Jouis donc au bureau

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Jouis donc au bureau
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Il y a quelques années. Saviez-vous que la meilleure école de sexe c'est un collège catholique ? Je m'explique :

Je commençai mes humanités à 11 ans, comme interne au collège St-Benoit. Et j'entre en sixième latine (on dirait maintenant en première). Je m'habitue aux méandres de l'énorme bâtiment : conciergerie, réfectoires, chambres des profs, études etc et prends connaissance du règlement. Puis on fait connaissance des Profs, des copains, on fait sa place comme on dit.

Mes parents m'avaient demandé de leur téléphoner pour leur dire comment je supportais l'internat. Mais pour pouvoir téléphoner, il fallait demander au concierge, un homme de 50 à 60 ans que l'on voyait toujours partout mais qui, en fait, ne faisait pratiquement rien.

Après mon installation, je descends du dortoir et vais chez le concierge pour obtenir mon billet. Sa loge est près de la porte d'entrée, dans une pièce en sous-sol.

— Bonjour, mon garçon, comment t'appelles-tu ?

— Bonjour, Henri, qu'est-ce que tu viens faire ?

Je m'approche et doucement, il me prend la taille, mine de rien, et m'assied sur ses genoux. Je ne vois là rien de spécial, mon père fait souvent ça aussi. Ses deux mains sont sur mes cuisses nues (en ce temps-là, on portait des culottes courtes très longtemps) et je sens que doucement son pouce passe sous le bord de ma culotte et touche mon caleçon. Tout en me demandant où j'habite, ce que font mes parents, etc, ses doigts avancent et ils touchent maintenant ma verge qui n'est pas encore très grande ni grosse mais qui promettait, d'après les premières réactions que je ressentais souvent dans mon lit.

Sans vergogne il empoigne alors ma verge (j'emploie ce mot et d'autres que je ne connaissais pas alors) déjà en émoi et se met à me malaxer doucement. Dans ma petite tête de gamin, le concierge était une grande personne et je ne pouvais m'opposer à lui. Je le laisse donc faire et je dois dire que c'était bon. Il prend ma main gauche et la pose sur sa braguette. C'était facile puisque j'étais toujours sur ses genoux. Il appuie sur ma main pour bien me faire sentir qu'il y avait quelque chose entre ses jambes. Je devinais bien quoi mais je n'avais jamais touché ni vu un sexe d'homme de près. Quand j'ai bien senti la chose, il se déboutonne et sort ses bijoux de famille.

À mon âge, ça me paraissait énorme, comparé à la petite quéquette d'un copain que je caressais de temps en temps. Il ouvre alors ma culotte et en sort ma petite queue et mes boules (je dirais maintenant : mes couilles) et comme j'étais bien droit, il commence à me caresser et je sens dans ma main sa queue durcir, le gland s'élargir. Mais moi, je pensais toujours à mon bon de téléphone. Je le lui demande et il se résoud à me dire :

— D'accord, mon garçon, je vais te le donner, tu vas là-bas et tu me le rends quand tu as fini.

Il rentre son sexe dans son pantalon et moi aussi et je pars téléphoner, étant un peu émoustillé par cette petite séance. Une fois le coup de fil terminé, je vais chez le Père Loriot pour rendre mon bon, il le prend et me demande :

— Si tu ne dis rien à personne, tu auras des bons de téléphone gratuits, mais il faut être très gentil avec moi. Qu'en dis-tu ?

— Avais-tu déjà vu un sexe d'homme avant aujourd'hui ?

— Je l'ai vu par la porte de la salle de bains entrouverte.

— Et qu'est-ce qu'il faisait, ton père ?

— C'est bien, tu me raconteras ça quand tu reviendras.

Le reste de la semaine se passa à recouvrir les nouveaux cahiers et livres, entendre les premiers cours, faire les premiers devoirs, enfin le soir, se coucher dans un nouveau lit. Le mien était dans une alcôve fermée par un rideau. Le surveillant venait surveiller pour voir si on était bien couché.

Pour la suite de l'histoire, vous devez savoir que j'étais un petit garçon déluré, franc, souriant, bien fait et appétissant... (je vous dirai comment je l'ai su). Dans ce collège, les profs appelaient souvent dans leur bureau les élèves pour, soit les aider dans une matière, les corriger, pour des leçons particulières, ou plus grave ! Des sanctions.

Je reçus du surveillant de l'étude du soir, une convocation chez Monsieur l'abbé Materne, mon titulaire prof de latin. Je frappai à sa porte :

— Bonjour Henri, entre et assieds-toi.

— Alors, que penses-tu du collège après ces premières semaines ?

