Jouir sur le nouveau canapé

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Acheter un nouveau canapé : les erreurs à éviter






Par Mathilde Dugueyt,






publié le

14/10/2021 à 07:00

14/10/2021 à 07:00






















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Acheter un nouveau canapé : les erreurs à éviter
S'il était presque indispensable de le tester au préalable, il est aujourd'hui tout à fait possible d'acheter en ligne, en toute connaissance de cause, avec de nombreuses informations disponibles. Grâce à des configurateurs et des logiciels performants, les particuliers peuvent se projeter en 3D afin d'avoir toutes les clés pour faire un choix de canapé pertinent. Même si les offres aujourd'hui sont de plus en plus compétitives, un canapé de bonne qualité coûte plusieurs centaines d'euros. Face à des modèles à prix mini, il est tentant de succomber à des éléments très attractifs. "Attention !", préviennent les experts. Acheter un nouveau canapé demande de prendre le temps, de respecter une liste de critères essentiels et de s'informer en amont au risque de commettre certaines erreurs, plus ou moins importantes... 
Loin d'être impulsif, adopter un canapé nécessite d'étudier un certain nombre d'informations essentielles avant l'achat. En fonction des besoins, du budget et des envies, les descriptifs en disent long sur le modèle en question et peuvent être une première clé d'entrée. "Souvent, les gens ne sont pas au courant des nouveautés en termes de canapé, ils ne savent pas non plus les évolutions du marché, prévient Olivier Cloez. En s'informant et en demandant conseil à un vendeur en magasin, cela permet de mieux cibler son achat." 
D'ailleurs il est tout à fait possible d'acheter son canapé sur Internet, sans l'essayer, à condition de bien se renseigner. "Parmi les informations mentionnées, la densité de la mousse a son importance pour procurer confort et durabilité, poursuit l'expert. Elle doit être si possible supérieure à 30 kg/m3. En dessous, c'est plus problématique. Une structure du canapé en bois, une sangle pour le maintien de l'assise ou une fabrication de proximité sont aussi gages de qualité. C'est rassurant d'avoir plein d'informations !" 
Bien se renseigner en amont est essentiel afin d'acheter un nouveau canapé (canapé Lenita, 5 places fixe en velours, gris restanque, alinea).
Avec un marché de plus en plus compétitif, certains proposent des canapés à des prix défiants toute concurrence. Même s'ils peuvent être une solution d'appoint, ces canapés ne sont pas durables et risquent de demander à être renouvelés d'ici peu. Le prix ne doit pas être le seul critère de décision. "En achetant un canapé à petit prix, attention aux dimensions du produit, à la densité de la mousse mais aussi, entre autres, à la qualité du tissu !", prévient Olivier Cloez. 
À l'image d'autres meubles importants dans la maison, le canapé ne se choisit pas au hasard. Il doit être défini en cohésion avec ses propres besoins, différents selon le profil de chacun. "Avant d'acheter un canapé, il faut penser à son usage, s'il s'agit d'un canapé pour tous les jours ou pas, définir le niveau de confort dont on va avoir besoin, indique Oscar Doll, designer pour Kave Home. Le canapé représente la colonne vertébrale de la maison, c'est là que nous passons le plus de temps et son confort est essentiel pour garantir un bon repos." 
Les canapés offrent des assises plus ou moins enveloppantes, avec différents types de confort pour répondre aux attentes de chacun (Canapé 3 places LEGARA, tissu, bois massif, acier et mousse, Kave Home).
Dans cette quête de bien-être, l'assise compte ! "Un canapé peut avoir une assise plus profonde de 80 cm, par exemple, au lieu d'un classique 60 cm afin de mieux envelopper la personne, affirme Olivier Cloez. La composition est aussi importante avec une assise en plume pour un confort décuplé si l'on souhaite un canapé détente." 
Solution convoitée pour son côté polyvalent et pratique, le canapé convertible offre un lit d'appoint sans demander beaucoup de place. "Le canapé convertible est pensé principalement pour répondre à une problématique d'espace, rappelle Oscar Doll. Il devient la solution idéale quand on ne dispose pas de chambre d'amis , par exemple, ou quand on habite dans un studio." 
Solution fréquente pour répondre à un manque de place, le canapé convertible ne propose pas une seule solution mais plusieurs pistes intéressantes. "Lorsque l'usage est occasionnel, le canapé peut abriter un lit tiroir aussi appelé "canapé lit peigne", rappelle Olivier Cloez. Si le convertible est utilisé plus souvent, un canapé trois plis ou un modèle doté d'un tirage rapido permet d'éviter d'avoir à enlever les coussins à chaque fois et d'obtenir un couchage plus simplement." 
Couchage d'appoint ou quotidien, le canapé convertible cache plusieurs degrés de confort. Il se choisit en connaissance de cause ! (Canapé d'angle réversible 4 places convertible Honoré, bleu calabrun, alinea)
