Jouer avec des queues

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Jouer avec des queues

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Jouer avec sa queue, c’est normal pour un chat surtout si c’est un chaton. Les chatons jouent avec tout, c’est ce qui fait leur charme et c’est aussi une bonne façon pour eux de découvrir le monde : la feuille d’arbre, une poussière dans un rayon de soleil, ou… leur queue !
A l’âge adulte, ce comportement a généralement disparu. Toutefois, certains chats continuent à attraper leur queue. Cela peut être un reste de comportement juvénile et donc le signe d’un chat très joueur.
Si en revanche ce jeu devient répétitif, obsessionnel et violent (morsure et plaie) c’est anormal. Les comportements d’obnubilation où le chat surveille sa propre queue et l’agresse ne sont pas élucidés. Ils ressemblent à des manifestations d’une irritation intense (quelle que soit sa cause) que le chat retournerait contre lui pour se défouler… L’amputation de la queue est parfois réalisée mais elle ne sert à rien. Les vétérinaires supposent des affections neurologiques, dermatologiques ou psychiques sans pouvoir expliquer ces anomalies. Certains médicaments ou produits anti-stress permettent de faire disparaître le trouble. Lorsqu’ils sont inefficaces, la recherche d’un stress est toujours utile car elle peut diminuer ou faire disparaître l’attaque de la queue : si le chat devient plus zen, il peut parfois arrêter de chasser sa queue ! Dans tous ces cas, un examen médical vétérinaire approfondi s’impose.
La punition est une sanction qui s’applique à une action. Lorsqu’elle est appliquée trop longtemps « après », votre chat n’a pas la possibilité d’associer la punition reçue à l’acte qui lui est reproché.
Après quelques minutes, il est déjà trop tard pour punir : La punition ne sera pas associée à l’acte mais à la présence du dégât car votre animal va apprendre que les deux éléments existant au même moment, vous + le dégât, ont un rapport. L’équation » vous + dégât = punition » le poussera donc à vous fuir, mais contrairement à une idée très répandue, ce n’est pas parce qu’il sait qu’il a mal fait. Votre chat ne peut associer la punition qu’à ce qu’il fait au moment où la reçoit. S’il ne faisait rien au moment où vous punissez, cela devient un stress car pour lui c’est incohérent !
Dans l’absolu, ne punissez pas votre chat, remettez -le par terre gentiment en disant non, dix fois, vingt fois, s’il monte sur la table, avec le temps il va comprendre…
Lorsque le chat dort, on observe parfois chez lui de petits tremblements ou des tressautements des membres, voire du » pédalage « , ses paupières bougent… Malgré un relâchement complet de tout le corps, certains muscles se contractent, pendant la phase dite de sommeil paradoxal. Cette phase est celle des rêves. Ou des cauchemars… Comment savoir en effet ? Car il ne raconte rien en se réveillant, mais les chats sont probablement comme nous : ils rêvent ou font des cauchemars et l’auront oublié au réveil.
Ne le réveillez surtout pas : il passe peut-être un moment extraordinaire à attraper la méchante pie qui les nargue au bout du jardin dans leur vraie vie ! Laissez-le finir tranquillement sa nuit. En revanche s’il vous parait avoir du mal à dormir, parlez en à votre vétérinaire et aidez le avec des produits apaisants.
En effet, lorsqu’il se frotte contre vos jambes, votre chat vous appose une marque. Ne vous inquiétez pas, il ne fait pas de vous sa propriété ! Pas plus qu’il ne s’approprie les objets sur lesquels il se frotte.
Non, ce comportement caractéristique du chat et plutôt une marque de familiarisation : Au-delà d’être une preuve d’affection, frotter sa joue du bout du nez jusqu’aux oreilles contre quelqu’un ou quelque chose, permet au chat de déposer des sécrétions phéromonales apaisantes (pour lui) sur vos objets et sa maison et de vous identifier comme » ami « .
Les deux marquages utilisent des secrétions différentes : sur les objets, la substance a été copiée et vous pouvez l’utiliser sous forme de spray ou de diffuseur c’est le Feliway Classic. La maison devient » familière » au sens propre du terme et vous êtes bien évidemment dans son cercle de familiers…avec l’étiquette que lui seul peut lire !
Dr Alnot, vétérinaire et rédactrice
Depuis quelque temps, votre chat adopte un comportement pour le moins étrange : il chasse sa propre queue ! Même si au début vous avez trouvé ça mignon, cela devient désormais quelque peu inquiétant. D’autant plus qu’il va même parfois jusqu’à se mordre la queue et à se blesser… Pour régler le problème, il est essentiel de comprendre ce qui le pousse à agir ainsi. Voici donc les raisons qui peuvent pousser votre chat à pourchasser sa queue !
