Jolie prostituée donne son corps

Jolie prostituée donne son corps




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Jolie prostituée donne son corps
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Je créé un compte pour recevoir mes newsletters et gérer mes données personnelles.


Je souhaite recevoir des offres du site et ses partenaires




Mode Beauté Société

Actu société


Reportages


Décryptage


Femmes engagées


Marie Claire s'engage


Violences faites aux femmes


La Flamme Marie Claire


Le Grand Forum


Octobre Rose


Women's Forum


Egalité femmes hommes




Trophées ellesdeFrance


Culture Célébrités Astro Prescription Beauté
























Je certifie ne pas envoyer d'e-mail indésirable

Que se passe-t-il dans le cœur et dans la tête d’une femme qui vend son corps sur le trottoir? A l’heure où la France vient de réaffirmer sa position abolitionniste en matière de prostitution, quatre prostituées nous dévoilent leur vie quotidienne dans toute sa crudité, et leurs petits arrangements avec l’inacceptable.
Zarifa Ghafari, plus jeune maire afghane réfugiée en Europe
Violences conjugales : un homme récemment condamné intègre la police
Françoise Vimeux, climatologue : "Le changement climatique s’amplifie, aucun territoire n’est à l’abri"
Benjamin Mendy, poursuivi pour viols : le procureur dresse le portrait d'un "prédateur" et livre des détails glaçants
Afghanistan : un an après le retour au pouvoir des talibans, l’ONU appelle à "ne pas oublier les femmes et les filles afghanes"
Reims : une mère lance un SOS pour retrouver son téléphone volé, rempli de souvenirs de sa fillette décédée
États-Unis : Facebook a livré à la police les conversations privées d’une adolescente qui a avorté clandestinement
Nanterre : deux patientes de 68 et 78 ans violées à l’hôpital
Etes-vous choquée par les propos de Claude Guéant : « toutes les civilisations ne se valent pas » ?
Chirurgie esthétique en Chine : refaites pour trouver un emploi
Communiqué de presse du Groupe Marie Claire
Les Infidèles : êtes-vous choquée par l’affiche du nouveau film de Jean Dujardin ?
Les femmes d’extrême droite sont-elles plus dangereuses ?
Crise du logement : Faut-il encadrer les loyers ?

"vendre son corps", c'est une expression idiote ! je suis prostituée et je fournis des prestations sexuelles, c'est tout ! quand un bébé naît, aucune partie de son corps n'est estampillée plus "sacrée" que les autres, que ce soient ses mains, ses pieds ou... ses fesses ! alors, que celles qui ne voudraient pas faire ce métier n'en dégoûtent pas les autres !