Dans une tendance générale où la couleur est à la fête dans la maison, le canapé est l'occasion d'ajouter une note personnelle au sein de la pièce à vivre. Mais par peur de se tromper ou de se lasser, certains préfèrent encore se tourner vers des tons neutres. "D'une façon générale, le canapé gris est un classique, résume l'expert salon chez alinea. Maintenant il y a une vraie évolution des envies. On s'est réappropriés nos intérieurs et on ose désormais des couleurs un peu plus décalées. Le choix est aussi plus varié ! Du vert ou du bleu, du bronze ou du camel qui donnent un coup de pep à la maison : ces couleurs vont créer un bel ensemble avec le reste de la décoration. Point important, le fait d'avoir un canapé déhoussable permet de varier les tissus au gré des saisons ou des souhaits, en passant d'un vert cèdre à un bleu velours, par exemple." 
Avec une superficie réduite, le salon demande juste un peu plus d'imagination pour offrir tout le bien-être nécessaire. Les fabricants rivalisent d'idées pour répondre à ce besoin. Encore une fois, il est juste conseillé de bien se renseigner en amont. "Dans les petits espaces , on peut s'orienter vers un canapé avec des accoudoirs fins pour conserver tout le confort de l'assise, recommande Olivier Cloez. C'est un type de produit compatible avec les volumes réduits. Il existe aussi des canapés 4 places au lieu des modèles historiques en 3 ou 5 places, avec une largeur d'assise optimale. Dans les plus petits salons, les love seats avec 1,5 place et environ 110 cm permettent de s'assoir en tailleur, par exemple. Les canapés 2 places commencent à 130 cm environ et ils sont capables de recevoir deux personnes. Certains modèles abritent même un couchage !" 
Tendance, le canapé d'angle est devenu un incontournable même dans les petites pièces à vivre. D'ailleurs, le canapé d'angle offre plusieurs configurations possibles afin de répondre à toutes les demandes. "Il peut être composé d'une chaise longue ou d'une méridienne, remarque Olivier Cloez. Dans le dernier cas, l'encombrement est plus conséquent avec des accoudoirs en retour. Avec une chaise longue, le volume est quasi identique à un canapé simple et cela peut être une bonne option dans les petits espaces." 
Avec l'envie d'avoir un canapé d'angle sans avoir un grand espace, alinea propose une alternative ingénieuse et unique en son genre avec un confort identique (Canapé 5 places fixe gauche Tessoun, en tissu gris restanque, alinea).
Autre piste à suivre : miser sur l'aspect évolutif du canapé. "Dans des pièces à la superficie limitée, je conseille un canapé modulable ou encore un canapé d'angle au design plus léger, peut-être aussi disponible en plusieurs dimensions afin de s'adapter à n'importe quel salon", préconise Oscar Doll. 
Au moment de l'achat d'un nouveau canapé convertible, l'épaisseur du matelas est déterminante afin d'assurer le confort nécessaire à de bonnes nuits. Un critère d'autant plus important si le canapé sert de couchage régulièrement. "En commençant à 6 cm, l'épaisseur du matelas devient beaucoup plus confortable à 10 cm, prévient Olivier Cloez. Un système rapido permet aussi d'avoir un matelas plus épais jusqu'à obtenir un vrai lit pour tous les jours grâce à un matelas de 17 cm d'épaisseur." 
En fonction du profil du foyer et ses habitants, le canapé demande à être facile d'entretien. C'est le cas notamment lorsqu'il y a des animaux domestiques ou des enfants en bas âges . "Il est nécessaire de penser aux caractéristiques du revêtement, anticipe Oscar Doll. Autrement dit, si c'est un tissu anti-tâche, si le canapé est déhoussable dans son ensemble ou en partie (coussins d'assise, coussins du dossier et autres)." 
Le fait de pouvoir déhousser son canapé complétement ou en partie participe à faciliter l'entretien tous les jours (Canapé d'angle 2 places GALENE, fibres recyclées PET, panneau de particules, fer, pin, MDF et mousse, Kave Home).
Normalement les tissus d'ameublement sont conçus pour résister aux aléas du quotidien et des tâches avec une protection adaptée. "Ces tissus déperlants évitent que les tâches ne s'incrustent, précisent Olivier Cloez. Ce tex-gard® est un traitement proposé sur certaines gammes chez alinea. C'est bon à savoir, il existe aussi un produit complémentaire à vaporiser sur les canapés non traités afin de les imperméabiliser." 
Le plus souvent, les canapés sont composés de tissus en polyester avec une résistance élevée. "Dans le cas d'un premier prix, le tissu est souvent plus fin et plus facile à user", prévient l'expert. Le toucher permet de se rendre compte de l'épaisseur et de la maille des fibres mais il est aussi possible de récupérer des informations sur le site ou sur l'étiquette du modèle. 
De plus en plus, depuis quelques années, la tendance est aux tissus naturels avec le coton ou le coton et le lin. "Les matières fragiles doivent être déhoussables pour un lavage en machine régulier", recommande Olivier Cloez. Une astuce afin de conserver son canapé dans un bel état, le plus longtemps possible ! 