— N'oublie pas qu'à côté de l'instruction, il y a la religion, tu y penses ?

— Vas-tu à la confesse et dis-tu bien tous tes péchés ?

— As-tu déjà péché contre la chair ?

— Te caresses-tu tout seul ou avec d'autres camarades ?

— Oui, Monsieur l'abbé dis-je très timidement, me demandant s'il allait m'infliger une sanction.

— Dis-tu au confesseur comment tu fais ?

— Tu dois. Montre-moi ce que tu fais pour que je comprenne.

Ébahi mais obéissant, je sors ma petite queue et mes balles et je commence à faire glisser la peau et je sens que je durcis un peu. Pendant ce temps, l'abbé ouvre lentement les boutons de sa soutane à hauteur de la braguette entre sa main et se tripote l'entrejambe. Je vois ça et je continue de plus belle car je commence à m'exciter sur la queue des hommes. Il me regarde faire et sort sa queue grosse, veineuse dont le gland est rouge et proéminent et excité par mon geste, il se masturbe devant moi et me demande :

— As-tu déjà caressé un sexe d'homme ?

Et il me prend la main et fourre sa queue dedans et lui imprime-le mouvement de va-et-vient et lui-même prend mon zizi et le caresse fermement. Étant très jeune, je ne résiste pas longtemps et je décharge un peu de liquide blanc en gémissant de plaisir. Je sens qu'il durcit encore. L'abbé prend alors ma tête entre ses mains et la dirige vers sa queue en disant :

— Mets-la dans ta bouche et suce-la Henri, tu verras comme c'est bon.

Et je le suce consciencieusement, il gonfle. Après quelques minutes, il respire plus fort et je sens tout d'un coup une giclée de sirop au fond de la gorge, il tient ma tête, je suis donc obligé d'avaler, une seconde giclée tout aussi abondante. Je me retire et une troisième, que je vois, coule de son gland rouge d'excitation.

Ces petites séances se passaient 2 fois par semaine. Je déboutonnais moi-même la soutane de l'abbé et déjà je le sentais durcir alors que je ne le touchais pas encore, ensuite j'ouvrais sa culotte de dessous et je sortais sa queue que je suçais jusqu'au plaisir intense et je buvais toute sa semence blanche et onctueuse et pendant ce temps-là, il me masturbait pour me satisfaire.

Je trouvais la vie belle. Mais une aventure m'attendait. Au cours d'une de ces séances, j'avais la bitte de l'abbé en bouche quand la porte du bureau s'ouvre et l'abbé Dubois entre (mon prof de néerlandais) :

— Oh, Louis, tu aurais pu me prévenir !!! dit l'abbé Dubois.

— Entre, Robert, comme tu le vois, il n'y a pas que toi qui te fais sucer !

Je voyais que ce n'était pas la première fois que ça leur arrivait.

— Tu aimes ça Henri ? me demande Robert (l'abbé Dubois)

Alors l'abbé Dubois ouvre ses boutons et sort sa queue raide, longue, superbe, plus grande que celle que je suce mais un peu moins large. Me regardant sucer son collègue, il se met à se masturber près de mon visage.

— Louis, laisse-le moi un peu, la dernière fois c'est moi qui t'ai passé le père Loriot.

Quand j'ai entendu ça, j'ai pensé que ça formait un fameux trio.

— Soit. Henri, tu veux bien sucer l'abbé Dubois, je vais te masturber pendant ce temps.

Ce que je fis avec plaisir. Ça l'excitait et d'être sucé et de voir l'abbé Materne me masturber, il ne fut pas long à jouir, tremblant des genoux, giclant de grandes quantités de sperme à croire qu'il y avait plusieurs jours qu'il ne s'était pas caressé.

— Merci Henri, tu fais ça très bien, dit l'abbé Dubois. Pourquoi, Louis, ne m'as tu pas dit que tu avais trouvé cette perle d'Henri ?

— Je ne sais pas, ça s'est trouvé comme ça. Il faudra qu'on prévienne le père Loriot.

— Oui ! Tu connais le Père Loriot, Henri ?

— Si, il m'a caressé et je l'ai caressé aussi mais on n'a pas joui.

— Pourquoi, demande l'abbé Materne ?

— Non, je dois le faire la semaine prochaine.

Sur ces mots, chacun remet de l'ordre dans ses vêtements et je quitte les abbés pour revenir à l'étude qui va d'ailleurs bientôt finir. Pour les autres copains, j'ai des leçons particulières de Néerlandais. Je me sens bien et à ce rythme je sens que ma queue va se développer rapidement.

Le samedi arrive et je peux rentrer chez moi pour le week-end. Mon père vient me chercher et nous rentrons dans notre campagne.

