Jouis droit en moi

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Jouis droit en moi

Catherine Blanc
21h00, le 13 décembre 2019 , modifié à
21h04, le 13 décembre 2019

Pupilles qui se dilatent, frissons sur la peau, cris sauvages... autant d'indices qui prouvent qu'une femme a joui ? Faux ! Érection et Ă©jaculation... deux preuves irrĂ©futables de l'excitation et de l'orgasme masculin ? LĂ  encore, faux ! La question de la jouissance est complexe et surtout particuliĂšre Ă  chaque individu. Dans l’émission Sans Rendez-Vous , diffusĂ©e Ă  15 heures sur Europe 1, Catherine Blanc, sexologue et psychanalyste, rĂ©pond Ă  Arthur, qui se demande si sa partenaire prend du plaisir au point de jouir.
"Je suis avec mon amie depuis quelques mois et je m’interroge : comment sait-on qu’une femme a joui ?"
"Les femmes sont gĂ©nĂ©ralement peu dĂ©monstratives, Ă  moins qu’elles n'Ă©mettent des sons et encore faut-il que ces sons soient en adĂ©quation avec le ressenti. Au contraire, on a tendance Ă  rĂ©duire un homme Ă  ce qu’il montre - Ă©rection et Ă©jaculation - et c’est une erreur. Les hommes s’attendent un peu Ă  trouver les mĂȘmes repĂšres dans le corps fĂ©minin. Physiquement, il n’y a presque aucun moyen de le savoir pour une femme. Les manifestations sont trĂšs diffĂ©rentes, y compris pour une mĂȘme femme selon le moment de sa vie."
"ComplÚtement, et cela enferme aussi la femme dans un devoir de répondre à cette image-là pour rassurer son partenaire. Alors on s'attend à ce qu'il y a des cris incroyables et des attitudes de folie..."
"Il ne se passe rien au niveau du vagin mais au niveau utĂ©rin, si. Souvent, aprĂšs qu’une femme a joui l’utĂ©rus continue Ă  se contracter, et il n’est alors plus question de pĂ©nĂ©tration. La femme ne peut que tĂ©moigner de sa jouissance en disant "je te sens encore en moi" par exemple, et ce qu’elle croit ĂȘtre l’écho du pĂ©nis est en fait ses propres contractions utĂ©rines, qui se poursuivent aprĂšs le rapport."
"Je pense que c'est avant tout pour savoir s'ils ont "Ă©tĂ© bons". Il ne faut pas leur jeter la pierre pour autant, et accepter que nous allons tous dans la sexualitĂ© au service de notre dĂ©sir personnel. Les hommes ont besoin de trouver leur jouissance physique mais aussi leur jouissance de pouvoir Ă  faire jouir l’autre. Les femmes ont une jouissance Ă  faire plaisir ou Ă  exciter pour se rassurer elle-mĂȘme, comme elles ont de la jouissance pour leur plaisir personnel. Nous sommes tous Ă©goĂŻstes et tant mieux ! Quand chacun s’occupe de soi paisiblement, il est naturellement gĂ©nĂ©reux avec l’autre."
"Oui, mais peut-ĂȘtre pas Ă  chaque rapport sinon elle mentira ! C’est douloureux de reconnaĂźtre que l’on n’a pas joui. Douloureux pour soi car cela renvoie Ă  un manque de pouvoir personnel et douloureux de blesser l’autre, que l’on voudrait rassurer. Arthur devrait peut-ĂȘtre dire Ă  sa partenaire : "Tu sais, je suis un peu perdu car je n’arrive pas Ă  faire la diffĂ©rence quand tu jouis et quand tu ne jouis pas". Cela induit qu’il accepte qu’il y ait des moments oĂč elle ne jouit pas. C’est peut-ĂȘtre comme cela que l’on peut avancer paisiblement dans un couple."