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Valérie pensait que le plaisir n'était pas fait pour elle.
SEXE- Mariée à un homme depuis des années, Valérie n'a eu son premier orgasme qu'à 35 ans... Dans les bras de sa voisine.
Les propos de cette histoire ont été recueillis par la rédaction de Elle.fr et retranscrits à la première personne.
Les premières lueurs du jour me réveillent doucement. Le corps engourdi, mais étrangement apaisé, je flotte entre le rêve et le sommeil. J'ai mal au crâne, j'ai un peu trop bu la veille. Des images de Marie me reviennent : Marie qui pleure, puis Marie qui sourit ; Marie qui a les yeux qui brillent, Marie qui est jolie ; Marie qui joue avec mes bracelets, Marie qui vient se blottir contre moi... Toutes les deux sur le canapé du salon. Une bouteille vide sur la table basse. Des braises dans la cheminée. Je ne sais plus quelle heure il était quand ça a basculé, ni comment ça s'est passé, ni qui a commencé réellement. Je revois juste nos corps nus, fébriles, ma bouche cherchant la sienne, ses mains serrant les miennes. Marie et moi avons fait l'amour, toute la nuit. Aussi simplement et naturellement que ça. Aussi formidablement que ça.
Pour la première fois de ma vie, j'ai joui. Pourtant, je suis hétéro, je le sais. Et, même là, je n'en doute pas. En revanche, moi qui croyais que les joies du sexe étaient réservées aux autres... Ce matin-là, troublée et heureuse de l'être, j'ai su que je m'étais trompée. Moi aussi, je pouvais.
J'ai grandi dans une famille où le sexe n'était pas tabou : il n'était pas, voilà tout. Mes parents, artisans, bossaient comme des fous pour joindre les deux bouts, et seul le travail avait de la valeur à leurs yeux. Je ne les ai jamais vus se détendre, goûter le bonheur d'être à deux, encore moins s'embrasser. Pas une marque de tendresse entre eux ; pas plus pour nous, leurs enfants. D'ailleurs, ma mère ne nous lavait pas, elle nous briquait. Quand j'ai eu mes règles, elle m'a giflée : chez ses parents, paysans, c'était la tradition, paraît-il. En revanche, pas un mot sur mon corps qui change ou sur la puberté qui me tombe dessus... Ma grand-mère, catholique pratiquante, vivait chez nous. Avec le recul, je pense que c'est sa dureté qui étouffait tout ce qui aurait pu ressembler à du plaisir ou à de la sensualité.
Une première fois, ni bonne ni mauvaise
Au lycée, j'ai eu la chance de vouloir suivre une option qui me contraignait à partir en internat. Loin des miens, j'ai découvert un monde que je ne soupçonnais pas. Mes nouvelles amies se racontaient le soir, sous la couette, comment elles avaient dragué celui-ci, embrassé celui-là... Et elles ne brûlaient pas en enfer pour autant ! Alors j'ai voulu essayer. C'était la boum de fin d'année, j'étais en seconde, lui terminait son CAP, mais il était plus âgé et plus expérimenté que moi. Il m'a invitée à danser et m'a embrassée. Plus précisément, il a enfourné sans aucun préalable sa langue dans ma bouche. Une limace aurait été plus appétissante. J'ai détesté et me suis enfermée dans les toilettes pour le reste de la soirée.
