Jouissance de l'anus

Jouissance de l'anus




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Jouissance de l'anus
Paramétrer mes choix Continuer sans accepter Continuer et accepter
Est-ce qu’il y a un risque quelconque d'éjaculer dans l'anus de ma femme sachant que je ne commets pas d’infidélité ?

En cliquant sur le bouton « Continuer et accepter », vous acceptez que le Groupe M6 et ses partenaires utilisent des traceurs
sur ce site internet et dans nos newsletters (comme des cookies ou l’identifiant unique de votre appareil) et traitent des données à caractère personnel (comme vos données de navigation, votre adresse email et votre adresse IP) dans
le but :


Votre choix s’applique sur Passeport Santé uniquement. Vous pouvez refuser toutes ces exploitations en cliquant sur le bouton « Continuer sans accepter » ou partie de ces exploitations en cliquant sur le bouton « Paramétrer mes
choix ». Vous pourrez modifier vos préférences à tout moment en cliquant sur le lien « Préférences Cookies » figurant sur notre service.


Certains de nos partenaires publicitaires utilisent également des traceurs et traitent vos données personnelles, sur la base de votre consentement ou de leur intérêt légitime dans les buts suivants :


Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal, Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit, Stocker et/ou
accéder à des informations stockées sur un terminal. »

Le risque d'une pénétration anale, c'est la transmission d'une IST si vous en avez une. Le deuxième risque, c'est la grossesse. En effet, le sperme a tendance à ressortir, à couler et à suivre le pli qui va vers le vagin. Il est donc fortement conseillé d'utiliser des préservatifs s'il n'y a pas de contraception autre. Et puis sinon, attention car la muqueuse anale est fragile et saigne facilement, c'est d'ailleurs pour cela que le risque de transmission d'IST est beaucoup plus élevé par cette voie que par voie vaginale.
Ses convictions : Chacun doit être encouragé à prendre en charge sa santé physique et mentale car la médecine et les médecins ne peuvent pas tout, loin de là. Et si tout le monde le faisait, les systèmes d’assurance maladie feraient du bénéfice !
Conformément à nos conditions d’utilisation , les médecins ne sont pas habilités à porter de diagnostic en ligne. Leur rôle est d’éclairer et de proposer des pistes de réflexion à l’internaute ainsi que des éléments d’information sans pour autant poser de diagnostic précis. Leurs réponses sont générales et ne doivent en aucun cas, remplacer une visite chez votre médecin.
Recevez chaque jour des conseils d'experts pour prendre soin de vous.
L’alimentation qui soigne de Claire Andréewitch
*Votre adresse email sera utilisée par M6 Digital Services pour vous envoyer votre newsletter contenant des offres commerciales personnalisées. Elle pourra également être transférée à certains de nos partenaires , sous forme pseudonymisée, si vous avez accepté dans notre bandeau cookies que vos données personnelles soient collectées via des traceurs et utilisées à des fins de publicité personnalisée. A tout moment, vous pourrez vous désinscrire en utilisant le lien de désabonnement intégré dans la newsletter et/ou refuser l’utilisation de traceurs via le lien « Préférences Cookies » figurant sur notre service. Pour en savoir plus et exercer vos droits , prenez connaissance de notre Charte de Confidentialité.
En cas de malaise ou de maladie, consultez d’abord un médecin ou un professionnel de la santé en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé. En utilisant ce site, vous reconnaissez avoir pris connaissance de l’avis de désengagement de responsabilité et vous consentez à ses modalités. Si vous n’y consentez pas, vous n’êtes pas autorisé à utiliser ce site.
Reproduction et droit d'auteur © 1998-2022 Oxygem - Charte de confidentialité - Préférences cookies


Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 06/11/17 à 10h03
— Mis à jour le 06/11/17 à 12h57

A l'occasion de «Movember», mouvement dédié à la sensibilisation des cancers masculins, «20 Minutes» se penche sur le plaisir prostatique. Une pratique encore taboue et source de clichés Tous les hommes sont éligibles à ce plaisir, sans exception. Certains nous détaillent cette «quête»
VIDEO. «Ejaculer au moins vingt fois par mois participe à la bonne santé de la prostate»


Une faute ?


12


commentaires


4,4K

partages



Partager sur Messenger




Partager sur Facebook




Partager sur Twitter




Partager sur Flipboard




Partager sur Linkedin





Sauvegarder l'article




En vous inscrivant à cette newsletter, vous rejoignez la communauté 20 Minutes – Pourquoi je deviens membre 20 Minutes ?