— Ça a été au Collège ? demande mon père.

— Oui ! Très bien. J'apprends beaucoup de choses.

Comme j'ai toujours été très franc avec mon père, qu'il est très ouvert et sans tabou, je lui ai toujours confié mes impressions (même mes premiers émois sexuels) :

— Oh ! Très intéressant ! Et avec qui ?

— L'abbé Materne, l'abbé Dubois et le père Loriot.

— N'oublie pas que ce sont tous des hommes et que les femmes sont bonnes aussi.

— Je sais, Papa, mais au collège il n'y a pas de femmes.

— J'espère que tu ne jouis pas trop souvent, il y va de ta santé.

— Mais, Papa, quand je t'ai surpris dans la salle de bain en train de te caresser, tu m'as dit que je pouvais le faire aussi.

— Oui, c'est vrai, mais tu n'es pas encore adulte et tes glandes ne sont pas encore développées pour produire beaucoup de sperme. Tu jouis combien de fois par jour ?

— Les jours où les abbés jouent avec moi, c'est 3 à 4 fois, les autres jours c'est le soir dans mon lit.

— Il me semble que les abbés exagèrent. Tu devrais pouvoir goûter les filles pour ne pas être homo sans connaître autre chose.

— C'est vrai, dis-je, mais Colette (ma sœur de 16 ans) m'a déjà sucé 3 fois à la fin des vacances.

— Bon ! Tu as aimé, demande mon père ?

— Oui, beaucoup. Je t'en reparlerai à la maison.


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30 novembre 2011
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/ 2011
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Published by john



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Une petite histoire très sympathique comme je les aime, croustillans pleine de fraîcheur, j'adore....
Bonne lecture et merci à Coralie pour cette histoire, du pur bonheur.
Je m’appelle Coralie, et j’ai 19 ans.
Mon histoire est simple ,j’ai découvert le sexe à l’âge de 16 ans avec un homme de 38 ans, en fait mon patron.
Je bossais dans un hôtel l’ été, j’ai été embauché par mon boss pour une saison.
J’ai bien vu lors de l’entretien qu’il me reluquait un peu mais bon je me suis dit que c’était le cas de nombreux mecs, surtout que je suis pas trop mal foutue.
1,70m rousse cheveux mi long,90B et 36 en tour de taille.
Je devais faire le service en salle tous les soirs ,avec mini jupe et chemisier blanc pour le restaurant.
Je travaillais tous les soirs sauf le vendredi et samedi.
Par contre le dimanche soir je bossais avec lui et un cuistot, c’était calme et sa femme rentrait s’occuper des enfants, ils habitaient un peu haut sur la rue.
Le premier dimanche cela se passa normalement avec juste quelques frottements lorsque l’on se retrouvaient tous les deux derrière le comptoir, c’était pas large.
Au niveau sexe, jusque la j’étais une ingénue, avec mes parents grenouilles de bénitier, le sexe est taboue, on en parlait pas, et au lycée j’écoutais sans plus non plus.
J’avais vu une fois un film porno sur internet mais j’avais refermé le dossier rapidement de peur que mes parents s’en aperçoivent.
Donc le dimanche soir se passe et la semaine se suit.
La semaine d’après je remarque qu’il me reluque un peu, son regard se pose souvent sur mes seins, j’ai un soutien gorge blanc ajouré ,et mon chemisier acheté pas cher est un peu transparent. Je m’en suis pas rendu compte sur le champs mais à la vue de son regard insistant je m’en suis aperçu.
Un moment donné on se retrouve derrière le comptoir il me regarde et je lui demande ce qu’il se passe, et il me répond » tu devrais défaire un ou deux boutons de ton chemisier ca te donnerait un air moins coincée » et sans attendre mon accord il défait mes deux boutons du haut ouvrant ainsi mon chemisier, je n’ose pas bouger et il me dit « voilà c’est mieux comme ca » et je repars servir ainsi .
Je commence à servir et je vois que quelques clients n’hésite pas à regarder dans mon chemisier du coup., et je m’aperçois que ca me gêne pas mais au contraire ca m’excite pas mal.
Je reviens au comptoir avec le sourire et une chaleur dans le bas ventre.
Mon patron « et ben on dirait que tu as chaud qu’il me dit « et c’est vrai que j’ai chaud si il savait ou même …..
On continue le service toute la soirée et je sens que la vue de mon chemisier ouvert l’excite lui aussi car il se colle de plus en plus derrière le comptoir et moi cela m’excite encore plus, ca devrait me gêner mais au contraire j’en trouve du plaisir.
A un moment je prépare un café et il se colle con
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