Si votre chat se met subitement à chercher à attraper sa queue et à se mordiller la base de la queue, les puces sont probablement en cause. En effet, elles ont tendance à se loger à cet endroit précis, provoquant de fortes démangeaisons.
Dans ce cas, l’administration d’un traitement antiparasitaire s’impose.
Si un changement s’est produit dans l’environnement de votre chat (déménagement, arrivée d’un nouvel animal, changement de routine…), il est possible que cela ait eu pour conséquence de l’angoisser. De même s’il souffre d’anxiété de séparation. Afin d’extérioriser son stress, il s’adonne alors à des activités inhabituelles, comme le fait d’attraper sa queue.
Dans ce cas, la seule solution consiste à faire en sorte que votre chat se sente bien dans son environnement. Pour cela, accordez-lui plus de temps que d’ordinaire pour jouer avec lui et le câliner jusqu’à ce qu’il soit complètement rassuré et habitué à sa nouvelle vie.
Lorsqu’un chat s’ennuie, il peut devenir destructeur, tout comme les chiens, mais aussi autodestructeur. De plus, il peut adopter des comportements stéréotypés (répétitifs). Ainsi, pour lutter contre l’ennui et se divertir, il poursuit sa queue.
Dans ce cas, il ne vous reste plus qu’à enrichir l’environnement de votre chat en lui proposant de nouveaux jouets et accessoires (arbre à chat, étagères murales, jouet interactif…). Et surtout, consacrez un peu de votre temps pour jouer avec lui chaque jour !
Si votre chat est allergique, cela peut lui provoquer des démangeaisons sur la peau. Une perte de poils, un léchage excessif ainsi que des lésions sur sa peau peuvent également être observés.
Dans ce cas, il s’agit de déterminer l’allergène responsable et de l’éradiquer de l’environnement de votre chat. Cela peut être particulièrement long puisque, comme chez l’Homme, il existe de nombreux types d’allergies : allergie alimentaire, allergie de contact, allergie au pollen, allergie aux piqûres de puces…
Une blessure ou une infection des glandes anales peuvent être à l’origine d’un tel comportement. Mais il existe un syndrome qui a pour symptôme bien particulier le fait qu’un chat cherche à attraper sa queue. Il s’agit du syndrome d’hyperesthésie féline. En effet, ce syndrome provoque une sensation de picotement sur la queue. Plusieurs causes peuvent en être à l’origine : allergies, infections cutanées, tumeurs cérébrales, maladies de la moelle épinière, maladies musculaires…
Les chats atteints de ce syndrome peuvent également manifester d’autres comportements inhabituels : spasmes de la peau du dos, léchage ou grattage frénétique, crises de folie, intolérance au toucher…
Dans tous les cas, si votre chat se met à attraper sa queue de manière compulsive, une visite chez le vétérinaire s’impose.
« D’autres fois, les chats frémissent et bougent la queue quand se préparent à traquer et à bondir sur leurs proies. Il y a quelques théories à ce sujet : l’une d’elles suggère un flot de neurotransmetteurs et d’adrénaline dans le système du chat, qui provoque les mouvements de la queue. »
« Certains chats peuvent faire un petit mouvement de queue lorsqu’ils dorment et sont dérangés. Ils vous font ici signe qu’ils vous entendent, et qu’ils veulent être laissés seuls ». Marilyn Krieger suggère également de ne pas prendre que les mouvements de la queue en compte. « Vous devez vous intéresser au reste du langage corporel du chat, y compris les vocalisations, les positions des oreilles, si les yeux sont détendus ou dilatés. Ce faisant, vous aurez une meilleure idée des intentions de votre chat. »
Marci Koski, consultante certifiée en comportement félin, note de son côté que « les chats sont de grands communicateurs… si vous savez parler leur langue ». La position de la queue d’un chat peut en effet « agir comme un baromètre pour son humeur ». En général, « plus la queue d’un chat est haute, plus elle est confiante et extravertie. Quand la queue d’un chat descend plus bas vers le sol, cela peut signifier que votre chat est moins sûr de sa situation, ou même qu’il a peur. Mais le contexte est important. Il existe des exceptions à ces directives générales ».
Elle poursuit : « Quand un chat remue la queue, ce n’est pas la même chose que lorsqu’un chien remue la queue : ce n’est généralement pas un signe d’excitation sans faille. Comme vous pouvez l’imaginer, le contexte est (encore) très important. Fréquemment, un chat remue sa queue d’avant en arrière pour indiquer une irritation ou une contrariété – de légères contractions au bout de la queue suggèrent un léger désagrément, et une queue largement agitée ou vive est un signe certain que le chat veut que vous le laissiez tranquille ».