La politique RSE de 20 Minutes est certifiée par le label Silver d’Ecovadis

Merci de lire 20 Minutes ! Nous respectons votre vie privée et c’est grâce à la publicité que nous vous permettons de recevoir à chaque instant une information de qualité gratuitement.
En acceptant ces cookies vous pourrez déguster l’actualité chaude et croquante, garnie avec les pépites du web , ou vous pouvez aussi Continuer sans accepter
*20 Minutes a été élue marque préférée des Français dans la catégorie presse d’information nationale, dans le cadre d’une étude réalisée en juin 2022 avec l’institut OpinionWay, auprès d’un échantillon représentatif de la population française.
Société VIDEO. Plaisir prostatique, «il faut s’affranchir des clichés»

«POINT P» A l’occasion de « Movember », « 20 Minutes » s’intéresse au plaisir prostatique. Des hommes racontent leur « exploration » après avoir cassé le tabou autour de cette pratique….
C’est l’une de ses premières petites amies qui lui avait montré la voie. « Au début, quand elle m’a rentré un doigt dans l’anus durant l’acte, j’ai été surpris, mal à l’aise. En réalité elle venait de m’ouvrir les portes du plaisir prostatique », affirme Baptiste, aujourd’hui trentenaire. Depuis, cette sensation est devenue une véritable « exploration », une « quête » souvent personnelle, mais loin d’être isolée. Si l’accès à cette jouissance ne s’obtient « pas en un claquement de doigts », précise-t-il, elle reste à la portée de tout être masculin. Et pour cause.
L‘accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement
En cliquant sur « J‘ACCEPTE », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires
Et pour mieux rémunérer 20 Minutes, n'hésitez pas à accepter tous les cookies, même pour un jour uniquement, via notre bouton "J‘accepte pour aujourd‘hui" dans le bandeau ci-dessous.
Plus d’informations sur la page Politique de gestion des cookies .
« Tous les hommes sont éligibles à ce plaisir, sans exception. C’est organique. A l’instar des femmes qui ont toutes un clitoris et peuvent donc accéder au plaisir clitoridien. Après, le sexe est aussi une question de psychologie », analyse Alain Héril, psychanalyste et sexothérapeute . Et dans le cas de la prostate – glande de l’appareil reproducteur masculin située à 5-7 centimètres de l’anus et principalement associée au cancer –, le tabou sexuel est encore très fort. Accéder au plaisir du « point P » demande en effet une déconstruction mentale des schémas sociaux et un certain lâcher prise.
L‘accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement
En cliquant sur « J‘ACCEPTE », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires
Et pour mieux rémunérer 20 Minutes, n'hésitez pas à accepter tous les cookies, même pour un jour uniquement, via notre bouton "J‘accepte pour aujourd‘hui" dans le bandeau ci-dessous.
Plus d’informations sur la page Politique de gestion des cookies .
« La prostate est là, au bout de l’index ou du majeur », illustre Alain Héril. Ce Graal s’obtient donc en « se glissant un doigt dans l’anus, en le remontant très légèrement vers cette glande, afin de la masser », poursuit-il. A la différence de sa cousine « masturbatoire », cette pratique davantage « cérébrale » oblige l’homme – notamment dans le cas d’un plaisir solitaire – à une attitude « plus douce, lente et attentionnée » et s’obtient en grande partie par la respiration, décortique le spécialiste. A un détail près.
« Beaucoup d’hommes ne sont pas habitués à cela et doivent surtout changer leur mode de penser s’ils veulent y parvenir. Si cette pratique est taboue en Occident, elle est courante dans des cultures orientales et extrême-orientales depuis plusieurs millénaires », rappelle le psychanalyste. Seul ou en couple, « il faut en effet tout déconstruire », note Baptiste. Alors, où se situe le blocage dans notre structure sociale ?
« Notre société a construit l’homme comme étant le pénétrant, le dominant, le puissant. Et la femme comme la pénétrée, la dominée, la vulnérable. Et nous sommes prisonniers de la puissance de ces structures », débite Baptiste. Se faire toucher la prostate, via quelques phalanges, dans un cadre de plaisir, remettrait donc en cause pour certains, la fierté, la virilité, la masculinité . « Il faut s’affranchir de ces clichés confortés en plus par beaucoup d’insultes et de termes péjoratifs », note Baptiste. « A travers le plaisir prostatique, qui passe par l’anal, on touche à la représentation dans l’inconscient collectif que l’homme pénétré est dans un état de soumission, qu’il se féminise, qu’il n’est plus viril », expose Alain Héril. « C’est faux ! Ce n’est pas du tout le cas », s’exclame-t-il.
« La prostate, c’est le siège du plaisir masculin. Notre anatomie est faite comme ça. Par ailleurs, ça ne remet absolument pas en cause l’orientation sexuelle », martèle Baptiste. En recevant un doigt dans l’anus « la femme prend surtout le pouvoir », exalte-il. Mais pour parvenir à ce bien-être, l’homme qui accepte de « renverser les rôles » doit aussi oublier son outil de « dominant » : Le pénis.