Les mois passent, mon corps se transforme. Tant que je vivais chez mes parents, il se faisait, lui aussi, très discret. Mais l'internat lui fait du bien et me voilà nantie d'une belle poitrine et de fesses rebondies. Les garçons du lycée s'intéressent à moi, ça me met mal à l'aise. Le regard noir de ma grand-mère me l'a fait comprendre : j'ai raison d'avoir honte de mes formes. Mes copines, elles, me chahutent, me poussent à mettre des jupes, à me maquiller. J'envie leur légèreté, leur audace. Alors, quand elles me proposent de me joindre à elles pour fêter notre bac au bord de la mer, je fonce. À l'usure, je convaincs mes parents de me laisser partir. Officiellement, on travaille pour une association qui offre des vacances à des enfants défavorisés. Mais, quand les petits sont couchés, c'est la fête pour les animateurs.
Un soir, je décide qu'il est temps de sauter le pas. Je prends l'un de mes camarades par la main et l'entraîne vers la plage. Pas anxieuse, déterminée : il me paraît inconcevable d'entrer vierge à la fac. Ma première fois n'est ni une bonne ni une mauvaise expérience. Je ne ressens pas un gramme du plaisir promis par mes copines, mais je me dis que ça viendra. Évidemment, de retour au camping, je fais comme elles et clame que j'ai joui à pleins poumons.
Il se préoccupe seulement de son plaisir
Les années de fac, de ce point de vue-là, ne sont pas celles que j'espérais : on ne change pas une équipe qui perd. L'amour, le sexe et moi, ce n'est toujours pas ça. J'ai honte en famille de paraître trop libérée ; honte avec mes amies de paraître trop coincée. Résultat, je ne parle de mes doutes à personne. Est-ce normal de ne pas aimer telle ou telle caresse ? Le jour où j'aurai un orgasme, je le saurai ? Et comment fait-on pour en avoir un ? Mais vous, jouissez-vous vraiment à chaque fois ? Ces questions me taraudent. Faute de pouvoir les poser, j'évacue une partie du problème (la rencontre amoureuse) en me mariant avec le premier venu.
Il s'appelle Sylvain, il est flic, assez beau, et je me convaincs qu'il me plaît. Et que les hommes, les vrais, ne font pas de manières. Lui, visiblement, elles ne l'embarrassent pas. Passé les quelques mois de lune de miel, la sexualité avec Sylvain se réduit à la portion congrue... de son plaisir. Il me pénètre, il jouit. Point. Je le laisse faire, me force parfois un peu, pour avoir la paix. J'ai bien essayé de lui dire que je ne ressentais rien. Invariablement, il évacue : "Pas de ma faute si t'es frigide ! Regarde ta grand-mère,
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