Ils semaient, engraissaient leurs terres des fumiers de leurs étables et tout allait pour le mieux dans un monde encore fréquentable.
Puis soudain tout bascula. Des ingénieurs, des chimistes, des plus savants et sans doute plus cupides que les autres, flanqués de banquets verts ou jaunes se soucièrent d’améliorer les rendements, de nourrir les sols avec des produits douteux sortis d’industries honteuses. Les agriculteurs se firent empoisonneurs de l’eau sans même le savoir, sans s’en douter, croyant naïvement les arguments oiseux des marchands de mort. Bientôt, il ne fut plus possible de boire l’eau des fossés, puis ce fut celle du puits, puis bientôt, il devint indispensable de traiter l’eau avec d’autres produits tout aussi inquiétants.
Le cycle de l’eau continuait son immuable mouvement. Cependant il y avait quelque chose de changé, la petite goutte d’eau portait de lourdes menaces pour la santé des humains mais aussi pour celle des animaux et des plantes. Des métaux lourds, des phosphates, des poisons affreux, de la radioactivité se dissolvaient dans l’onde pure d’antan pour en faire un liquide toxique et parfois mortel.
L’eau devint un produit marchand. Des spéculateurs hideux, au nom de je ne sais quelle morale propre à cette étrange espèce, prétendirent possible de vendre l’eau, de l’accaparer, de la commercialiser, d'en circonscrire son usage. Un don du ciel ou de la terre qui devenait par une étrange baguette de sourciers financiers, une affaire rentable et l’occasion de priver de moins chanceux de ce qui n’avait jamais été mesuré par la mère nature.
La petite goutte d’eau ne pouvait plus voyager selon sa fantaisie. Elle devait passer par les fourches Caudines des scélérats, des empoisonneurs, des accapareurs, des apprentis sorciers, des compagnies industrielles ou bien subir toutes les avanies possibles d'une civilisation de l'ordure. L’eau aussi devait disposer d’un passeport pour franchir une frontière, pour irriguer ou bien hydrater. Elle était taxée, vendue, détournée, mesurée, galvaudée.
L’eau se dit que les humains ne la méritaient pas. Elle dont certains scientifiques prétendaient qu'elle n'avait pas de mémoire, se montra vache avec eux. Elle cessa de couler, elle se cacha dans les entrailles de la Terre, elle s’enfuit des rivières et des océans pour mettre à mort cette espèce imbécile et cupide.
Elle cessa de tomber comme pluie d’argent, ces êtres si peu sages étaient trop avides pour apprécier sa valeur. Ils moururent de soif d’avoir eu trop faim de richesse. Alors, alors seulement, quand il n’y eut plus un seul animal debout sur ses jambes, elle revint irriguer une Planète à nouveau fréquentable.
https://www.youtube.com/watch?v=mzONJqxvOTo&t=6s
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Bienvenue dans
le Club de Mediapart

Tout·e abonné·e à Mediapart dispose d’un blog et peut exercer sa liberté d’expression dans le respect de notre charte de participation.
Les textes ne sont ni validés, ni modérés en amont de leur publication.
Abonnez-vous à partir de 1€ et écrivez votre premier billet
Recevez chaque jour les titres à la Une

Pour mettre le site et l’application mobile de Mediapart à votre disposition nous utilisons des cookies ou technologies similaires qui nous permettent de collecter des informations sur votre appareil. Certaines de ces technologies sont nécessaires pour faire fonctionner nos services correctement : vous ne pouvez pas les refuser. D’autres sont optionnelles mais contribuent à faciliter votre expérience de lecteur ou de lectrice et d’une certaine façon à soutenir Mediapart : vous pouvez à tout moment donner ou retirer votre consentement. Acceptez-vous que Mediapart emploie des cookies ou technologies similaires utiles à son fonctionnement ?


Les cookies et technologies similaires que nous utilisons sur Mediapart sont de différentes natures et nous permettent de poursuivre différentes finalités. Certains sont nécessaires au fonctionnement du site et de l’application mobile (vous ne pouvez pas les refuser). D’autres sont optionnels mais contribuent à faciliter votre expérience de lecteur ou de lectrice et d’une certaine façon à soutenir Mediapart. Vous pouvez les refuser ou les accepter ci-dessous, selon leurs finalités. Acceptez-vous que Mediapart utilise des cookies ou technologies similaires pour les finalités suivantes ? Vous pouvez faire votre choix, pour chaque catégorie, en activant ou désactivant le bouton interrupteur.

Nécessaires au fonctionnement du site ou de l’application
Connexion des abonné·es, mesure d’audience anonymisée, envoi des notifications push, suivi des pannes, mise en avant de nos services : ces outils sont nécessaires au suivi de l’activité de nos services et à leur bon fonctionnement.
Voici les différents cookies et technologies similaires compris dans cette catégorie :
Ces outils nous permettent de recueillir des statistiques de fréquentation du site et de l’application mobile pour comprendre les usages, détecter d’éventuels problèmes et optimiser l’ergonomie de nos produits.
Voici les outils tiers compris dans cette catégorie :
Il n’y a pas de publicité sur Mediapart. Mais nous faisons la promotion de nos contenus et services sur d’autres sites et réseaux sociaux. Pour cela, nous utilisons les technologies mises à disposition par certains acteurs publicitaires.
Voici les outils tiers compris dans cette catégorie :

Pour de longs textes, utilisez le meilleur traducteur en ligne au monde !


[fr] français <-> [gb] anglais
[fr] français ---> [gb] anglais
[gb] anglais ---> [fr] français
[fr] français <-> [de] allemand
[fr] français <-> [es] espagnol
[fr] français <-> [pt] portugais
[fr] français <-> [it] italien
[fr] français <-> [nl] néerlandais
[fr] français <-> [pl] polonais
[fr] français <-> [se] suédois
[fr] français <-> [dk] danois
[fr] français <-> [fi] finnois
[fr] français <-> [gr] grec
[fr] français <-> [cz] tchèque
[fr] français <-> [ro] roumain
[fr] français <-> [hu] hongrois
[fr] français <-> [sk] slovaque
[fr] français <-> [bg] bulgare
[fr] français <-> [si] slovène
[fr] français <-> [lt] lituanien
[fr] français <-> [lv] letton
[fr] français <-> [ee] estonien
[fr] français <-> [mt] maltais
Plus de langues
français anglais

Utilisez DeepL Traducteur pour traduire instantanément textes et documents
Dieu est Tout pour ses créatures, qu'Il se dévoue complètement
à elles, sans réserves, parce qu'Il les aime infiniment.
The blood of Jesus represents divine lo ve because it bore
for his creatures, that for them he gives himself completely, because he loves them infinitely.
Les consommateurs doivent recevoir l'essence
compris, ou bien jusqu'à 2 °C pour la planète, ce qui exigerait de laisser
A rcti
Baise interdite avec une jeunette serrée
Belle salope blonde se fait baiser fort
Une blonde suce trois bites étrangères

Report Page