Jouets et doigts lui suffisent

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Jouets et doigts lui suffisent
Au fil de l'eau , Du vécu J’ai confiance en mon frère, je peux lui prêter mes jouets !
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Pour un enfant, prêter ses jouets ne relève pas toujours de l’évidence. Il faut d’abord avoir confiance en l’autre.
De notre point de vue, les jouets devraient toujours être prêtés. Nous rêvons d’une maison dans laquelle les enfants seraient toujours heureux de voir les petits invités profiter de leurs jouets, et l’harmonie régnerait.
Dans la pratique… hum… disons que ce n’est pas toujours le cas…
Il peut y avoir plusieurs raisons à cela, mais si on prend le temps d’y réfléchir, elles sont saines, et compréhensibles !
Et, avant même que nous en arrivions à la liste (forcément non exhaustive) de ces raisons, nous pouvons déjà essayer de nous mettre à leur place.
Une amie arrive, et s’intéresse aux chaussures que j’ai rangées dans l’entrée. Elle se met alors à les essayer les unes après les autres, sans me demander, et sans les remettre en place. Serais-je ravie ? Ou aurais-je plutôt envie de lui signifier, peut-être vertement, que ce sont MES chaussures, en les lui arrachant des mains au besoin ??
Voilà qui remet déjà un peu les choses en perspective, n’est-ce pas ?
Si l’autre s’approche d’un jouet que l’enfant aime particulièrement, il est probable qu’il ait simplement envie de le protéger. D’être certain que le jouet ne sera pas abîmé. Cette raison est d’autant plus valable lorsqu’il s’agit d’un jouet neuf.
(Je me souviens quand j’étais en école d’ingénieur : je n’aimais pas prêter mes BD. Car j’en prenais soin, et je ne voulais qu’elles trainent sur le sol des piaules de mes collègues, d’où elles ne ressortiraient probablement pas en aussi bon état. Inavouable ?)
Soit, l’enfant ne joue pas avec… pour le moment. Mais pendant combien de temps l’autre va-t-il vouloir garder le jouet ? Et si l’envie lui venait (d’autant plus facilement qu’il voit l’autre y jouer) avant que le jouet soit de nouveau disponible ? Ne vaut-il mieux pas le garder en réserve ? On comprend sa crainte…
Il est également possible qu’il y ait un conflit sous-jacent entre les enfants. Parfois, nous ne le savons pas, mais ils se sont disputés, voire, ils ne se sont pas disputés mais l’un a été blessé par l’autre, et n’a pas su l’exprimer, l’a gardé en lui. Peut-être une simple question de rivalité….
Alors, quand vient le moment de prêter, il n’en a juste pas envie. C’est sa manière à lui de se venger. De punir l’autre. (Je noterai au passage ici, au risque de toucher là où ça fait mal, que les enfants apprennent beaucoup du modèle qu’ils reçoivent. Ainsi, s’ils sont accoutumés à être punis pour ce qu’ils font, ils apprendront à leur tour que s’ils jugent que ce que l’autre a fait est répréhensible, alors cet autre mérite d’être puni… D’où l’importance pour nous de réfléchir à notre attitude par rapport à la punition .)
Ah, qu’il est grisant parfois d’avoir le pouvoir ! De savoir qu’on peut simplement décider si oui ou non, on va accorder à l’autre ce qu’il demande. Qu’on peut avoir une influence sur l’humeur de l’autre !
Cet usage-là du pouvoir est nocif ? C’est de l’abus de pouvoir ? C’est bien possible. A nous d’enseigner à notre enfant à bien utiliser son pouvoir personnel . Cet apprentissage peut prendre du temps. Mais ce qui est sûr, c’est que plus il aura d’opportunités de l’utiliser au quotidien, plus nous lui laisserons faire appel à son libre arbitre, moins il sera tenté de l’utiliser ainsi.