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Moi, c’est Damien, tout juste 18 ans, je suis de ces garçons qu’on ne remarque pas. Toujours puceau, mais des fantasmes plein la tĂȘte. Je ne sais pas encore si je suis gay ou hĂ©tĂ©ro, mais j’ai envie de sexe. Dans la classe, il y a une fille dont on sait que c’est une vraie salope. Lors d’une sortie scolaire, elle a sucĂ© plusieurs garçons dans le bus. J’ai matĂ© le spectacle discrĂštement en me branlant, jusqu’à gicler dans mon fute. Je ne sais pas si c’est de voir les queues bandĂ©es de mes potes, ou de la voir sucer qui m’a excitĂ©. Ça fait plusieurs jours qu’on en parle avec un copain, puceau comme moi, on a envie de se faire sucer nous aussi. Il faut qu’on aille voir cette fille et qu’on lui demande de nous sucer. On lui filera un peu de notre argent de poche pour qu’elle accepte. Alors hier aprĂšs-midi, aprĂšs les cours, on a osĂ©. On Ă©tait super excitĂ©. On a bafouillĂ©, mais on lui a demandĂ©. On Ă©tait flippĂ©, mais elle a acceptĂ©. Elle nous a donnĂ© rendez-vous, aujourd’hui Ă  13h00, dans les toilettes du 3Ăšme Ă©tage, oĂč personne ne va jamais. En plus, cet aprĂšs-midi, le lycĂ©e est presque dĂ©sert. Avec mon pote, Nicolas, on a rien bouffĂ© au self. On n’arrĂȘtait pas de regarder notre montre. À 12h45, on Ă©tait dĂ©jĂ  devant la porte des toilettes, Ă  attendre. On ne savait pas trop si elle allait venir. Qu’elle vienne ou pas, il faudrait que je me vide les couilles. À 13h00, elle arrive. Elle rentre dans les toilettes. On la suit. Elle rentre dans la cabine handicapĂ©e. On reste lĂ  comme des cons.

— Alors, vous venez? Y a de la place ici, on sera plus à l’aise.

On se regarde. On a l’air de deux cons. On rentre dans la cabine.

— Ferme la porte derriùre toi Damien.

— Oui, dis-je en bredouillant et je m’exĂ©cute. On a emmenĂ© de l’argent si tu veux.

— C’est pas la peine, on va faire ça Ă  ma façon. Alors vous voulez que je vous suce?? Vous ĂȘtes encore puceaux? Vous ne vous ĂȘtes jamais fait sucer ?

— Pas la peine de rĂ©pondre, je sais que j’ai raison. Bon, si vous voulez que je vous suce, vous allez devoir faire tout ce que je vous demande.

Alors, je commence à ouvrir ma chemise, Nico a viré son tee-shirt.

— Stop!! Vous ne m’avez pas bien compris. DĂ©shabillez-vous l’un l’autre. Le sexe c’est un partage. Je vais vous dĂ©niaiser. Il n’y a pas que moi qui donne. Vous allez donner aussi, c’est pas juste moi qui vous suce pour votre petit plaisir, je veux m’amuser aussi. On va faire ça Ă  trois, suivant mes rĂšgles.

Je commence Ă  flipper, mais ça m’excite grave, et je vois que Nico aussi. Il se rapproche de moi. Mon cƓur bat la chamade. Il commence Ă  dĂ©boutonner ma chemise.

Nico passe ses mains sur mon torse, mes tĂ©tons. Il descend vers mon nombril et dĂ©fait ma ceinture. Je vais exploser. Je suis gĂȘnĂ©, ça me fait bizarre, mais j’aime ça. Je passe mes mains sous son tee-shirt, lui caresse le dos, le torse, et passe son tee-shirt par-dessus ses Ă©paules.