Un atelier sur le plaisir prostatique le 8 octobre. Découvrez la puissance du point P. https://t.co/ZY3OFCi5rb pic.twitter.com/757m1NVe7T
L‘accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement
En cliquant sur « J‘ACCEPTE », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires
Et pour mieux rémunérer 20 Minutes, n'hésitez pas à accepter tous les cookies, même pour un jour uniquement, via notre bouton "J‘accepte pour aujourd‘hui" dans le bandeau ci-dessous.
Plus d’informations sur la page Politique de gestion des cookies .
« Il faut accepter que le pénis ne soit pas au centre du débat. Les hommes ne sont pas habitués à ça. Ils sont familiarisés à quelque chose qui jaillit de leur corps, alors que là c’est en interne, sans éjaculation », indique Alain Héril. D’autant, qu’il est même déconseillé de faire deux choses à la fois.
« Il est absolument nécessaire de ne pas toucher votre pénis durant une session car cela réoriente et écrase au niveau du cerveau les sensations subtiles venant de votre prostate par celle venant du pénis. Même si vous en avez très envie, toucher votre pénis est la meilleure solution pour ne pas avancer sur le chemin de l’orgasme prostatique », prescrit Adam, 43 ans, à la tête du site NouveauxPlaisir.fr. Car une fois les « codes » cassés, le plaisir semble alors en libre accès. Intense.
« Un plaisir différent », « des vagues surprenantes », « des sensations vertigineuses », « des étincelles », « une machine à jouir », « l’impression de dévaler une piste de ski », « c’est un peu ressentir en tant qu’homme un orgasme féminin »… Les témoignages d’hommes contactés par 20 Minutes ne tarissent pas d’éloges sur cette jouissance qui « secoue l’ensemble du corps » et « dure plus longtemps ». « C’est comme si cette châtaigne assez ridicule se transformait en un soleil. Tout ce que j’avais vécu avant c’était presque de la simulation », reprend Baptiste qui a acheté depuis peu un masseur prostatique afin de poursuivre son exploration. Pour Adam, aussi, la recherche s’est construite par étapes, pour ce plaisir si « puissant ».
« J’ai découvert ce plaisir, il y a huit ans, par curiosité. Je suis tombé sur un article en anglais sur le sujet, alors qu’en France, il n’y avait rien sur cet orgasme non-conventionné, qui est encore différent de l’orgasme anal », rembobine-t-il. Dès lors, il a essayé : « Au bout de quelques séances, j’ai découvert ce plaisir et cet orgasme que l’on peut répéter plusieurs fois ». Aujourd’hui, il veut partager une connaissance « décomplexée » sur le sujet et a écrit sur son site un texte : Le Traité d’Aneros , du nom du célèbre masseur prostatique imaginé initialement par des médecins pour traiter des maladies de la prostate. Dans cette bible, cette « carte au trésor » gratuite, il distille des tips , conseils et méthode.
Son but : « Je veux partager ma découverte du plaisir prostatique. Ma vision est que la sexualité doit être positive et ludique et la découverte de l’orgasme prostatique a été pour moi à la fois une révélation mais aussi un déclic dans la compréhension du plaisir et des orgasmes ». Mais comment illustrer celui de la prostate ?
« Un orgasme éjaculatoire, c’est un orgasme de la montagne : il monte vers le point culminant et ça redescend ensuite. L’orgasme prostatique est celui de la vallée : il est plus doux, plus long, par vagues », décrit Alain Héril. Une vague qui pourrait même faire évoluer la société.
« Les hommes ne connaissent pas leur corps. Pourtant, il est important de s’informer sur ce qu’est la prostate, à quoi elle sert, ce qu’elle génère. Bref, prendre le truc en main. Car on peut arriver du jour au lendemain devant la chose avec un cancer et être totalement désarmés », analyse Christian, 65 ans, membre de l’association de lutte contre les cancers masculins, CerHom . Olivier, 46 ans, président de l’association, enchérit. « A cause de notre côté macho-masculin, le plaisir prostatique est passé sous silence. Pourtant, si cette pratique n’est un jour plus taboue, alors le toucher rectal, médical, sera aussi désacralisé ». Enfin, si tous les hommes étaient à l’aise avec leur prostate et le plaisir lié, cela pourrait-il faire baisser les propos et actes homophobes ? Baptiste, Alain Héril ou encore Adam y croient.
« Plus on est équilibrés dans sa vie et plus on comprend la sexualité d’autrui, plus on respecte les autres. En fait, quand on ne connaît pas, on ne comprend pas et on ne respecte pas », déplore Adam. Pour lui, « les femmes aussi seraient gagnantes » si les hommes connaissaient mieux leur corps et ce plaisir qui met de côté la notion de dominant et de virilité masculine. « Dans les temps à venir, il y aura une banalisation de la prostate en tant que lieu de plaisir. Et c’est une bonne nouvelle », se félicite Alain Héril.
A quoi bon, donc, se retirer les doigts du cul ?