libres a elles de se trouver un emploi"normal",mais c'est sur qu'elles vont gagner vachement moins et moins vite.c'est la qu'on se dit que la délinquance masculine est le pendant de la prostitution féminine, pour s'en mettre vite fait dans les poches les femmes se vendent et les hommes braquent ou dealent....
Nos partenaires et nous utilisons des données non sensibles comme des cookies ou des identifiants électroniques pour afficher des publicités personnalisées, mesurer le nombre de visiteurs ou encore adapter notre contenu.
Cliquez sur le bouton pour donner votre consentement à ces opérations et profiter d'une expérience personnalisée. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment en revenant sur ce site.
Ce sont des silhouettes, dont les talons piétinent les trottoirs ou qu’on devine assises à l’avant de petits camions à l’orée des villes… Les ombres qui bordent l’asphalte se ressemblent. Pourtant, elles cachent mille visages aux histoires singulières et souvent cabossées dont on entend rarement les voix.
La prostitution de rue est aujourd’hui une mosaïque de couleurs et de situations. Les sexagénaires côtoient de jeunes femmes au visage d’enfant. Celles qu’on appelle les « traditionnelles », Françaises, sont presque toutes indépendantes, débarrassées dans les années 80 de leur « Jules », à qui elles payaient leur place sur le pavé. Elles ont connu les arrivées d’immigrées depuis les années 90 : des filles de l’Est, puis d’Afrique et d’Asie. Aujourd’hui, plus de 80 % des prostituées en France sont des étrangères, le plus souvent victimes de la traite et de l’exploitation sexuelle, sous la coupe d’un proxénète ou prises à la gorge par la dette à un passeur. Pour toutes, la contrainte est à l’origine de la première passe. Parfois la force, en général la précarité, le besoin de ce semblant d’argent « facile ». Certaines disent préférer le tapin au salaire de femme de mén age ou de caissière: « A un moment, on choisit le meilleur du pire », résume l’une d’elles.
Sur le trottoir ou au bord de la route, la passe dure en moyenne dix minutes, l’homme paie environ 20€ la fellation , 40€ « l’amour ». Et la violence, toujours, rôde. Agressions par des clients, vols, concurrence entre filles, déchaînements de passants… Chacune a en mémoire une poignée d’ agressions qui lui ont marqué le cœur ou la peau. Mais très peu racontent. La plupart préfèrent se terrer dans le silence pour ne pas éventer un secret que leur famille souvent ignore.
Celles que nous avons rencontrées, et « apprivoisées », dans le quartier chaud de Lyon, ont décidé de briser le silence. Indépendantes, elles ne font pas partie de ces esclaves sexuelles qui risquent leur vie à parler. Quoique… Elles ont tenu à préserver leur anonymat en changeant de prénom. Rebaptisées Diane, Fernanda, Karen et Evelyne, elles nous ont ouvert la porte de leur camion-alcôve.
Dans celui d’Evelyne, une petite radio rose et quelques magazines éparpillés sur le tableau de bord pour tuer le temps. A l’arrière trône un lit où elle déroule un drap en papier, une petite commode fait l’angle, avec préservatifs et gel désinfectant. Le véhicule permet de respecter des règles d’hygiène que les filles à pied ne peuvent pas toujours suivre. Evelyne, 66 ans, travaille de jour, comme la plupart des prostituées âgées. La nuit, d’autres camions se garent à la file le long de sa rue, car l’activité est à son comble. Celles qui ne peuvent pas acheter de véhicule le louent, souvent au prix fort : 50€ par jour. Certaines n’ont pas le permis et se font conduire par des «chauffeurs»: 30€ l’aller-retour. Dans ce milieu, les règles de la rue font office de loi. Gare à celles qui osent se garer sur une portion de route réservée. Et à celles qui cassent les prix communément respectés. Mais la violence passe aussi par le regard. Celui de la société. « La prostituée, depuis des siècles, c’est la fille pervertie, sans morale. Il y a un stigmate profond dans les yeux des gens, dans la façon d’en parler et de leur parler », explique Daniel Mellier, de l’association d’aide le Mouvement du Nid. Diane, Fernanda, Karen et Evelyne racontent sans fioritures leur vraie vie de vraies femmes, prostituées en France en 2012.
Je n’aurais jamais pensé faire ça… La première fois, c’était pour payer le lait de mon bébé, le père s’en foutait. Un homme m’a proposé de l’argent pour coucher, j’ai accepté. J’avais 18 ans. J’ai commencé sur Internet puis, il y a deux ans, ma sœur m’a conseillé de faire comme elle. Elle se prostitue depuis cinq ans dans un camion, à Lyon. En ce moment, elle me le prête la journée. J’arrive à 6 heures, je repars vers 18 heures. Je mange à l’intérieur, je lis des magazines ou j’écoute de la musique…