Restent enfin les cas où il n’y a pas de vraie raison, ou pas de raison objective, mais où l’on n’a pourtant pas envie de prêter. On ressent une gêne. On pourrait se forcer, mais cela risque d’aggraver notre malaise et il y a fort à parier qu’une dispute s’ensuive peu après, qui nous permettrait de justifier notre réaction première…
Notre manière d’aborder les choses peut changer la donne. Cela devra cependant être mené avec délicatesse.
La première étape sera d’accepter le point de vue de l’enfant. Accepter qu’il n’ait pas envie de prêter et ne pas le faire contre son gré. Car ne pas prêter est également une manière pour lui de poser ses limites . Il sait que ce jouet lui appartient, et qu’il peut décider.
Lui laisser cette prérogative est une manière de valider son indépendance, son pouvoir de décision. C’est lui enseigner à respecter également notre instruction de ne pas prendre les ciseaux de la cuisine (que je ne retrouve jamais quand j’en ai besoin !!).
Si nous formons l’enfant à prêter, il y a peu de chances que cela lui enseigne les bonnes raisons de le faire, et qu’il prête lorsque nous ne sommes pas à son côté… Encore une fois, nous touchons ici à la différence entre le contrôle extérieur et intérieur .
En revanche, s’il ne se sent pas jugé et remis en question, l’enfant sera plus ouvert à la phase suivante.
Puisque nous acceptons la position de notre enfant, simplement, nous pouvons en parler avec lui. Essayer de creuser les raisons derrière son refus. S’il a du mal à les formuler, on peut éventuellement l’aider, mais attention à ne pas l’enfermer dans une réponse qui risque ensuite de ne pas être complète.
Lorsque Léon (6 ans tout juste) a refusé de prêter son nouveau camion Mack (son cadeau d’anniversaire) à son petit frère Anatole (3 ans et demi), nous avons discuté sans reproche. Le cas était très simple : il avait peur que son frère ne le lui abime.
Une fois la raison, ou l’une d’elles en tout cas, éclaircie, on peut chercher des solutions.
Dans mon cas, je savais qu’Anatole n’abimerait pas le camion, je l’avais déjà vu jouer avec. Mais je n’ai pas répondu cela à Léon, quelle chance aurais-je eue de le convaincre simplement en le lui disant ?
A la place, je lui ai demandé si cela lui serait plus facile si je m’engageais à surveiller Anatole pendant qu’il jouait avec le camion. Et en effet, cette solution convenait à Léon.
Nous nous sommes donc mis d’accord, et Anatole a joué près de moi. J’ai même fait exprès de lui demander : « Tu fais bien attention au camion de Léon, Anatole ? », alors que Léon était à côté, afin que chacun ait bien confiance en cette « surveillance ».
Dans les jours qui ont suivi, ils ont beaucoup joué ensemble avec ce camion, et, quand ce n’était pas le cas, et que Léon était occupé à autre chose, Anatole m’a régulièrement demandé de venir le surveiller parce qu’il voulait jouer avec « le Mack de Léon ».
Si Léon n’avait pas été d’accord avec cette solution, qu’aurais-je fait ?
Je lui aurais demandé s’il avait une autre idée !
Et si nous n’avions pas trouvé d’idée, je ne l’aurais pas forcé. Ce refus de prêter aurait été une opportunité :
Et puis, inévitablement, vient le jour où ces méthodes positives portent leurs fruits .
Chez nous, cela a eu lieu il y a 2 semaines, c’est à dire un mois et demi après l’arrivée de ce fameux camion Mack à la maison. Nous étions tous ensemble dans le salon, quand Anatole me demande de le surveiller pour jouer.
Je n’ai pas le temps de répondre, que Léon intervient : « Anatole, en fait maintenant tu as bien compris et tu fais bien attention. Tu n’as plus besoin d’être surveillé. »
Ca y est, mon fils veut bien prêter !
J’adore ton analyse et son message d’espoir
Je complèterais juste en ajoutant le fait que chez un tout petit, la notion de permanence des objets n’étant pas encore bien acquise, prêter un jouer c’est le perdre définitivement. En effet, à ce stade quelque chose qui disparaît de sa vue disparaît tout court !