Choix de consentement © Copyright 20 Minutes - La fréquentation de 20 Minutes est certifiée par l’ACPM







Accepter tout
Refuser tout
Gérer les paramètres


Yahoo fait partie de la famille de marques Yahoo .

En cliquant sur Accepter tout , vous consentez à ce que Yahoo et nos partenaires stockent et/ou utilisent des informations sur votre appareil par l’intermédiaire de cookies et de technologies similaires, et traitent vos données personnelles afin d’afficher des annonces et des contenus personnalisés, d’analyser les publicités et les contenus, d’obtenir des informations sur les audiences et à des fins de développement de produit.

En cliquant sur Refuser tout , vous refusez tous les cookies non essentiels et technologies similaires, mais Yahoo continuera à utiliser les cookies essentiels et des technologies similaires. Sélectionnez Gérer les paramètres pour gérer vos préférences.

Pour en savoir plus sur notre utilisation de vos informations, veuillez consulter notre Politique relative à la vie privée et notre Politique en matière de cookies . Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en consultant vos paramètres de vie privée .


Merci de lire Medisite.fr ! Pour permettre à toute une rédaction de continuer à vous proposer des contenus accessibles gratuitement, soutenez-nous en acceptant le dépôt des cookies Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Pour prouver les difficultés du métier de radiologue aux étudiants, un centre de recherche a publié les clichés des cas les plus compliqués et insolites d'objets coincés dans le rectum de patients. Des images qui resteront dans les annales ! 
Un patient qui a "glissé" sur un pilon
Une bouteille avec des aiguilles dedans
Un sextoy fait maison avec un tube de vitamines
Planet Publishing,
Entreprise de presse en ligne, numéro d'agrément CPPAP 0621 W 93940
Pratique Contact Plan du site Protection des données Préférences cookies CGU Newsletters Annonceurs Flux RSS
Tous droits réservés - Groupe Erold 2022
Publié par Bénédicte Demmer , le 06/02/2015 à 11:19
Comment ce pilon est-il arrivé là ? Selon le centre de recherche en radiothérapie Radiopaedia, il aurait pénétré dans le rectum d"un patient de 40 ans "tombé par terre en cuisinant".
Le patient aurait avoué s"être lui-même inséré cette petite bouteille contenant du café d"une marque très connue, dans le rectum. Comment les aiguilles se sont retrouvées plantées à l"intérieur ? C"est encore un mystère.
N"ayant pas de jouet coquin sous la main, le patient aurait décidé d"en faire un lui-même en vissant un tube de vitamines sur une bombe de déodorant. Le problème c"est que sa petite fabrication maison est restée coincée à l"intérieur de son rectum.
Pas facile de garder son sérieux pour le médecin qui a découvert la silhouette d"une bouteille d"un soda très connu en visionnant la radio du rectum de son patient.
"Il devrait y avoir une petite corde qu"il faut attacher à sa cheville pour ne pas perdre ces objets coquins", a plaisanté le médecin qui a retrouvé un petit vibromasseur coincé dans l"anus de son patient.
Selon le centre de recherches en radiothérapie Radiopaedia, cette image montre une aubergine coincée dans le rectum
Une session en solo dans la baignoire
Vive les Chinoises qui se la prennent dans le cul
Salope blackette aux jolis seins se fait baiser

Report Page