La première passe, c’est difficile. Pour avoir une relation harmonieuse avec le client, il faut enlever ce truc dans la tête, cette image qu’on se fait du sexe quand on est jeune fille. Certains clients sont polis, d’autres sont moches ou puent. Parfois ils sont beaux. Avec leur corps, j’ai des tactiques. Je fais en sorte qu’ils ne me pénètrent pas trop. Pas de sodomie, juste la fellation et l’amour. Généralement, il n’y a pas de plaisir, sauf quand je me lâche. Je n’ai pas trop de clients habituels. Certains disent que je suis gentille et souriante. D’autres me parlent mal. Je me suis déjà fait agresser. Alors je sélectionne mes clients: j’évite ceux qui ont bu, qui ont l’air violent… J’ai une petite bombe lacrymogène que je cache, au cas où: je l’ai déjà utilisée deux fois. Certains mecs ne jouissent pas ou se retiennent, puis demandent à être remboursés. Ça m’arrive d’accepter, pour ne pas être embêtée.
Ce boulot, il ne me plaît pas. Il me permet d’envoyer de l’argent à ma famille, restée au Cameroun. Dans deux ans, j’espère avoir assez de sous pour ouvrir un grand restaurant en Afrique. C’est mon rêve. La prostitution n’est qu’un passage de ma vie. Après, je ne retournerai plus sur le trottoir, sauf si j’ai des problèmes d’argent. Ma mère ne sait pas que je fais l’amour pour 40€. J’ai honte. Ma sœur est la seule à le savoir : c’est notre petit secret. Je ne parle à personne de ce travail. Je n’ai pas de copines dans le milieu. Je suis seule dans mon camion, ma bulle. Je mets une perruque blonde pour que personne ne me reconnaisse. Des fois, j’ai peur de croiser de la famille… J’ai honte aussi que ma sœur m’aperçoive habillée comme ça. A l’extérieur de ma bulle, c’est un autre monde. C’est comme si j’avais deux personnalités. Je préfère la vraie, bien sûr.
Mon copain, avec qui j’ai deux enfants, se doute que je me prostitue. Je ne lui dirai pas. Je suis indépendante, je ne veux pas qu’il devienne mon proxénète et je veux m’en sortir toute seule. J’ai beaucoup trop attendu des hommes. Il ne faut pas. Je n’ai pas la chance d’avoir un mec qui m’aide à réaliser ce que je veux. Mon copain me trompe souvent. Il m’arrive aussi d’avoir des aventures. Ces jours-ci, je n’ai pas le moral. Des problèmes de sous s’ajoutent aux problèmes de couple. J’ai l’impression de n’être qu’une pute. Je n’ai plus de respect pour moi-même. Je crois que je ne suis qu’une marchandise. Pour moi, ce n’est pas un métier comme un autre.
Ma vie, c’est toute une histoire. Je suis arrivée en France en 1984, j’avais 35 ans. J’ai débuté comme femme de ménage , mais je n’avais pas les moyens de nourrir mon fils de 7 ans. La première passe, je ne m’en souviens pas. Au début, c’est difficile, mais mon corps, c’était un simple outil de travail…
Prostituée , c’est un métier de merde. J’ai arrêté une première fois, il y a des années, puis repris. Quand j’ai débuté à Bourg-en-Bresse, à pied, tout s’est toujours bien passé. Je payais ma place à trois mecs: environ 220 € par jour, plus de la moitié de ce que je gagnais. A Lyon, ensuite, j’étais indépendante. Mais un jour, je me suis fait kidnapper par le « copain d’une copine ». J’en ai gardé une cicatrice. Avec les clients, je n’ai jamais eu de problèmes, mais il faut les choisir. Moi je ne prenais pas les jeunes, car ils avaient l’âge de mes enfants. Ni les Arabes, car mon mari l’était. Leur corps, je ne le voyais même pas. Le client, on ne regarde pas sa beauté mais son porte-monnaie. Les miens, ils étaient gentils. Certains demandaient des choses particulières, comme la sodomie . Pas avec moi. Un jour, un homme m’a demandé de lui marcher dessus avec des talons: je l’ai fait. Ils reviennent quand on est gentille. On n’est pas des machines. On parlait de leur femme, des enfants, de la vie… Un peu de moi aussi. J’avais toujours la même position : je ne voulais pas voir leur tête pendant l’acte. Je ne me suis jamais déshabillée devant eux, j’ai toujours gardé ma robe. Je n’ai jamais embrassé sur la bouche. Certaines le font, pas moi. Tu paies, tu te vides et tu t’en vas.
Quand je quittais le camion, je faisais une croix, j’oubliais. Même si ma famille le savait, les enfants aussi. Quand on quitte le travail, on est une femme comme une autre. J’ai arrêté depuis un an, car je viens de me marier avec l’un de mes anciens clients. Il est gentil, il m’a sortie de la prostitution. Il est agriculteur, je l’aide un peu. J’ai trouvé la tranquillité. Je ne retournerai jamais sur le trottoir.