Ca non plus ça ne donne pas très envie de prêter 😀
À cet âge là du coup il vaut mieux employer son énergie à permettre à son enfant de faire souvent l’expérience du fait que l’objet reste, meme caché : jouer à coucou-caché, mettre des objets à moitié sous un tissu, puis entièrement…
Ce n’est qu’ensuite que l’enfant pourra être prêt à apprendre à se dessaisir de ses affaires : il aura intégré que c’est provisoire
Ah, c’est intéressant cette idée Gwen ! L’objet qui peut disparaitre et réapparaitre, en effet…
Merci pour ce bel article ! 🙂 je crois qu’en effet ici l’empathie est la clé pour chacun des acteurs du « conflit ».
C’est marrant comme l’empathie est souvent la clef, non ?
Hum il faut que je me la recopie cette marche à suivre, je patauge en plein dedans….
Ahah, et ça demande de la patience… Tu me diras ce que ça donne chez toi !
Merci pour cette analyse Coralie! Ici, tu prends un exemple dans la famille mais j’aurais aimé savoir comment tu réagis lorsque cela se passe avec des amis, cousins… ou alors si ton enfant est invité chez un ami et veut prendre tous ses jouets. Personnellement, je ne veux pas forcer ma fille à prêter ses jouets si elle n’en a pas envie, mais quand même être sûre qu’elle apprenne à partager, mais quand c’est un ami qu’elle ne voit pas très souvent, comment faire? Et surtout, comment l’expliquer à l’autre parent qui lui, insiste pour que son enfant partage?
En effet c’est un grand sujet! Mais j’ai remarqué que souvent, quand il n’y a pas de raisons plus profondes comme celles décrites dans cet article, si on leur demande tout simplement, ils ont tendance à prêter. Le problème principale pour mes enfants est quand on ne leur demande pas leur permission. Aussi, mon fils plus jeune, qui a 2 ans, il prête à condition qu’il ait suffisamment utilisé l’objet en question. Je pense, comme vous, qu’il ne faut pas forcer. Cela fait parti du respect des enfants et leurs objets. Mais bon, j’avoue également avoir eu des dérapages quand il y a eu des disputes… je suis obligé d’intervenir quand il y a agression physique… Le bonus m’a bien éclairé d’ailleurs!
Merci beaucoup pour l’article et le bonus d’ailleurs!
Ravie que le bonus vous ait éclairée !
Oui, je suis d’accord, parfois, il suffit de demander. Souvent, on oublie de respecter leurs limites, comme vous le dites, et ce n’est pas la meilleure façon de leur enseigner à respecter les nôtres.
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https://les6doigtsdelamain.com/arrete-dembeter-ton-frere-competence-2-les-limites/
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Depuis un certain temps, on n’entend plus parler que de cet objet. Le « Hand Spinner » est devenu LE nouveau jouet dans les cours de récré mais aussi chez les adultes. Mais c’est quoi au juste, le « Hand Spinner » ?
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Le « Hand Spinner » . Vous avez sûrement déjà entendu ce nom quelque part. Si vous avez des enfants alors ce gadget ne doit pas vous être inconnu. Le « Hand Spinner » , aussi connu sous le nom de « Fidget Spinner » fait fureur depuis plusieurs semaines dans les cours de récréation et dans les bureaux. Pourtant, ce jouet existe depuis déjà 20 ans.
Il est fort probable que vous ne trouviez pas ce jouet dans les magasins. Que ce soit en grandes surfaces ou dans les magasins de jouets, le "Hand-Spinner" est en rupture de stock . Ce jouet tout simple qui tourne comme une toupie, composé de 3 branches et qui est disponible en plastique, en bois ou en métal et qui se vend comme des petits pains ne rapporte pourtant pas un centime à sa créatrice, Catherine Hettinger. La femme, aujourd’hui âgée de 62 ans a créé ce jouet pour occuper sa fille de sept ans au début des années 90 . La mère de famille américaine explique au journal The Guardian qu’elle s’est servie des matériaux qui étaient à sa disposition. « J'ai commencé à assembler des choses ensemble avec du journal et du scotch (...) ce n'était même pas un début de prototype ». Ce qui au début n’était qu’un essai va finalement devenir un jouet , amélioré par la mère et sa fille. Catherine Hettinger détiendra pendant 7 ans le brevet de son jouet qu'elle nommera « spinning toy ». Mais faute d’argent, elle finira par laisser tomber. « Je n’avais tout simplement pas l’argent », a déclaré l’inventrice du jouet. Pourtant, ce gadget s’est révélé être utile pour toute une catégorie de personne .