« Un chat qui est heureux de voir un ami – humain ou félin – peut également doucement agiter sa queue d’un côté à l’autre (comme si nous pouvions donner la main à un ami) ou l’enrouler autour de la jambe pendant qu’elle la serpente entre vos jambes. D’autres personnes signalent par ailleurs que les chats qui sont malades ou qui se sentent mal peuvent onduler doucement leur queue lorsqu’ils sont couchés. Comme toujours, cependant, ce que fait la queue du chat doit toujours être considéré dans le contexte d’autres indicateurs du langage corporel. »

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Sa queue est un indicateur fiable de l’état émotionnel du chat et de ses intentions
Lorsque la queue s’élance vers le ciel et s’agite légèrement, cela signifie que le chat est absolument ravi.
Les chats à queue courte ont la préférence des Asiatiques et notamment des Japonais
Il arrive parfois que les chats attaquent leur queue et se mordent au point de se blesser.

par
Pierre TELLEP

·
14 avril 2021

Avant de commencer, voici un bref résumé des questions que vous pouvez vous poser, lisez la suite de l’article jusqu’au bout pour avoir tous les détails dont vous avez besoin:
Un chat qui joue avec sa queue ? Le mouvement déclenche un comportement instinctif de chasse. Les chatons ciblent particulièrement leur propre queue (ou celle d’autres chats) pendant le jeu. En général, ce type de comportement disparaît avec l’âge, mais certains chats plus âgés continuent à jouer avec leur propre queue de temps en temps.
Est-ce qu’un chat reconnaît sa propre queue ? Les chats n’ont pas l’habitude de courir après leur queue tant qu’ils ne sont pas dans une certaine humeur. Les chats font beaucoup de pitreries mignonnes et stupides. Poursuivre leur propre queue est certainement l’une d’entre elles. Cependant, il existe quelques cas où le fait de courir après sa propre queue peut être une cause médicale si le chat détecte une gêne ou une irritation de sa queue
Pour la plupart des chatons et des jeunes chats adultes, le fait de courir après la queue est un comportement ludique normal. Les chats adultes qui courent après leur queue le font peut-être par ennui.
Si ce comportement apparaît soudainement , il peut être le signe d’un des nombreux problèmes de santé sous-jacents. En étant à l’écoute de votre chat, vous serez en mesure d’identifier les causes possibles de son comportement de chasseur de queue.
Les chats ont de nombreux comportements qui laissent perplexe, comme laisser des animaux morts sur votre voiture
La plupart de ces comportements ont un fondement ancestral et cela peut être un peu plus difficile à expliquer. Examinons quelques raisons pour lesquelles un chat peut courir après sa queue.
Certains chatons joueurs considèrent leur queue comme un jouet intégré. Il est difficile de s’ennuyer quand on a toujours sa queue à poursuivre.
Les jeunes chatons sont spécialement attirés par tout ce qui bouge , et la queue est la créature serpentine parfaite sur laquelle ils peuvent se jeter.
Les chats adultes peuvent également courir après leur queue pour se divertir, mais à partir d’un certain âge, la plupart sont trop dignes.
Pour les chats qui sont trop dignes pour courir après leur queue, vous pouvez les divertir en leur offrant un jouet à gratter à la place.
Les puces adultes aiment se rassembler et piquer à la base de la queue de votre chat. Ce que vous interprétez comme une tentative de votre chat d’attraper sa queue pourrait en fait être une tentative de votre chat de se gratter loin dans son dos, là où la queue s’attache au corps.
Les puces laissent d’autres signes de leur présence, comme des bosses sur la peau de votre chat là où elles ont piqué. Vous pouvez également constater que votre chat se gratte ou se toilette de manière excessive, et vous pouvez voir des « saletés » supplémentaires lorsque vous toilettez votre chat .
Le signe le plus évident est que vous tombez sur une ou deux puces adultes lorsque vous séparez les poils de votre chat jusqu’à la peau.
Un traitement contre les puces sur votre chat et dans votre maison devrait mettre fin au comportement de votre chat qui court après sa queue, si cela est dû à une infestation de puces.
Les allergies environnementales ou alimentaires peuvent provoquer des démangeaisons et une sécheresse de la peau de la queue de votre chat et d’autres endroits.
Les chats peuvent alors tourner en rond en essayant de trouver un moyen efficace d’atteindre cette démangeaison.
Les allergies ne se manifestent généralemen t pas uniquement par des démangeaisons de la queue. Il existe généralement d’autres signes tels que des infections chroniques des oreilles, des éruptions cutanées et des démangeaisons dans d’autres parties du corps.
Les allergies peuvent être traitées en évitant l’allergène s’il est connu ou avec des antihistaminiques. Dans les cas plus graves, les stéroïdes.