Toutes les filles sont conditionnées pour tomber amoureuse , faire l’amour avec une personne qu’elles aiment… Pas avec quelqu’un qui les dégoûte. La première passe, c’est évidemment très difficile, c’est un cap à passer. Maintenant c’est des gestes naturels, la routine. Certaines passes sont encore difficiles, mais il faut faire abstraction du mental. C’est l’argent qui motive, en fait. Moi j’ai commencé très jeune, à 17 ou 18 ans. Puis j’ai essayé d’avoir une existence normale. J’ai été secrétaire pendant dix ans, et j’aurais préféré avoir une vie de famille. Mais j’ai repiqué. Au début, tu te dégoûtes, puis tu te dis que c’est la vie.
Nous, sur le trottoir, on a les prix les plus bas, j’appelle cela le Samu. Disons qu’on « vide » : c’est notre rôle. On a entre deux et quinze clients par jour. Toutes sortes de mecs, pas forcément tendres, gentils, respectueux. Parfois, ils sont durs à gérer. Mais on peut dire non. Ce n’est pas parce qu’on est payées qu’on est forcées de toujours accepter. Il faut se faire respecter. J’ai des clients violents, aussi. Mais à force de travailler avec les hommes, j’arrive à les cerner.
Je ne travaille qu’avec des capotes . Pas de sodomie. Jamais deux clients à la fois , pour des raisons de sécurité. Et le visage, on ne touche pas. Il y en a qui prennent du plaisir à m’embrasser les pieds: ce n’est pas dégradant. Rouler une pelle à un client? Hors de question. Comme dans tous les métiers, il y a des règles.
Les prostituées ne sont pas des malades de sexe. Les actrices pornos, elles font semblant, et nous c’est pareil. On me demande de crier, je crie. C’est la différence avec la vie privée: quand j’ai envie de me donner à quelqu’un, il y a du plaisir, j’ai envie de me faire câliner, comme tous les êtres humains. Après, il y a des choses que je fais dans le travail et pas dans le privé. T’es payée, tu le fais.
Ça décomplexe, le tapin. Cela m’a donné de l’aplomb et fait disparaître toutes mes inhibitions. J’ai appris aussi qu’il ne faut pas faire confiance aux hommes. Toute la journée, on voit des mecs qui ont juste envie de nous sauter. Mais nous, on a aussi envie de les intéresser pour autre chose. Trouver des amis hommes, c’est extraordinaire. J’ai tout de suite dit à mon mec ce que je faisais. Il accepte parce qu’il m’aime. Pas beaucoup le feraient.
Je ne pense pas qu’on puisse faire ce métier en étant seule au monde. Moi j’en parle à mes copines… Il faut une vie à peu près équilibrée tout en ayant une vie qui ne l’est pas beaucoup. C’est dur. 
Dans mon camion, à Lyon, je suis l’une des « anciennes ». J’ai commencé avec mon mari, c’était une décision commune pour gagner de l’argent. Ça a duré quelques années, puis on a divorcé . Aujourd’hui, je suis indépendante. J’aime fixer comme je veux mes horaires et mes vacances. Le matin, j’arrive à 9 heures. J’enfile une jupette, un haut, jamais de maquillage. Je fais mes clients et je repars vers 17 heures. Du lundi au vendredi. Comme si j’allais à l’usine.
Il y a les habitués. Quelques-uns qui me connaissent depuis le début… Sinon, j’ai de tout. Des clients arrivent en belle voiture, d’autres à vélo. Ils sont jeunes, vieux, souvent mariés ou en couple . Certains sont sympas, marrants, d’autres moins. Dans l’ensemble, ça se passe bien. Chez moi, c’est vite fait bien fait. Ils me racontent ce qu’ils veulent, mais je ne suis pas leur assistante sociale. Eux ne savent rien de ma vie. J’ai déjà eu des déclarations, des invitations au restaurant : ça ne marche pas avec moi. Ils viennent parce que leur femme ne veut rien faire ou juste pour changer un peu. Moi je ne me suis pas remariée. Le soir, encore un qui m’attend, non merci ! Il n’y a pas d’homme dans ma vie. Pas besoin.
Ceux que je connais montent directement dans le camion par la porte coulissante. A force, je sais à peu près ce qu’ils veulent. Je ne les embrasse jamais sur la bouche. La pipe, l’amour et basta. Plus vite ils ont fini, plus vite ils s’en vont, plus je suis contente. S’ils veulent plus, ils paient davantage. Pour enlever le haut, par exemple, il faut ajouter un billet de 10€. Du plaisir ? Sûrement pas. Mon corps, c’est un outil de travail. Je le loue, et ça ne m’a jamais troublée. Je n’ai jamais souffert de ce métier. Ce n’est pas facile, certes. Mais celles qui sont obligées de baiser leur mari quand elles rentrent, c’est pareil. Je crois qu’au final, c’est un travail comme un autre. Quand je rentre chez moi, je ne suis plus du tout la même. Faire cette différence dans ma tête, c’est vital. On est comme des actrices. J’évite que mes proches ne me voient sur le trottoir. Avec mon fils, on n’en a jamais discuté. Tout comme ma mère, à l’époque, ou mes amis aujourd’hui. Tout le monde le sait, personne n’en parle. C’est mieux de ne rien expliquer.
Toute l'actu Marie Claire, directement dans votre boîte mail

Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».




Cinéma





News


Le cahier critique


Sorties Cinéma


Horaires et salles


Prochainement


Box-Office


Photos


Videos


Dossiers




Séries





News


Photos


Vidéos


Dossiers


Toutes les séries




TV





News


Photos


Vidéos


Dossiers


Audiences Télé




DVD / VOD





News


Photos


Vidéos




Bandes-Annonces


People





News


Toutes les stars


Photos


Vidéos


Dossiers








People



Dossiers


Le Petit Cochon : actrices dénudées pour scènes charnelles

Le Petit Cochon : actrices dénudées pour scènes charnelles


Abonnez-vous !



Je m'abonne
J'achète le numéro


Découvrir Notre offre VOD
les sélections et les coups de cœur de la rédaction de PREMIERE, toutes les nouveautés françaises et américaines, et les films qui ont fait l'histoire du cinéma.


Film-événement adapté du best-seller érotique de E.L. James et vendu comme ultra-sulfureux.


La petite fille d'Elvis exibe sa jolie plastique et dévoile son caractère peu farouche dans la série de Steven Soderbergh.


La ravissante actrice française de 34 ans n'a pas froid aux yeux.


La sublime actrice américaine de 32 ans se dévoile comme jamais dans la série HBO.


La sublime actrice canadienne, 18 ans à l'époque de la sortie du film, nous avait ensorcelés sur du Leonard Cohen.


Il y a vingt ans, le trublion hollandais Paul Verhoeven mettait un upercut à l'industrie du divertissement américain.

Tous les mois, retrouvez le cinéma comme vous ne l’avez jamais lu avec des descriptifs sur les sorties de films, des reportages et des interviews exclusives.
Les séances dans les cinémas les plus proches
Les films à l'affiche dans vos salles favorites
Les sorties de la semaine et les films à venir

Accueil Prostitution et Société Témoignages « Entraînée à 15 ans dans la prostitution par un lover boy,...

Recevez nos derniers articles par e-mail !
S'abonner



Share

Tweet


Share


Messenger



Whatsapp


Journaliste indépendante et formatrice, Christine Laouénan est spécialisée dans les sujets de la santé et de la p
Salope seule veut de la bite
Jeune bien monté et plein de sperme
Bon brunch

Report Page