Nico ose tout, ses lĂšvres se rapprochent des miennes. On s’embrasse. Je suis en train d’embrasser un autre mec! Elle nous rejoint dans notre duo. Elle commence par embrasser Nico, puis moi. En l’embrassant, je dĂ©boutonne son haut. Nico lui caresse les fesses. Je sens une main sur les miennes. C’est Nico, une main sur ses fesses, l’autre sur les miennes. Je commence Ă  lui caresser les seins, puis je descends sur le paquet de Nico. Ses mains se glissent dans mon futal et sous sa jupe. Elle se laisse faire, moi aussi. Elle continue Ă  m’embrasser. Nico s’agenouille, il lui caresse la chatte, et il me palpe le paquet.

— C’est bien Nico, tu as tout compris. Mais toi, Damien, tu es trop timide. Nico relĂšve-toi, et toi, Damien Ă  genoux, dĂ©froque ton pote et suce-le.

— Si tu veux que je te suce, tu obĂ©is.

Alors, je m’agenouille. Nico me regarde. Je dĂ©fais sa ceinture, puis les boutons de son froc, qui sont sur le point d’exploser. Je descends son pantalon sur ses chevilles. Son caleçon rouge est dĂ©formĂ©. Sa bite n’attend qu’une chose, ĂȘtre libĂ©rĂ©e. Je glisse mes mains sous l’élastique du caleçon. Je le descends. Sa bite surgit, et me cogne le visage. Une belle bite, au moins 21cm. Il est circoncis, son gland est tout mouillĂ© par l’excitation. Je lĂšve les yeux. Je sens dans son regard qu’il me supplie de le sucer. Je la regarde.

Alors j’ouvre la bouche, je sors la langue, je la passe sur le gland humide de Nico, puis le long de sa queue.

Alors doucement, je mets la bite de Nico dans ma bouche et je commence ma premiĂšre pipe. Je prends vite de l’assurance. Si au dĂ©but j’avais les yeux fermĂ©s, ils sont maintenant ouverts, et je lui caresse les couilles, les fesses. Je m’applique, et j’aime ça. Lui aussi, je l’entends soupirer. Je la regarde, elle a ĂŽtĂ© sa culotte et se caresse. Elle paraĂźt satisfaite. Je crois qu’elle a compris que j’aime sucer. Je le dĂ©couvre, mais elle le savait.

J’obĂ©is avec regrets. Elle le sait. Nico n’attend pas les nouvelles consignes. Il s’agenouille. Il ouvre mon jeans, et descend mon froc et mon slip blanc en mĂȘme temps d’un coup sec. Il s’empare de ma bite. Elle est plus petite, 18 cm. Et il l’avale direct. Il m’enserre les couilles de sa main gauche. Je sens son index droit glisser vers mon cul. La transpiration aidant, il le rentre facile. Je gĂ©mis. Elle me sourit et me pince les tĂ©tons. Je gĂ©mis encore. Nico fait des va-et-vient dans mon cul avec son doigt. Sa main gauche a lĂąchĂ© mes couilles pour caresser la chatte de notre guide. Je pose une main sur la tĂȘte de Nico, et l’autre explore le derriĂšre fĂ©minin. C’est le moment qu’elle choisit pour s’agenouiller aux cĂŽtĂ©s de mon pote. Nico arrĂȘte sa pipe, mais laisse son doigt dans mon cul. Ils s’embrassent, elle me branle, puis commence Ă  me sucer Ă  son tour. Nico l’accompagne, ils se bagarrent ma queue. Elle fait glisser sa main gauche le long de mes fesses, puis plus prĂšs de ma raie et je sens un de ses doigts rejoindre celui de Nico dans mon cul. J’adore ça. Nico lui cĂšde ma bite, et se relĂšve. Elle continue Ă  me branler, mais suce Nico Ă  son tour. Sans qu’elle ne me dise rien, j’embrasse Nico.

— Vas-y, doigte-moi, toi aussi, me demande-t-il.

Je rentre un doigt sans difficultĂ©. En bas, elle passe d’une bite Ă  l’autre. Toujours un doigt dans mon cul avec celui de mon pote, et une main sur sa chatte. Puis arrĂȘte de sucer, et nous regarde.