Une autre irritation qui peut provoquer l’intérêt accru de votre chat pour sa queue est une infection. Les infections peuvent provenir de différentes sources, notamment des glandes anales, qui sont situées juste à l’intérieur du rectum.
Parfois, elles sont causées par une infection secondaire consécutive à un grattage ou à une blessure de la queue.
Les infections se soignent le mieux en traitant la cause sous-jacente (comme l’expression des glandes anales), puis avec un traitement antibiotique.
Cette infection, également connue sous le nom d’ infection de la glande supracaudale , survient généralement chez les chats mâles intacts. L’infection est due à l’hyperactivité des glandes sébacées situées à la base de la queue.
Les glandes sébacées sont celles qui sécrètent les huiles qui gardent les poils de votre chat doux.
Une trop grande quantité de ces huiles peut entraîner une accumulation de cire à la base de la queue , ce qui peut faire s’emmêler les poils et créer une accumulation de croûtes irritantes.
Si la situation est suffisamment grave, une infection peut survenir. Le traitement consiste généralement à stériliser le chat mâle et à adopter une bonne hygiène.
Cette maladie rare mais mal comprise peut affecter les chats de tous âges et est causée par une hyperactivité des terminaisons nerveuses.
Elle peut entraîner une sensation de picotement dans la queue ou une sensibilité excessive de votre chat au toucher.
Les chats atteints de cette maladie peuvent également présenter des épisodes similaires à des crises de panique, au cours desquels ils courent dans tous les sens et deviennent fous pendant 20 à 30 secondes, avant de se rendormir comme si de rien n’étai t.
Tout comportement anormal doit être discuté avec votre vétérinaire.
Selon la situation, un chat qui court après sa propre queue peut être tout à fait normal.
Les chatons très joueurs ou ceux qui s’ennuient après avoir passé la journée seuls sont plus enclins que les autres à courir après leur queue.
La chasse à la queue est plus fréquente chez les chatons que chez les adultes. Un chat adulte est plus enclin à poursuivre ce comportement s’il l’a fait lorsqu’il était chaton.
En général, tout changement soudain dans le comportement de votre chat doit vous alerter que quelque chose ne va pas.
Un chat adulte qui n’a jamais couru après sa queue auparavant et qui se met soudainement à le faire doit être un signal d’alarme qui doit être examiné. La plupart des problèmes de santé à l’origine des poursuites de la queue s’accompagnent d’autres signes observables auxquels vous devez prêter attention.
Si votre chat se met soudainement à courir après sa queue, vérifiez qu’il n’a pas de puces, de blessures, d’infections ou tout autre signe inhabituel . Vous devez également noter tout autre comportement étrange, comme un changement d’affection, d’appétit ou de niveau d’énergie.
La poursuite ludique de la queue est une chose, mais si votre chat a commencé à se poursuivre et à se mordre la queue, soyez attentif aux blessures auto-infligées et aux infections possibles.
Même si la poursuite de la queue de votre chat est un comportement normal, les répercussions d’une morsure peuvent être plus graves . Faites toujours examiner les blessures ou les morsures de la queue par un vétérinaire.
Les chatons joueurs sont attirés par le mouvement, qu’il s’agisse de leur queue ou de celle de leur compagnon félin. Si ces chats sont en bons termes, l’un d’eux peut essayer d’attirer l’autre en lui donnant de petits coups de queue rapides.
Cela ne pose aucun problème tant que les deux chats sont sur la même longueur d’onde . Parfois, les chats peuvent courir après la queue d’un autre chat par agressivité. Cela peut entraîner des dégâts.
Dans ce cas, notez le langage corporel des deux chats pendant l’interaction. Les chats qui jouent auront les oreilles dressées vers l’avant et pourront rebondir ou rouler sur le côté lorsqu’ils » attraperont » la queue de l’autre.
Les chats agressifs auront très certainement les oreilles dressées vers l’arrière, grogneront, battront ou secoueront la queue, et seront tendus de partout. Lorsqu’ils bondissent, ils cherchent le sang plutôt qu’une interaction ludique.
En cas de poursuite agressive de la queue, il est souhaitable de séparer les chats pour éviter les blessures.
Si la poursuite de la queue de votre chat est devenue un problème, vous pouvez essayer de lui faire perdre cette habitude en lui donnant autre chose à poursuivre.
Les jouets à baguette ou à ficelle sont parfaits pour jouer avec votre chat. Pour jouer à distance, un pointeur laser est peut-être plus approprié.
Si votre chat court après sa queue parce qu’il s’ennuie parce qu’il est seul toute la journée à la maison, un jouet interactif comblera cette envie de courir sans détruire son propre corps. Cela vaut également pour les chats qui courent après la queue d’autres chats.
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