Pour les enfants autistes ou atteints de troubles TDAH, ce jouet est particulièrement bénéfique . Il aide notamment à la concentration et à la socialisation avec les autres. Mais le « Hand Spinner » a aussi des vertus chez les enfants non autistes et chez les adultes. La psychologue pour enfant Angélique Cimelière précise que « chez les enfants autistes, on est dans la pathologie urgente, un soin. Chez l’enfant non autiste, on est dans la concentration, on est hors cadre pathologique. On n'est pas dans une démarche de soin mais dans les deux cas, l'attention permet d'être focalisée . Ce jouet peut aussi permettre d’expliquer l’autisme à ses enfants. L'amener à se poser des questions. Les enfants pourront dans ce cadre-là, côtoyer des enfants qui ont certaines pathologies et se remettre un peu en question. ». Pour les adultes, ce petit jouet est à la fois distrayant et apporte un « effet apaisant », un peu comme « les rituels tibétains des "mandalas" » d’après la psychologue.
Pour jouer au « Hand Spinner », c’est très facile ! Il suffit de le prendre par le centre entre deux doigts et de le faire tourner . L’objet pendra alors de la vitesse et formera des formes visuelles très relaxantes. Vous pouvez aussi le faire tourner sur un seul doigt (le pouce généralement) ou encore sur le front ou le bout du nez. Mais ça, c'est réservé aux plus expérimentés !
Si vous n’avez pas de « Hand Spinner », pas de panique ! D’autres méthodes existent pour vous relaxer ou pour relaxer votre enfant. Et peut-être aussi que ce jouet ne sera qu’un effet de mode, tout comme l’ont été les bracelets Loom (vous savez, ces bracelets multicolores que l’on pouvait assembler pour créer des figures) à une époque pas si lointaine !
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Chez les enfants, la motricité fine consiste à utiliser les doigts et les mains afin d'atteindre, d'agripper et de manipuler de petits objets. Avis de Mamans a sélectionné pour vous les meilleurs jouets pour développer la motricité fine de votre enfant.
La motricité fine correspond à l'exécution de gestes précis et coordonnés : écrire, dessiner, utiliser des ciseaux, faire ses lacets, boutonner un vêtement, etc. Son acquisition mobilise principalement les mains et les doigts, le sens du toucher et la coordination avec les yeux. Elle nécessite également un contrôle musculaire des parties du corps impliquées. La motricité fine diffère de la motricité globale qui concerne la coordination générale des membres sans s'attacher à la dextérité. 
Les bases de la motricité fine s'acquièrent de la naissance jusqu'à l'âge de 6 ans. Au cours des premiers mois, l'enfant développe sa capacité à saisir des objets avec sa main. Dans un premier temps, l'enfant se sert d'une seule main, puis des deux entre 7 et 9 mois. Avant l'âge de 2 ans, la préhension reste symétrique. La latéralisation s'acquiert généralement entre 2 et 4 ans, c’est à ce moment là que l’enfant devient gaucher ou droitier. Entre 3 et 4 ans, les gestes deviennent de plus en plus précis, l’enfant arrive par exemple à utiliser des ciseaux. La motricité fine va par la suite se développer tout au long de la vie en apprenant à maîtriser des objets et des outils de plus en plus complexes
La motricité peut être stimulée au quotidien au travers d'activités spécifiques. Elles peuvent être pratiquées à l'école maternelle ou à la maison. Les exemples d’activités pour dével
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