— J’ai plusieurs solutions Ă  vous proposer. Je veux que vous connaissiez le goĂ»t du sperme, alors: soit Nico tu me jouis sur le sein droit en te branlant, et Damien tu me lĂšches le sein aprĂšs, puis tu jouis sur le sein gauche, et Nico, ce sera Ă  ton tour de lĂ©cher; soit je continue Ă  vous sucer, jusqu’à ce que vous jouissiez dans ma bouche et je vous embrasse aprĂšs ; ou la derniĂšre solution ?

— La derniùre solution ? Demande Nico.

— Soit, Nico tu suces ton pote, il jouit et tu avales. Il en fera autant pour toi aprùs. Cette derniùre solution comporte un bonus.

— Vous pourrez me bouffer la chatte aprĂšs, et on se reverra par la suite, pour que vous sachiez enfin ce que c’est que de pĂ©nĂ©trer une femme.

Alors, j’ai regardĂ© Nico, et je lui ai dit :

— Je vais te finir à la bouche, tu vas me gicler à la gueule et je vais tout avaler.

Et je me suis agenouillĂ© de nouveau. Je m’en foutais de pouvoir la pĂ©nĂ©trer par la suite, mais j’avais envie de goĂ»ter Ă  la semence de mon pote. Je savais aussi, que les couilles vides, ce serait plus difficile pour Nico d’en faire autant pour moi, mais ce n’était pas important. Je voulais le faire jouir et sentir sa sĂšve couler dans ma gorge. Alors, je l’ai sucĂ© jusqu’à ce qu’il rĂąle et qu’il jouisse. J’ai tout avalĂ©, j’ai bien nettoyĂ© sa queue, et son gland, j’ai bien passĂ© ma langue sur mes lĂšvres pour ne pas perdre une goutte de son jus. En me relevant, il m’a souri, puis est descendu me rendre la pareille. Je savais que ça lui demandait un effort, l’excitation commençant Ă  retomber. En me suçant, il jouait avec deux doigts dans mon cul. J’ai joui, et il a tout avalĂ©, puis tout nettoyĂ©. Il bandait toujours. Elle s’est approchĂ©e de lui. Sans rien demander, il a commencĂ© Ă  lui bouffer la chatte, en se branlant. Je le regardais faire. Je la voyais gĂ©mir. Il m’a tirĂ© par le bras pour que je le rejoigne. Je n’en avais pas trĂšs envie. Il m’a guidĂ©, et j’ai goĂ»tĂ© Ă  sa chatte. Puis je lui ai cĂ©dĂ© la place, il a repris sa lĂšche en se branlant. Alors, j’ai eu envie de le sucer de nouveau. Et pendant qu’elle gueulait de plaisir, Nico se vidait de nouveau dans ma bouche. Elle s’est agenouillĂ©e, on s’est embrassĂ©.

— Voilà les garçons, vous avez tenu parole, j’ai tenu parole. Vous saurez à quoi penser en vous branlant la prochaine fois. Une derniùre chose, faites-moi plaisir, je sais que maintenant, vous avez envie de pisser, je veux vous regarder faire.

Alors, on s’est rapprochĂ© de la vasque et on a pissĂ©. Quand on a eu fini, elle avait disparu. J’ai vite refermĂ© la porte. Je me suis rapprochĂ© de mon pote et je l’ai embrassĂ©.

— T’étais pas obligĂ©, elle est partie.

AprĂšs cette aventure, on s’est souvent branlĂ© ensemble avec Nico. Bien sĂ»r, Ă  chaque fois, on se suçait. On a mĂȘme essayĂ© d’autres choses. Je sais aussi que Nico l’a revu pour « la pĂ©nĂ©trer » comme promis. VoilĂ  comment j’ai franchi un cap au lycĂ©e. J’en ai franchi d’autres aussi pendant cette pĂ©riode qui remonte Ă  15 ans. Mais, ça, ce sont d’autres aventures lycĂ©ennes!!!




Mon monde en français... mémoires de Alej



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